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Gresea échos
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Titre : 1978-2018 : 40 ans de critique économique Type de document : texte imprimé Auteurs : Bruno Bauraind, Auteur Editeur : Groupe de Recherche pour une Stratégie économique Alternative (GRESEA) Année de publication : oct-nov-dec 2018 Collection : Gresea échos num. 96 Importance : 28 p Note générale : ARCH.GE/2018-96 Langues : Français (fre) Catégories : ARCHIVES Tags : Tabac Politique économique Multinationales Développement Résumé : 1978. Alors qu'Israël envahit le Liban Sud, que nait Lucie Brown, le premier bébé éprouvette, et que la Chine s'ouvre à l'économie de marché, quelques militants belges se réunissent, un peu à la marge des organisations traditionnelles du mouvement social. C'est dans ce contexte que le Gresea voit le jour.Quelque part entre le formel et l'informel. En ligne : http://www.gresea.be/spip.php?article1006 1978-2018 : 40 ans de critique économique [texte imprimé] / Bruno Bauraind, Auteur . - [S.l.] : Groupe de Recherche pour une Stratégie économique Alternative (GRESEA), oct-nov-dec 2018 . - 28 p. - (Gresea échos; 96) .
ARCH.GE/2018-96
Langues : Français (fre)
Catégories : ARCHIVES Tags : Tabac Politique économique Multinationales Développement Résumé : 1978. Alors qu'Israël envahit le Liban Sud, que nait Lucie Brown, le premier bébé éprouvette, et que la Chine s'ouvre à l'économie de marché, quelques militants belges se réunissent, un peu à la marge des organisations traditionnelles du mouvement social. C'est dans ce contexte que le Gresea voit le jour.Quelque part entre le formel et l'informel. En ligne : http://www.gresea.be/spip.php?article1006
Titre : L’Accord de Cotonou Type de document : texte imprimé Editeur : Groupe de Recherche pour une Stratégie économique Alternative (GRESEA) Année de publication : juillet-septembre 2002 Collection : Gresea échos num. 35 Importance : 32 p Note générale : ARCH.GE/2002-35 Langues : Français (fre) Catégories : ARCHIVES Tags : Accord de Cotonou Politique sociale Politique économique Politique de développement Résumé : La coopération au développement du commerce triomphant Placé devant le choix de dire ce qu’il sait des bananes ou des ACP, un maçon normalement constitué, qui n’a de compétence professionnelle en aucun de ces deux sujets, choisira vraisemblablement de parler un peu de la banane. C’est plus concret. La banane, il connaît. Un fruit jaune, délicieux flambé. C’est une des difficultés. Dans l’expression « accord de Cotonou », inévitable lorsqu’on parle des politiques de coopération de l’Union européenne, il y a (...) En ligne : http://www.gresea.be/spip.php?article984 L’Accord de Cotonou [texte imprimé] . - [S.l.] : Groupe de Recherche pour une Stratégie économique Alternative (GRESEA), juillet-septembre 2002 . - 32 p. - (Gresea échos; 35) .
ARCH.GE/2002-35
Langues : Français (fre)
Catégories : ARCHIVES Tags : Accord de Cotonou Politique sociale Politique économique Politique de développement Résumé : La coopération au développement du commerce triomphant Placé devant le choix de dire ce qu’il sait des bananes ou des ACP, un maçon normalement constitué, qui n’a de compétence professionnelle en aucun de ces deux sujets, choisira vraisemblablement de parler un peu de la banane. C’est plus concret. La banane, il connaît. Un fruit jaune, délicieux flambé. C’est une des difficultés. Dans l’expression « accord de Cotonou », inévitable lorsqu’on parle des politiques de coopération de l’Union européenne, il y a (...) En ligne : http://www.gresea.be/spip.php?article984
Titre : L’acier dans la vieille Europe : Liège, Florange, Madrid,… on tourne la page ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Bruno Bauraind, Auteur ; Henri Houben, Auteur ; Raf Custers ; Xavier Dupret ; Meena Galliari Editeur : Groupe de Recherche pour une Stratégie économique Alternative (GRESEA) Année de publication : janvier-mars 2012 Collection : Gresea échos num. 69 Importance : 32 p Note générale : ARCH.GE/2012-69 Langues : Français (fre) Catégories : ARCHIVES Tags : Métallurgie Sidérurgie ArcelorMittal Emploi Résumé : "On a todi bin fè sins mittal" Ce titre en wallon ("On a toujours bien fait sans Mittal") paraphrase le "On a todi bin fè com çoula" ("On a toujours bien fait comme ça") qui exprimait dans la sidérurgie liégeoise la résistance des travailleurs aux changements technologiques. "Ce qui est arrivé à Liège, va arriver à Florange". Octobre 2011, lors d’une réunion des syndicats européens du groupe ArcelorMittal, Philippe Verbeeck (CGT – Florange) n’a pas besoin de boule de cristal. Les indicateurs sont (...) En ligne : http://www.gresea.be/spip.php?article1006 L’acier dans la vieille Europe : Liège, Florange, Madrid,… on tourne la page ? [texte imprimé] / Bruno Bauraind, Auteur ; Henri Houben, Auteur ; Raf Custers ; Xavier Dupret ; Meena Galliari . - [S.l.] : Groupe de Recherche pour une Stratégie économique Alternative (GRESEA), janvier-mars 2012 . - 32 p. - (Gresea échos; 69) .
ARCH.GE/2012-69
Langues : Français (fre)
Catégories : ARCHIVES Tags : Métallurgie Sidérurgie ArcelorMittal Emploi Résumé : "On a todi bin fè sins mittal" Ce titre en wallon ("On a toujours bien fait sans Mittal") paraphrase le "On a todi bin fè com çoula" ("On a toujours bien fait comme ça") qui exprimait dans la sidérurgie liégeoise la résistance des travailleurs aux changements technologiques. "Ce qui est arrivé à Liège, va arriver à Florange". Octobre 2011, lors d’une réunion des syndicats européens du groupe ArcelorMittal, Philippe Verbeeck (CGT – Florange) n’a pas besoin de boule de cristal. Les indicateurs sont (...) En ligne : http://www.gresea.be/spip.php?article1006
Titre : Actionnariat et pouvoir dans les multinationales Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Gelin, Auteur Editeur : Groupe de Recherche pour une Stratégie économique Alternative (GRESEA) Année de publication : avr-juin 2017 Collection : Gresea échos num. 90 Importance : 32 p Note générale : ARCH.GE/2017-90 Langues : Français (fre) Catégories : Actionnariat
Entreprises multinationales
ARCHIVESTags : Entreprises multinationales Actionnariat Pensions Chevron Résumé : La plupart des sociétés multinationales, à quelques exceptions près (la firme suédoise IKEA, le négociant de matières premières Cargill ou l’industriel Allemand Bosch par exemple), sont cotées en bourse. Il est donc théoriquement possible d’acheter des titres de ces sociétés et d’en devenir actionnaire. Mais le plus souvent, la majorité de l’actionnariat n’est pas composé de monsieur et madame tout-le-monde, mais bien d’investisseurs institutionnels, de banques, d’assurances et autres fonds d’investissements, mais également de pouvoirs publics ou des familles fondatrices des entreprises. En Europe, la part du marché des actions détenue par des actionnaires individuels (actionnariat salarié inclus) se situe en moyenne entre 10 et 15%, un chiffre en baisse constante depuis le début du millénaire. En dehors des sites spécialisés, les actionnaires ne sont généralement mentionnés que lors de restructurations spectaculaires ou de fusion-acquisitions d’importance. L’information économique disponible pour le public, comme c’est souvent le cas, n’est que tout à fait parcellaire en ce qui concerne l’identité des actionnaires ou les parts qu’ils détiennent dans les grandes sociétés. Société anonyme oblige, seul le dépassement de seuils réglementaires (souvent 5%) les contraint à mentionner publiquement leurs participations. A l’inverse, l’obligation de rapportage des entreprises concerne principalement l’information utile aux actionnaires. Les rapports annuels des sociétés cotées doivent inclure les performances, les positions financières et tout ce qui serait susceptible de modifier le cours de bourse. L’information obligatoire à destination des travailleurs est quant à elle nettement moins fournie. Mais qui sont ces actionnaires ? Comment les théories économiques les considèrent-ils ? Quel rôle jouent-ils dans la gestion des entreprises ? Par quels moyens influencent-ils les stratégies des firmes ? Certains actionnaires, liés aux pouvoirs publics, ont –ils des pratiques plus éthiques ? C’est à cette série d’interrogation que nous tenterons de répondre dans ce numéro. Après un retour sur quelques idées reçues (« l’actionnaire propriétaire », « l’actionnaire investisseur »,) et avoir replacé celles-ci dans les théories qui les ont vus naître, nous reviendrons sur l’évolution du rôle des actionnaires depuis un siècle et demi au travers de l’histoire des entreprises. Nous listerons ensuite les moyens par lesquels les actionnaires arrivent à faire pencher les décisions stratégiques en leur faveur puis tenterons de proposer une démographie de l’actionnariat des entreprises du BEL-20, l’indice phare de la bourse belge. Enfin, au travers d’une étude de cas, nous nous interrogerons sur les pratiques actionnariales et les choix d’investissements du plus important fonds de pension étatique et essaierons de déterminer dans quelle mesure celui-ci met en œuvre une réelle politique éthique, environnementale, sociale au travers de ses placements financiers et si cela ne relève pas plus du discours et de la communication. En ligne : http://www.gresea.be/spip.php?article1617 Actionnariat et pouvoir dans les multinationales [texte imprimé] / Romain Gelin, Auteur . - [S.l.] : Groupe de Recherche pour une Stratégie économique Alternative (GRESEA), avr-juin 2017 . - 32 p. - (Gresea échos; 90) .
ARCH.GE/2017-90
Langues : Français (fre)
Catégories : Actionnariat
Entreprises multinationales
ARCHIVESTags : Entreprises multinationales Actionnariat Pensions Chevron Résumé : La plupart des sociétés multinationales, à quelques exceptions près (la firme suédoise IKEA, le négociant de matières premières Cargill ou l’industriel Allemand Bosch par exemple), sont cotées en bourse. Il est donc théoriquement possible d’acheter des titres de ces sociétés et d’en devenir actionnaire. Mais le plus souvent, la majorité de l’actionnariat n’est pas composé de monsieur et madame tout-le-monde, mais bien d’investisseurs institutionnels, de banques, d’assurances et autres fonds d’investissements, mais également de pouvoirs publics ou des familles fondatrices des entreprises. En Europe, la part du marché des actions détenue par des actionnaires individuels (actionnariat salarié inclus) se situe en moyenne entre 10 et 15%, un chiffre en baisse constante depuis le début du millénaire. En dehors des sites spécialisés, les actionnaires ne sont généralement mentionnés que lors de restructurations spectaculaires ou de fusion-acquisitions d’importance. L’information économique disponible pour le public, comme c’est souvent le cas, n’est que tout à fait parcellaire en ce qui concerne l’identité des actionnaires ou les parts qu’ils détiennent dans les grandes sociétés. Société anonyme oblige, seul le dépassement de seuils réglementaires (souvent 5%) les contraint à mentionner publiquement leurs participations. A l’inverse, l’obligation de rapportage des entreprises concerne principalement l’information utile aux actionnaires. Les rapports annuels des sociétés cotées doivent inclure les performances, les positions financières et tout ce qui serait susceptible de modifier le cours de bourse. L’information obligatoire à destination des travailleurs est quant à elle nettement moins fournie. Mais qui sont ces actionnaires ? Comment les théories économiques les considèrent-ils ? Quel rôle jouent-ils dans la gestion des entreprises ? Par quels moyens influencent-ils les stratégies des firmes ? Certains actionnaires, liés aux pouvoirs publics, ont –ils des pratiques plus éthiques ? C’est à cette série d’interrogation que nous tenterons de répondre dans ce numéro. Après un retour sur quelques idées reçues (« l’actionnaire propriétaire », « l’actionnaire investisseur »,) et avoir replacé celles-ci dans les théories qui les ont vus naître, nous reviendrons sur l’évolution du rôle des actionnaires depuis un siècle et demi au travers de l’histoire des entreprises. Nous listerons ensuite les moyens par lesquels les actionnaires arrivent à faire pencher les décisions stratégiques en leur faveur puis tenterons de proposer une démographie de l’actionnariat des entreprises du BEL-20, l’indice phare de la bourse belge. Enfin, au travers d’une étude de cas, nous nous interrogerons sur les pratiques actionnariales et les choix d’investissements du plus important fonds de pension étatique et essaierons de déterminer dans quelle mesure celui-ci met en œuvre une réelle politique éthique, environnementale, sociale au travers de ses placements financiers et si cela ne relève pas plus du discours et de la communication. En ligne : http://www.gresea.be/spip.php?article1617
Titre : L'ADPIC : quels enjeux Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Peeters, Auteur ; Brahim Lahouel, Auteur ; Anne Graindorge ; Raoul Marc Jennar ; Philippe Vincent ; Denis Horman Editeur : Groupe de Recherche pour une Stratégie économique Alternative (GRESEA) Année de publication : septembre-octobre 2001 Collection : Gresea échos num. 31 Importance : 32 p Note générale : ARCH.GE/2001-31 Langues : Français (fre) Catégories : ARCHIVES Tags : Propriété intellectuelle Bien commun Résumé : Un débat sur le bien commun de l’humanité La notion de patrimoine commun de l’humanité et plus spécifiquement, de bien public, est aujourd’hui au centre de nombreuses revendications .On la retrouve chez des opposants aux pratiques de l’Organisation mondiale du Commerce (OMC) qui, à travers l’Accord relatif aux aspects des droits de Propriété intellectuelle relatifs au Commerce (ADPIC), institue un cadre multilatéral commun portant sur certains principes liés aux droits d’auteurs et de propriété (...) En ligne : http://www.gresea.be/spip.php?article987 L'ADPIC : quels enjeux [texte imprimé] / Anne Peeters, Auteur ; Brahim Lahouel, Auteur ; Anne Graindorge ; Raoul Marc Jennar ; Philippe Vincent ; Denis Horman . - [S.l.] : Groupe de Recherche pour une Stratégie économique Alternative (GRESEA), septembre-octobre 2001 . - 32 p. - (Gresea échos; 31) .
ARCH.GE/2001-31
Langues : Français (fre)
Catégories : ARCHIVES Tags : Propriété intellectuelle Bien commun Résumé : Un débat sur le bien commun de l’humanité La notion de patrimoine commun de l’humanité et plus spécifiquement, de bien public, est aujourd’hui au centre de nombreuses revendications .On la retrouve chez des opposants aux pratiques de l’Organisation mondiale du Commerce (OMC) qui, à travers l’Accord relatif aux aspects des droits de Propriété intellectuelle relatifs au Commerce (ADPIC), institue un cadre multilatéral commun portant sur certains principes liés aux droits d’auteurs et de propriété (...) En ligne : http://www.gresea.be/spip.php?article987 Aéroports wallons / Cédric Leterme
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