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Titre : Le relations collectives du travail en Belgique Type de document : texte imprimé Auteurs : Etienne Arcq, Auteur Editeur : CRISP Année de publication : 1982 Collection : Dossiers du CRISP num. 17 Importance : 24 p Langues : Français (fre) Catégories : Belgique
SyndicalismeTags : Emploi Travail Syndicalisme Belgique Index. décimale : 05.02 Syndicalisme Résumé : La Belgique est l'un des pays au monde les plus syndiqués. Les organisations patronales témoignent, comme les syndicats, d'un haut degré d'affiliation, Syndicats et organisations patronales sont les acteurs d'un système de relations collectives du travail très développé et dans lequel ils sont fortement engagés. A travers ce système, syndicats et patronat participent à la décision politique selon des procédures qui furent institutionnalisées à différentes époques de l'histoire. Ils sont les interlocuteurs du gouvernement pour l'ensemble des matières économiques et sociales, Ils ont traversé la crise économique en maintenant l'essentiel du fonctionnement de leurs relations au niveau des entreprises et des secteurs, et au niveau interprofessionnel. Le relations collectives du travail en Belgique [texte imprimé] / Etienne Arcq, Auteur . - [S.l.] : CRISP, 1982 . - 24 p. - (Dossiers du CRISP; 17) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Belgique
SyndicalismeTags : Emploi Travail Syndicalisme Belgique Index. décimale : 05.02 Syndicalisme Résumé : La Belgique est l'un des pays au monde les plus syndiqués. Les organisations patronales témoignent, comme les syndicats, d'un haut degré d'affiliation, Syndicats et organisations patronales sont les acteurs d'un système de relations collectives du travail très développé et dans lequel ils sont fortement engagés. A travers ce système, syndicats et patronat participent à la décision politique selon des procédures qui furent institutionnalisées à différentes époques de l'histoire. Ils sont les interlocuteurs du gouvernement pour l'ensemble des matières économiques et sociales, Ils ont traversé la crise économique en maintenant l'essentiel du fonctionnement de leurs relations au niveau des entreprises et des secteurs, et au niveau interprofessionnel.
Titre : Les restructurations dans l’industrie automobile en Belgique Type de document : texte imprimé Auteurs : Henri Houben, Auteur Editeur : CRISP Année de publication : 2016 Collection : Courrier hebdomadaire num. 2295-2296 Importance : 71 p Note générale : ARCH.GRE-2016 Langues : Français (fre) Catégories : ARCHIVES Tags : Industrie automobile Belgique Histoire économique Restructuration Volkswagen Renault Syndicats Politique industrielle Résumé : Depuis une vingtaine d’années, l’industrie automobile belge ne semble plus vivre qu’au fil des restructurations et des fermetures d’entreprises : Renault à Vilvorde, Volkswagen à Forest, Opel à Anvers, Ford à Genk, etc. Il est loin le temps où la Belgique pouvait s’enorgueillir d’occuper le premier rang mondial quant au nombre de véhicules assemblés par habitant. Aujourd’hui, elle ne compte plus que quelques sites de montage, tels ceux d’Audi à Forest et de Volvo à Gand. Le nombre de voitures qui sortent des usines belges est actuellement de quelque 500 000, alors qu’il dépassait encore le million en 2002. Quant à celui des travailleurs employés dans ce secteur, il a lui aussi diminué de moitié durant le même laps de temps. Et les perspectives d’avenir n’annoncent nullement un renversement de la tendance.
Le présent Courrier hebdomadaire s’attelle à mettre au jour les causes de ce constant déclin de l’assemblage automobile en Belgique. Pour cela, il replace la problématique dans sa profondeur historique, en se concentrant essentiellement sur les années 1995-2015. Cette chronologie permet de saisir les temps forts et les éléments structurels, tels que la crise financière et économique, les évolutions du marché ou les stratégies des multinationales. Comprendre la situation belge impose en effet de la replacer dans son contexte mondial.
Houben propose quelques pistes de réflexion quant à l’avenir de l’industrie automobile en Belgique. Il interroge le rôle des principaux acteurs : investisseurs, constructeurs, Union européenne, État belge, Régions et syndicats. En particulier, il questionne l’idéologie dominante, selon laquelle les pouvoirs publics n’ont pas à intervenir pour contrer les décisions des multinationales, même lorsqu’elles contribuent à délaisser des outils de production ou à supprimer des emplois.En ligne : http://www.crisp.be/librairie/catalogue/1905-restructurations-industrie-automobi [...] Les restructurations dans l’industrie automobile en Belgique [texte imprimé] / Henri Houben, Auteur . - [S.l.] : CRISP, 2016 . - 71 p. - (Courrier hebdomadaire; 2295-2296) .
ARCH.GRE-2016
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Catégories : ARCHIVES Tags : Industrie automobile Belgique Histoire économique Restructuration Volkswagen Renault Syndicats Politique industrielle Résumé : Depuis une vingtaine d’années, l’industrie automobile belge ne semble plus vivre qu’au fil des restructurations et des fermetures d’entreprises : Renault à Vilvorde, Volkswagen à Forest, Opel à Anvers, Ford à Genk, etc. Il est loin le temps où la Belgique pouvait s’enorgueillir d’occuper le premier rang mondial quant au nombre de véhicules assemblés par habitant. Aujourd’hui, elle ne compte plus que quelques sites de montage, tels ceux d’Audi à Forest et de Volvo à Gand. Le nombre de voitures qui sortent des usines belges est actuellement de quelque 500 000, alors qu’il dépassait encore le million en 2002. Quant à celui des travailleurs employés dans ce secteur, il a lui aussi diminué de moitié durant le même laps de temps. Et les perspectives d’avenir n’annoncent nullement un renversement de la tendance.
Le présent Courrier hebdomadaire s’attelle à mettre au jour les causes de ce constant déclin de l’assemblage automobile en Belgique. Pour cela, il replace la problématique dans sa profondeur historique, en se concentrant essentiellement sur les années 1995-2015. Cette chronologie permet de saisir les temps forts et les éléments structurels, tels que la crise financière et économique, les évolutions du marché ou les stratégies des multinationales. Comprendre la situation belge impose en effet de la replacer dans son contexte mondial.
Houben propose quelques pistes de réflexion quant à l’avenir de l’industrie automobile en Belgique. Il interroge le rôle des principaux acteurs : investisseurs, constructeurs, Union européenne, État belge, Régions et syndicats. En particulier, il questionne l’idéologie dominante, selon laquelle les pouvoirs publics n’ont pas à intervenir pour contrer les décisions des multinationales, même lorsqu’elles contribuent à délaisser des outils de production ou à supprimer des emplois.En ligne : http://www.crisp.be/librairie/catalogue/1905-restructurations-industrie-automobi [...]
Titre : Le secteur des télécommunications en Belgique : quel bilan après cinq ans de concurrence? Type de document : texte imprimé Auteurs : Franklin Dehousse, Auteur ; Tania Zgajewski, Auteur Editeur : CRISP Année de publication : 2003 Collection : Courrier hebdomadaire num. 1821-1822 Importance : 93 p Langues : Français (fre) Tags : Télécommunications Entreprises Belgique Réglementation Service universel Index. décimale : REVUES Résumé : Franklin Dehousse et Tania Zgajewski présentent un aperçu des nombreuses modifications apportées au cadre réglementaire des télécommunications depuis 1999. De nouveaux problèmes sont apparus tels que le lancement de la troisième génération du téléphone mobile (UMTS), la protection du public contre les émissions des antennes, la portabilité des numéros de téléphone en cas de changement d’opérateur. Il a également fallu transposer de nouvelles directives européennes. Le nouveau cadre réglementaire adopté par l’Union européenne en 2002 vise à établir un cadre unique applicable pour toutes les communications électroniques. Le retard de sa transposition en Belgique, pointé par la Commission européenne, constitue un handicap pour les entreprises concernées car il génère une incertitude juridique importante. Les auteurs évoquent les initiatives administratives prises pour compenser cette carence. Enfin, la loi du 17 janvier 2003 sur le statut du régulateur, complétée par une autre loi du même jour sur le recours et le traitement des litiges, a profondément modifié la position de l’IBPT dans la régulation des télécommunications. Les auteurs offrent également une synthèse des changements du marché. Ils examinent d’une part l’évolution des différents secteurs, en soulignant la croissance persistante de la téléphonie mobile et d’internet, et d’autre part l’évolution des principales entreprises. Le secteur des télécommunications en Belgique : quel bilan après cinq ans de concurrence? [texte imprimé] / Franklin Dehousse, Auteur ; Tania Zgajewski, Auteur . - [S.l.] : CRISP, 2003 . - 93 p. - (Courrier hebdomadaire; 1821-1822) .
Langues : Français (fre)
Tags : Télécommunications Entreprises Belgique Réglementation Service universel Index. décimale : REVUES Résumé : Franklin Dehousse et Tania Zgajewski présentent un aperçu des nombreuses modifications apportées au cadre réglementaire des télécommunications depuis 1999. De nouveaux problèmes sont apparus tels que le lancement de la troisième génération du téléphone mobile (UMTS), la protection du public contre les émissions des antennes, la portabilité des numéros de téléphone en cas de changement d’opérateur. Il a également fallu transposer de nouvelles directives européennes. Le nouveau cadre réglementaire adopté par l’Union européenne en 2002 vise à établir un cadre unique applicable pour toutes les communications électroniques. Le retard de sa transposition en Belgique, pointé par la Commission européenne, constitue un handicap pour les entreprises concernées car il génère une incertitude juridique importante. Les auteurs évoquent les initiatives administratives prises pour compenser cette carence. Enfin, la loi du 17 janvier 2003 sur le statut du régulateur, complétée par une autre loi du même jour sur le recours et le traitement des litiges, a profondément modifié la position de l’IBPT dans la régulation des télécommunications. Les auteurs offrent également une synthèse des changements du marché. Ils examinent d’une part l’évolution des différents secteurs, en soulignant la croissance persistante de la téléphonie mobile et d’internet, et d’autre part l’évolution des principales entreprises.
Titre : La sidérurgie en Wallonie entre Usinor, Duferco et Arcelor Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Capron, Auteur Editeur : CRISP Année de publication : 2003 Collection : Courrier hebdomadaire num. 1786-1787 Importance : 84 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Sidérurgie Wallonie Usinor Duferco Arcelor Cockerill-Sambre Résumé : Michel Capron retrace l’évolution des politiques industrielles privées et publiques mises en œuvre dans l’industrie sidérurgique en Wallonie depuis la constitution de Cockerill Sambre en 1981 jusqu’à l’intégration du groupe au sein du groupe français Usinor et sa subordination aux stratégies industrielles de ce dernier (1998-2000). Parallèlement, le groupe Duferco entre progressivement en scène. Depuis la reprise des Forges de Clabecq en novembre 1997, Duferco a endossé le costume de « chevalier blanc » de la sidérurgie en Brabant wallon (Clabecq) et en Hainaut (La Louvière et Carsid). Il s’est ancré pas à pas en Wallonie, en partenariat avec la Région wallonne, pour finir par y occuper une place significative. Début 2001, la fusion entre Usinor, Arbed et Aceralia donne naissance à Newco. Cockerill Sambre est alors soumis aux objectifs que s’est fixés le nouveau groupe qui prend, fin 2001, la dénomination d’Arcelor et accède au premier rang mondial dans le secteur de l’acier. Michel Capron analyse l’« effet Arcelor » sur la sidérurgie en Wallonie, non seulement par rapport à Cockerill Sambre mais aussi, par ricochet, par rapport à Duferco-Clabecq, Duferco-La Louvière et Carsid. Au début 2003, il apparaît clairement qu’Arcelor, dans une logique essentiellement financière, est décidé à mettre progressivement fin aux activités des phases à chaud de ses sites continentaux et, en premier lieu, de Cockerill Sambre-Liège. Cette décision est vivement contestée, aussi bien par les organisations syndicales que par la Région wallonne. L’épreuve de force entamée avec les dirigeants d’Arcelor, à la fois sur le terrain social et sur le terrain juridique, reste indécise. Tout en luttant pour le maintien d’une sidérurgie intégrée à Liège, les pouvoirs publics wallons et les acteurs économiques et sociaux du bassin liégeois envisagent tous les moyens susceptibles de contribuer à une reconversion en profondeur du tissu économique liégeois. Mais l’enjeu inclut aussi la sidérurgie à froid à Liège, Carlam à Charleroi et les filiales du groupe Duferco en Hainaut et dans le Brabant Wallon. Dans sa conclusion, Michel Capron formule des questions sur la stratégie actuelle et future d’Arcelor quant à l’avenir prévisible de la sidérurgie intégrée à Liège, de Carlam, de Fafer Industeel et des filiales de Duferco en Wallonie. En sachant que le prochain rendez-vous, pour les sidérurgistes wallons et européens du groupe Arcelor, sera, le 25 avril prochain, l’assemblée générale d’Arcelor à Luxembourg. La sidérurgie en Wallonie entre Usinor, Duferco et Arcelor [texte imprimé] / Michel Capron, Auteur . - [S.l.] : CRISP, 2003 . - 84 p. - (Courrier hebdomadaire; 1786-1787) .
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Catégories : Revues Tags : Sidérurgie Wallonie Usinor Duferco Arcelor Cockerill-Sambre Résumé : Michel Capron retrace l’évolution des politiques industrielles privées et publiques mises en œuvre dans l’industrie sidérurgique en Wallonie depuis la constitution de Cockerill Sambre en 1981 jusqu’à l’intégration du groupe au sein du groupe français Usinor et sa subordination aux stratégies industrielles de ce dernier (1998-2000). Parallèlement, le groupe Duferco entre progressivement en scène. Depuis la reprise des Forges de Clabecq en novembre 1997, Duferco a endossé le costume de « chevalier blanc » de la sidérurgie en Brabant wallon (Clabecq) et en Hainaut (La Louvière et Carsid). Il s’est ancré pas à pas en Wallonie, en partenariat avec la Région wallonne, pour finir par y occuper une place significative. Début 2001, la fusion entre Usinor, Arbed et Aceralia donne naissance à Newco. Cockerill Sambre est alors soumis aux objectifs que s’est fixés le nouveau groupe qui prend, fin 2001, la dénomination d’Arcelor et accède au premier rang mondial dans le secteur de l’acier. Michel Capron analyse l’« effet Arcelor » sur la sidérurgie en Wallonie, non seulement par rapport à Cockerill Sambre mais aussi, par ricochet, par rapport à Duferco-Clabecq, Duferco-La Louvière et Carsid. Au début 2003, il apparaît clairement qu’Arcelor, dans une logique essentiellement financière, est décidé à mettre progressivement fin aux activités des phases à chaud de ses sites continentaux et, en premier lieu, de Cockerill Sambre-Liège. Cette décision est vivement contestée, aussi bien par les organisations syndicales que par la Région wallonne. L’épreuve de force entamée avec les dirigeants d’Arcelor, à la fois sur le terrain social et sur le terrain juridique, reste indécise. Tout en luttant pour le maintien d’une sidérurgie intégrée à Liège, les pouvoirs publics wallons et les acteurs économiques et sociaux du bassin liégeois envisagent tous les moyens susceptibles de contribuer à une reconversion en profondeur du tissu économique liégeois. Mais l’enjeu inclut aussi la sidérurgie à froid à Liège, Carlam à Charleroi et les filiales du groupe Duferco en Hainaut et dans le Brabant Wallon. Dans sa conclusion, Michel Capron formule des questions sur la stratégie actuelle et future d’Arcelor quant à l’avenir prévisible de la sidérurgie intégrée à Liège, de Carlam, de Fafer Industeel et des filiales de Duferco en Wallonie. En sachant que le prochain rendez-vous, pour les sidérurgistes wallons et européens du groupe Arcelor, sera, le 25 avril prochain, l’assemblée générale d’Arcelor à Luxembourg.
Titre : La stratégie européenne pour l'emploi : de l'enthousiasme à l'effacement Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Conter, Auteur Editeur : CRISP Année de publication : 2012 Importance : 208 p Langues : Français (fre) Tags : Europe Politique de l'emploi Index. décimale : 09.05 Europe Résumé : L’Europe des 27 compte aujourd’hui 23 millions de chômeurs. Il y a quinze ans, les États-membres ont décidé de s’accorder sur des objectifs communs, de comparer et de mesurer les résultats de leurs politiques de l’emploi. Ils ont inventé pour ce faire une « méthode ouverte de coordination », non contraignante et fondée sur l’apprentissage, sur l’évaluation et sur les recommandations des pairs.
Cet ouvrage revient sur la lente émergence de la question de l’emploi dans l’agenda politique européen, en insistant sur les stratégies et sur les compromis entre acteurs. Il détaille le mode de fonctionnement de la Stratégie européenne pour l’emploi et analyse son contenu et ses fondements idéologiques. Enfin, il interroge la possibilité de conduire une politique de l’emploi autonome dans le contexte de la nouvelle gouvernance économique européenne, qui repose sur un système de suivi plus directif assorti de possibles sanctions à l’encontre des États.La stratégie européenne pour l'emploi : de l'enthousiasme à l'effacement [texte imprimé] / Bernard Conter, Auteur . - [S.l.] : CRISP, 2012 . - 208 p.
Langues : Français (fre)
Tags : Europe Politique de l'emploi Index. décimale : 09.05 Europe Résumé : L’Europe des 27 compte aujourd’hui 23 millions de chômeurs. Il y a quinze ans, les États-membres ont décidé de s’accorder sur des objectifs communs, de comparer et de mesurer les résultats de leurs politiques de l’emploi. Ils ont inventé pour ce faire une « méthode ouverte de coordination », non contraignante et fondée sur l’apprentissage, sur l’évaluation et sur les recommandations des pairs.
Cet ouvrage revient sur la lente émergence de la question de l’emploi dans l’agenda politique européen, en insistant sur les stratégies et sur les compromis entre acteurs. Il détaille le mode de fonctionnement de la Stratégie européenne pour l’emploi et analyse son contenu et ses fondements idéologiques. Enfin, il interroge la possibilité de conduire une politique de l’emploi autonome dans le contexte de la nouvelle gouvernance économique européenne, qui repose sur un système de suivi plus directif assorti de possibles sanctions à l’encontre des États.PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalink