Résultat de la recherche
10 résultat(s) recherche sur le tag 'Multinationale'




Titre : Le business avarié de JBS Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Gelin, Auteur Editeur : Tchak! Année de publication : septembre-octobre-novembre 2021 Collection : Tchak! Importance : 5 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Industrie agro-alimentaire Brésil Multinationale Corruption Résumé : Le groupe brésilien JBS s’affiche comme le plus grand vendeur de produits carnés au monde. Son chiffre d’affaires dépasse désormais celui de Coca-Cola ou de Danone. Peu connue en Europe, la multinationale y exporte néanmoins des centaines de milliers de tonnes de bœuf, porc ou poulet, dont une partie se retrouve dans des plats préparés ou des produits transformés, y compris en Belgique. Déforestation, scandale de la viande de cheval, affaires de corruption, la multinationale a souvent été mise à l’index ces dernières années mais continue pourtant d’approvisionner de nombreuses enseignes en Europe. Six points pour y voir plus clair. La place de JBS dans les exportations brésiliennes : Le Brésil est l’un des grands acteurs de la viande, premier producteur et exportateur de bœuf au monde. Trois groupes – JBS, Marfrig et Minerva – se partagent 92 % des exportations vers l’UE. Au total, en 2017, le Brésil a exporté 2 millions de tonnes de viande de bœuf dans le monde, dont 180 000 tonnes (un peu moins de 10%) vers l’Union Européenne. A lui seul, JBS compte pour plus du tiers des exportations brésiliennes : 730.000 t de bœuf exportées, dont 62.258 t vers l’UE. Le business avarié de JBS [texte imprimé] / Romain Gelin, Auteur . - [S.l.] : Tchak!, septembre-octobre-novembre 2021 . - 5 p. - (Tchak!) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Industrie agro-alimentaire Brésil Multinationale Corruption Résumé : Le groupe brésilien JBS s’affiche comme le plus grand vendeur de produits carnés au monde. Son chiffre d’affaires dépasse désormais celui de Coca-Cola ou de Danone. Peu connue en Europe, la multinationale y exporte néanmoins des centaines de milliers de tonnes de bœuf, porc ou poulet, dont une partie se retrouve dans des plats préparés ou des produits transformés, y compris en Belgique. Déforestation, scandale de la viande de cheval, affaires de corruption, la multinationale a souvent été mise à l’index ces dernières années mais continue pourtant d’approvisionner de nombreuses enseignes en Europe. Six points pour y voir plus clair. La place de JBS dans les exportations brésiliennes : Le Brésil est l’un des grands acteurs de la viande, premier producteur et exportateur de bœuf au monde. Trois groupes – JBS, Marfrig et Minerva – se partagent 92 % des exportations vers l’UE. Au total, en 2017, le Brésil a exporté 2 millions de tonnes de viande de bœuf dans le monde, dont 180 000 tonnes (un peu moins de 10%) vers l’Union Européenne. A lui seul, JBS compte pour plus du tiers des exportations brésiliennes : 730.000 t de bœuf exportées, dont 62.258 t vers l’UE.
Titre : Danone, la communication d'abord Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Gelin, Auteur Editeur : Tchak! Année de publication : décembre 2020 Collection : Tchak! num. 4 Importance : 6 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Multinationale Industrie agro-alimentaire Résumé : Fin mai 2020, Danone annonce en grande pompe qu’elle s’apprête à devenir la première « société à mission » cotée, ce que l’assemblée générale acte un mois plus tard. Pour la multinationale de l’agro-alimentaire, une énième opération de communication plus qu’une réelle volonté de changer de modèle. Rétroactes en cinq points pour éclairer ce constat. Société à mission : quels engagements ? Le statut de « société à mission » émane de la loi française PACTE de 2019, relative à la croissance et la transformation des entreprises. Il permet à une firme de se doter d’une « raison d’être » intégrant des missions sociales et/ou environnementales. Concrètement, les sociétés à mission doivent instaurer un comité de mission[1] composé d’experts externes à la firme (environnement, santé, travailleurs, etc.). Le comité vérifie l’alignement des actions de l’entreprise avec ses engagements et peut se référer au tribunal de commerce en cas de manquement. Danone, la communication d'abord [texte imprimé] / Romain Gelin, Auteur . - [S.l.] : Tchak!, décembre 2020 . - 6 p. - (Tchak!; 4) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Multinationale Industrie agro-alimentaire Résumé : Fin mai 2020, Danone annonce en grande pompe qu’elle s’apprête à devenir la première « société à mission » cotée, ce que l’assemblée générale acte un mois plus tard. Pour la multinationale de l’agro-alimentaire, une énième opération de communication plus qu’une réelle volonté de changer de modèle. Rétroactes en cinq points pour éclairer ce constat. Société à mission : quels engagements ? Le statut de « société à mission » émane de la loi française PACTE de 2019, relative à la croissance et la transformation des entreprises. Il permet à une firme de se doter d’une « raison d’être » intégrant des missions sociales et/ou environnementales. Concrètement, les sociétés à mission doivent instaurer un comité de mission[1] composé d’experts externes à la firme (environnement, santé, travailleurs, etc.). Le comité vérifie l’alignement des actions de l’entreprise avec ses engagements et peut se référer au tribunal de commerce en cas de manquement.
Titre : Unilever, le géant de l'indécence Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Gelin, Auteur Editeur : Tchak! Année de publication : mars-avril-mai 2021 Collection : Tchak! Importance : 6 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Industrie agro-alimentaire Multinationale Salaires Marketing Résumé : Unilever dépense plus dans sa communication que pour payer ses salariés. Pourtant, le premier vendeur de crèmes glacées au monde n’hésite pas à vanter ses engagements en termes d’agriculture durable, de salaire décent ou de société inclusive. Une stratégie marketing pour le moins indécente. Janvier 2021, la presse relaie un communiqué d’Unilever promettant que tous les travailleurs lui fournissant des biens et services obtiendront un salaire décent d’ici 2030. Ceci afin de rendre la société plus inclusive et équitable. Et la directrice d’Unilever Belgique d’ajouter modestement dans l’Echo que le groupe fait « œuvre de pionnier en établissant très clairement le lien entre ces mesures et les objectifs de lutte contre le changement climatique et les inégalités sociales ». Un leader de l’agroalimentaire qui promeut l’écologie et la justice sociale, ça n’est pas si courant. Mais qu’en est-il dans la pratique ?
En 2014, la multinationale anglo-néerlandaise était pointée par l’Union internationale des travailleurs de l’alimentation et de l’agriculture (UITA). Unilever proposait au personnel syndiqué de l’usine de Purfleet, en Angleterre, une baisse de salaire allant jusqu’à 30% dans un accord touchant aux pensions et au temps de travail, tout en encourageant l’embauche de personnel sous contrat individuel exclu des négociations collectives. Ceci afin de « conserver la viabilité » de la plus grande usine de margarine au monde. Au même moment, les travailleurs d’Unilever à Pietermaritzburg, en Afrique du sud, stoppaient le travail afin de réclamer une augmentation de 9% des salaires.Unilever, le géant de l'indécence [texte imprimé] / Romain Gelin, Auteur . - [S.l.] : Tchak!, mars-avril-mai 2021 . - 6 p. - (Tchak!) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Industrie agro-alimentaire Multinationale Salaires Marketing Résumé : Unilever dépense plus dans sa communication que pour payer ses salariés. Pourtant, le premier vendeur de crèmes glacées au monde n’hésite pas à vanter ses engagements en termes d’agriculture durable, de salaire décent ou de société inclusive. Une stratégie marketing pour le moins indécente. Janvier 2021, la presse relaie un communiqué d’Unilever promettant que tous les travailleurs lui fournissant des biens et services obtiendront un salaire décent d’ici 2030. Ceci afin de rendre la société plus inclusive et équitable. Et la directrice d’Unilever Belgique d’ajouter modestement dans l’Echo que le groupe fait « œuvre de pionnier en établissant très clairement le lien entre ces mesures et les objectifs de lutte contre le changement climatique et les inégalités sociales ». Un leader de l’agroalimentaire qui promeut l’écologie et la justice sociale, ça n’est pas si courant. Mais qu’en est-il dans la pratique ?
En 2014, la multinationale anglo-néerlandaise était pointée par l’Union internationale des travailleurs de l’alimentation et de l’agriculture (UITA). Unilever proposait au personnel syndiqué de l’usine de Purfleet, en Angleterre, une baisse de salaire allant jusqu’à 30% dans un accord touchant aux pensions et au temps de travail, tout en encourageant l’embauche de personnel sous contrat individuel exclu des négociations collectives. Ceci afin de « conserver la viabilité » de la plus grande usine de margarine au monde. Au même moment, les travailleurs d’Unilever à Pietermaritzburg, en Afrique du sud, stoppaient le travail afin de réclamer une augmentation de 9% des salaires.
Titre : Beyond Voluntarism : Human rights and the developing international legal obligations of companies Type de document : document électronique Auteurs : Nicholas Howen, Auteur Editeur : International Council on Human Rights Policy Année de publication : 2002 Importance : 177 p. Langues : Anglais (eng) Catégories : Droits de l'homme
Entreprises multinationalesTags : Multinationale Responsabilité sociale et environnementale des entreprises (RSEE) Droits Humains Index. décimale : 04.03 Gestion Résumé : Do private companies have a legal responsibility to respect human rights? The debate on business and human rights is well underway. The “spotlight” of human
rights concern, traditionally focused on governments, is now turned on the conduct of companies. Most discussion and campaigning, however, centres around voluntary initiatives, such as codes of conduct promoted by companies or NGOs. As the limitations of voluntarism have emerged, however, companies, campaigners and legal experts have started to look harder at international human rights law. The private sector increasingly accepts that it has social and moral responsibilities. Can such commitments be anchored in international law? In the last 50 years the world’s governments, particularly through the United Nations, have agreed dozens of standards that define and guarantee basic human rights and freedoms. To what extent do these standards – originally aimed at states – create binding legal obligations on companies?Beyond Voluntarism : Human rights and the developing international legal obligations of companies [document électronique] / Nicholas Howen, Auteur . - [S.l.] : International Council on Human Rights Policy, 2002 . - 177 p.
Langues : Anglais (eng)
Catégories : Droits de l'homme
Entreprises multinationalesTags : Multinationale Responsabilité sociale et environnementale des entreprises (RSEE) Droits Humains Index. décimale : 04.03 Gestion Résumé : Do private companies have a legal responsibility to respect human rights? The debate on business and human rights is well underway. The “spotlight” of human
rights concern, traditionally focused on governments, is now turned on the conduct of companies. Most discussion and campaigning, however, centres around voluntary initiatives, such as codes of conduct promoted by companies or NGOs. As the limitations of voluntarism have emerged, however, companies, campaigners and legal experts have started to look harder at international human rights law. The private sector increasingly accepts that it has social and moral responsibilities. Can such commitments be anchored in international law? In the last 50 years the world’s governments, particularly through the United Nations, have agreed dozens of standards that define and guarantee basic human rights and freedoms. To what extent do these standards – originally aimed at states – create binding legal obligations on companies?
Titre : Cargill : le géant invisible Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Gelin, Auteur Editeur : Tchak! Année de publication : mars-avril-mai 2022 Collection : Tchak! num. 9 Importance : p. 102-106 Langues : Français (fre) Catégories : Industrie agro-alimentaire
RevuesTags : Agro-alimentaire Multinationale Environnement Résumé : Bien implantée en Belgique, Cargill est la plus grande firme agroalimentaire au monde mais aussi l'une des plus discrètes. Négoce, transformation, logistique : sa présence à tous les maillons de la chaîne d'approvisionnement lui donne un pouvoir considérable pour anticiper, voire manipuler, les variations de prix de nombreuses matières premières agricoles. Focus sur ce géant "invisible". Cargill : le géant invisible [texte imprimé] / Romain Gelin, Auteur . - [S.l.] : Tchak!, mars-avril-mai 2022 . - p. 102-106. - (Tchak!; 9) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Industrie agro-alimentaire
RevuesTags : Agro-alimentaire Multinationale Environnement Résumé : Bien implantée en Belgique, Cargill est la plus grande firme agroalimentaire au monde mais aussi l'une des plus discrètes. Négoce, transformation, logistique : sa présence à tous les maillons de la chaîne d'approvisionnement lui donne un pouvoir considérable pour anticiper, voire manipuler, les variations de prix de nombreuses matières premières agricoles. Focus sur ce géant "invisible". PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalink