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Titre : Coopération pour le développement agricole en Afrique : Le rôle des entreprises et des fondations privées Type de document : document électronique Editeur : Inter-réseaux Développement rural Année de publication : août 2013 Collection : Bulletin de synthèse souveraineté alimentaire num. 10 Importance : 8 p Langues : Français (fre) Catégories : Afrique Tags : Souveraineté alimentaire Développement agricole Politique agricole Entreprises Fondations privées Afrique Résumé : Ce numéro des Bulletins de synthèse Souveraineté alimentaire s’intéresse à la problématique du rôle des entreprises et des fondations privées dans la coopération pour le développement agricole en Afrique.
Devenue un thème phare de l’agenda de l’aide internationale, la question du rôle du « secteur privé » pour le développement fait aujourd’hui florès, y compris dans le domaine agricole. Sous le coup des crises alimentaires et des émeutes de la faim du début des années 2000, l’agriculture - qui avait subi une lente marginalisation depuis les années 1980 - se voit réinvestie. Ce regain d’intérêt émane aussi bien des milieux économiques - avec la hausse des prix des matières premières agricoles qui en fait une nouvelle classe d’actifs pour les investisseurs internationaux - que de l’espace politique avec une aide publique au développement (APD) qui est alors redirigée vers l’agriculture sous l’égide de la sécurisation alimentaire. Ce retour à l’agenda de l’aide internationale a d’abord été interprété comme un signe positif pour le développement agricole des Etats africains ; il est aujourd’hui largement questionné dans ses modalités. En l’espace de deux décennies, la coopération internationale a en effet connu des évolutions notables. Le « secteur privé » n’a jamais été aussi intriqué dans sa conception, son pilotage et sa mise en œuvre alors que le rôle des entreprises et des fondations privées en tant qu’acteurs de l’aide s’est considérablement accru. Fonctionnant souvent en duo, l’intervention des firmes dans l’aide au développement ne se limite pourtant pas au très formel mécénat par le bais de fondations d’entreprises. Il faut parfois détailler le portefeuille d’actions détenues par ces riches philanthropes, pour la plupart nord-américains, qui investissent à l’international pour reconstituer les liens entre fondations et multinationales.En ligne : http://www.inter-reseaux.org/IMG/pdf/BDS_No10_final.pdf Coopération pour le développement agricole en Afrique : Le rôle des entreprises et des fondations privées [document électronique] . - [S.l.] : Inter-réseaux Développement rural, août 2013 . - 8 p. - (Bulletin de synthèse souveraineté alimentaire; 10) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Afrique Tags : Souveraineté alimentaire Développement agricole Politique agricole Entreprises Fondations privées Afrique Résumé : Ce numéro des Bulletins de synthèse Souveraineté alimentaire s’intéresse à la problématique du rôle des entreprises et des fondations privées dans la coopération pour le développement agricole en Afrique.
Devenue un thème phare de l’agenda de l’aide internationale, la question du rôle du « secteur privé » pour le développement fait aujourd’hui florès, y compris dans le domaine agricole. Sous le coup des crises alimentaires et des émeutes de la faim du début des années 2000, l’agriculture - qui avait subi une lente marginalisation depuis les années 1980 - se voit réinvestie. Ce regain d’intérêt émane aussi bien des milieux économiques - avec la hausse des prix des matières premières agricoles qui en fait une nouvelle classe d’actifs pour les investisseurs internationaux - que de l’espace politique avec une aide publique au développement (APD) qui est alors redirigée vers l’agriculture sous l’égide de la sécurisation alimentaire. Ce retour à l’agenda de l’aide internationale a d’abord été interprété comme un signe positif pour le développement agricole des Etats africains ; il est aujourd’hui largement questionné dans ses modalités. En l’espace de deux décennies, la coopération internationale a en effet connu des évolutions notables. Le « secteur privé » n’a jamais été aussi intriqué dans sa conception, son pilotage et sa mise en œuvre alors que le rôle des entreprises et des fondations privées en tant qu’acteurs de l’aide s’est considérablement accru. Fonctionnant souvent en duo, l’intervention des firmes dans l’aide au développement ne se limite pourtant pas au très formel mécénat par le bais de fondations d’entreprises. Il faut parfois détailler le portefeuille d’actions détenues par ces riches philanthropes, pour la plupart nord-américains, qui investissent à l’international pour reconstituer les liens entre fondations et multinationales.En ligne : http://www.inter-reseaux.org/IMG/pdf/BDS_No10_final.pdf