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Auteur Robin Lemoine |
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Titre : Alimentation : inégalités au menu Type de document : texte imprimé Auteurs : Manon Legrand, Auteur ; Pierre Jassogne, Auteur ; Robin Lemoine, Auteur Editeur : Alter échos Année de publication : juillet-août 2022 Collection : Alter Prod. num. 504 Importance : 66 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Inégalités Alimentation Ecologie Résumé : «Dis-moi quelle quantité de viande tu manges, je te dirai qui tu es.» Ce titre de l’un des articles de notre dossier pourrait, en le modifiant un peu, s’appliquer à tous les «papiers» qui composent notre dossier consacré à l’alimentation. Car, plus que jamais, ce qu’on mange dit beaucoup de ce que nous sommes, que ce soit au niveau de nos convictions, de notre âge et, surtout, de notre appartenance socioéconomique. Dans notre article sur la viande, une chercheuse définit ainsi le profil de la personne cherchant à réduire ou à éliminer sa consommation carnée: «Une jeune femme urbaine, plutôt diplômée et athée, de gauche…». Mais il n’y a pas que la viande qui peut constituer un marqueur social. Le pain, lui aussi, a son importance. Jusqu’en 2004, le prix maximum du pain blanc de ménage et du demi-gris était fixé par l’État. Depuis lors, alors que le système a été libéralisé, le prix du pain a augmenté de 10%. Une augmentation pas si énorme mais qui n’est pas passée inaperçue pour un aliment qui, s’il ne représente plus que 0,9% des dépenses d’une famille belge moyenne – alors que vers 1800, il en représentait 50 à 60% – reste un «fait social total», car le pain est un objet pétri d’histoire, de culture, de politique, de psychologie, d’économie, de folklore, de gastronomie… («Pour une bouchée de pain») Note de contenu : -Titres-services : tournez ménages p.40-41
-Ecotourisme : du greenwashing anti-social p.47-49Alimentation : inégalités au menu [texte imprimé] / Manon Legrand, Auteur ; Pierre Jassogne, Auteur ; Robin Lemoine, Auteur . - [S.l.] : Alter échos, juillet-août 2022 . - 66 p. - (Alter Prod.; 504) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Inégalités Alimentation Ecologie Résumé : «Dis-moi quelle quantité de viande tu manges, je te dirai qui tu es.» Ce titre de l’un des articles de notre dossier pourrait, en le modifiant un peu, s’appliquer à tous les «papiers» qui composent notre dossier consacré à l’alimentation. Car, plus que jamais, ce qu’on mange dit beaucoup de ce que nous sommes, que ce soit au niveau de nos convictions, de notre âge et, surtout, de notre appartenance socioéconomique. Dans notre article sur la viande, une chercheuse définit ainsi le profil de la personne cherchant à réduire ou à éliminer sa consommation carnée: «Une jeune femme urbaine, plutôt diplômée et athée, de gauche…». Mais il n’y a pas que la viande qui peut constituer un marqueur social. Le pain, lui aussi, a son importance. Jusqu’en 2004, le prix maximum du pain blanc de ménage et du demi-gris était fixé par l’État. Depuis lors, alors que le système a été libéralisé, le prix du pain a augmenté de 10%. Une augmentation pas si énorme mais qui n’est pas passée inaperçue pour un aliment qui, s’il ne représente plus que 0,9% des dépenses d’une famille belge moyenne – alors que vers 1800, il en représentait 50 à 60% – reste un «fait social total», car le pain est un objet pétri d’histoire, de culture, de politique, de psychologie, d’économie, de folklore, de gastronomie… («Pour une bouchée de pain») Note de contenu : -Titres-services : tournez ménages p.40-41
-Ecotourisme : du greenwashing anti-social p.47-49Exemplaires
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Titre : Covid-19, le rural en mutations Type de document : texte imprimé Auteurs : Manon Legrand, Auteur ; Robin Lemoine, Auteur Editeur : Alter asbl Année de publication : juillet-août 2021 Collection : Alter échos num. 495 Importance : 74 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Pauvreté Société Résumé : L’impact du Covid… sur l’emploi, les hôpitaux, la jeunesse, la précarité ou encore la santé mentale. Ces derniers mois, la formule a été revisitée à toutes les sauces. Cette fois, c’est des conséquences de la crise sur le monde rural que se saisit Alter Échos. Une ruralité éloignée, parfois cachée, où l’exclusion sociale est plus dispersée et donc plus difficile à mesurer. La crise y a pourtant eu autant d’impact qu’en ville et plusieurs CPAS ont vu le nombre de bénéficiaires de l’aide alimentaire et du RIS considérablement augmenter (lire « Pauvreté en ruralité : une partie de cache-cache »). Éloigné, le rural craint aussi d’être le grand oublié du plan de relance post-Covid. Seuls 10 % du 1,4 milliard que touchera la Région wallonne du plan de relance européen touchent directement la ruralité, alors qu’un Wallon sur deux y vit. Mais la Wallonie mettra aussi la main au portefeuille et, soulignant la petite taille de son territoire, sa ministre de la Ruralité, Céline Tellier, mise sur la transversalité : « Nous ne voulons pas et ne croyons pas dans cette opposition entre ruralité et urbanité. » (Voir « Plan de relance : la ruralité craint d’être oubliée ») Note de contenu : -Pauvreté en ruralité : une partie de cache-cache p.26-29
-Mécanique de la violence : renaître p.44-47Covid-19, le rural en mutations [texte imprimé] / Manon Legrand, Auteur ; Robin Lemoine, Auteur . - [S.l.] : Alter asbl, juillet-août 2021 . - 74 p. - (Alter échos; 495) .
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Catégories : Revues Tags : Pauvreté Société Résumé : L’impact du Covid… sur l’emploi, les hôpitaux, la jeunesse, la précarité ou encore la santé mentale. Ces derniers mois, la formule a été revisitée à toutes les sauces. Cette fois, c’est des conséquences de la crise sur le monde rural que se saisit Alter Échos. Une ruralité éloignée, parfois cachée, où l’exclusion sociale est plus dispersée et donc plus difficile à mesurer. La crise y a pourtant eu autant d’impact qu’en ville et plusieurs CPAS ont vu le nombre de bénéficiaires de l’aide alimentaire et du RIS considérablement augmenter (lire « Pauvreté en ruralité : une partie de cache-cache »). Éloigné, le rural craint aussi d’être le grand oublié du plan de relance post-Covid. Seuls 10 % du 1,4 milliard que touchera la Région wallonne du plan de relance européen touchent directement la ruralité, alors qu’un Wallon sur deux y vit. Mais la Wallonie mettra aussi la main au portefeuille et, soulignant la petite taille de son territoire, sa ministre de la Ruralité, Céline Tellier, mise sur la transversalité : « Nous ne voulons pas et ne croyons pas dans cette opposition entre ruralité et urbanité. » (Voir « Plan de relance : la ruralité craint d’être oubliée ») Note de contenu : -Pauvreté en ruralité : une partie de cache-cache p.26-29
-Mécanique de la violence : renaître p.44-47Exemplaires
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Titre : Discriminations de genre et violences institutionnelle : la double peine Type de document : texte imprimé Auteurs : Manon Legrand, Auteur ; Robin Lemoine, Auteur Editeur : Alter asbl Année de publication : mars 2021 Collection : Alter échos num. 491 Importance : 74 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Migration Inégalités sociales Santé Genre Résumé : C’est l’histoire d’une travailleuse sans emploi à qui l’on fait comprendre « que c’est un peu de sa faute si elle est en difficulté » (lire « Travail, famille… Inégalités »). D’une femme sans abri qui s’est sentie comme un « rat d’égout » dans une structure d’hébergement, d’une autre qui s’est sentie infantilisée par une travailleuse sociale (lire « Femmes sans abri et fantômes du passé »), d’une usagère de drogue qui s’entend dire qu’elle n’est pas une bonne mère (lire notre Focales consacré à deux projets qui accompagnement les parents en difficulté et leur nouveau-né), d’une prostituée/travailleuse du sexe soupçonnée de triche ou regardée de travers par le CPAS (lire « La plus grande violence institutionnelle, c’est l’absence de règles »), d’une femme exilée qui n’ose pas évoquer les violences de genre subies à l’Office des étrangers (lire « CGRA : les oreilles s’ouvrent peu à peu aux femmes »). Note de contenu : -CGRA :: les oreilles s'ouvrent peu à peu aux femmes p.23-25
-Remettre le produit intérieur brut à sa place p.46-47En ligne : https://www.alterechos.be/covid-19-la-sante-cabossee-des-plus-pauvres/ Discriminations de genre et violences institutionnelle : la double peine [texte imprimé] / Manon Legrand, Auteur ; Robin Lemoine, Auteur . - [S.l.] : Alter asbl, mars 2021 . - 74 p. - (Alter échos; 491) .
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Catégories : Revues Tags : Migration Inégalités sociales Santé Genre Résumé : C’est l’histoire d’une travailleuse sans emploi à qui l’on fait comprendre « que c’est un peu de sa faute si elle est en difficulté » (lire « Travail, famille… Inégalités »). D’une femme sans abri qui s’est sentie comme un « rat d’égout » dans une structure d’hébergement, d’une autre qui s’est sentie infantilisée par une travailleuse sociale (lire « Femmes sans abri et fantômes du passé »), d’une usagère de drogue qui s’entend dire qu’elle n’est pas une bonne mère (lire notre Focales consacré à deux projets qui accompagnement les parents en difficulté et leur nouveau-né), d’une prostituée/travailleuse du sexe soupçonnée de triche ou regardée de travers par le CPAS (lire « La plus grande violence institutionnelle, c’est l’absence de règles »), d’une femme exilée qui n’ose pas évoquer les violences de genre subies à l’Office des étrangers (lire « CGRA : les oreilles s’ouvrent peu à peu aux femmes »). Note de contenu : -CGRA :: les oreilles s'ouvrent peu à peu aux femmes p.23-25
-Remettre le produit intérieur brut à sa place p.46-47En ligne : https://www.alterechos.be/covid-19-la-sante-cabossee-des-plus-pauvres/ Exemplaires
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Titre : Energie : chauffe qui peut Type de document : texte imprimé Auteurs : Manon Legrand, Auteur ; Robin Lemoine, Auteur ; Martine Vandemeulebroucke, Auteur Editeur : Alter asbl Année de publication : avril 2022 Collection : Alter échos num. 502 Importance : 74 p Note générale : + 59 pages Alter Medialab : "Droits à l'éducation pour tous. Qu'en pensent les jeunes ?" Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Energie Libéralisation Belgique Précarité Résumé : Dans ce dossier, Alter Échos s’intéresse donc à cette crise énergétique et fait le bilan de 15 années de libéralisation du marché de l’énergie. Un bilan qui se résume purement et simplement par un échec. Ce basculement avait pour principal objectif de faire baisser les prix. Quinze ans après, on peut dire que rien ne s’est passé comme prévu : la plupart des bénéfices promis par la libéralisation de l’énergie ne sont jamais venus… et, dans l’état actuel des choses, il est probable qu’ils n’arrivent jamais (lire « L’échec de la libéralisation »). Pour mieux s’y retrouver dans un secteur chamboulé, on dresse aussi un panorama des acteurs du marché de l’énergie en Wallonie et à Bruxelles. C’est d’ailleurs dans ces deux régions que la précarité énergétique est la plus élevée, avec respectivement 28,3 % et 27,6 %. Face à cette problématique qui va croissant, on s’organise sur le terrain. Notamment dans les communes et les CPAS. Comme à Seraing. Depuis l’automne, et face à la hausse des prix de l’énergie, la Ville met en place des ateliers collectifs gratuits dans plusieurs quartiers pour aider les citoyens à faire des économies. Note de contenu : -Panorama des acteurs du marché de l’énergie en Wallonie et à Bruxelles p.18-19
-L’échec de la libéralisation p.20-24
-Avec l’inflation, la consommation bio se dégrade p.8-15
-Expulsions : la carte et le territoire bruxellois p.45-46
-Bientôt un nouveau fonds européen pour « s’adapter » au changement climatique ? p.72-74Energie : chauffe qui peut [texte imprimé] / Manon Legrand, Auteur ; Robin Lemoine, Auteur ; Martine Vandemeulebroucke, Auteur . - [S.l.] : Alter asbl, avril 2022 . - 74 p. - (Alter échos; 502) .
+ 59 pages Alter Medialab : "Droits à l'éducation pour tous. Qu'en pensent les jeunes ?"
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Catégories : Revues Tags : Energie Libéralisation Belgique Précarité Résumé : Dans ce dossier, Alter Échos s’intéresse donc à cette crise énergétique et fait le bilan de 15 années de libéralisation du marché de l’énergie. Un bilan qui se résume purement et simplement par un échec. Ce basculement avait pour principal objectif de faire baisser les prix. Quinze ans après, on peut dire que rien ne s’est passé comme prévu : la plupart des bénéfices promis par la libéralisation de l’énergie ne sont jamais venus… et, dans l’état actuel des choses, il est probable qu’ils n’arrivent jamais (lire « L’échec de la libéralisation »). Pour mieux s’y retrouver dans un secteur chamboulé, on dresse aussi un panorama des acteurs du marché de l’énergie en Wallonie et à Bruxelles. C’est d’ailleurs dans ces deux régions que la précarité énergétique est la plus élevée, avec respectivement 28,3 % et 27,6 %. Face à cette problématique qui va croissant, on s’organise sur le terrain. Notamment dans les communes et les CPAS. Comme à Seraing. Depuis l’automne, et face à la hausse des prix de l’énergie, la Ville met en place des ateliers collectifs gratuits dans plusieurs quartiers pour aider les citoyens à faire des économies. Note de contenu : -Panorama des acteurs du marché de l’énergie en Wallonie et à Bruxelles p.18-19
-L’échec de la libéralisation p.20-24
-Avec l’inflation, la consommation bio se dégrade p.8-15
-Expulsions : la carte et le territoire bruxellois p.45-46
-Bientôt un nouveau fonds européen pour « s’adapter » au changement climatique ? p.72-74Exemplaires
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Titre : Forest 1991 : Les raisons de la colère Type de document : texte imprimé Auteurs : Manon Legrand, Auteur ; Robin Lemoine, Auteur Editeur : Alter asbl Année de publication : mai 2021 Collection : Alter échos num. 493 Importance : 94 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Emploi Migration Santé Résumé : Le 10 mai 1991, ce qu’on appelle communément les « émeutes de Forest » débutait dans le quartier Saint-Antoine, à Bruxelles. Il a suffi qu’un contrôle de police sur un jeune du coin dégénère pour que la marmite, sous pression depuis longtemps, ne finisse pas exploser. Mais s’agissait-il vraiment d’émeutes ? Ne fallait-il pas plutôt parler d’événements, de turbulences, de révolte ? Aujourd’hui, les avis divergent toujours (voir « Comment s’écrivent les émeutes ? »). Ce qui est sûr par contre, c’est que ça a chauffé du 10 au 12 mai 1991. Alter Échos vous propose un petit voyage dans le temps, direction quartier Saint-Antoine. Au travers du regard d’anciens « jeunes », de responsables politiques en fonction à l’époque, de représentants des forces de l’ordre et d’extraits de presse, nous dressons le portrait d’une époque mais aussi bien sûr d’un quartier délaissé, concentrant toute une série de problèmes et qui, à force de sentir oublié, a explosé. Avec, en guest stars, les Volvo 240 de la police locale (lire « Le feu de Forest ») Note de contenu : -La crise nous renforce dans l'idée que les secteurs du social et de la santé doivent plus que jamais être prioritaires p.38-40 Forest 1991 : Les raisons de la colère [texte imprimé] / Manon Legrand, Auteur ; Robin Lemoine, Auteur . - [S.l.] : Alter asbl, mai 2021 . - 94 p. - (Alter échos; 493) .
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Catégories : Revues Tags : Emploi Migration Santé Résumé : Le 10 mai 1991, ce qu’on appelle communément les « émeutes de Forest » débutait dans le quartier Saint-Antoine, à Bruxelles. Il a suffi qu’un contrôle de police sur un jeune du coin dégénère pour que la marmite, sous pression depuis longtemps, ne finisse pas exploser. Mais s’agissait-il vraiment d’émeutes ? Ne fallait-il pas plutôt parler d’événements, de turbulences, de révolte ? Aujourd’hui, les avis divergent toujours (voir « Comment s’écrivent les émeutes ? »). Ce qui est sûr par contre, c’est que ça a chauffé du 10 au 12 mai 1991. Alter Échos vous propose un petit voyage dans le temps, direction quartier Saint-Antoine. Au travers du regard d’anciens « jeunes », de responsables politiques en fonction à l’époque, de représentants des forces de l’ordre et d’extraits de presse, nous dressons le portrait d’une époque mais aussi bien sûr d’un quartier délaissé, concentrant toute une série de problèmes et qui, à force de sentir oublié, a explosé. Avec, en guest stars, les Volvo 240 de la police locale (lire « Le feu de Forest ») Note de contenu : -La crise nous renforce dans l'idée que les secteurs du social et de la santé doivent plus que jamais être prioritaires p.38-40 Exemplaires
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