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La réduction du temps de travail / Christian Valenduc
Titre : La réduction du temps de travail Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Valenduc, Auteur ; Patricia Vendramin, Auteur Editeur : CRISP Année de publication : 2013 Collection : Courrier hebdomadaire num. 2191-2192 Importance : 84 p Langues : Français (fre) Tags : Emploi Travail Temps de travail Belgique Index. décimale : REVUES Résumé : La question de la réduction du temps de travail se pose depuis le 19e siècle. Récemment, les « 35 heures » en France ont renouvelé l’intérêt pour ce sujet.
La réduction du temps de travail est étroitement liée à de nombreuses problématiques, telles que la création d’emplois, la qualité de vie ou le niveau des salaires. Les termes dans lesquels elle se pose ont sensiblement évolué au cours des dernières décennies, la dimension collective ayant largement fait place à des formes individuelles de réduction du temps de travail.
Le présent Courrier hebdomadaire dresse un état des lieux actuel de la question en Belgique. Tout d’abord, il analyse la répartition des salariés belges selon la durée hebdomadaire habituelle de leur travail. Un accent particulier est mis sur les inégalités qui prévalent entre les trois régions du pays, entre les femmes et les hommes, entre les professions et entre les secteurs d’activité. Ensuite, retraçant l’évolution du temps de travail au cours des dix dernières années, l’étude montre un net ralentissement de la tendance historique à la diminution amorcée au début du 20e siècle. Une comparaison internationale permet de situer la Belgique par rapport aux pays voisins à ce propos : la France après les « 35 heures », mais aussi l’Allemagne, les Pays-Bas ou le Royaume-Uni. Enfin, les auteurs dressent un panorama des opinions qui prévalent aujourd’hui en Belgique francophone à l’égard de la réduction du temps de travail. De nombreux graphiques et tableaux statistiques enrichissent l’exposé.La réduction du temps de travail [texte imprimé] / Christian Valenduc, Auteur ; Patricia Vendramin, Auteur . - [S.l.] : CRISP, 2013 . - 84 p. - (Courrier hebdomadaire; 2191-2192) .
Langues : Français (fre)
Tags : Emploi Travail Temps de travail Belgique Index. décimale : REVUES Résumé : La question de la réduction du temps de travail se pose depuis le 19e siècle. Récemment, les « 35 heures » en France ont renouvelé l’intérêt pour ce sujet.
La réduction du temps de travail est étroitement liée à de nombreuses problématiques, telles que la création d’emplois, la qualité de vie ou le niveau des salaires. Les termes dans lesquels elle se pose ont sensiblement évolué au cours des dernières décennies, la dimension collective ayant largement fait place à des formes individuelles de réduction du temps de travail.
Le présent Courrier hebdomadaire dresse un état des lieux actuel de la question en Belgique. Tout d’abord, il analyse la répartition des salariés belges selon la durée hebdomadaire habituelle de leur travail. Un accent particulier est mis sur les inégalités qui prévalent entre les trois régions du pays, entre les femmes et les hommes, entre les professions et entre les secteurs d’activité. Ensuite, retraçant l’évolution du temps de travail au cours des dix dernières années, l’étude montre un net ralentissement de la tendance historique à la diminution amorcée au début du 20e siècle. Une comparaison internationale permet de situer la Belgique par rapport aux pays voisins à ce propos : la France après les « 35 heures », mais aussi l’Allemagne, les Pays-Bas ou le Royaume-Uni. Enfin, les auteurs dressent un panorama des opinions qui prévalent aujourd’hui en Belgique francophone à l’égard de la réduction du temps de travail. De nombreux graphiques et tableaux statistiques enrichissent l’exposé.
Titre : Le retour du clivage droite-gauche : Ce qu'il faut retenir de leurs programmes Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Chavagneux, Auteur ; Matthieu Jublin, Auteur Editeur : Paris [France] : Alternatives Economiques Année de publication : avril 2022 Collection : Alternatives économiques num. 422 Importance : 98 p Langues : Français (fre) Tags : Finance internationale Conflits Environnement Index. décimale : REVUES Résumé : Tous les candidats se précipitent au chevet du pouvoir d’achat. D’autant plus vite que la guerre en Ukraine a exacerbé l’inquiétude des Français sur un sujet qui caracolait déjà en tête de leurs préoccupations depuis le début de la campagne. Le diagnostic est relativement partagé : les prix sont orientés à la hausse, tandis que les salaires ne suivent pas. Avant même l’offensive russe, l’Insee relevait que la facture de gaz, d’électricité et de carburant des ménages avait augmenté de 30 euros par mois en moyenne en 2021 par rapport à fin 2019. Et prévoyait que le pouvoir d’achat connaîtrait une baisse de 0,5 % sur le premier semestre de 2022, après une hausse de 1,8 % en 2021. Depuis que les bombes russes pleuvent sur Kiev, cette baisse risque de s’accentuer. Côté remède, en revanche, les prescriptions des prétendants à la magistrature suprême sont très différentes. Face à la flambée des prix à la pompe et du gaz, les candidats se livrent à une surenchère de propositions. La candidate socialiste Anne Hidalgo, celui du Parti communiste Fabien Roussel et celle du Rassemblement national Marine Le Pen tablent sur une baisse de la TVA sur le gaz, l’électricité et l’essence, de façon plus ou moins précise et pérenne dans le temps. Une mesure qui irait à l’encontre des objectifs climatiques de la France. Fabien Roussel, le candidat de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon et celui d’extrême droite Eric Zemmour préfèrent miser sur le blocage des prix. Eric Zemmour rejoint par ailleurs Emmanuel Macron et la candidate des Républicains Valérie Pécresse dans leur volonté d’augmenter les indemnités kilométriques prises en charge par l’employeur. Note de contenu : -le plastique s'accumule p.64-65
-en finir avec les pesticides p.94-96En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/bulle-speculative/00085012 Le retour du clivage droite-gauche : Ce qu'il faut retenir de leurs programmes [texte imprimé] / Christian Chavagneux, Auteur ; Matthieu Jublin, Auteur . - Paris (28 rue du Sentier, 75002, France) : Alternatives Economiques, avril 2022 . - 98 p. - (Alternatives économiques; 422) .
Langues : Français (fre)
Tags : Finance internationale Conflits Environnement Index. décimale : REVUES Résumé : Tous les candidats se précipitent au chevet du pouvoir d’achat. D’autant plus vite que la guerre en Ukraine a exacerbé l’inquiétude des Français sur un sujet qui caracolait déjà en tête de leurs préoccupations depuis le début de la campagne. Le diagnostic est relativement partagé : les prix sont orientés à la hausse, tandis que les salaires ne suivent pas. Avant même l’offensive russe, l’Insee relevait que la facture de gaz, d’électricité et de carburant des ménages avait augmenté de 30 euros par mois en moyenne en 2021 par rapport à fin 2019. Et prévoyait que le pouvoir d’achat connaîtrait une baisse de 0,5 % sur le premier semestre de 2022, après une hausse de 1,8 % en 2021. Depuis que les bombes russes pleuvent sur Kiev, cette baisse risque de s’accentuer. Côté remède, en revanche, les prescriptions des prétendants à la magistrature suprême sont très différentes. Face à la flambée des prix à la pompe et du gaz, les candidats se livrent à une surenchère de propositions. La candidate socialiste Anne Hidalgo, celui du Parti communiste Fabien Roussel et celle du Rassemblement national Marine Le Pen tablent sur une baisse de la TVA sur le gaz, l’électricité et l’essence, de façon plus ou moins précise et pérenne dans le temps. Une mesure qui irait à l’encontre des objectifs climatiques de la France. Fabien Roussel, le candidat de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon et celui d’extrême droite Eric Zemmour préfèrent miser sur le blocage des prix. Eric Zemmour rejoint par ailleurs Emmanuel Macron et la candidate des Républicains Valérie Pécresse dans leur volonté d’augmenter les indemnités kilométriques prises en charge par l’employeur. Note de contenu : -le plastique s'accumule p.64-65
-en finir avec les pesticides p.94-96En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/bulle-speculative/00085012
Titre : Retraites : la réforme qu’il faudrait Type de document : texte imprimé Auteurs : Aude Martin, Auteur ; Lou-Eve Popper, Auteur Editeur : Paris [France] : Alternatives Economiques Année de publication : mars 2023 Collection : Alternatives économiques num. 432 Importance : 98 p Langues : Français (fre) Tags : retraites Ecologie Index. décimale : REVUES Résumé : Faut-il réformer le système de retraite ? Bien sûr, parce qu’il est injuste pour les femmes, les moins qualifiés, ceux qui effectuent des travaux pénibles. Mais aussi parce que le niveau des pensions baisse et risque de diminuer plus encore. Faut-il réformer les retraites par crainte d’un dérapage du déficit ? Non, parce qu’à moyen terme, ce ne sont pas les dépenses qui explosent mais les recettes qui baissent, notamment sous l’effet de l’austérité imposée aux services publics, tant en matière d’effectifs que de traitements. Quant au secteur privé, pour y engranger des cotisations supplémentaires, il faudrait commencer par augmenter le taux d’emploi des seniors, et surtout celui des 60-62 ans, très bas en France. Ce qui suppose de convaincre les entreprises qu’ils ont toujours des compétences, une expérience à leur apporter. Note de contenu : -Industrie verte : l'Europe et les Etats-Unis à armes inégales p.46-49
-HVE: les fausses promesses d'un label pseudo-écolo p.62-65En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/bulle-speculative/00085012 Retraites : la réforme qu’il faudrait [texte imprimé] / Aude Martin, Auteur ; Lou-Eve Popper, Auteur . - Paris (28 rue du Sentier, 75002, France) : Alternatives Economiques, mars 2023 . - 98 p. - (Alternatives économiques; 432) .
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Tags : retraites Ecologie Index. décimale : REVUES Résumé : Faut-il réformer le système de retraite ? Bien sûr, parce qu’il est injuste pour les femmes, les moins qualifiés, ceux qui effectuent des travaux pénibles. Mais aussi parce que le niveau des pensions baisse et risque de diminuer plus encore. Faut-il réformer les retraites par crainte d’un dérapage du déficit ? Non, parce qu’à moyen terme, ce ne sont pas les dépenses qui explosent mais les recettes qui baissent, notamment sous l’effet de l’austérité imposée aux services publics, tant en matière d’effectifs que de traitements. Quant au secteur privé, pour y engranger des cotisations supplémentaires, il faudrait commencer par augmenter le taux d’emploi des seniors, et surtout celui des 60-62 ans, très bas en France. Ce qui suppose de convaincre les entreprises qu’ils ont toujours des compétences, une expérience à leur apporter. Note de contenu : -Industrie verte : l'Europe et les Etats-Unis à armes inégales p.46-49
-HVE: les fausses promesses d'un label pseudo-écolo p.62-65En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/bulle-speculative/00085012
Titre : Les riches tirent-ils l'économie? Type de document : texte imprimé Auteurs : Guillaume Duval, Auteur ; Christian Chavagneux, Auteur Editeur : Paris [France] : Alternatives Economiques Année de publication : nov 2017 Collection : Alternatives économiques num. 373 Importance : p. 10-18 Langues : Français (fre) Tags : Fiscalité France Entreprises Index. décimale : REVUES Résumé : Les riches tirent-ils l'économie ? - Les riches, « premiers de cordée », doivent être épargnés par l'impôt car ils dynamiseraient la création de richesse. Une conviction plus qu'une réalité économique.
Le mauvais pari de la concurrence fiscale - Moins imposer les riches afin qu'ils investissent dans les entreprises ? Rien n'est moins sûr. En revanche, la perte de recettes fiscales est assurée.
Les Scandinaves pour modèle - Pour Philippe Aghion, l'action d'Emmanuel Macron vise davantage à nous rapprocher des pays scandinaves qu'à favoriser les plus riches.
"Un premier de cordée ne peut pas faire avancer seul tout le reste de la société" - Valérie Rabault, ancienne rapporteure du budget, passe en revue la politique économique d'Emmanuel Macron.En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/publication/riches-tirent-leconomie/7500 [...] Les riches tirent-ils l'économie? [texte imprimé] / Guillaume Duval, Auteur ; Christian Chavagneux, Auteur . - Paris (28 rue du Sentier, 75002, France) : Alternatives Economiques, nov 2017 . - p. 10-18. - (Alternatives économiques; 373) .
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Tags : Fiscalité France Entreprises Index. décimale : REVUES Résumé : Les riches tirent-ils l'économie ? - Les riches, « premiers de cordée », doivent être épargnés par l'impôt car ils dynamiseraient la création de richesse. Une conviction plus qu'une réalité économique.
Le mauvais pari de la concurrence fiscale - Moins imposer les riches afin qu'ils investissent dans les entreprises ? Rien n'est moins sûr. En revanche, la perte de recettes fiscales est assurée.
Les Scandinaves pour modèle - Pour Philippe Aghion, l'action d'Emmanuel Macron vise davantage à nous rapprocher des pays scandinaves qu'à favoriser les plus riches.
"Un premier de cordée ne peut pas faire avancer seul tout le reste de la société" - Valérie Rabault, ancienne rapporteure du budget, passe en revue la politique économique d'Emmanuel Macron.En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/publication/riches-tirent-leconomie/7500 [...] Le secteur des télécommunications en Belgique / Franklin Dehousse
Titre : Le secteur des télécommunications en Belgique : quel bilan après cinq ans de concurrence? Type de document : texte imprimé Auteurs : Franklin Dehousse, Auteur ; Tania Zgajewski, Auteur Editeur : CRISP Année de publication : 2003 Collection : Courrier hebdomadaire num. 1821-1822 Importance : 93 p Langues : Français (fre) Tags : Télécommunications Entreprises Belgique Réglementation Service universel Index. décimale : REVUES Résumé : Franklin Dehousse et Tania Zgajewski présentent un aperçu des nombreuses modifications apportées au cadre réglementaire des télécommunications depuis 1999. De nouveaux problèmes sont apparus tels que le lancement de la troisième génération du téléphone mobile (UMTS), la protection du public contre les émissions des antennes, la portabilité des numéros de téléphone en cas de changement d’opérateur. Il a également fallu transposer de nouvelles directives européennes. Le nouveau cadre réglementaire adopté par l’Union européenne en 2002 vise à établir un cadre unique applicable pour toutes les communications électroniques. Le retard de sa transposition en Belgique, pointé par la Commission européenne, constitue un handicap pour les entreprises concernées car il génère une incertitude juridique importante. Les auteurs évoquent les initiatives administratives prises pour compenser cette carence. Enfin, la loi du 17 janvier 2003 sur le statut du régulateur, complétée par une autre loi du même jour sur le recours et le traitement des litiges, a profondément modifié la position de l’IBPT dans la régulation des télécommunications. Les auteurs offrent également une synthèse des changements du marché. Ils examinent d’une part l’évolution des différents secteurs, en soulignant la croissance persistante de la téléphonie mobile et d’internet, et d’autre part l’évolution des principales entreprises. Le secteur des télécommunications en Belgique : quel bilan après cinq ans de concurrence? [texte imprimé] / Franklin Dehousse, Auteur ; Tania Zgajewski, Auteur . - [S.l.] : CRISP, 2003 . - 93 p. - (Courrier hebdomadaire; 1821-1822) .
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Tags : Télécommunications Entreprises Belgique Réglementation Service universel Index. décimale : REVUES Résumé : Franklin Dehousse et Tania Zgajewski présentent un aperçu des nombreuses modifications apportées au cadre réglementaire des télécommunications depuis 1999. De nouveaux problèmes sont apparus tels que le lancement de la troisième génération du téléphone mobile (UMTS), la protection du public contre les émissions des antennes, la portabilité des numéros de téléphone en cas de changement d’opérateur. Il a également fallu transposer de nouvelles directives européennes. Le nouveau cadre réglementaire adopté par l’Union européenne en 2002 vise à établir un cadre unique applicable pour toutes les communications électroniques. Le retard de sa transposition en Belgique, pointé par la Commission européenne, constitue un handicap pour les entreprises concernées car il génère une incertitude juridique importante. Les auteurs évoquent les initiatives administratives prises pour compenser cette carence. Enfin, la loi du 17 janvier 2003 sur le statut du régulateur, complétée par une autre loi du même jour sur le recours et le traitement des litiges, a profondément modifié la position de l’IBPT dans la régulation des télécommunications. Les auteurs offrent également une synthèse des changements du marché. Ils examinent d’une part l’évolution des différents secteurs, en soulignant la croissance persistante de la téléphonie mobile et d’internet, et d’autre part l’évolution des principales entreprises. Et si tout ne s'effondrait pas ? / Chafik Allal
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