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Titre : Education à la citoyenneté solidaire et monde scolaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Chafik Allal, Auteur ; Florine Deveseleer, Auteur ; Cécile Giraud Editeur : Iteco Année de publication : novembre 2020 Collection : Antipodes Sous-collection : Outils pédagogiques num. 21 Importance : 72 p Langues : Français (fre) Tags : Education Citoyenneté Index. décimale : 07.02 Société Résumé : Changer le monde depuis l’école. De gauche comme de droite, cette assertion nous sonne comme une évidence tant l’institution scolaire détient depuis la fin du XVIIIe siècle le monopole de l’apprentissage et du seul lieu (hors la famille) qui convienne le plus aux enfants et à leur éducation. Reste encore à savoir au service de quel monde, de quel modèle de société nous la faisons œuvrer...Si l’école est un des lieux d’une possible émancipation à travers la diffusion d’instruments augmentant notre puissance de pensée et d’agir, elle est également (et surtout ?) le lieu de la légitimation et de l’intériorisation de l’ordre social existant jusqu’à être devenue pour certains la « meilleure agence de publicité qui nous fait accepter la société telle qu’elle est » [1]. Elle serait en ce sens chaque fois plus un lieu d’adaptation des individus aux conditions de marché préparant leur mise en concurrence à partir d’un triage social opéré et naturalisé à travers une distribution des diplômes et des mérites scolaires. Note de contenu : -essaimer l'Education à la Citoyenneté Mondiale et Solidaire en milieu scolaire p.29-33 Education à la citoyenneté solidaire et monde scolaire [texte imprimé] / Chafik Allal, Auteur ; Florine Deveseleer, Auteur ; Cécile Giraud . - [S.l.] : Iteco, novembre 2020 . - 72 p. - (Antipodes. Outils pédagogiques; 21) .
Langues : Français (fre)
Tags : Education Citoyenneté Index. décimale : 07.02 Société Résumé : Changer le monde depuis l’école. De gauche comme de droite, cette assertion nous sonne comme une évidence tant l’institution scolaire détient depuis la fin du XVIIIe siècle le monopole de l’apprentissage et du seul lieu (hors la famille) qui convienne le plus aux enfants et à leur éducation. Reste encore à savoir au service de quel monde, de quel modèle de société nous la faisons œuvrer...Si l’école est un des lieux d’une possible émancipation à travers la diffusion d’instruments augmentant notre puissance de pensée et d’agir, elle est également (et surtout ?) le lieu de la légitimation et de l’intériorisation de l’ordre social existant jusqu’à être devenue pour certains la « meilleure agence de publicité qui nous fait accepter la société telle qu’elle est » [1]. Elle serait en ce sens chaque fois plus un lieu d’adaptation des individus aux conditions de marché préparant leur mise en concurrence à partir d’un triage social opéré et naturalisé à travers une distribution des diplômes et des mérites scolaires. Note de contenu : -essaimer l'Education à la Citoyenneté Mondiale et Solidaire en milieu scolaire p.29-33
Titre : Education et digital, ou l'amourette aux temps du covid Type de document : texte imprimé Auteurs : Chafik Allal, Auteur ; Julia Petri, Auteur ; Jean-Sébastien Philippart Editeur : Iteco Année de publication : décembre 2020 Collection : Antipodes num. 231 Importance : 68 p Langues : Français (fre) Tags : Education Citoyenneté Numérique Index. décimale : 07.02 Société Résumé : Depuis le début du premier confinement résultant de la COVID-19 en mars, nous voyons se répandre ce qui était prôné depuis les années 90 par l’OCDE : l’enseignement, l’éducation et la formation à distance et l’auto-apprentissage à la maison, en utilisant les technologies digitales de communication. Dans cet article, nous allons parler plus particulièrement de la formation pour adultes, à travers le numérique (e-formation, e- learning) et le pouvoir des GAFAM.
Le sens de notre travail. Ce qui est gênant, ce n’est pas tant que des personnes l’utilisent, qui pour compenser l’absence, qui pour noyer son ennui, qui pour garder un contact (avec sa famille, ses amis, les collègues). La technologie est là et rien n’interdit de l’utiliser comme palliatif durant cette époque exceptionnelle ou comme potentiel et possibilité de création pour élargir les horizons de pratiques. Non, ce qui semble gênant, c’est le fait qu’on soit déjà là à « traduire » ou « convertir » des activités, que dis-je, changer le sens de métiers en profitant du confinement. Même – et peut-être surtout – au sein de groupes de personnes se définissant comme opposantes à cela.Note de contenu : -contre le fétichisme du numérique p.8-13
-Numérisation en Bolivie : vers une standardisation de nos pensées? p.24-29
-Quand le digital s'empare de l'école p.46-53
-La crise sanitaire est révélatrice de la nécessité urgence de se former à l'analyse critique des médias p.54-65Education et digital, ou l'amourette aux temps du covid [texte imprimé] / Chafik Allal, Auteur ; Julia Petri, Auteur ; Jean-Sébastien Philippart . - [S.l.] : Iteco, décembre 2020 . - 68 p. - (Antipodes; 231) .
Langues : Français (fre)
Tags : Education Citoyenneté Numérique Index. décimale : 07.02 Société Résumé : Depuis le début du premier confinement résultant de la COVID-19 en mars, nous voyons se répandre ce qui était prôné depuis les années 90 par l’OCDE : l’enseignement, l’éducation et la formation à distance et l’auto-apprentissage à la maison, en utilisant les technologies digitales de communication. Dans cet article, nous allons parler plus particulièrement de la formation pour adultes, à travers le numérique (e-formation, e- learning) et le pouvoir des GAFAM.
Le sens de notre travail. Ce qui est gênant, ce n’est pas tant que des personnes l’utilisent, qui pour compenser l’absence, qui pour noyer son ennui, qui pour garder un contact (avec sa famille, ses amis, les collègues). La technologie est là et rien n’interdit de l’utiliser comme palliatif durant cette époque exceptionnelle ou comme potentiel et possibilité de création pour élargir les horizons de pratiques. Non, ce qui semble gênant, c’est le fait qu’on soit déjà là à « traduire » ou « convertir » des activités, que dis-je, changer le sens de métiers en profitant du confinement. Même – et peut-être surtout – au sein de groupes de personnes se définissant comme opposantes à cela.Note de contenu : -contre le fétichisme du numérique p.8-13
-Numérisation en Bolivie : vers une standardisation de nos pensées? p.24-29
-Quand le digital s'empare de l'école p.46-53
-La crise sanitaire est révélatrice de la nécessité urgence de se former à l'analyse critique des médias p.54-65
Titre : Education, formation : un défi syndical Type de document : document électronique Auteurs : Olivier Bailli, Auteur Editeur : Politique revue de débats Année de publication : mai 2009 Collection : Les Hors-série de Politique num. HS11 Importance : 46 p Note générale : Compte-rendu des forums 2007 et 2008 de la FGTB de Bruxelles Langues : Français (fre) Catégories : Services publics
SyndicalismeTags : Services publics Syndicats Education Résumé : Les défis sociaux auxquels Bruxelles doit faire face sont majeurs : désindustrialisation, précarisation du travail, chômage massif, exclusion sociale, coût prohibitif du logement, équipements collectifs insuffisants, systèmes d’éducation et de formation sous-financés… Bien que son action soit principalement ancrée dans les entreprises et vise la conquête de droits sociaux aux côtés des travailleurs, la FGTB a toujours également été présente – notamment à Bruxelles – sur les autres terrains de lutte sociale, par exemple pour le droit au logement, à l’éducation, à la culture ou encore à la santé. En ligne : https://issuu.com/fgtbbxl/docs/pol2 Education, formation : un défi syndical [document électronique] / Olivier Bailli, Auteur . - [S.l.] : Politique revue de débats, mai 2009 . - 46 p. - (Les Hors-série de Politique; HS11) .
Compte-rendu des forums 2007 et 2008 de la FGTB de Bruxelles
Langues : Français (fre)
Catégories : Services publics
SyndicalismeTags : Services publics Syndicats Education Résumé : Les défis sociaux auxquels Bruxelles doit faire face sont majeurs : désindustrialisation, précarisation du travail, chômage massif, exclusion sociale, coût prohibitif du logement, équipements collectifs insuffisants, systèmes d’éducation et de formation sous-financés… Bien que son action soit principalement ancrée dans les entreprises et vise la conquête de droits sociaux aux côtés des travailleurs, la FGTB a toujours également été présente – notamment à Bruxelles – sur les autres terrains de lutte sociale, par exemple pour le droit au logement, à l’éducation, à la culture ou encore à la santé. En ligne : https://issuu.com/fgtbbxl/docs/pol2
Titre : Education populaire et mouvements sociaux du travail Type de document : texte imprimé Auteurs : Fabio Bruschi, Auteur ; Nicolas Marion, Auteur ; Pietro Tosi, Auteur Editeur : ARC-Action et Recherche Culturelles Année de publication : septembre 2021 Collection : Permanences Critiques num. 2 Importance : 78 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Capitalisme Neolibéralisme Éducation Travail Théorie économique Résumé : Le dossier du deuxième numéro de Permanences Critiques, intitulé « Éducation populaire et mouvements sociaux du travail », entend aborder les nombreux enjeux actuels qui se posent à l’éducation et la formation des travailleurs et travailleuses dès lors qu’il s’agit de penser l’horizon politique des mouvements sociaux du travail. La réflexion sur l’orientation et la visée des luttes autour de la question du travail soulève en effet avec acuité aujourd’hui le problème du dépassement d’un référentiel d’émancipation des travailleuses et des travailleurs qui s’est largement construit dans l’héritage de la société du compromis social ou fordiste : celui d’une émancipation obtenue par la subordination des mouvements sociaux du travail au cadre fixé par le projet de société de la classe dominante. Si ce mouvement d’intégration des mouvements sociaux du travail dans l’horizon capitaliste, tant idéologique qu’institutionnel, a pu, durant quelques décennies, apporter des progrès non négligeables pour les travailleuses et travailleurs, il est, face au néolibéralisme, en crise profonde, et entrave les possibilités de réinventer un référentiel d’émancipation plus à même de répondre aux enjeux globaux que les mondes du travail doivent affronter. Note de contenu : -D'une hégémonie à l'autre p.9-34
-Une lecture gramscienne de l'éducation populaire p.35-44En ligne : https://www.arc-culture.be/permanences-critiques/ Education populaire et mouvements sociaux du travail [texte imprimé] / Fabio Bruschi, Auteur ; Nicolas Marion, Auteur ; Pietro Tosi, Auteur . - [S.l.] : ARC-Action et Recherche Culturelles, septembre 2021 . - 78 p. - (Permanences Critiques; 2) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Capitalisme Neolibéralisme Éducation Travail Théorie économique Résumé : Le dossier du deuxième numéro de Permanences Critiques, intitulé « Éducation populaire et mouvements sociaux du travail », entend aborder les nombreux enjeux actuels qui se posent à l’éducation et la formation des travailleurs et travailleuses dès lors qu’il s’agit de penser l’horizon politique des mouvements sociaux du travail. La réflexion sur l’orientation et la visée des luttes autour de la question du travail soulève en effet avec acuité aujourd’hui le problème du dépassement d’un référentiel d’émancipation des travailleuses et des travailleurs qui s’est largement construit dans l’héritage de la société du compromis social ou fordiste : celui d’une émancipation obtenue par la subordination des mouvements sociaux du travail au cadre fixé par le projet de société de la classe dominante. Si ce mouvement d’intégration des mouvements sociaux du travail dans l’horizon capitaliste, tant idéologique qu’institutionnel, a pu, durant quelques décennies, apporter des progrès non négligeables pour les travailleuses et travailleurs, il est, face au néolibéralisme, en crise profonde, et entrave les possibilités de réinventer un référentiel d’émancipation plus à même de répondre aux enjeux globaux que les mondes du travail doivent affronter. Note de contenu : -D'une hégémonie à l'autre p.9-34
-Une lecture gramscienne de l'éducation populaire p.35-44En ligne : https://www.arc-culture.be/permanences-critiques/
Titre : Éducation en situation de crise Type de document : document électronique Auteurs : Patricia Danzi, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Luca Beti, Auteur Editeur : Direction du développement et de la coopération DDC Année de publication : décembre 2022 Collection : Un seul monde num. 4 Importance : 43 p Langues : Français (fre) Tags : Pays en développement Eau Education Résumé : L’éducation est un droit humain fondamental. Pourtant, des centaines de millions d’enfants à travers le monde ne peuvent pas aller à l’école parce qu’elles et ils vivent dans une situation d’urgence, qui dure parfois depuis de nombreuses années. La communauté internationale doit soutenir les États pour qu’ils puissent offrir une instruction scolaire de qualité, l’une des mesures les plus efficaces dans la lutte contre la pauvreté. Le récit de Kinda et de Bayan revient sans cesse à l’esprit. Les yeux rivés sur l’objectif de la caméra, les deux fillettes syriennes racontent leur vie quotidienne sous les bombes. «En Syrie, les
routes sont dangereuses, pleines de fil barbelé et d’éclats de munitions. L’école, c’est toute ma vie. J’aime étudier et jouer avec mes amies», raconte Kinda. «J’ai d’abord perdu mon père et j’ai été ensuite privée de trois ans d’école», explique Bayan. Onze années de guerre civile sont venues détruire leur rêve de
devenir maîtresse d’école et médecin. Comme plus de 2,4 millions d’enfants en Syrie, Kinda et Bayan ne vont pas à l’école.Note de contenu : -Economiser l'eau et favoriser la sécurité alimentaire p.34-36 Éducation en situation de crise [document électronique] / Patricia Danzi, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Luca Beti, Auteur . - Suisse : Direction du développement et de la coopération DDC, décembre 2022 . - 43 p. - (Un seul monde; 4) .
Langues : Français (fre)
Tags : Pays en développement Eau Education Résumé : L’éducation est un droit humain fondamental. Pourtant, des centaines de millions d’enfants à travers le monde ne peuvent pas aller à l’école parce qu’elles et ils vivent dans une situation d’urgence, qui dure parfois depuis de nombreuses années. La communauté internationale doit soutenir les États pour qu’ils puissent offrir une instruction scolaire de qualité, l’une des mesures les plus efficaces dans la lutte contre la pauvreté. Le récit de Kinda et de Bayan revient sans cesse à l’esprit. Les yeux rivés sur l’objectif de la caméra, les deux fillettes syriennes racontent leur vie quotidienne sous les bombes. «En Syrie, les
routes sont dangereuses, pleines de fil barbelé et d’éclats de munitions. L’école, c’est toute ma vie. J’aime étudier et jouer avec mes amies», raconte Kinda. «J’ai d’abord perdu mon père et j’ai été ensuite privée de trois ans d’école», explique Bayan. Onze années de guerre civile sont venues détruire leur rêve de
devenir maîtresse d’école et médecin. Comme plus de 2,4 millions d’enfants en Syrie, Kinda et Bayan ne vont pas à l’école.Note de contenu : -Economiser l'eau et favoriser la sécurité alimentaire p.34-36 Documents numériques
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