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Titre : L'improbable équilibre : Géopolitique du désordre mondial Type de document : texte imprimé Auteurs : Guy Spitaels, Auteur Editeur : Editions Luc Pire Année de publication : 2003 Collection : Voix Politiques Importance : 374 p Langues : Français (fre) Catégories : Belgique Tags : Hégémonie Mondialisation État-nation Géopolitique Politique monétaire Histoire politique Index. décimale : 09.01 Belgique Résumé : Guy Spitaels, ancien président du PS, vient de publier aux éditions Luc Pire. Par un tour d'horizon des acteurs de la politique internationale, il arrive au constat suivant: il faut restaurer la multipolarité et contenir l'unilatéralisme américain."Je ne mène pas une campagne anti-américaine mais il importe d'organiser les contrepoids à l'hyperpuissance". L'improbable équilibre : Géopolitique du désordre mondial [texte imprimé] / Guy Spitaels, Auteur . - [S.l.] : Editions Luc Pire, 2003 . - 374 p. - (Voix Politiques) .
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Catégories : Belgique Tags : Hégémonie Mondialisation État-nation Géopolitique Politique monétaire Histoire politique Index. décimale : 09.01 Belgique Résumé : Guy Spitaels, ancien président du PS, vient de publier aux éditions Luc Pire. Par un tour d'horizon des acteurs de la politique internationale, il arrive au constat suivant: il faut restaurer la multipolarité et contenir l'unilatéralisme américain."Je ne mène pas une campagne anti-américaine mais il importe d'organiser les contrepoids à l'hyperpuissance". Exemplaires
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Titre : Menaces sur les organismes de paiement du chômage Type de document : texte imprimé Auteurs : Arnaud Lismond-Mertes, Auteur ; Mateo Alaluf, Auteur ; Yves Martens, Auteur Editeur : Collectif Solidarité contre l'exclusion Année de publication : novembre 2022 Collection : Ensemble! num. 108 Importance : 90 p Langues : Français (fre) Catégories : Belgique
EmploiTags : Belgique Chômage Intégration sociale Politique de travail Syndicalisme Numérique Index. décimale : 05.03 Politique sociale Résumé : Sous-financés par le gouvernement fédéral et remis en cause dans leur légitimité par le MR, les organismes de paiement de chômeur.euse.s des syndicats sont mis sous pression. Arnaud Lismond-Mertes et Yves Martens (CSCE) Durant la crise du Covid et particulièrement en 2020, l’assurance chômage a démontré à quel point elle était essentielle pour amortir les pertes d’emploi et les crises. L’assurance chômage et ses administrations ont, avec difficultés, fait face. Le tout
a été émaillé d’épisodes chaotiques et parfois dramatiques pour les demandeurs d’emploi, dont des files interminables devant des organismes de paiement, des
erreurs, des retards, etc. En 2020, le nombre de dossiers introduits à l’ONEM pour le paiement d’une allocation a ainsi passé le cap des trois millions, alors qu’il n’était avant la crise sanitaire que d’environ 1,8 million. C’est dire le choc subi par la population et l’effort qui a été fourni par l’ONEM et par les organismes de paiement (OP) des allocations de chômage. Ces derniers s’en trouvent pourtant mal récompensés. En effet, en même temps qu’il lançait une nouvelle charge contre les chômeur.euse.s, en faisant inscrire dans le programme du MR la limitation dans le temps (deux ans) des allocations de chômage, le président du MR a mis son parti en ordre de bataille contre les organisations syndicales, en revendiquant le fait de les exclure de tous les organes de gestion de la Sécurité sociale et du marché de l’emploi (ONEm, Forem, Actiris, instances d’avis...).Note de contenu : -CSC Bruxelles : chômeurs sans allocations et services inaccessibles p.9-13
-Numérisation rime avec déshumanisation p.54-61
-l'évolution des prix de l'énergie et des protections sociales à Bruxelles p.76-78
En ligne : http://www.asbl-csce.be/journal/Ensemble_91.pdf Menaces sur les organismes de paiement du chômage [texte imprimé] / Arnaud Lismond-Mertes, Auteur ; Mateo Alaluf, Auteur ; Yves Martens, Auteur . - [S.l.] : Collectif Solidarité contre l'exclusion, novembre 2022 . - 90 p. - (Ensemble!; 108) .
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EmploiTags : Belgique Chômage Intégration sociale Politique de travail Syndicalisme Numérique Index. décimale : 05.03 Politique sociale Résumé : Sous-financés par le gouvernement fédéral et remis en cause dans leur légitimité par le MR, les organismes de paiement de chômeur.euse.s des syndicats sont mis sous pression. Arnaud Lismond-Mertes et Yves Martens (CSCE) Durant la crise du Covid et particulièrement en 2020, l’assurance chômage a démontré à quel point elle était essentielle pour amortir les pertes d’emploi et les crises. L’assurance chômage et ses administrations ont, avec difficultés, fait face. Le tout
a été émaillé d’épisodes chaotiques et parfois dramatiques pour les demandeurs d’emploi, dont des files interminables devant des organismes de paiement, des
erreurs, des retards, etc. En 2020, le nombre de dossiers introduits à l’ONEM pour le paiement d’une allocation a ainsi passé le cap des trois millions, alors qu’il n’était avant la crise sanitaire que d’environ 1,8 million. C’est dire le choc subi par la population et l’effort qui a été fourni par l’ONEM et par les organismes de paiement (OP) des allocations de chômage. Ces derniers s’en trouvent pourtant mal récompensés. En effet, en même temps qu’il lançait une nouvelle charge contre les chômeur.euse.s, en faisant inscrire dans le programme du MR la limitation dans le temps (deux ans) des allocations de chômage, le président du MR a mis son parti en ordre de bataille contre les organisations syndicales, en revendiquant le fait de les exclure de tous les organes de gestion de la Sécurité sociale et du marché de l’emploi (ONEm, Forem, Actiris, instances d’avis...).Note de contenu : -CSC Bruxelles : chômeurs sans allocations et services inaccessibles p.9-13
-Numérisation rime avec déshumanisation p.54-61
-l'évolution des prix de l'énergie et des protections sociales à Bruxelles p.76-78
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Titre : De la mine à Mars : la genèse d'UMICORE Type de document : texte imprimé Auteurs : René Brion, Auteur ; Jean-Louis Moreau, Auteur Editeur : Lannoo Année de publication : 2006 Importance : 471 p Langues : Français (fre) Catégories : Belgique
Industrie minièreTags : Entreprises UMICORE Histoire Belgique Industrie minière Index. décimale : 04.02 Entreprises Résumé : Quel est le point commun entre le Roi Léopold II, Cecil Rhodes, Harry Truman, Marie Curie, Paul-Henri Spaak, Mobutu Sese Seko, Albert Einstein et Napoléon ? Réponse : ils ont tous joué un rôle dans l’histoire d’Umicore. Ce nom, adopté en 2001 par la société Union Minière, est celui d’une société dont les racines les plus profondes remontent à 1805 et qui est l’héritière d’entreprises d’envergure mondiale du secteur des métaux non ferreux : la société Vieille-Montagne, Union Minière du Haut-Katanga, Société Générale des Minerais, Metallurgie Hoboken-Overpelt, Asturienne des Mines… pour n’en citer que quelques-unes.
La Vieille-Montagne a été l’une des premières entreprises à produire industriellement du zinc métal. C’était en 1805, quand l’inventeur liégeois Jean Jacques Daniel Dony obtint de Napoléon Ier la concession d’un immense gisement de minerai de zinc à La Calamine (Moresnet). La Vieille-Montagne est la plus ancienne multinationale : dès 1860, l’Europe est couverte de ses usines et de ses mines. Pendant des décennies, Vieille-Montagne exercera une politique hégémonique sur le marché mondial du zinc.
Mais les sociétés dont Umicore est issue ont travaillé d’autres métaux que le zinc. Dans les années 1875-1914, on assiste au démarrage d’une industrie diversifiée des métaux non ferreux en Campine et dans la région d’Anvers : on y crée des usines produisant du plomb, du nickel, du cuivre, du zinc, de l’argent, de l’arsenic, du chrome, de l’antimoine, du vanadium, de l’or… Une bonne partie de ces installations sont financées par des capitaux allemands. Leur regroupement progressif donnera naissance à Metallurgie Hoboken-Overpelt.
Umicore a aussi un passé colonial. L’Union Minière du Haut-Katanga a été créée en 1906 sur l’initiative du Roi Léopold II, du Britannique Robert Williams et de la Société Générale de Belgique pour mettre en valeur les énormes gisements de cuivre du Katanga. La société affronta des difficultés énormes : minerai difficile à traiter, rareté de la main-d’œuvre indigène, éloignement des marchés européens… Seul l’entêtement de ses dirigeants (Jean Jadot, Émile Francqui, Félicien Cattier, Robert Williams, Edgar Sengier, Jules Cousin…) permit de surmonter les crises successives. L’Union Minière connaîtra une prospérité exceptionnelle durant la période 1940-1965, notamment en tant que principal producteur de cobalt du monde, mais ses mines sont nationalisées en 1967 par le gouvernement congolais. La société se cherchera en vain des ressources minières de remplacement.
Sous l’égide de la Société Générale, Union Minière devient alors le holding de tête du pôle des non ferreux belge. Ce mouvement culmine en 1989 lorsqu’elle absorbe Vieille-Montagne et Metallurgie Hoboken-Overpelt. Dans les années qui suivent, le groupe va également concentrer ses activités sur les métaux précieux, les matériaux avancés et la catalyse.
Pour cet ouvrage original, les auteurs ont eu accès à toutes les archives du groupe, exception faite de celles des dix dernières années. Ils ont pu ainsi donner des éclairages nouveaux sur des matières controversées, notamment l’attitude de l’Union Minière pendant la seconde guerre mondiale, les livraisons d’uranium aux Américains durant la guerre froide, les responsabilités de l’Union Minière lors de la sécession du Katanga en 1960 ou sa politique sociale vis-à-vis des travailleurs congolais.De la mine à Mars : la genèse d'UMICORE [texte imprimé] / René Brion, Auteur ; Jean-Louis Moreau, Auteur . - [S.l.] : Lannoo, 2006 . - 471 p.
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Industrie minièreTags : Entreprises UMICORE Histoire Belgique Industrie minière Index. décimale : 04.02 Entreprises Résumé : Quel est le point commun entre le Roi Léopold II, Cecil Rhodes, Harry Truman, Marie Curie, Paul-Henri Spaak, Mobutu Sese Seko, Albert Einstein et Napoléon ? Réponse : ils ont tous joué un rôle dans l’histoire d’Umicore. Ce nom, adopté en 2001 par la société Union Minière, est celui d’une société dont les racines les plus profondes remontent à 1805 et qui est l’héritière d’entreprises d’envergure mondiale du secteur des métaux non ferreux : la société Vieille-Montagne, Union Minière du Haut-Katanga, Société Générale des Minerais, Metallurgie Hoboken-Overpelt, Asturienne des Mines… pour n’en citer que quelques-unes.
La Vieille-Montagne a été l’une des premières entreprises à produire industriellement du zinc métal. C’était en 1805, quand l’inventeur liégeois Jean Jacques Daniel Dony obtint de Napoléon Ier la concession d’un immense gisement de minerai de zinc à La Calamine (Moresnet). La Vieille-Montagne est la plus ancienne multinationale : dès 1860, l’Europe est couverte de ses usines et de ses mines. Pendant des décennies, Vieille-Montagne exercera une politique hégémonique sur le marché mondial du zinc.
Mais les sociétés dont Umicore est issue ont travaillé d’autres métaux que le zinc. Dans les années 1875-1914, on assiste au démarrage d’une industrie diversifiée des métaux non ferreux en Campine et dans la région d’Anvers : on y crée des usines produisant du plomb, du nickel, du cuivre, du zinc, de l’argent, de l’arsenic, du chrome, de l’antimoine, du vanadium, de l’or… Une bonne partie de ces installations sont financées par des capitaux allemands. Leur regroupement progressif donnera naissance à Metallurgie Hoboken-Overpelt.
Umicore a aussi un passé colonial. L’Union Minière du Haut-Katanga a été créée en 1906 sur l’initiative du Roi Léopold II, du Britannique Robert Williams et de la Société Générale de Belgique pour mettre en valeur les énormes gisements de cuivre du Katanga. La société affronta des difficultés énormes : minerai difficile à traiter, rareté de la main-d’œuvre indigène, éloignement des marchés européens… Seul l’entêtement de ses dirigeants (Jean Jadot, Émile Francqui, Félicien Cattier, Robert Williams, Edgar Sengier, Jules Cousin…) permit de surmonter les crises successives. L’Union Minière connaîtra une prospérité exceptionnelle durant la période 1940-1965, notamment en tant que principal producteur de cobalt du monde, mais ses mines sont nationalisées en 1967 par le gouvernement congolais. La société se cherchera en vain des ressources minières de remplacement.
Sous l’égide de la Société Générale, Union Minière devient alors le holding de tête du pôle des non ferreux belge. Ce mouvement culmine en 1989 lorsqu’elle absorbe Vieille-Montagne et Metallurgie Hoboken-Overpelt. Dans les années qui suivent, le groupe va également concentrer ses activités sur les métaux précieux, les matériaux avancés et la catalyse.
Pour cet ouvrage original, les auteurs ont eu accès à toutes les archives du groupe, exception faite de celles des dix dernières années. Ils ont pu ainsi donner des éclairages nouveaux sur des matières controversées, notamment l’attitude de l’Union Minière pendant la seconde guerre mondiale, les livraisons d’uranium aux Américains durant la guerre froide, les responsabilités de l’Union Minière lors de la sécession du Katanga en 1960 ou sa politique sociale vis-à-vis des travailleurs congolais.Exemplaires
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Titre : Le monde est petit : Une politique étrangère à dimension humaine Type de document : texte imprimé Editeur : Royaume de Belgique Affaires étrangères, Commerce extérieur et Coopération au développement Année de publication : 1999 Importance : 52 p Langues : Français (fre) Catégories : Belgique
PolitiqueTags : Europe Politique étrangère Belgique Index. décimale : 09.01 Belgique Résumé : La politique n'est pas une activité abstraite, elle traite des hommes, de la cohésion sociale. Ceci est d'autant plus valable pour la politique étrangère. Le besoin de coordination au plan international devient de plus en plus pressant : la monde devient de plus en plus accessible. Expliquer comment le ministère des Affaires étrangères agit dans la pratique est l'objectif assigné à cette brochure En ligne : http://www.europarl.europa.eu/RegData/etudes/fiches_techniques/2013/060101/04A_F [...] Le monde est petit : Une politique étrangère à dimension humaine [texte imprimé] . - [S.l.] : Royaume de Belgique Affaires étrangères, Commerce extérieur et Coopération au développement, 1999 . - 52 p.
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PolitiqueTags : Europe Politique étrangère Belgique Index. décimale : 09.01 Belgique Résumé : La politique n'est pas une activité abstraite, elle traite des hommes, de la cohésion sociale. Ceci est d'autant plus valable pour la politique étrangère. Le besoin de coordination au plan international devient de plus en plus pressant : la monde devient de plus en plus accessible. Expliquer comment le ministère des Affaires étrangères agit dans la pratique est l'objectif assigné à cette brochure En ligne : http://www.europarl.europa.eu/RegData/etudes/fiches_techniques/2013/060101/04A_F [...] Exemplaires
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Titre : Le monde ouvrier a-t-il vécu ? Type de document : document électronique Auteurs : Michel Nejszaten, Auteur Editeur : IHOES Année de publication : avril 2014 Collection : Analyses de l'IHOES num. 140 Importance : 10 p Langues : Français (fre) Catégories : Syndicalisme
BelgiqueTags : Mouvement ouvrier Syndicalisme Histoire sociale Belgique Résumé : Après les années de prospérité dont l’envers du décor pour les travailleurs a été abordé dans l’article Que sont les
ouvriers devenus? La face cachée de « l’âge d’or » ouvrier : le travail productif de 1960 à 1975 (Analyse de l’IHOES N°123 - 18 février 2014), la situation économique s’est fortement dégradée et la « crise » a souvent été invoquée depuis la crise pétrolière de 1973. Aujourd’hui, la désindustrialisation se poursuit. En Belgique, les emplois manufacturiers sont passés de 37 % de l’emploi total vers 1965 à 13,5 % en 2011. En parallèle, les activités de service n’ont cessé de croître et représentaient, à la même date, 79,6 %. Le nombre d’employés dépasse désormais le nombre d’ouvriers en Belgique. Dans les études statistiques et autres, les ouvriers sont rarement considérés à part, ils se retrouvent dans la catégorie générale des « travailleurs » ou des « salariés », ou encore à rechercher dans l’échantillon le « moins diplômé ». La disparition formelle des ouvriers sera-t-elle effective lorsqu’ils auront acquis – c’est en route par la voie législative et celle des conventions – le même statut que les employés ? Exit la classe ouvrière ? Pas si vite. Avant les années 1990, les différences avec les employés allaient de soi. Qu’en est-il depuis ? Est-ce que la condition ouvrière reste une réalité spécifique ? Pour tenter d’y répondre, nous vous proposons un survol de la condition ouvrière récente (salaire, organisation du travail, absentéisme...En ligne : http://www.ihoes.be/PDF/IHOES_Analyse140 Le monde ouvrier a-t-il vécu ? [document électronique] / Michel Nejszaten, Auteur . - [S.l.] : IHOES, avril 2014 . - 10 p. - (Analyses de l'IHOES; 140) .
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BelgiqueTags : Mouvement ouvrier Syndicalisme Histoire sociale Belgique Résumé : Après les années de prospérité dont l’envers du décor pour les travailleurs a été abordé dans l’article Que sont les
ouvriers devenus? La face cachée de « l’âge d’or » ouvrier : le travail productif de 1960 à 1975 (Analyse de l’IHOES N°123 - 18 février 2014), la situation économique s’est fortement dégradée et la « crise » a souvent été invoquée depuis la crise pétrolière de 1973. Aujourd’hui, la désindustrialisation se poursuit. En Belgique, les emplois manufacturiers sont passés de 37 % de l’emploi total vers 1965 à 13,5 % en 2011. En parallèle, les activités de service n’ont cessé de croître et représentaient, à la même date, 79,6 %. Le nombre d’employés dépasse désormais le nombre d’ouvriers en Belgique. Dans les études statistiques et autres, les ouvriers sont rarement considérés à part, ils se retrouvent dans la catégorie générale des « travailleurs » ou des « salariés », ou encore à rechercher dans l’échantillon le « moins diplômé ». La disparition formelle des ouvriers sera-t-elle effective lorsqu’ils auront acquis – c’est en route par la voie législative et celle des conventions – le même statut que les employés ? Exit la classe ouvrière ? Pas si vite. Avant les années 1990, les différences avec les employés allaient de soi. Qu’en est-il depuis ? Est-ce que la condition ouvrière reste une réalité spécifique ? Pour tenter d’y répondre, nous vous proposons un survol de la condition ouvrière récente (salaire, organisation du travail, absentéisme...En ligne : http://www.ihoes.be/PDF/IHOES_Analyse140 Exemplaires
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