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Titre : Accès à l'eau : les plus fragiles boivent la tasse Type de document : texte imprimé Auteurs : Manon Legrand, Auteur ; Martine Vandemeulebroucke, Auteur Editeur : Alter échos Année de publication : juin 2021 Collection : Alter Prod. num. 494 Importance : 74 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Eau Ressources naturelles Résumé : Notre maison fuit, et nous regardons ailleurs, pour paraphraser l’autre. Dans un pays qui a fait de la drache un emblème, elle se fait rare de plus en plus souvent au grand dam des agriculteurs. « Cela fait trois ans qu’on assiste à des périodes de sécheresse récurrentes en Wallonie, avec des communes qui se trouvent en déficit au niveau des ressources », indique Nicolas Triolet, de la Société publique de gestion de l’eau (lire « De terre et d’eau pure »). Une situation qui pourrait accentuer la mue du secteur. De rare, l’eau se fait précieuse. De plus en plus, d’ailleurs. Vivre sans utiliser de toilettes, de douche, d’évier, c’est le sort des trois, quatre mille ménages belges dont le compteur d’eau a été fermé. La suppression des coupures d’eau est à l’agenda des gouvernements bruxellois et wallon. Mais lutter contre la précarité hydrique est bien plus complexe et ne passera pas seulement par une aide sociale accrue (lire « Quand la facture d’eau noie les plus précarisés »).En attendant, il faut éviter la vague. Tenir bon pour ne pas couler. Ou être inondés. Car le risque d’inondations va augmenter dans les années à venir avec le changement climatique, touchant souvent les plus vulnérables. Note de contenu : -De terre et d'eau pure p.27-29
-Une tomate éthique pour lutter contre l'exploitation des migrants p.47-49Accès à l'eau : les plus fragiles boivent la tasse [texte imprimé] / Manon Legrand, Auteur ; Martine Vandemeulebroucke, Auteur . - [S.l.] : Alter échos, juin 2021 . - 74 p. - (Alter Prod.; 494) .
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Catégories : Revues Tags : Eau Ressources naturelles Résumé : Notre maison fuit, et nous regardons ailleurs, pour paraphraser l’autre. Dans un pays qui a fait de la drache un emblème, elle se fait rare de plus en plus souvent au grand dam des agriculteurs. « Cela fait trois ans qu’on assiste à des périodes de sécheresse récurrentes en Wallonie, avec des communes qui se trouvent en déficit au niveau des ressources », indique Nicolas Triolet, de la Société publique de gestion de l’eau (lire « De terre et d’eau pure »). Une situation qui pourrait accentuer la mue du secteur. De rare, l’eau se fait précieuse. De plus en plus, d’ailleurs. Vivre sans utiliser de toilettes, de douche, d’évier, c’est le sort des trois, quatre mille ménages belges dont le compteur d’eau a été fermé. La suppression des coupures d’eau est à l’agenda des gouvernements bruxellois et wallon. Mais lutter contre la précarité hydrique est bien plus complexe et ne passera pas seulement par une aide sociale accrue (lire « Quand la facture d’eau noie les plus précarisés »).En attendant, il faut éviter la vague. Tenir bon pour ne pas couler. Ou être inondés. Car le risque d’inondations va augmenter dans les années à venir avec le changement climatique, touchant souvent les plus vulnérables. Note de contenu : -De terre et d'eau pure p.27-29
-Une tomate éthique pour lutter contre l'exploitation des migrants p.47-49Exemplaires
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Titre : Accueil de la petite enfance : Changeons de paradigme Type de document : texte imprimé Auteurs : Manon Legrand, Auteur ; Emilie Gline, Auteur Editeur : Alter échos Année de publication : octobre 2020 Collection : Alter Prod. Importance : 34 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Jeunes Politique sociale Résumé : Aujourd’hui, en Fédération WallonieBruxelles, la recherche d’un milieu d’accueil (MA) s’apparente à un authentique parcours du combattant pour les familles, et pour les femmes seules en particulier : manque de places, listes d’attente illimitées, obligation de bricoler des solutions temporaires ou de faire appel, si c’est possible, à des relais familiaux et autres… Ce sont les familles qui vivent en situation de pauvreté qui sont les plus touchées en raison de mécanismes sociaux qui créent des inégalités sociales. Peu de connaissance des institutions ad hoc, stratégies d’auto-exclusion, absence de relais sociaux efficaces, priorités de vie liées à la survie permanente ou à la débrouille, situation administrative inadéquate, conditions financières difficiles, etc., sont autant de
situations auxquelles elles sont confrontées.Accueil de la petite enfance : Changeons de paradigme [texte imprimé] / Manon Legrand, Auteur ; Emilie Gline, Auteur . - [S.l.] : Alter échos, octobre 2020 . - 34 p. - (Alter Prod.) .
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Catégories : Revues Tags : Jeunes Politique sociale Résumé : Aujourd’hui, en Fédération WallonieBruxelles, la recherche d’un milieu d’accueil (MA) s’apparente à un authentique parcours du combattant pour les familles, et pour les femmes seules en particulier : manque de places, listes d’attente illimitées, obligation de bricoler des solutions temporaires ou de faire appel, si c’est possible, à des relais familiaux et autres… Ce sont les familles qui vivent en situation de pauvreté qui sont les plus touchées en raison de mécanismes sociaux qui créent des inégalités sociales. Peu de connaissance des institutions ad hoc, stratégies d’auto-exclusion, absence de relais sociaux efficaces, priorités de vie liées à la survie permanente ou à la débrouille, situation administrative inadéquate, conditions financières difficiles, etc., sont autant de
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Titre : Alimentation : inégalités au menu Type de document : texte imprimé Auteurs : Manon Legrand, Auteur ; Pierre Jassogne, Auteur ; Robin Lemoine, Auteur Editeur : Alter échos Année de publication : juillet-août 2022 Collection : Alter Prod. num. 504 Importance : 66 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Inégalités Alimentation Ecologie Résumé : «Dis-moi quelle quantité de viande tu manges, je te dirai qui tu es.» Ce titre de l’un des articles de notre dossier pourrait, en le modifiant un peu, s’appliquer à tous les «papiers» qui composent notre dossier consacré à l’alimentation. Car, plus que jamais, ce qu’on mange dit beaucoup de ce que nous sommes, que ce soit au niveau de nos convictions, de notre âge et, surtout, de notre appartenance socioéconomique. Dans notre article sur la viande, une chercheuse définit ainsi le profil de la personne cherchant à réduire ou à éliminer sa consommation carnée: «Une jeune femme urbaine, plutôt diplômée et athée, de gauche…». Mais il n’y a pas que la viande qui peut constituer un marqueur social. Le pain, lui aussi, a son importance. Jusqu’en 2004, le prix maximum du pain blanc de ménage et du demi-gris était fixé par l’État. Depuis lors, alors que le système a été libéralisé, le prix du pain a augmenté de 10%. Une augmentation pas si énorme mais qui n’est pas passée inaperçue pour un aliment qui, s’il ne représente plus que 0,9% des dépenses d’une famille belge moyenne – alors que vers 1800, il en représentait 50 à 60% – reste un «fait social total», car le pain est un objet pétri d’histoire, de culture, de politique, de psychologie, d’économie, de folklore, de gastronomie… («Pour une bouchée de pain») Note de contenu : -Titres-services : tournez ménages p.40-41
-Ecotourisme : du greenwashing anti-social p.47-49Alimentation : inégalités au menu [texte imprimé] / Manon Legrand, Auteur ; Pierre Jassogne, Auteur ; Robin Lemoine, Auteur . - [S.l.] : Alter échos, juillet-août 2022 . - 66 p. - (Alter Prod.; 504) .
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Catégories : Revues Tags : Inégalités Alimentation Ecologie Résumé : «Dis-moi quelle quantité de viande tu manges, je te dirai qui tu es.» Ce titre de l’un des articles de notre dossier pourrait, en le modifiant un peu, s’appliquer à tous les «papiers» qui composent notre dossier consacré à l’alimentation. Car, plus que jamais, ce qu’on mange dit beaucoup de ce que nous sommes, que ce soit au niveau de nos convictions, de notre âge et, surtout, de notre appartenance socioéconomique. Dans notre article sur la viande, une chercheuse définit ainsi le profil de la personne cherchant à réduire ou à éliminer sa consommation carnée: «Une jeune femme urbaine, plutôt diplômée et athée, de gauche…». Mais il n’y a pas que la viande qui peut constituer un marqueur social. Le pain, lui aussi, a son importance. Jusqu’en 2004, le prix maximum du pain blanc de ménage et du demi-gris était fixé par l’État. Depuis lors, alors que le système a été libéralisé, le prix du pain a augmenté de 10%. Une augmentation pas si énorme mais qui n’est pas passée inaperçue pour un aliment qui, s’il ne représente plus que 0,9% des dépenses d’une famille belge moyenne – alors que vers 1800, il en représentait 50 à 60% – reste un «fait social total», car le pain est un objet pétri d’histoire, de culture, de politique, de psychologie, d’économie, de folklore, de gastronomie… («Pour une bouchée de pain») Note de contenu : -Titres-services : tournez ménages p.40-41
-Ecotourisme : du greenwashing anti-social p.47-49Exemplaires
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Titre : Covid-19, le rural en mutations Type de document : texte imprimé Auteurs : Manon Legrand, Auteur ; Robin Lemoine, Auteur Editeur : Alter asbl Année de publication : juillet-août 2021 Collection : Alter échos num. 495 Importance : 74 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Pauvreté Société Résumé : L’impact du Covid… sur l’emploi, les hôpitaux, la jeunesse, la précarité ou encore la santé mentale. Ces derniers mois, la formule a été revisitée à toutes les sauces. Cette fois, c’est des conséquences de la crise sur le monde rural que se saisit Alter Échos. Une ruralité éloignée, parfois cachée, où l’exclusion sociale est plus dispersée et donc plus difficile à mesurer. La crise y a pourtant eu autant d’impact qu’en ville et plusieurs CPAS ont vu le nombre de bénéficiaires de l’aide alimentaire et du RIS considérablement augmenter (lire « Pauvreté en ruralité : une partie de cache-cache »). Éloigné, le rural craint aussi d’être le grand oublié du plan de relance post-Covid. Seuls 10 % du 1,4 milliard que touchera la Région wallonne du plan de relance européen touchent directement la ruralité, alors qu’un Wallon sur deux y vit. Mais la Wallonie mettra aussi la main au portefeuille et, soulignant la petite taille de son territoire, sa ministre de la Ruralité, Céline Tellier, mise sur la transversalité : « Nous ne voulons pas et ne croyons pas dans cette opposition entre ruralité et urbanité. » (Voir « Plan de relance : la ruralité craint d’être oubliée ») Note de contenu : -Pauvreté en ruralité : une partie de cache-cache p.26-29
-Mécanique de la violence : renaître p.44-47Covid-19, le rural en mutations [texte imprimé] / Manon Legrand, Auteur ; Robin Lemoine, Auteur . - [S.l.] : Alter asbl, juillet-août 2021 . - 74 p. - (Alter échos; 495) .
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Catégories : Revues Tags : Pauvreté Société Résumé : L’impact du Covid… sur l’emploi, les hôpitaux, la jeunesse, la précarité ou encore la santé mentale. Ces derniers mois, la formule a été revisitée à toutes les sauces. Cette fois, c’est des conséquences de la crise sur le monde rural que se saisit Alter Échos. Une ruralité éloignée, parfois cachée, où l’exclusion sociale est plus dispersée et donc plus difficile à mesurer. La crise y a pourtant eu autant d’impact qu’en ville et plusieurs CPAS ont vu le nombre de bénéficiaires de l’aide alimentaire et du RIS considérablement augmenter (lire « Pauvreté en ruralité : une partie de cache-cache »). Éloigné, le rural craint aussi d’être le grand oublié du plan de relance post-Covid. Seuls 10 % du 1,4 milliard que touchera la Région wallonne du plan de relance européen touchent directement la ruralité, alors qu’un Wallon sur deux y vit. Mais la Wallonie mettra aussi la main au portefeuille et, soulignant la petite taille de son territoire, sa ministre de la Ruralité, Céline Tellier, mise sur la transversalité : « Nous ne voulons pas et ne croyons pas dans cette opposition entre ruralité et urbanité. » (Voir « Plan de relance : la ruralité craint d’être oubliée ») Note de contenu : -Pauvreté en ruralité : une partie de cache-cache p.26-29
-Mécanique de la violence : renaître p.44-47Exemplaires
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Titre : Covid-19, la sale tronche de l'emploi Type de document : texte imprimé Auteurs : Manon Legrand, Auteur ; Grégoire Comhaire, Auteur Editeur : Alter asbl Année de publication : avril 2021 Collection : Alter échos num. 492 Importance : 94 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Emploi Migration Santé Résumé : « Emploi : c’est la m… » Alors que nous cherchions un titre pour le dossier de ce numéro d’Alter Échos, dédié aux conséquences du Covid-19 sur l’emploi des plus précaires, cette idée est sortie, en guise de boutade, au détour d’un mail. Nous ne l’avons pas couchée sur la couverture de votre magazine. Pourtant, à bien y regarder, cette décision semble n’être due qu’à une forme de politesse finalement mal placée. Parce que, sur le fond, tout y est… Malgré les mesures d’aide mises en place – chômage temporaire, moratoire sur les faillites –, le chômage est effectivement en augmentation, même si cela reste dans des proportions « raisonnables » pour l’instant. Mais une fois ces mesures levées, les organismes régionaux de l’emploi s’attendent que le chômage explose. Et pour les plus précaires, la situation est déjà compliquée, à Bruxelles singulièrement. Souvent isolés, en situation de fracture numérique, ils ont parfois été moins nombreux à s’inscrire auprès d’Actiris, ce qui a artificiellement fait diminuer le chômage dans certaines communes « populaires » (voir « Sous le taux de chômage, des situations inquiétantes »). Note de contenu : -Sous le taux de chômage, des situations inquiétantes p.20-22
-l'emploi toujours plus au rabais des travailleurs sans-papiers
-Le Gazette, chroniques en maison de repos p.30-49
-des faillites, pas encore comme si il en pleuvait p.73-74Covid-19, la sale tronche de l'emploi [texte imprimé] / Manon Legrand, Auteur ; Grégoire Comhaire, Auteur . - [S.l.] : Alter asbl, avril 2021 . - 94 p. - (Alter échos; 492) .
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Catégories : Revues Tags : Emploi Migration Santé Résumé : « Emploi : c’est la m… » Alors que nous cherchions un titre pour le dossier de ce numéro d’Alter Échos, dédié aux conséquences du Covid-19 sur l’emploi des plus précaires, cette idée est sortie, en guise de boutade, au détour d’un mail. Nous ne l’avons pas couchée sur la couverture de votre magazine. Pourtant, à bien y regarder, cette décision semble n’être due qu’à une forme de politesse finalement mal placée. Parce que, sur le fond, tout y est… Malgré les mesures d’aide mises en place – chômage temporaire, moratoire sur les faillites –, le chômage est effectivement en augmentation, même si cela reste dans des proportions « raisonnables » pour l’instant. Mais une fois ces mesures levées, les organismes régionaux de l’emploi s’attendent que le chômage explose. Et pour les plus précaires, la situation est déjà compliquée, à Bruxelles singulièrement. Souvent isolés, en situation de fracture numérique, ils ont parfois été moins nombreux à s’inscrire auprès d’Actiris, ce qui a artificiellement fait diminuer le chômage dans certaines communes « populaires » (voir « Sous le taux de chômage, des situations inquiétantes »). Note de contenu : -Sous le taux de chômage, des situations inquiétantes p.20-22
-l'emploi toujours plus au rabais des travailleurs sans-papiers
-Le Gazette, chroniques en maison de repos p.30-49
-des faillites, pas encore comme si il en pleuvait p.73-74Exemplaires
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