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Titre : Pollution la face cachée du numérique Type de document : document électronique Editeur : Paris [France] : Alternatives Economiques Année de publication : janvier 2020 Collection : Alternatives économiques num. 397 Importance : p. 20-34 Langues : Français (fre) Tags : Economie numérique Développement durable NTIC Index. décimale : REVUES Résumé : Le numérique, ce n’est pas magique. Les mots et plus encore les images que nous lançons en rafales tout près de nous ou à l’autre bout du monde exigent, pour se déplacer, pour être consultés, de considérables quantités de matières. Des tonnes de métaux, d’abord, parfois très rares, pour fabriquer les portables qui ne nous quittent plus de la journée. Des gigawatts d’énergie, ensuite, pour faire fonctionner d’interminables réseaux et de gigantesques serveurs qui émettent d’énormes quantités de chaleur, contribuant tout comme nos voitures et nos avions au dérèglement du climat planétaire. Afin d’enrayer cette périlleuse machine à polluer, nous devons adopter individuellement et collectivement la sobriété numérique, en faisant le tri parmi les innovations qui nous sont chaque jour proposées, en apprenant à réparer et à recycler les matériels qui peuvent l’être plutôt que de les jeter, et en mettant toutes les technologies nouvelles au service de l’environnement plutôt que l’inverse.
Qu’est-ce qui nous pousse à toujours plus cliquer ? - Pour capter l’attention des utilisateurs, les géants du numérique ne lésinent pas sur les moyens. Ils mettent notamment le paquet sur la vidéo, pourtant très gourmande en énergie. / L’insoutenable croissance du numérique - Le numérique connaît une croissance exponentielle et son empreinte environnementale également. Avec la multiplication des équipements et des usages, ce n’est pas près de s’arrêter. / Les métaux rares mettent le monde sous tension - Le numérique consomme beaucoup de métaux, dont l’extraction a un fort impact environnemental et qui se raréfient. Pour éviter la pénurie et réduire la pollution, des solutions existent. / De la production à l’usage, toute une chaîne à revoir - Pour réduire l’impact du numérique sur l’environnement, il faut changer d’état d’esprit et organiser des filières de réemploi. / « Il faut imposer des limites au numérique » - Transition énergétique et numérique : amie ou ennemie ? Dans son livre, Pour une écologie numérique, Eric Vidalenc plaide pour un numérique au service de la transition énergétique.En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/publication/pollution-face-cachee-numeri [...] Pollution la face cachée du numérique [document électronique] . - Paris (28 rue du Sentier, 75002, France) : Alternatives Economiques, janvier 2020 . - p. 20-34. - (Alternatives économiques; 397) .
Langues : Français (fre)
Tags : Economie numérique Développement durable NTIC Index. décimale : REVUES Résumé : Le numérique, ce n’est pas magique. Les mots et plus encore les images que nous lançons en rafales tout près de nous ou à l’autre bout du monde exigent, pour se déplacer, pour être consultés, de considérables quantités de matières. Des tonnes de métaux, d’abord, parfois très rares, pour fabriquer les portables qui ne nous quittent plus de la journée. Des gigawatts d’énergie, ensuite, pour faire fonctionner d’interminables réseaux et de gigantesques serveurs qui émettent d’énormes quantités de chaleur, contribuant tout comme nos voitures et nos avions au dérèglement du climat planétaire. Afin d’enrayer cette périlleuse machine à polluer, nous devons adopter individuellement et collectivement la sobriété numérique, en faisant le tri parmi les innovations qui nous sont chaque jour proposées, en apprenant à réparer et à recycler les matériels qui peuvent l’être plutôt que de les jeter, et en mettant toutes les technologies nouvelles au service de l’environnement plutôt que l’inverse.
Qu’est-ce qui nous pousse à toujours plus cliquer ? - Pour capter l’attention des utilisateurs, les géants du numérique ne lésinent pas sur les moyens. Ils mettent notamment le paquet sur la vidéo, pourtant très gourmande en énergie. / L’insoutenable croissance du numérique - Le numérique connaît une croissance exponentielle et son empreinte environnementale également. Avec la multiplication des équipements et des usages, ce n’est pas près de s’arrêter. / Les métaux rares mettent le monde sous tension - Le numérique consomme beaucoup de métaux, dont l’extraction a un fort impact environnemental et qui se raréfient. Pour éviter la pénurie et réduire la pollution, des solutions existent. / De la production à l’usage, toute une chaîne à revoir - Pour réduire l’impact du numérique sur l’environnement, il faut changer d’état d’esprit et organiser des filières de réemploi. / « Il faut imposer des limites au numérique » - Transition énergétique et numérique : amie ou ennemie ? Dans son livre, Pour une écologie numérique, Eric Vidalenc plaide pour un numérique au service de la transition énergétique.En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/publication/pollution-face-cachee-numeri [...]
Titre : Pollution : une justice à deux vitesses pour Chevron Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathilde Dupré, Auteur Editeur : Paris [France] : Alternatives Economiques Année de publication : février 2019 Collection : Alternatives économiques num. 387 Importance : p. 46-47 Langues : Français (fre) Tags : Environnement Equateur Chevron Justice Index. décimale : REVUES Pollution : une justice à deux vitesses pour Chevron [texte imprimé] / Mathilde Dupré, Auteur . - Paris (28 rue du Sentier, 75002, France) : Alternatives Economiques, février 2019 . - p. 46-47. - (Alternatives économiques; 387) .
Langues : Français (fre)
Tags : Environnement Equateur Chevron Justice Index. décimale : REVUES
Titre : Pourquoi l'Europe est en difficulté : comprendre Type de document : texte imprimé Auteurs : Arnaud Parienty, Auteur Editeur : Paris [France] : Alternatives Economiques Année de publication : février 2017 Collection : Alternatives économiques num. 365 Importance : p. 76-79 Langues : Français (fre) Tags : Union européenne UE Index. décimale : REVUES Résumé : La création d'un marché commun puis unique et la monnaie commune devaient rapprocher les peuples et assurer la paix. Au final, l'Union n'a guère rapproché les Européens et suscite désormais un grand scepticisme. La faute à ses nombreux dysfonctionnements. En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/leurope-difficulte/00077139 Pourquoi l'Europe est en difficulté : comprendre [texte imprimé] / Arnaud Parienty, Auteur . - Paris (28 rue du Sentier, 75002, France) : Alternatives Economiques, février 2017 . - p. 76-79. - (Alternatives économiques; 365) .
Langues : Français (fre)
Tags : Union européenne UE Index. décimale : REVUES Résumé : La création d'un marché commun puis unique et la monnaie commune devaient rapprocher les peuples et assurer la paix. Au final, l'Union n'a guère rapproché les Européens et suscite désormais un grand scepticisme. La faute à ses nombreux dysfonctionnements. En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/leurope-difficulte/00077139
Titre : Pourquoi il faut taxer les ultrariches Type de document : texte imprimé Auteurs : Aude Martin, Auteur ; Pete Reynolds, Auteur ; Valéry Laramée de Tannenberg, Auteur Editeur : Paris [France] : Alternatives Economiques Année de publication : avril 2024 Collection : Alternatives économiques num. 445 Importance : 98 p Langues : Français (fre) Tags : Taxes Richesse Impôts Ecologie Index. décimale : REVUES Résumé : L’ensemble des pays européens fait face aux mêmes défis : la transition énergétique, la dépendance des personnes âgées, la nécessité d’investir dans l’industrie, l’éducation, la santé, la recherche, etc. Tout cela dans un environnement économique plutôt morose avec une croissance, et donc des rentrées fiscales, au ralenti. Face à ce choc de dépenses publiques nécessaires, il y a deux solutions si l’on souhaite maîtriser la dette publique. Soit on taille dans les autres dépenses publiques, comme la protection sociale, et c’est la voie choisie par le gouvernement français. Soit on augmente les recettes fiscales en taxant plus et mieux la partie de la population qui paie relativement le moins d’impôts : les très riches. Une mobilisation européenne est en cours sur le sujet et il est urgent d’y contribuer. Le contexte y est favorable, une majorité de citoyens et de citoyennes soutenant l’idée dans différents pays. Cette idée a aussi trouvé un relais international, puisque le G20 s’est emparé fin février de la question d’une taxation minimale des plus riches. Un combat à mener pour des raisons économiques, sociales et de justice fiscale. Note de contenu : -Le retour des coupes budgétaires en Europe p.8-11
-Le cadmium, un poison français p.62-65En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/bulle-speculative/00085012 Pourquoi il faut taxer les ultrariches [texte imprimé] / Aude Martin, Auteur ; Pete Reynolds, Auteur ; Valéry Laramée de Tannenberg, Auteur . - Paris (28 rue du Sentier, 75002, France) : Alternatives Economiques, avril 2024 . - 98 p. - (Alternatives économiques; 445) .
Langues : Français (fre)
Tags : Taxes Richesse Impôts Ecologie Index. décimale : REVUES Résumé : L’ensemble des pays européens fait face aux mêmes défis : la transition énergétique, la dépendance des personnes âgées, la nécessité d’investir dans l’industrie, l’éducation, la santé, la recherche, etc. Tout cela dans un environnement économique plutôt morose avec une croissance, et donc des rentrées fiscales, au ralenti. Face à ce choc de dépenses publiques nécessaires, il y a deux solutions si l’on souhaite maîtriser la dette publique. Soit on taille dans les autres dépenses publiques, comme la protection sociale, et c’est la voie choisie par le gouvernement français. Soit on augmente les recettes fiscales en taxant plus et mieux la partie de la population qui paie relativement le moins d’impôts : les très riches. Une mobilisation européenne est en cours sur le sujet et il est urgent d’y contribuer. Le contexte y est favorable, une majorité de citoyens et de citoyennes soutenant l’idée dans différents pays. Cette idée a aussi trouvé un relais international, puisque le G20 s’est emparé fin février de la question d’une taxation minimale des plus riches. Un combat à mener pour des raisons économiques, sociales et de justice fiscale. Note de contenu : -Le retour des coupes budgétaires en Europe p.8-11
-Le cadmium, un poison français p.62-65En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/bulle-speculative/00085012 Les pratiques de salaire variable dans les entreprises multinationales en Belgique / Marie Van den Broeck
Titre : Les pratiques de salaire variable dans les entreprises multinationales en Belgique Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie Van den Broeck, Auteur Editeur : CRISP Année de publication : 2016 Collection : Courrier hebdomadaire num. 2307 Importance : 48 p Langues : Français (fre) Tags : Sociétés multinationales Salariat Emploi Belgique Index. décimale : REVUES Résumé : La Belgique constitue une terre d’accueil pour les multinationales, qui y occupent une place majeure en matière d’investissement, de revenu et d’emploi. Ce statut d’acteurs économiques de premier plan leur confère ipso facto une influence certaine sur les relations de travail ayant cours dans le pays, notamment pour ce qui concerne la détermination des rémunérations.
Au niveau mondial, une évolution majeure des dernières décennies est l’engouement des entreprises pour les pratiques de salaire variable (dites aussi de flexibilité salariale). Il s’agit d’octroyer aux travailleurs une rémunération basée sur la productivité, le mérite ou la performance (à l’échelle d’un individu, d’un groupe de personnes ou de l’entreprise dans son ensemble). Cette rémunération s’ajoute au salaire fixe qui, pour sa part, s’inscrit dans un système de relations collectives de travail et est lié au statut, à la fonction, au diplôme et à l’ancienneté. Elle peut consister en primes, en commissions, en redistribution des profits, en participation au capital de l’entreprise (par exemple, sous la forme de stock options), etc.
Parti des États-Unis, ce mouvement s’inscrit dans une tendance plus large de modification des conceptions en matière de gestion des ressources humaines, dont l’objectif est de mieux faire face aux défis contemporains. Dans ce cadre, les pratiques de salaire variable sont parfois perçues comme un instrument-clé, en raison des multiples avantages qu’elles présentent pour les entreprises : elles accroissent la capacité d’adaptation et la compétitivité, elles renforcent la motivation des travailleurs, elles favorisent le contrôle managérial, etc.
Ce Courrier hebdomadaire permet de voir dans quelle mesure les entreprises internationales introduisent les pratiques de salaire variable au niveau de leurs filiales belges. Sur la base d’une enquête menée auprès de quelque 200 multinationales implantées en Belgique, l’étude identifie les facteurs qui contribuent au développement de ces pratiques. M. Van den broeck montre que, à l’influence de la maison mère et du groupe multinational, s’ajoute celle de l’environnement institutionnel belge.Les pratiques de salaire variable dans les entreprises multinationales en Belgique [texte imprimé] / Marie Van den Broeck, Auteur . - [S.l.] : CRISP, 2016 . - 48 p. - (Courrier hebdomadaire; 2307) .
Langues : Français (fre)
Tags : Sociétés multinationales Salariat Emploi Belgique Index. décimale : REVUES Résumé : La Belgique constitue une terre d’accueil pour les multinationales, qui y occupent une place majeure en matière d’investissement, de revenu et d’emploi. Ce statut d’acteurs économiques de premier plan leur confère ipso facto une influence certaine sur les relations de travail ayant cours dans le pays, notamment pour ce qui concerne la détermination des rémunérations.
Au niveau mondial, une évolution majeure des dernières décennies est l’engouement des entreprises pour les pratiques de salaire variable (dites aussi de flexibilité salariale). Il s’agit d’octroyer aux travailleurs une rémunération basée sur la productivité, le mérite ou la performance (à l’échelle d’un individu, d’un groupe de personnes ou de l’entreprise dans son ensemble). Cette rémunération s’ajoute au salaire fixe qui, pour sa part, s’inscrit dans un système de relations collectives de travail et est lié au statut, à la fonction, au diplôme et à l’ancienneté. Elle peut consister en primes, en commissions, en redistribution des profits, en participation au capital de l’entreprise (par exemple, sous la forme de stock options), etc.
Parti des États-Unis, ce mouvement s’inscrit dans une tendance plus large de modification des conceptions en matière de gestion des ressources humaines, dont l’objectif est de mieux faire face aux défis contemporains. Dans ce cadre, les pratiques de salaire variable sont parfois perçues comme un instrument-clé, en raison des multiples avantages qu’elles présentent pour les entreprises : elles accroissent la capacité d’adaptation et la compétitivité, elles renforcent la motivation des travailleurs, elles favorisent le contrôle managérial, etc.
Ce Courrier hebdomadaire permet de voir dans quelle mesure les entreprises internationales introduisent les pratiques de salaire variable au niveau de leurs filiales belges. Sur la base d’une enquête menée auprès de quelque 200 multinationales implantées en Belgique, l’étude identifie les facteurs qui contribuent au développement de ces pratiques. M. Van den broeck montre que, à l’influence de la maison mère et du groupe multinational, s’ajoute celle de l’environnement institutionnel belge.PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkSport et mondialisation
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