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Titre : Eau embouteillée, eau privatisée Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Gelin, Auteur Editeur : Tchak! Année de publication : juin-juillet-août 2021 Collection : Tchak! num. 6 Importance : 6 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Eau potable Privatisation Multinationales Résumé : L’eau est la ressource la plus précieuse à la vie. Pourtant, 2 milliards de personnes vivent dans des pays soumis à un stress hydrique et 4 milliards dans des zones touchées par une grave pénurie d’eau au moins un mois par an. Dans le même temps, la marchandisation progresse, avec la privatisation des services de distribution d’eau, ou par la mise en bourse de l’or bleu depuis fin 2020. Mais une autre forme de privatisation de l’eau - qui ne dit pas son nom - est à l’œuvre. Elle s’opère au travers de l’exploitation de l’eau en bouteille, y compris sur notre sol. La Belgique compte, de fait, 35 sources reconnues dont les eaux sont autorisées à être mises dans le commerce : 22 sources d’eau minérale et 13 d’eau de source, exploitées par de grands groupes comme Coca-Cola (Chaudfontaine), Spadel (Spa, Bru) ou Nestlé (Valvert) mais aussi par des indépendants (Top, Christiana…). Le groupe Spadel y est leader avec environ 20 % de parts de marché, devant Evian (Danone), Chaudfontaine (Coca-Cola), Cristalline (Alma/ Castel) et les marques de distributeurs. Eau embouteillée, eau privatisée [texte imprimé] / Romain Gelin, Auteur . - [S.l.] : Tchak!, juin-juillet-août 2021 . - 6 p. - (Tchak!; 6) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Eau potable Privatisation Multinationales Résumé : L’eau est la ressource la plus précieuse à la vie. Pourtant, 2 milliards de personnes vivent dans des pays soumis à un stress hydrique et 4 milliards dans des zones touchées par une grave pénurie d’eau au moins un mois par an. Dans le même temps, la marchandisation progresse, avec la privatisation des services de distribution d’eau, ou par la mise en bourse de l’or bleu depuis fin 2020. Mais une autre forme de privatisation de l’eau - qui ne dit pas son nom - est à l’œuvre. Elle s’opère au travers de l’exploitation de l’eau en bouteille, y compris sur notre sol. La Belgique compte, de fait, 35 sources reconnues dont les eaux sont autorisées à être mises dans le commerce : 22 sources d’eau minérale et 13 d’eau de source, exploitées par de grands groupes comme Coca-Cola (Chaudfontaine), Spadel (Spa, Bru) ou Nestlé (Valvert) mais aussi par des indépendants (Top, Christiana…). Le groupe Spadel y est leader avec environ 20 % de parts de marché, devant Evian (Danone), Chaudfontaine (Coca-Cola), Cristalline (Alma/ Castel) et les marques de distributeurs.
Titre : Vivre et mourir en Afrique : Santé, population et développement Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Engelhard, Auteur ; Moussa Seck, Auteur ; Taoufik Ben Abdallah Editeur : Dakar [Sénégal] : ENDA Année de publication : 1988 Importance : 314 p Langues : Français (fre) Catégories : Afrique
SantéTags : Prévention sanitaire Soins de santé primaires Infrastructure sanitaire Mortalité Fécondité Analyse démographique Modélisation Malnutrition Endémie Service de santé Eau potable Analyse économique Politique sociale Système de santé Index. décimale : 09.02 Afrique Résumé : Après avoir dressé un bilan de la santé en Afrique, cette étude analyse les relations santé-environnement et présente un diagnostic des systèmes de santé existants. A l'issue de ce diagnostic les auteurs tentent d'apprécier les moyens politiques et économiques dont disposent les états africains pour mettre en oeuvre une véritable politique de prévention sanitaire.
Le bilan de la santé en Afrique montre que les indicateurs de santé et ceux du développement sont, de façon générale, les plus bas dans le monde. Néanmoins, il révèle de nombreuses disparités entre les populations urbaines et rurales et entre les groupes ethniques. Par ailleurs, la corrélation entre les zones de grandes endémies et l'espérance de vie ne semble pas pertinente. Un modèle statistique basé sur des données de la Banque Mondiale de 1983 suggère que trois facteurs sont déterminants pour la santé en Afrique : le pourcentage des filles inscrites à l'école, le pourcentage de la population ayant accès à l'eau potable et le nombre d'habitants par infirmier. Le diagnostic qui suit ce premier bilan analyse tout d'abord les relations pathologie-milieu, apport alimentaire-environnement et santé-dégradation du milieu. Il examine ensuite les capacités des services de santé à répondre aux besoins des populations ; pour cela, il analyse les dépenses publiques et privées en santé, les structures sanitaires et les soins de santé primaires. Pour les auteurs, la politique de santé des pays africains doit se baser sur la prévention et privilégier trois points : éducation et formation, assainissement du milieu et les soins de santé primaires. Dans leur pronostic, ils mettent en relief les obstacles économiques, politiques et démographiques à surmonter pour mettre en oeuvre une telle politique.Vivre et mourir en Afrique : Santé, population et développement [texte imprimé] / Philippe Engelhard, Auteur ; Moussa Seck, Auteur ; Taoufik Ben Abdallah . - Dakar (Sénégal) : ENDA, 1988 . - 314 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Afrique
SantéTags : Prévention sanitaire Soins de santé primaires Infrastructure sanitaire Mortalité Fécondité Analyse démographique Modélisation Malnutrition Endémie Service de santé Eau potable Analyse économique Politique sociale Système de santé Index. décimale : 09.02 Afrique Résumé : Après avoir dressé un bilan de la santé en Afrique, cette étude analyse les relations santé-environnement et présente un diagnostic des systèmes de santé existants. A l'issue de ce diagnostic les auteurs tentent d'apprécier les moyens politiques et économiques dont disposent les états africains pour mettre en oeuvre une véritable politique de prévention sanitaire.
Le bilan de la santé en Afrique montre que les indicateurs de santé et ceux du développement sont, de façon générale, les plus bas dans le monde. Néanmoins, il révèle de nombreuses disparités entre les populations urbaines et rurales et entre les groupes ethniques. Par ailleurs, la corrélation entre les zones de grandes endémies et l'espérance de vie ne semble pas pertinente. Un modèle statistique basé sur des données de la Banque Mondiale de 1983 suggère que trois facteurs sont déterminants pour la santé en Afrique : le pourcentage des filles inscrites à l'école, le pourcentage de la population ayant accès à l'eau potable et le nombre d'habitants par infirmier. Le diagnostic qui suit ce premier bilan analyse tout d'abord les relations pathologie-milieu, apport alimentaire-environnement et santé-dégradation du milieu. Il examine ensuite les capacités des services de santé à répondre aux besoins des populations ; pour cela, il analyse les dépenses publiques et privées en santé, les structures sanitaires et les soins de santé primaires. Pour les auteurs, la politique de santé des pays africains doit se baser sur la prévention et privilégier trois points : éducation et formation, assainissement du milieu et les soins de santé primaires. Dans leur pronostic, ils mettent en relief les obstacles économiques, politiques et démographiques à surmonter pour mettre en oeuvre une telle politique.