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Titre : Enron : les vraies raisons de la chute Type de document : texte imprimé Auteurs : Peter C. Fusaro, Auteur ; Ross M. Miller, Auteur Editeur : SB.com éditeur Année de publication : 2002 Importance : 195 p Langues : Français (fre) Catégories : Entreprises multinationales
ÉnergieTags : Entreprises Enron Energie Index. décimale : 04.02 Entreprises Résumé : ENRON : LES VRAIES RAISONS DE LA CHUTE propose la première explication claire et complète de source américaine, de l'histoire d'Enron. Peter C. Fusaro et Ross M. Miller nous entraînent au cœur de ce géant et répondent à nos interrogations - qui, quoi, quand, pourquoi - sur ce naufrage. Dans un style limpide, ils exposent les faits et révèlent les erreurs qui ont conduit Enron à la faillite, permettant à chacun de comprendre les vraies raisons d'un tel échec. ENRON : LES VRAIES RAISONS DE LA CHUTE est aussi en toile de fond, la révélation, documents à l'appui, d'un univers de délation, de coup bas, de manœuvres frauduleuses, de flambeurs et de mystères. Enron : les vraies raisons de la chute [texte imprimé] / Peter C. Fusaro, Auteur ; Ross M. Miller, Auteur . - [S.l.] : SB.com éditeur, 2002 . - 195 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Entreprises multinationales
ÉnergieTags : Entreprises Enron Energie Index. décimale : 04.02 Entreprises Résumé : ENRON : LES VRAIES RAISONS DE LA CHUTE propose la première explication claire et complète de source américaine, de l'histoire d'Enron. Peter C. Fusaro et Ross M. Miller nous entraînent au cœur de ce géant et répondent à nos interrogations - qui, quoi, quand, pourquoi - sur ce naufrage. Dans un style limpide, ils exposent les faits et révèlent les erreurs qui ont conduit Enron à la faillite, permettant à chacun de comprendre les vraies raisons d'un tel échec. ENRON : LES VRAIES RAISONS DE LA CHUTE est aussi en toile de fond, la révélation, documents à l'appui, d'un univers de délation, de coup bas, de manœuvres frauduleuses, de flambeurs et de mystères.
Titre : Les leçons d'Enron : capitalisme, la déchirure Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie-Anne Frison-Roche, Auteur Editeur : Paris : Editions Autrement Année de publication : 2003 Collection : Frontières Importance : 180 p Langues : Français (fre) Catégories : Entreprises multinationales Tags : Entreprises Enron Energie Index. décimale : 04.02 Entreprises Résumé : La faillite Enron, c'est avant tout la faillite d'un système
de contrôle du pouvoir économique et financier. Le rapport du Sénat américain, traduit et reproduit ici pour la première fois, est accablant : des dirigeants trop ambitieux, une gestion du risque trop audacieuse, des financiers et des administrateurs peu scrupuleux, une croyance partagée et euphorique dans l'autorégulation du capitalisme financier. C'est la révélation d'un aveuglement général, de compromissions collectives, de conflits d'intérêts particuliers, c'est l'illusion de la puissance et de la performance du gouvernement d'entreprise et des marchés qui s'effondre.
Il faut donc repenser les règles et les principes du gouvernement d'entreprise : les droits, les devoirs, les contrôles... mais aussi les fonctions de tous les acteurs, dirigeants, actionnaires, fonds de pension, intermédiaires, analystes financiers, autorités de régulation... Et au-delà : faut-il améliorer le dispositif des règles, accroître la circulation, la transparence de l'information... Ne sommes-nous pas dans une remise en cause plus fondamentale ? Faut-il responsabiliser ou pénaliser les acteurs ? Car il est économiquement acquis que l'affaiblissement des pouvoirs est une hypothèse plus désastreuse encore que le pouvoir perverti.Les leçons d'Enron : capitalisme, la déchirure [texte imprimé] / Marie-Anne Frison-Roche, Auteur . - Paris : Editions Autrement, 2003 . - 180 p. - (Frontières) .
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Catégories : Entreprises multinationales Tags : Entreprises Enron Energie Index. décimale : 04.02 Entreprises Résumé : La faillite Enron, c'est avant tout la faillite d'un système
de contrôle du pouvoir économique et financier. Le rapport du Sénat américain, traduit et reproduit ici pour la première fois, est accablant : des dirigeants trop ambitieux, une gestion du risque trop audacieuse, des financiers et des administrateurs peu scrupuleux, une croyance partagée et euphorique dans l'autorégulation du capitalisme financier. C'est la révélation d'un aveuglement général, de compromissions collectives, de conflits d'intérêts particuliers, c'est l'illusion de la puissance et de la performance du gouvernement d'entreprise et des marchés qui s'effondre.
Il faut donc repenser les règles et les principes du gouvernement d'entreprise : les droits, les devoirs, les contrôles... mais aussi les fonctions de tous les acteurs, dirigeants, actionnaires, fonds de pension, intermédiaires, analystes financiers, autorités de régulation... Et au-delà : faut-il améliorer le dispositif des règles, accroître la circulation, la transparence de l'information... Ne sommes-nous pas dans une remise en cause plus fondamentale ? Faut-il responsabiliser ou pénaliser les acteurs ? Car il est économiquement acquis que l'affaiblissement des pouvoirs est une hypothèse plus désastreuse encore que le pouvoir perverti.
Titre : Quand le capitalisme perd la tête Type de document : texte imprimé Auteurs : Joseph E. Stiglitz, Auteur Editeur : Paris : Fayard Année de publication : 2003 Importance : 416 p Langues : Français (fre) Catégories : Capitalisme
Histoire économiqueTags : Capitalisme Science économique Crise économique Politique monétaire Déréglementation Comptabilité Nouvelle économie Télécommunications Banques Mondialisation Enron Electricité Alternatives Index. décimale : 01 Economie Résumé : Poursuivant le procès du libéralisme sans limites amorcé dans La Grande Désillusion, Joseph Stiglitz s'appuie cette fois sur sort expérience de quatre ans en tant que conseiller économique principal du président Clinton pour répondre à une question centrale : comment, au tournant du troisième millénaire, est-on passé du prétendu " triomphe " du capitalisme à l'américaine - bien entendu surévalué et fondé sur des bases très incertaines, notamment l'effervescence boursière et tout ce qui s'ensuit (stock-options, tyrannie des actionnaires...) - à une chute retentissante ? Avec une clarté de propos remarquable et une attention constante aux mécanismes économiques les plus concrets, il aborde le phénomène de la bulle spéculative, la vague des déréglementations aux Etats-Unis - en particulier dans le domaine des télécommunications - et leurs conséquences, ou encore les scandales comptables, à commencer par le premier et le plus retentissant : le cas Enro. A l'occasion de cette plongée au cœur des centres de décision la plus grande économie de marché du monde, l'auteur procède à la démolition des divers mythes qui étaient au fondement des politiques économiques des Etats-Unis, mais aussi de nombreux autres pays occidentaux ; dans les années 1990 : la réduction du déficit ne relance pas l'économie, l'impact des guerres sur cette dernière est négatif ; il n'y a pas de " héros " économiques (c'est la politique qui compte et non les hommes) ; la " main invisible " d'Adam Smith est invisible pour la bonne raison qu'elle n'existe pas ; la finance n'est pas la source de toute sagesse ; l'Etat n'est pas systématiquement mauvais... Enfin, fort de ses observations, Stiglitz esquisse les grandes lignes d'un " idéalisme démocratique ", vision d'avenir fondée sur un juste équilibre entre le marché et l'Etat, et sur des valeurs telles que la justice sociale (égalité des chances, priorité à l'emploi) ou encore le droit du citoyen à l'information. Quand le capitalisme perd la tête [texte imprimé] / Joseph E. Stiglitz, Auteur . - Paris : Fayard, 2003 . - 416 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Capitalisme
Histoire économiqueTags : Capitalisme Science économique Crise économique Politique monétaire Déréglementation Comptabilité Nouvelle économie Télécommunications Banques Mondialisation Enron Electricité Alternatives Index. décimale : 01 Economie Résumé : Poursuivant le procès du libéralisme sans limites amorcé dans La Grande Désillusion, Joseph Stiglitz s'appuie cette fois sur sort expérience de quatre ans en tant que conseiller économique principal du président Clinton pour répondre à une question centrale : comment, au tournant du troisième millénaire, est-on passé du prétendu " triomphe " du capitalisme à l'américaine - bien entendu surévalué et fondé sur des bases très incertaines, notamment l'effervescence boursière et tout ce qui s'ensuit (stock-options, tyrannie des actionnaires...) - à une chute retentissante ? Avec une clarté de propos remarquable et une attention constante aux mécanismes économiques les plus concrets, il aborde le phénomène de la bulle spéculative, la vague des déréglementations aux Etats-Unis - en particulier dans le domaine des télécommunications - et leurs conséquences, ou encore les scandales comptables, à commencer par le premier et le plus retentissant : le cas Enro. A l'occasion de cette plongée au cœur des centres de décision la plus grande économie de marché du monde, l'auteur procède à la démolition des divers mythes qui étaient au fondement des politiques économiques des Etats-Unis, mais aussi de nombreux autres pays occidentaux ; dans les années 1990 : la réduction du déficit ne relance pas l'économie, l'impact des guerres sur cette dernière est négatif ; il n'y a pas de " héros " économiques (c'est la politique qui compte et non les hommes) ; la " main invisible " d'Adam Smith est invisible pour la bonne raison qu'elle n'existe pas ; la finance n'est pas la source de toute sagesse ; l'Etat n'est pas systématiquement mauvais... Enfin, fort de ses observations, Stiglitz esquisse les grandes lignes d'un " idéalisme démocratique ", vision d'avenir fondée sur un juste équilibre entre le marché et l'Etat, et sur des valeurs telles que la justice sociale (égalité des chances, priorité à l'emploi) ou encore le droit du citoyen à l'information.