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Titre : La régulation de l'aviation civile en Belgique : analyse des régimes institutionnels depuis 1899 Type de document : texte imprimé Auteurs : François Lohest, Auteur ; David Aubin, Auteur Editeur : CRISP Année de publication : 2011 Collection : Courrier hebdomadaire num. 2120-2121 Importance : 101 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : aviation Belgique Résumé : En 1923 naît la Sabena. La Belgique entend alors jouer un rôle clé dans le secteur européen de l’aviation civile. Force est pourtant de constater qu’elle n’y parviendra pas, malgré les politiques centralisées mises en œuvre dans ce but. La dynamique des activités aériennes a par ailleurs changé : la compagnie nationale n’est plus qu’un souvenir, et Bruxelles-National un aéroport parmi d’autres. Expliquer ce changement de configuration constitue le fil rouge de l’étude.
Les auteurs retracent l’évolution des mesures de régulation depuis le XIXe siècle. Ils distinguent six grandes phases, de 1899 à aujourd’hui : pré-aéronautique, développement de l’aéronautique en Belgique, essor de l’aviation comme levier de développement économique, prise de conscience européenne et adaptations législatives nationales, régionalisation et libéralisation européenne, Ciel unique européen. Pour chaque phase, sont analysées les logiques qui sous-tendent les politiques publiques, les implications en termes de droit de propriété et les conséquences sur les fonctions et les acteurs impliqués dans cette régulation.La régulation de l'aviation civile en Belgique : analyse des régimes institutionnels depuis 1899 [texte imprimé] / François Lohest, Auteur ; David Aubin, Auteur . - [S.l.] : CRISP, 2011 . - 101 p. - (Courrier hebdomadaire; 2120-2121) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : aviation Belgique Résumé : En 1923 naît la Sabena. La Belgique entend alors jouer un rôle clé dans le secteur européen de l’aviation civile. Force est pourtant de constater qu’elle n’y parviendra pas, malgré les politiques centralisées mises en œuvre dans ce but. La dynamique des activités aériennes a par ailleurs changé : la compagnie nationale n’est plus qu’un souvenir, et Bruxelles-National un aéroport parmi d’autres. Expliquer ce changement de configuration constitue le fil rouge de l’étude.
Les auteurs retracent l’évolution des mesures de régulation depuis le XIXe siècle. Ils distinguent six grandes phases, de 1899 à aujourd’hui : pré-aéronautique, développement de l’aéronautique en Belgique, essor de l’aviation comme levier de développement économique, prise de conscience européenne et adaptations législatives nationales, régionalisation et libéralisation européenne, Ciel unique européen. Pour chaque phase, sont analysées les logiques qui sous-tendent les politiques publiques, les implications en termes de droit de propriété et les conséquences sur les fonctions et les acteurs impliqués dans cette régulation.
Titre : Les restructurations dans l’industrie automobile en Belgique Type de document : texte imprimé Auteurs : Henri Houben, Auteur Editeur : CRISP Année de publication : 2016 Collection : Courrier hebdomadaire num. 2295-2296 Importance : 71 p Note générale : ARCH.GRE-2016 Langues : Français (fre) Catégories : ARCHIVES Tags : Industrie automobile Belgique Histoire économique Restructuration Volkswagen Renault Syndicats Politique industrielle Résumé : Depuis une vingtaine d’années, l’industrie automobile belge ne semble plus vivre qu’au fil des restructurations et des fermetures d’entreprises : Renault à Vilvorde, Volkswagen à Forest, Opel à Anvers, Ford à Genk, etc. Il est loin le temps où la Belgique pouvait s’enorgueillir d’occuper le premier rang mondial quant au nombre de véhicules assemblés par habitant. Aujourd’hui, elle ne compte plus que quelques sites de montage, tels ceux d’Audi à Forest et de Volvo à Gand. Le nombre de voitures qui sortent des usines belges est actuellement de quelque 500 000, alors qu’il dépassait encore le million en 2002. Quant à celui des travailleurs employés dans ce secteur, il a lui aussi diminué de moitié durant le même laps de temps. Et les perspectives d’avenir n’annoncent nullement un renversement de la tendance.
Le présent Courrier hebdomadaire s’attelle à mettre au jour les causes de ce constant déclin de l’assemblage automobile en Belgique. Pour cela, il replace la problématique dans sa profondeur historique, en se concentrant essentiellement sur les années 1995-2015. Cette chronologie permet de saisir les temps forts et les éléments structurels, tels que la crise financière et économique, les évolutions du marché ou les stratégies des multinationales. Comprendre la situation belge impose en effet de la replacer dans son contexte mondial.
Houben propose quelques pistes de réflexion quant à l’avenir de l’industrie automobile en Belgique. Il interroge le rôle des principaux acteurs : investisseurs, constructeurs, Union européenne, État belge, Régions et syndicats. En particulier, il questionne l’idéologie dominante, selon laquelle les pouvoirs publics n’ont pas à intervenir pour contrer les décisions des multinationales, même lorsqu’elles contribuent à délaisser des outils de production ou à supprimer des emplois.En ligne : http://www.crisp.be/librairie/catalogue/1905-restructurations-industrie-automobi [...] Les restructurations dans l’industrie automobile en Belgique [texte imprimé] / Henri Houben, Auteur . - [S.l.] : CRISP, 2016 . - 71 p. - (Courrier hebdomadaire; 2295-2296) .
ARCH.GRE-2016
Langues : Français (fre)
Catégories : ARCHIVES Tags : Industrie automobile Belgique Histoire économique Restructuration Volkswagen Renault Syndicats Politique industrielle Résumé : Depuis une vingtaine d’années, l’industrie automobile belge ne semble plus vivre qu’au fil des restructurations et des fermetures d’entreprises : Renault à Vilvorde, Volkswagen à Forest, Opel à Anvers, Ford à Genk, etc. Il est loin le temps où la Belgique pouvait s’enorgueillir d’occuper le premier rang mondial quant au nombre de véhicules assemblés par habitant. Aujourd’hui, elle ne compte plus que quelques sites de montage, tels ceux d’Audi à Forest et de Volvo à Gand. Le nombre de voitures qui sortent des usines belges est actuellement de quelque 500 000, alors qu’il dépassait encore le million en 2002. Quant à celui des travailleurs employés dans ce secteur, il a lui aussi diminué de moitié durant le même laps de temps. Et les perspectives d’avenir n’annoncent nullement un renversement de la tendance.
Le présent Courrier hebdomadaire s’attelle à mettre au jour les causes de ce constant déclin de l’assemblage automobile en Belgique. Pour cela, il replace la problématique dans sa profondeur historique, en se concentrant essentiellement sur les années 1995-2015. Cette chronologie permet de saisir les temps forts et les éléments structurels, tels que la crise financière et économique, les évolutions du marché ou les stratégies des multinationales. Comprendre la situation belge impose en effet de la replacer dans son contexte mondial.
Houben propose quelques pistes de réflexion quant à l’avenir de l’industrie automobile en Belgique. Il interroge le rôle des principaux acteurs : investisseurs, constructeurs, Union européenne, État belge, Régions et syndicats. En particulier, il questionne l’idéologie dominante, selon laquelle les pouvoirs publics n’ont pas à intervenir pour contrer les décisions des multinationales, même lorsqu’elles contribuent à délaisser des outils de production ou à supprimer des emplois.En ligne : http://www.crisp.be/librairie/catalogue/1905-restructurations-industrie-automobi [...]
Titre : Le secteur des télécommunications en Belgique : quel bilan après cinq ans de concurrence? Type de document : texte imprimé Auteurs : Franklin Dehousse, Auteur ; Tania Zgajewski, Auteur Editeur : CRISP Année de publication : 2003 Collection : Courrier hebdomadaire num. 1821-1822 Importance : 93 p Langues : Français (fre) Tags : Télécommunications Entreprises Belgique Réglementation Service universel Index. décimale : REVUES Résumé : Franklin Dehousse et Tania Zgajewski présentent un aperçu des nombreuses modifications apportées au cadre réglementaire des télécommunications depuis 1999. De nouveaux problèmes sont apparus tels que le lancement de la troisième génération du téléphone mobile (UMTS), la protection du public contre les émissions des antennes, la portabilité des numéros de téléphone en cas de changement d’opérateur. Il a également fallu transposer de nouvelles directives européennes. Le nouveau cadre réglementaire adopté par l’Union européenne en 2002 vise à établir un cadre unique applicable pour toutes les communications électroniques. Le retard de sa transposition en Belgique, pointé par la Commission européenne, constitue un handicap pour les entreprises concernées car il génère une incertitude juridique importante. Les auteurs évoquent les initiatives administratives prises pour compenser cette carence. Enfin, la loi du 17 janvier 2003 sur le statut du régulateur, complétée par une autre loi du même jour sur le recours et le traitement des litiges, a profondément modifié la position de l’IBPT dans la régulation des télécommunications. Les auteurs offrent également une synthèse des changements du marché. Ils examinent d’une part l’évolution des différents secteurs, en soulignant la croissance persistante de la téléphonie mobile et d’internet, et d’autre part l’évolution des principales entreprises. Le secteur des télécommunications en Belgique : quel bilan après cinq ans de concurrence? [texte imprimé] / Franklin Dehousse, Auteur ; Tania Zgajewski, Auteur . - [S.l.] : CRISP, 2003 . - 93 p. - (Courrier hebdomadaire; 1821-1822) .
Langues : Français (fre)
Tags : Télécommunications Entreprises Belgique Réglementation Service universel Index. décimale : REVUES Résumé : Franklin Dehousse et Tania Zgajewski présentent un aperçu des nombreuses modifications apportées au cadre réglementaire des télécommunications depuis 1999. De nouveaux problèmes sont apparus tels que le lancement de la troisième génération du téléphone mobile (UMTS), la protection du public contre les émissions des antennes, la portabilité des numéros de téléphone en cas de changement d’opérateur. Il a également fallu transposer de nouvelles directives européennes. Le nouveau cadre réglementaire adopté par l’Union européenne en 2002 vise à établir un cadre unique applicable pour toutes les communications électroniques. Le retard de sa transposition en Belgique, pointé par la Commission européenne, constitue un handicap pour les entreprises concernées car il génère une incertitude juridique importante. Les auteurs évoquent les initiatives administratives prises pour compenser cette carence. Enfin, la loi du 17 janvier 2003 sur le statut du régulateur, complétée par une autre loi du même jour sur le recours et le traitement des litiges, a profondément modifié la position de l’IBPT dans la régulation des télécommunications. Les auteurs offrent également une synthèse des changements du marché. Ils examinent d’une part l’évolution des différents secteurs, en soulignant la croissance persistante de la téléphonie mobile et d’internet, et d’autre part l’évolution des principales entreprises.
Titre : La sidérurgie en Wallonie entre Usinor, Duferco et Arcelor Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Capron, Auteur Editeur : CRISP Année de publication : 2003 Collection : Courrier hebdomadaire num. 1786-1787 Importance : 84 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Sidérurgie Wallonie Usinor Duferco Arcelor Cockerill-Sambre Résumé : Michel Capron retrace l’évolution des politiques industrielles privées et publiques mises en œuvre dans l’industrie sidérurgique en Wallonie depuis la constitution de Cockerill Sambre en 1981 jusqu’à l’intégration du groupe au sein du groupe français Usinor et sa subordination aux stratégies industrielles de ce dernier (1998-2000). Parallèlement, le groupe Duferco entre progressivement en scène. Depuis la reprise des Forges de Clabecq en novembre 1997, Duferco a endossé le costume de « chevalier blanc » de la sidérurgie en Brabant wallon (Clabecq) et en Hainaut (La Louvière et Carsid). Il s’est ancré pas à pas en Wallonie, en partenariat avec la Région wallonne, pour finir par y occuper une place significative. Début 2001, la fusion entre Usinor, Arbed et Aceralia donne naissance à Newco. Cockerill Sambre est alors soumis aux objectifs que s’est fixés le nouveau groupe qui prend, fin 2001, la dénomination d’Arcelor et accède au premier rang mondial dans le secteur de l’acier. Michel Capron analyse l’« effet Arcelor » sur la sidérurgie en Wallonie, non seulement par rapport à Cockerill Sambre mais aussi, par ricochet, par rapport à Duferco-Clabecq, Duferco-La Louvière et Carsid. Au début 2003, il apparaît clairement qu’Arcelor, dans une logique essentiellement financière, est décidé à mettre progressivement fin aux activités des phases à chaud de ses sites continentaux et, en premier lieu, de Cockerill Sambre-Liège. Cette décision est vivement contestée, aussi bien par les organisations syndicales que par la Région wallonne. L’épreuve de force entamée avec les dirigeants d’Arcelor, à la fois sur le terrain social et sur le terrain juridique, reste indécise. Tout en luttant pour le maintien d’une sidérurgie intégrée à Liège, les pouvoirs publics wallons et les acteurs économiques et sociaux du bassin liégeois envisagent tous les moyens susceptibles de contribuer à une reconversion en profondeur du tissu économique liégeois. Mais l’enjeu inclut aussi la sidérurgie à froid à Liège, Carlam à Charleroi et les filiales du groupe Duferco en Hainaut et dans le Brabant Wallon. Dans sa conclusion, Michel Capron formule des questions sur la stratégie actuelle et future d’Arcelor quant à l’avenir prévisible de la sidérurgie intégrée à Liège, de Carlam, de Fafer Industeel et des filiales de Duferco en Wallonie. En sachant que le prochain rendez-vous, pour les sidérurgistes wallons et européens du groupe Arcelor, sera, le 25 avril prochain, l’assemblée générale d’Arcelor à Luxembourg. La sidérurgie en Wallonie entre Usinor, Duferco et Arcelor [texte imprimé] / Michel Capron, Auteur . - [S.l.] : CRISP, 2003 . - 84 p. - (Courrier hebdomadaire; 1786-1787) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Sidérurgie Wallonie Usinor Duferco Arcelor Cockerill-Sambre Résumé : Michel Capron retrace l’évolution des politiques industrielles privées et publiques mises en œuvre dans l’industrie sidérurgique en Wallonie depuis la constitution de Cockerill Sambre en 1981 jusqu’à l’intégration du groupe au sein du groupe français Usinor et sa subordination aux stratégies industrielles de ce dernier (1998-2000). Parallèlement, le groupe Duferco entre progressivement en scène. Depuis la reprise des Forges de Clabecq en novembre 1997, Duferco a endossé le costume de « chevalier blanc » de la sidérurgie en Brabant wallon (Clabecq) et en Hainaut (La Louvière et Carsid). Il s’est ancré pas à pas en Wallonie, en partenariat avec la Région wallonne, pour finir par y occuper une place significative. Début 2001, la fusion entre Usinor, Arbed et Aceralia donne naissance à Newco. Cockerill Sambre est alors soumis aux objectifs que s’est fixés le nouveau groupe qui prend, fin 2001, la dénomination d’Arcelor et accède au premier rang mondial dans le secteur de l’acier. Michel Capron analyse l’« effet Arcelor » sur la sidérurgie en Wallonie, non seulement par rapport à Cockerill Sambre mais aussi, par ricochet, par rapport à Duferco-Clabecq, Duferco-La Louvière et Carsid. Au début 2003, il apparaît clairement qu’Arcelor, dans une logique essentiellement financière, est décidé à mettre progressivement fin aux activités des phases à chaud de ses sites continentaux et, en premier lieu, de Cockerill Sambre-Liège. Cette décision est vivement contestée, aussi bien par les organisations syndicales que par la Région wallonne. L’épreuve de force entamée avec les dirigeants d’Arcelor, à la fois sur le terrain social et sur le terrain juridique, reste indécise. Tout en luttant pour le maintien d’une sidérurgie intégrée à Liège, les pouvoirs publics wallons et les acteurs économiques et sociaux du bassin liégeois envisagent tous les moyens susceptibles de contribuer à une reconversion en profondeur du tissu économique liégeois. Mais l’enjeu inclut aussi la sidérurgie à froid à Liège, Carlam à Charleroi et les filiales du groupe Duferco en Hainaut et dans le Brabant Wallon. Dans sa conclusion, Michel Capron formule des questions sur la stratégie actuelle et future d’Arcelor quant à l’avenir prévisible de la sidérurgie intégrée à Liège, de Carlam, de Fafer Industeel et des filiales de Duferco en Wallonie. En sachant que le prochain rendez-vous, pour les sidérurgistes wallons et européens du groupe Arcelor, sera, le 25 avril prochain, l’assemblée générale d’Arcelor à Luxembourg.
Titre : Syndicats et syndicalisme : perceptions et opinions Type de document : texte imprimé Auteurs : Marc Swyngedouw, Auteur ; Koen Abts, Auteur ; Bart Meuleman Editeur : CRISP Année de publication : 2016 Collection : Courrier hebdomadaire num. 2298 Importance : 42 p Langues : Français (fre) Tags : Syndicats Syndicalisme Belgique Index. décimale : REVUES Résumé : Ces dernières années, les tensions sociales ont été particulièrement vives et nombreuses en Belgique. Notamment, des grèves se sont tenues dans les secteurs de la justice et du maintien de l’ordre (gardiens de prison, policiers, avocats et magistrats), des transports en commun (SNCB, TEC et STIB), des services postaux, de l’enseignement, du transport routier, du contrôle aérien, de la métallurgie, etc. Dans ce cadre, on assiste à une cristallisation du débat public sur le rôle des organisations syndicales et sur le bien-fondé de leurs modes d’action. Il est donc intéressant de connaître les perceptions et opinions qui prévalent au sein de la population quant à ces deux points.
Précisément, une telle étude a été menée par l’Instituut voor Sociaal en Politiek Opinieonderzoek (ISPO) de la KU Leuven. D’octobre 2014 à juin 2015, les chercheurs ont procédé à un vaste sondage, tant du côté francophone (Wallonie et Bruxelles) que du côté néerlandophone (Flandre). Près de 2 000 personnes, affiliées ou pas à un syndicat, ont été interrogées sur différents thèmes en lien avec les organisations et les activités syndicales : raisons de devenir membre d’un syndicat, utilité et pertinence des syndicats (pour la protection des droits sociaux, pour le soutien aux chômeurs, pour la défense des intérêts des travailleurs, etc.), appréciation de leurs positions et actions (s’opposent-ils aux réformes économiques ? se préoccupent-ils suffisamment des problèmes de demain ? etc.), confiance dans les syndicats, perception du droit de grève, etc. Une attention toute particulière a été réservée par les chercheurs aux personnes affiliées à la FGTB
Le présent Courrier hebdomadaire livre les différents résultats de cette enquête. Ils permettent d'avoir une vision précise, chiffrée et nuancée de l’attitude des citoyens belges, syndiqués ou non, à l’égard des syndicats et du syndicalisme.Syndicats et syndicalisme : perceptions et opinions [texte imprimé] / Marc Swyngedouw, Auteur ; Koen Abts, Auteur ; Bart Meuleman . - [S.l.] : CRISP, 2016 . - 42 p. - (Courrier hebdomadaire; 2298) .
Langues : Français (fre)
Tags : Syndicats Syndicalisme Belgique Index. décimale : REVUES Résumé : Ces dernières années, les tensions sociales ont été particulièrement vives et nombreuses en Belgique. Notamment, des grèves se sont tenues dans les secteurs de la justice et du maintien de l’ordre (gardiens de prison, policiers, avocats et magistrats), des transports en commun (SNCB, TEC et STIB), des services postaux, de l’enseignement, du transport routier, du contrôle aérien, de la métallurgie, etc. Dans ce cadre, on assiste à une cristallisation du débat public sur le rôle des organisations syndicales et sur le bien-fondé de leurs modes d’action. Il est donc intéressant de connaître les perceptions et opinions qui prévalent au sein de la population quant à ces deux points.
Précisément, une telle étude a été menée par l’Instituut voor Sociaal en Politiek Opinieonderzoek (ISPO) de la KU Leuven. D’octobre 2014 à juin 2015, les chercheurs ont procédé à un vaste sondage, tant du côté francophone (Wallonie et Bruxelles) que du côté néerlandophone (Flandre). Près de 2 000 personnes, affiliées ou pas à un syndicat, ont été interrogées sur différents thèmes en lien avec les organisations et les activités syndicales : raisons de devenir membre d’un syndicat, utilité et pertinence des syndicats (pour la protection des droits sociaux, pour le soutien aux chômeurs, pour la défense des intérêts des travailleurs, etc.), appréciation de leurs positions et actions (s’opposent-ils aux réformes économiques ? se préoccupent-ils suffisamment des problèmes de demain ? etc.), confiance dans les syndicats, perception du droit de grève, etc. Une attention toute particulière a été réservée par les chercheurs aux personnes affiliées à la FGTB
Le présent Courrier hebdomadaire livre les différents résultats de cette enquête. Ils permettent d'avoir une vision précise, chiffrée et nuancée de l’attitude des citoyens belges, syndiqués ou non, à l’égard des syndicats et du syndicalisme.PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalink