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Accès à la terre / Romain Gelin
Titre : Accès à la terre : La loi des plus forts Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Gelin, Auteur ; Sang-Sang Wu, Auteur ; Yves Raisiere, Auteur Editeur : Tchak! Année de publication : février-mars-avril 2020 Collection : Tchak! num. 1 Importance : 112 p. Note générale : REVUE (boites des revues conservées) Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Agriculture Politique agricole Environnement Matières premières Alternatives Résumé : D'un côté, les propriétaires, de l'autre les agriculteurs. Ce sont parfois les mêmes. Au sommet, l'industrie agroalimentaire et ses chasseurs de primes. Ça et là, des nobles des patrons, des hommes d'affaires, des financiers. De plus en plus. Et aussi des sociétés de gestion, leur corollaire. Pour horizon : la terre, denrée rare devenue valeur refuge. Son prix explose. Sur le bas-côté, les jeunes, les paysans, les petits agriculteurs qui veulent (re)démarrer ou simplement subsister. Accès à la terre : La loi des plus forts [texte imprimé] / Romain Gelin, Auteur ; Sang-Sang Wu, Auteur ; Yves Raisiere, Auteur . - [S.l.] : Tchak!, février-mars-avril 2020 . - 112 p.. - (Tchak!; 1) .
REVUE (boites des revues conservées)
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Agriculture Politique agricole Environnement Matières premières Alternatives Résumé : D'un côté, les propriétaires, de l'autre les agriculteurs. Ce sont parfois les mêmes. Au sommet, l'industrie agroalimentaire et ses chasseurs de primes. Ça et là, des nobles des patrons, des hommes d'affaires, des financiers. De plus en plus. Et aussi des sociétés de gestion, leur corollaire. Pour horizon : la terre, denrée rare devenue valeur refuge. Son prix explose. Sur le bas-côté, les jeunes, les paysans, les petits agriculteurs qui veulent (re)démarrer ou simplement subsister.
Titre : Actionnariat et pouvoir dans les multinationales Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Gelin, Auteur Editeur : Groupe de Recherche pour une Stratégie économique Alternative (GRESEA) Année de publication : avr-juin 2017 Collection : Gresea échos num. 90 Importance : 32 p Note générale : ARCH.GE/2017-90 Langues : Français (fre) Catégories : Actionnariat
Entreprises multinationales
ARCHIVESTags : Entreprises multinationales Actionnariat Pensions Chevron Résumé : La plupart des sociétés multinationales, à quelques exceptions près (la firme suédoise IKEA, le négociant de matières premières Cargill ou l’industriel Allemand Bosch par exemple), sont cotées en bourse. Il est donc théoriquement possible d’acheter des titres de ces sociétés et d’en devenir actionnaire. Mais le plus souvent, la majorité de l’actionnariat n’est pas composé de monsieur et madame tout-le-monde, mais bien d’investisseurs institutionnels, de banques, d’assurances et autres fonds d’investissements, mais également de pouvoirs publics ou des familles fondatrices des entreprises. En Europe, la part du marché des actions détenue par des actionnaires individuels (actionnariat salarié inclus) se situe en moyenne entre 10 et 15%, un chiffre en baisse constante depuis le début du millénaire. En dehors des sites spécialisés, les actionnaires ne sont généralement mentionnés que lors de restructurations spectaculaires ou de fusion-acquisitions d’importance. L’information économique disponible pour le public, comme c’est souvent le cas, n’est que tout à fait parcellaire en ce qui concerne l’identité des actionnaires ou les parts qu’ils détiennent dans les grandes sociétés. Société anonyme oblige, seul le dépassement de seuils réglementaires (souvent 5%) les contraint à mentionner publiquement leurs participations. A l’inverse, l’obligation de rapportage des entreprises concerne principalement l’information utile aux actionnaires. Les rapports annuels des sociétés cotées doivent inclure les performances, les positions financières et tout ce qui serait susceptible de modifier le cours de bourse. L’information obligatoire à destination des travailleurs est quant à elle nettement moins fournie. Mais qui sont ces actionnaires ? Comment les théories économiques les considèrent-ils ? Quel rôle jouent-ils dans la gestion des entreprises ? Par quels moyens influencent-ils les stratégies des firmes ? Certains actionnaires, liés aux pouvoirs publics, ont –ils des pratiques plus éthiques ? C’est à cette série d’interrogation que nous tenterons de répondre dans ce numéro. Après un retour sur quelques idées reçues (« l’actionnaire propriétaire », « l’actionnaire investisseur »,) et avoir replacé celles-ci dans les théories qui les ont vus naître, nous reviendrons sur l’évolution du rôle des actionnaires depuis un siècle et demi au travers de l’histoire des entreprises. Nous listerons ensuite les moyens par lesquels les actionnaires arrivent à faire pencher les décisions stratégiques en leur faveur puis tenterons de proposer une démographie de l’actionnariat des entreprises du BEL-20, l’indice phare de la bourse belge. Enfin, au travers d’une étude de cas, nous nous interrogerons sur les pratiques actionnariales et les choix d’investissements du plus important fonds de pension étatique et essaierons de déterminer dans quelle mesure celui-ci met en œuvre une réelle politique éthique, environnementale, sociale au travers de ses placements financiers et si cela ne relève pas plus du discours et de la communication. En ligne : http://www.gresea.be/spip.php?article1617 Actionnariat et pouvoir dans les multinationales [texte imprimé] / Romain Gelin, Auteur . - [S.l.] : Groupe de Recherche pour une Stratégie économique Alternative (GRESEA), avr-juin 2017 . - 32 p. - (Gresea échos; 90) .
ARCH.GE/2017-90
Langues : Français (fre)
Catégories : Actionnariat
Entreprises multinationales
ARCHIVESTags : Entreprises multinationales Actionnariat Pensions Chevron Résumé : La plupart des sociétés multinationales, à quelques exceptions près (la firme suédoise IKEA, le négociant de matières premières Cargill ou l’industriel Allemand Bosch par exemple), sont cotées en bourse. Il est donc théoriquement possible d’acheter des titres de ces sociétés et d’en devenir actionnaire. Mais le plus souvent, la majorité de l’actionnariat n’est pas composé de monsieur et madame tout-le-monde, mais bien d’investisseurs institutionnels, de banques, d’assurances et autres fonds d’investissements, mais également de pouvoirs publics ou des familles fondatrices des entreprises. En Europe, la part du marché des actions détenue par des actionnaires individuels (actionnariat salarié inclus) se situe en moyenne entre 10 et 15%, un chiffre en baisse constante depuis le début du millénaire. En dehors des sites spécialisés, les actionnaires ne sont généralement mentionnés que lors de restructurations spectaculaires ou de fusion-acquisitions d’importance. L’information économique disponible pour le public, comme c’est souvent le cas, n’est que tout à fait parcellaire en ce qui concerne l’identité des actionnaires ou les parts qu’ils détiennent dans les grandes sociétés. Société anonyme oblige, seul le dépassement de seuils réglementaires (souvent 5%) les contraint à mentionner publiquement leurs participations. A l’inverse, l’obligation de rapportage des entreprises concerne principalement l’information utile aux actionnaires. Les rapports annuels des sociétés cotées doivent inclure les performances, les positions financières et tout ce qui serait susceptible de modifier le cours de bourse. L’information obligatoire à destination des travailleurs est quant à elle nettement moins fournie. Mais qui sont ces actionnaires ? Comment les théories économiques les considèrent-ils ? Quel rôle jouent-ils dans la gestion des entreprises ? Par quels moyens influencent-ils les stratégies des firmes ? Certains actionnaires, liés aux pouvoirs publics, ont –ils des pratiques plus éthiques ? C’est à cette série d’interrogation que nous tenterons de répondre dans ce numéro. Après un retour sur quelques idées reçues (« l’actionnaire propriétaire », « l’actionnaire investisseur »,) et avoir replacé celles-ci dans les théories qui les ont vus naître, nous reviendrons sur l’évolution du rôle des actionnaires depuis un siècle et demi au travers de l’histoire des entreprises. Nous listerons ensuite les moyens par lesquels les actionnaires arrivent à faire pencher les décisions stratégiques en leur faveur puis tenterons de proposer une démographie de l’actionnariat des entreprises du BEL-20, l’indice phare de la bourse belge. Enfin, au travers d’une étude de cas, nous nous interrogerons sur les pratiques actionnariales et les choix d’investissements du plus important fonds de pension étatique et essaierons de déterminer dans quelle mesure celui-ci met en œuvre une réelle politique éthique, environnementale, sociale au travers de ses placements financiers et si cela ne relève pas plus du discours et de la communication. En ligne : http://www.gresea.be/spip.php?article1617 Agriculture 4.0 / Romain Gelin
Titre : Agriculture 4.0 : Droit dans la matrice Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Gelin, Auteur ; Sang-Sang Wu, Auteur Editeur : Tchak! Année de publication : juin-juillet-août 2023 Collection : Tchak! num. 14 Importance : 113 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Agriculture Environnement Technologies Agro-alimentaire Pollution Résumé : Les technologies numériques nous rendent la vie plus confortable, c’est l’une de leurs promesses. Mais qu’en est-il dans les fermes ? Elles aussi sont aujourd’hui plus connectées et informatisées qu’hier. En élevage laitier, le robot de traite s’impose en Wallonie. Les équipementiers promettent un gain de temps, de productivité et une réduction de la pénibilité physique. Mais ils oublient de dire qu’une potentielle perte de savoirs se profile, que la charge mentale explose en même temps que les coûts de maintenance, qu’un risque d’agrandissement forcé et de standardisation des animaux existe. Le Big Data agricole s’annonce, avec son armada de capteurs, d’écrans et de robots connectés. La promesse d’une matrice où le contrôle, la traçabilité et l’interopérabilité permettront de soigner les terres, de multiplier les rendements, de lier l’offre et la demande en temps réel. Un nouvel eldorado pour les startups, les multinationales de l’agroalimentaire et les géants du web. Cette digitalisation n’est pas souvent questionnée, tant la marche vers le progrès semble se faire à sens unique. Dans cette enquête, nous portons un regard volontairement critique sur la place des nouvelles technologies en agriculture. Non pas pour se positionner contre, mais bien pour tenter de comprendre les enjeux du numérique pour l’environnement et la société. Note de contenu : -Coopératives de circuit : les affaires reprennent p.14-18
-Nitrates dans les nappas : la Wallonie en mode plan-plan ? p.90-94
Agriculture 4.0 : Droit dans la matrice [texte imprimé] / Romain Gelin, Auteur ; Sang-Sang Wu, Auteur . - [S.l.] : Tchak!, juin-juillet-août 2023 . - 113 p. - (Tchak!; 14) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Agriculture Environnement Technologies Agro-alimentaire Pollution Résumé : Les technologies numériques nous rendent la vie plus confortable, c’est l’une de leurs promesses. Mais qu’en est-il dans les fermes ? Elles aussi sont aujourd’hui plus connectées et informatisées qu’hier. En élevage laitier, le robot de traite s’impose en Wallonie. Les équipementiers promettent un gain de temps, de productivité et une réduction de la pénibilité physique. Mais ils oublient de dire qu’une potentielle perte de savoirs se profile, que la charge mentale explose en même temps que les coûts de maintenance, qu’un risque d’agrandissement forcé et de standardisation des animaux existe. Le Big Data agricole s’annonce, avec son armada de capteurs, d’écrans et de robots connectés. La promesse d’une matrice où le contrôle, la traçabilité et l’interopérabilité permettront de soigner les terres, de multiplier les rendements, de lier l’offre et la demande en temps réel. Un nouvel eldorado pour les startups, les multinationales de l’agroalimentaire et les géants du web. Cette digitalisation n’est pas souvent questionnée, tant la marche vers le progrès semble se faire à sens unique. Dans cette enquête, nous portons un regard volontairement critique sur la place des nouvelles technologies en agriculture. Non pas pour se positionner contre, mais bien pour tenter de comprendre les enjeux du numérique pour l’environnement et la société. Note de contenu : -Coopératives de circuit : les affaires reprennent p.14-18
-Nitrates dans les nappas : la Wallonie en mode plan-plan ? p.90-94
Titre : La Banque européenne d'investissement (BEI) Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Gelin, Auteur Editeur : Groupe de Recherche pour une Stratégie économique Alternative (GRESEA) Année de publication : 2013 Collection : Gresea échos num. 73 Importance : 20 p Note générale : ARCH.GE/2013-73 Langues : Français (fre) Catégories : ARCHIVES Tags : Banques européenne d'investissement Résumé : En 2008, la Banque européenne d’investissement (BEI) fêtait ses 50 ans d’existence dans la plus grande discrétion. La discrétion : une constante de la part de l’institution bancaire européenne. Discrétion dans les médias, discrétion pour ?protéger les intérêts commerciaux de ses clients, ce qui peut impliquer qu’elle ne divulgue pas certaines informations confidentielles relatives à des projets?, discrétion dans l’information sur la mise en œuvre de sa politique. Une discrétion tellement grande que (...) En ligne : http://www.gresea.be/spip.php?article1149 La Banque européenne d'investissement (BEI) [texte imprimé] / Romain Gelin, Auteur . - [S.l.] : Groupe de Recherche pour une Stratégie économique Alternative (GRESEA), 2013 . - 20 p. - (Gresea échos; 73) .
ARCH.GE/2013-73
Langues : Français (fre)
Catégories : ARCHIVES Tags : Banques européenne d'investissement Résumé : En 2008, la Banque européenne d’investissement (BEI) fêtait ses 50 ans d’existence dans la plus grande discrétion. La discrétion : une constante de la part de l’institution bancaire européenne. Discrétion dans les médias, discrétion pour ?protéger les intérêts commerciaux de ses clients, ce qui peut impliquer qu’elle ne divulgue pas certaines informations confidentielles relatives à des projets?, discrétion dans l’information sur la mise en œuvre de sa politique. Une discrétion tellement grande que (...) En ligne : http://www.gresea.be/spip.php?article1149 Les Banques occidentales et l'évasion fiscale en Afrique subsaharienne / Romain Gelin
Titre : Les Banques occidentales et l'évasion fiscale en Afrique subsaharienne : Dossier documentaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Gelin, Auteur ; Aline Fares, Auteur Editeur : Groupe de Recherche pour une Stratégie économique Alternative (GRESEA) Année de publication : novembre 2012 Importance : 10 p Note générale : Conférence organisée par le Groupe de recherche pour une stratégie économique alternative dans le cadre du Mois de la Solidarité internationale organisé par la Ville de Bruxelles Langues : Français (fre) Catégories : ARCHIVES Tags : Evasion fiscale Afrique Multinationales Résumé : Un constat accablant. Entre 2002 et 2006, les fuites de capitaux des pays en développement (PED) ont été estimées entre 859 milliards et 1060 milliards de dollars par an. Entre 1970 et 2008, 854 milliards de dollars de capitaux ont quitté le continent africain de manière illicite. Ces chiffres concernent seulement les fuites liées aux pratiques de "mispricing" sur les marchandises - nous n'avons pas d'estimations pour les services. Les fuites liées à d'autres illégalités (corruption, trafics) sont évaluées à 945 milliards de dollars sur la même période. On considère que l'Afrique représente 37% des fuites de capitaux au niveau mondial. Note de contenu : -Un manque à gagner de 50 milliards par an pour les pays en voie de développement
-Fuites de capitaux d'Afrique subsaharienne : quel rôle jouent les banques ?Les Banques occidentales et l'évasion fiscale en Afrique subsaharienne : Dossier documentaire [texte imprimé] / Romain Gelin, Auteur ; Aline Fares, Auteur . - [S.l.] : Groupe de Recherche pour une Stratégie économique Alternative (GRESEA), novembre 2012 . - 10 p.
Conférence organisée par le Groupe de recherche pour une stratégie économique alternative dans le cadre du Mois de la Solidarité internationale organisé par la Ville de Bruxelles
Langues : Français (fre)
Catégories : ARCHIVES Tags : Evasion fiscale Afrique Multinationales Résumé : Un constat accablant. Entre 2002 et 2006, les fuites de capitaux des pays en développement (PED) ont été estimées entre 859 milliards et 1060 milliards de dollars par an. Entre 1970 et 2008, 854 milliards de dollars de capitaux ont quitté le continent africain de manière illicite. Ces chiffres concernent seulement les fuites liées aux pratiques de "mispricing" sur les marchandises - nous n'avons pas d'estimations pour les services. Les fuites liées à d'autres illégalités (corruption, trafics) sont évaluées à 945 milliards de dollars sur la même période. On considère que l'Afrique représente 37% des fuites de capitaux au niveau mondial. Note de contenu : -Un manque à gagner de 50 milliards par an pour les pays en voie de développement
-Fuites de capitaux d'Afrique subsaharienne : quel rôle jouent les banques ?PermalinkPermalinkBoîtes-repas / Romain Gelin
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