Résultat de la recherche
5 résultat(s) recherche sur le tag 'Nouvelle économie'
Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche
Changer d'économie ou la nouvelle économie du développement durable / James Robertson
Titre : Changer d'économie ou la nouvelle économie du développement durable : une étude à l'intention des responsables politiques européens Type de document : texte imprimé Auteurs : James Robertson, Auteur Editeur : Editions Apogée Année de publication : 1999 Collection : Les cahiers de la cellule prospective Importance : 108 p Langues : Français (fre) Catégories : Développement durable Tags : Nouvelle économie Développement durable Index. décimale : 06.02 Développement durable Résumé : La remise en question de vérités considérées il y a encore peu de temps comme universelles traverse aussi l'univers des sciences et n'épargne pas l'économie. Existe-t-il une nouvelle économie, quels sont ses points de départ et de repère, ses priorités et ses propositions pratiques ? James Robertson risque ici une synthèse des mouvements qui s'expriment en faveur d'une " économie différente pour un développement durable ". Changer d'économie ou la nouvelle économie du développement durable : une étude à l'intention des responsables politiques européens [texte imprimé] / James Robertson, Auteur . - [S.l.] : Editions Apogée, 1999 . - 108 p. - (Les cahiers de la cellule prospective) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Développement durable Tags : Nouvelle économie Développement durable Index. décimale : 06.02 Développement durable Résumé : La remise en question de vérités considérées il y a encore peu de temps comme universelles traverse aussi l'univers des sciences et n'épargne pas l'économie. Existe-t-il une nouvelle économie, quels sont ses points de départ et de repère, ses priorités et ses propositions pratiques ? James Robertson risque ici une synthèse des mouvements qui s'expriment en faveur d'une " économie différente pour un développement durable ". Les vieilles élites de la nouvelle économie / Geoffrey Geuens
Titre : Les vieilles élites de la nouvelle économie : Un portrait collectif des dirigeants de la "révolution numérique" aux Etats-Unis et en Europe Type de document : texte imprimé Auteurs : Geoffrey Geuens, Auteur Editeur : Paris [France] : PUF Année de publication : 2011 Collection : La politique éclatée Importance : 207 p Note générale : 04.01.GEU Langues : Français (fre) Catégories : Entreprises multinationales
Technologies numériquesTags : NTIC Nouvelle économie Multinationales Index. décimale : 04.01 Entreprises - Généralités Résumé : La révolution numérique n'a pas eu lieu. Censés dynamiter les structures économiques et politiques traditionnelles, les "nouveaux médias" et les TIC témoignent au contraire de la reconduction, sinon de la consolidation, des logiques sociales et nationales de pouvoir associées aux vieux capitalismes. A l'heure où seuls résonnent les termes de "flux informationnels", de "mouvements volatiles de capitaux" et de "marchés financiers désincarnés", c'est l'économie du virtuel, paradoxe s'il en est, qui démontre toute l'importance des réseaux d'affaires, de pouvoir et de sociabilité réels bien à l'oeuvre dans un univers supposé fonctionner, pourtant, sur la base de la seule rationalité marchande. Enquête de longue haleine au coeur des conseils (l'administration des plus puissants groupes internationaux du multimédia et des TIC, Les vieilles élites de la nouvelle économie révèle à quel point pèse sur les "vieilles" élites des "nouveaux médias" l'héritage d'une économie qui, jamais, ne s'est affranchie des Etats-nations, du politique et des dynasties d'affaires. Les vieilles élites de la nouvelle économie : Un portrait collectif des dirigeants de la "révolution numérique" aux Etats-Unis et en Europe [texte imprimé] / Geoffrey Geuens, Auteur . - Paris (France) : PUF, 2011 . - 207 p. - (La politique éclatée) .
04.01.GEU
Langues : Français (fre)
Catégories : Entreprises multinationales
Technologies numériquesTags : NTIC Nouvelle économie Multinationales Index. décimale : 04.01 Entreprises - Généralités Résumé : La révolution numérique n'a pas eu lieu. Censés dynamiter les structures économiques et politiques traditionnelles, les "nouveaux médias" et les TIC témoignent au contraire de la reconduction, sinon de la consolidation, des logiques sociales et nationales de pouvoir associées aux vieux capitalismes. A l'heure où seuls résonnent les termes de "flux informationnels", de "mouvements volatiles de capitaux" et de "marchés financiers désincarnés", c'est l'économie du virtuel, paradoxe s'il en est, qui démontre toute l'importance des réseaux d'affaires, de pouvoir et de sociabilité réels bien à l'oeuvre dans un univers supposé fonctionner, pourtant, sur la base de la seule rationalité marchande. Enquête de longue haleine au coeur des conseils (l'administration des plus puissants groupes internationaux du multimédia et des TIC, Les vieilles élites de la nouvelle économie révèle à quel point pèse sur les "vieilles" élites des "nouveaux médias" l'héritage d'une économie qui, jamais, ne s'est affranchie des Etats-nations, du politique et des dynasties d'affaires. L'économie de l'attention / Yves (ss la dir) Citton
Titre : L'économie de l'attention : nouvel horizon du capitalisme? Type de document : texte imprimé Auteurs : Yves (ss la dir) Citton, Auteur Editeur : Paris [France] : La Découverte Année de publication : 2014 Importance : 320 p Note générale : 01.CIT Langues : Français (fre) Tags : Capitalisme Economie politique Nouvelle économie Index. décimale : 01 - Economie Résumé : Depuis une vingtaine d’années, on entend dire qu’une « nouvelle économie » est en passe de supplanter les anciens modes d’échange des biens matériels – une économie dont l’attention constituerait la première rareté et la plus précieuse source de valeur. À quoi ressemble donc cette économie de l’attention ? Quels nouveaux outils sont nécessaires pour en comprendre les mécanismes ? Que faut-il en craindre ou que pouvons-nous en espérer ?
Des neurosciences à la sociologie, de la création de logiciels à la philosophie éthique, une grande diversité de disciplines sont convoquées ici pour éclairer l’économie de l’attention à partir de multiples perspectives critiques. Il en ressort qu’il est aujourd’hui indispensable de penser le destin de nos économies en termes d’attention – mais qu’il serait calamiteux de laisser les seules logiques capitalistes reconfigurer nos régimes attentionnels.
Remède au productivisme forcené qui épuise nos ressources matérielles, ou symptôme de la colonisation qui soumet nos esprits à l’emprise du capital ? L’économie de l’attention ne se situe pas seulement au carrefour des disciplines : elle est surtout au carrefour des chemins où se tracera notre avenir.L'économie de l'attention : nouvel horizon du capitalisme? [texte imprimé] / Yves (ss la dir) Citton, Auteur . - Paris (France) : La Découverte, 2014 . - 320 p.
01.CIT
Langues : Français (fre)
Tags : Capitalisme Economie politique Nouvelle économie Index. décimale : 01 - Economie Résumé : Depuis une vingtaine d’années, on entend dire qu’une « nouvelle économie » est en passe de supplanter les anciens modes d’échange des biens matériels – une économie dont l’attention constituerait la première rareté et la plus précieuse source de valeur. À quoi ressemble donc cette économie de l’attention ? Quels nouveaux outils sont nécessaires pour en comprendre les mécanismes ? Que faut-il en craindre ou que pouvons-nous en espérer ?
Des neurosciences à la sociologie, de la création de logiciels à la philosophie éthique, une grande diversité de disciplines sont convoquées ici pour éclairer l’économie de l’attention à partir de multiples perspectives critiques. Il en ressort qu’il est aujourd’hui indispensable de penser le destin de nos économies en termes d’attention – mais qu’il serait calamiteux de laisser les seules logiques capitalistes reconfigurer nos régimes attentionnels.
Remède au productivisme forcené qui épuise nos ressources matérielles, ou symptôme de la colonisation qui soumet nos esprits à l’emprise du capital ? L’économie de l’attention ne se situe pas seulement au carrefour des disciplines : elle est surtout au carrefour des chemins où se tracera notre avenir.Quand le capitalisme perd la tête / Joseph E. Stiglitz
Titre : Quand le capitalisme perd la tête Type de document : texte imprimé Auteurs : Joseph E. Stiglitz, Auteur Editeur : Paris : Fayard Année de publication : 2003 Importance : 416 p Langues : Français (fre) Catégories : Capitalisme
Histoire économiqueTags : Capitalisme Science économique Crise économique Politique monétaire Déréglementation Comptabilité Nouvelle économie Télécommunications Banques Mondialisation Enron Electricité Alternatives Index. décimale : 01 Economie Résumé : Poursuivant le procès du libéralisme sans limites amorcé dans La Grande Désillusion, Joseph Stiglitz s'appuie cette fois sur sort expérience de quatre ans en tant que conseiller économique principal du président Clinton pour répondre à une question centrale : comment, au tournant du troisième millénaire, est-on passé du prétendu " triomphe " du capitalisme à l'américaine - bien entendu surévalué et fondé sur des bases très incertaines, notamment l'effervescence boursière et tout ce qui s'ensuit (stock-options, tyrannie des actionnaires...) - à une chute retentissante ? Avec une clarté de propos remarquable et une attention constante aux mécanismes économiques les plus concrets, il aborde le phénomène de la bulle spéculative, la vague des déréglementations aux Etats-Unis - en particulier dans le domaine des télécommunications - et leurs conséquences, ou encore les scandales comptables, à commencer par le premier et le plus retentissant : le cas Enro. A l'occasion de cette plongée au cœur des centres de décision la plus grande économie de marché du monde, l'auteur procède à la démolition des divers mythes qui étaient au fondement des politiques économiques des Etats-Unis, mais aussi de nombreux autres pays occidentaux ; dans les années 1990 : la réduction du déficit ne relance pas l'économie, l'impact des guerres sur cette dernière est négatif ; il n'y a pas de " héros " économiques (c'est la politique qui compte et non les hommes) ; la " main invisible " d'Adam Smith est invisible pour la bonne raison qu'elle n'existe pas ; la finance n'est pas la source de toute sagesse ; l'Etat n'est pas systématiquement mauvais... Enfin, fort de ses observations, Stiglitz esquisse les grandes lignes d'un " idéalisme démocratique ", vision d'avenir fondée sur un juste équilibre entre le marché et l'Etat, et sur des valeurs telles que la justice sociale (égalité des chances, priorité à l'emploi) ou encore le droit du citoyen à l'information. Quand le capitalisme perd la tête [texte imprimé] / Joseph E. Stiglitz, Auteur . - Paris : Fayard, 2003 . - 416 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Capitalisme
Histoire économiqueTags : Capitalisme Science économique Crise économique Politique monétaire Déréglementation Comptabilité Nouvelle économie Télécommunications Banques Mondialisation Enron Electricité Alternatives Index. décimale : 01 Economie Résumé : Poursuivant le procès du libéralisme sans limites amorcé dans La Grande Désillusion, Joseph Stiglitz s'appuie cette fois sur sort expérience de quatre ans en tant que conseiller économique principal du président Clinton pour répondre à une question centrale : comment, au tournant du troisième millénaire, est-on passé du prétendu " triomphe " du capitalisme à l'américaine - bien entendu surévalué et fondé sur des bases très incertaines, notamment l'effervescence boursière et tout ce qui s'ensuit (stock-options, tyrannie des actionnaires...) - à une chute retentissante ? Avec une clarté de propos remarquable et une attention constante aux mécanismes économiques les plus concrets, il aborde le phénomène de la bulle spéculative, la vague des déréglementations aux Etats-Unis - en particulier dans le domaine des télécommunications - et leurs conséquences, ou encore les scandales comptables, à commencer par le premier et le plus retentissant : le cas Enro. A l'occasion de cette plongée au cœur des centres de décision la plus grande économie de marché du monde, l'auteur procède à la démolition des divers mythes qui étaient au fondement des politiques économiques des Etats-Unis, mais aussi de nombreux autres pays occidentaux ; dans les années 1990 : la réduction du déficit ne relance pas l'économie, l'impact des guerres sur cette dernière est négatif ; il n'y a pas de " héros " économiques (c'est la politique qui compte et non les hommes) ; la " main invisible " d'Adam Smith est invisible pour la bonne raison qu'elle n'existe pas ; la finance n'est pas la source de toute sagesse ; l'Etat n'est pas systématiquement mauvais... Enfin, fort de ses observations, Stiglitz esquisse les grandes lignes d'un " idéalisme démocratique ", vision d'avenir fondée sur un juste équilibre entre le marché et l'Etat, et sur des valeurs telles que la justice sociale (égalité des chances, priorité à l'emploi) ou encore le droit du citoyen à l'information. The truth about markets / John Kay
Titre : The truth about markets : Their genius, their limits, their follies Type de document : texte imprimé Auteurs : John Kay, Auteur Editeur : Allen Lane Année de publication : 2003 Importance : 496 p. Langues : Anglais (eng) Catégories : Finances internationales Tags : Finances Politique économique Nouvelle économie Marchés Compétitivité Entreprises General Electric Morris Motors Coca-Cola Corporation Ford Motor Company Industrie pharmaceutique Royaume-Uni Etats-Unis Pays en développement Index. décimale : 02.01 Finances Résumé : In the 1980s America won the cold war. In 1989 the Berlin Wall fell. The decade that followed proved one of the most extraordinary periods in economic history. The American business model — the unrestrained pursuit of self-interest, market fundamentalism, the minimal state and low taxation — offered its followers the same certainties that Marxism had given its own adherents over the previous century. There was a New Economy.
But it was all to end in a frenzy of speculation, followed by recrimination and self-doubt. Corporations that had never earned a cent of profit, and never would, were sold to investors for billions of dollars. Corporate executives would fill their pockets and invent revenues and profits to support their accounts of their own genius. And every international economic meeting would be besieged by demonstrators.
In this ambitious and wide-ranging book, John Kay unravels the truth about markets. He explains why market economies outperformed socialist or centrally directed ones, but also why the imposition of market institutions often fails. Kay’s search for the truth about markets takes him from the shores of Lake Zurich to the streets of Mumbai, through evolutionary psychology and moral philosophy, to the flower market at San Remo and Christies’ saleroom in New York. Through this range of material he shows that market economies function because they are embedded in a social, political and cultural context, and cannot work otherwise.
The Truth about Markets examines the big questions of economics — why some countries and peoples are rich, and others poor; why businesses succeed and fail; the scope of markets and their limits. Witty yet profound, immersed in the most recent economic thinking yet completely accessible, it is both a tract for our times and a text for a new political economy.The truth about markets : Their genius, their limits, their follies [texte imprimé] / John Kay, Auteur . - UK : Allen Lane, 2003 . - 496 p.
Langues : Anglais (eng)
Catégories : Finances internationales Tags : Finances Politique économique Nouvelle économie Marchés Compétitivité Entreprises General Electric Morris Motors Coca-Cola Corporation Ford Motor Company Industrie pharmaceutique Royaume-Uni Etats-Unis Pays en développement Index. décimale : 02.01 Finances Résumé : In the 1980s America won the cold war. In 1989 the Berlin Wall fell. The decade that followed proved one of the most extraordinary periods in economic history. The American business model — the unrestrained pursuit of self-interest, market fundamentalism, the minimal state and low taxation — offered its followers the same certainties that Marxism had given its own adherents over the previous century. There was a New Economy.
But it was all to end in a frenzy of speculation, followed by recrimination and self-doubt. Corporations that had never earned a cent of profit, and never would, were sold to investors for billions of dollars. Corporate executives would fill their pockets and invent revenues and profits to support their accounts of their own genius. And every international economic meeting would be besieged by demonstrators.
In this ambitious and wide-ranging book, John Kay unravels the truth about markets. He explains why market economies outperformed socialist or centrally directed ones, but also why the imposition of market institutions often fails. Kay’s search for the truth about markets takes him from the shores of Lake Zurich to the streets of Mumbai, through evolutionary psychology and moral philosophy, to the flower market at San Remo and Christies’ saleroom in New York. Through this range of material he shows that market economies function because they are embedded in a social, political and cultural context, and cannot work otherwise.
The Truth about Markets examines the big questions of economics — why some countries and peoples are rich, and others poor; why businesses succeed and fail; the scope of markets and their limits. Witty yet profound, immersed in the most recent economic thinking yet completely accessible, it is both a tract for our times and a text for a new political economy.