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Titre : Syndicats et syndicalisme : perceptions et opinions Type de document : texte imprimé Auteurs : Marc Swyngedouw, Auteur ; Koen Abts, Auteur ; Bart Meuleman Editeur : CRISP Année de publication : 2016 Collection : Courrier hebdomadaire num. 2298 Importance : 42 p Langues : Français (fre) Tags : Syndicats Syndicalisme Belgique Index. décimale : REVUES Résumé : Ces dernières années, les tensions sociales ont été particulièrement vives et nombreuses en Belgique. Notamment, des grèves se sont tenues dans les secteurs de la justice et du maintien de l’ordre (gardiens de prison, policiers, avocats et magistrats), des transports en commun (SNCB, TEC et STIB), des services postaux, de l’enseignement, du transport routier, du contrôle aérien, de la métallurgie, etc. Dans ce cadre, on assiste à une cristallisation du débat public sur le rôle des organisations syndicales et sur le bien-fondé de leurs modes d’action. Il est donc intéressant de connaître les perceptions et opinions qui prévalent au sein de la population quant à ces deux points.
Précisément, une telle étude a été menée par l’Instituut voor Sociaal en Politiek Opinieonderzoek (ISPO) de la KU Leuven. D’octobre 2014 à juin 2015, les chercheurs ont procédé à un vaste sondage, tant du côté francophone (Wallonie et Bruxelles) que du côté néerlandophone (Flandre). Près de 2 000 personnes, affiliées ou pas à un syndicat, ont été interrogées sur différents thèmes en lien avec les organisations et les activités syndicales : raisons de devenir membre d’un syndicat, utilité et pertinence des syndicats (pour la protection des droits sociaux, pour le soutien aux chômeurs, pour la défense des intérêts des travailleurs, etc.), appréciation de leurs positions et actions (s’opposent-ils aux réformes économiques ? se préoccupent-ils suffisamment des problèmes de demain ? etc.), confiance dans les syndicats, perception du droit de grève, etc. Une attention toute particulière a été réservée par les chercheurs aux personnes affiliées à la FGTB
Le présent Courrier hebdomadaire livre les différents résultats de cette enquête. Ils permettent d'avoir une vision précise, chiffrée et nuancée de l’attitude des citoyens belges, syndiqués ou non, à l’égard des syndicats et du syndicalisme.Syndicats et syndicalisme : perceptions et opinions [texte imprimé] / Marc Swyngedouw, Auteur ; Koen Abts, Auteur ; Bart Meuleman . - [S.l.] : CRISP, 2016 . - 42 p. - (Courrier hebdomadaire; 2298) .
Langues : Français (fre)
Tags : Syndicats Syndicalisme Belgique Index. décimale : REVUES Résumé : Ces dernières années, les tensions sociales ont été particulièrement vives et nombreuses en Belgique. Notamment, des grèves se sont tenues dans les secteurs de la justice et du maintien de l’ordre (gardiens de prison, policiers, avocats et magistrats), des transports en commun (SNCB, TEC et STIB), des services postaux, de l’enseignement, du transport routier, du contrôle aérien, de la métallurgie, etc. Dans ce cadre, on assiste à une cristallisation du débat public sur le rôle des organisations syndicales et sur le bien-fondé de leurs modes d’action. Il est donc intéressant de connaître les perceptions et opinions qui prévalent au sein de la population quant à ces deux points.
Précisément, une telle étude a été menée par l’Instituut voor Sociaal en Politiek Opinieonderzoek (ISPO) de la KU Leuven. D’octobre 2014 à juin 2015, les chercheurs ont procédé à un vaste sondage, tant du côté francophone (Wallonie et Bruxelles) que du côté néerlandophone (Flandre). Près de 2 000 personnes, affiliées ou pas à un syndicat, ont été interrogées sur différents thèmes en lien avec les organisations et les activités syndicales : raisons de devenir membre d’un syndicat, utilité et pertinence des syndicats (pour la protection des droits sociaux, pour le soutien aux chômeurs, pour la défense des intérêts des travailleurs, etc.), appréciation de leurs positions et actions (s’opposent-ils aux réformes économiques ? se préoccupent-ils suffisamment des problèmes de demain ? etc.), confiance dans les syndicats, perception du droit de grève, etc. Une attention toute particulière a été réservée par les chercheurs aux personnes affiliées à la FGTB
Le présent Courrier hebdomadaire livre les différents résultats de cette enquête. Ils permettent d'avoir une vision précise, chiffrée et nuancée de l’attitude des citoyens belges, syndiqués ou non, à l’égard des syndicats et du syndicalisme.
Titre : Un système alimentaire à transformer Type de document : texte imprimé Auteurs : François Houtart, Auteur ; Alberto Alonso-Fradejas, Auteur Editeur : Louvain-la-Neuve : Cetri Année de publication : 2021 Collection : Alternatives sud num. Vol. 28, N° 4 Importance : 170 p Langues : Français (fre) Tags : Alternatives Pays en développement Afrique Alimentation Agro-alimentaire Index. décimale : REVUES Résumé : Plus d’une décennie après la dernière crise alimentaire, la pandémie de covid-19 a de nouveau mis en lumière les dysfonctionnements et l’extrême vulnérabilité du système agro-industriel mondialisé. En dépit des engagements de la communauté internationale à éradiquer la faim dans le monde, le nombre de personnes en situation d’insécurité alimentaire augmente, les disparités se creusent et la crise écologique s’aggrave, à mesure que le modèle d’agriculture commerciale et productiviste se généralise. Face à ce constat d’échec, un consensus se fait jour sur la nécessité et l’urgence d’une révision en profondeur des systèmes alimentaires. Mais l’orientation d’une telle transformation fait débat. Note de contenu : -l'agroécologie bidon : la mainmise des multinationales p.101-108 Un système alimentaire à transformer [texte imprimé] / François Houtart, Auteur ; Alberto Alonso-Fradejas, Auteur . - Louvain-la-Neuve (Avenue Sainte Gertrude 5, 1348) : Cetri, 2021 . - 170 p. - (Alternatives sud; Vol. 28, N° 4) .
Langues : Français (fre)
Tags : Alternatives Pays en développement Afrique Alimentation Agro-alimentaire Index. décimale : REVUES Résumé : Plus d’une décennie après la dernière crise alimentaire, la pandémie de covid-19 a de nouveau mis en lumière les dysfonctionnements et l’extrême vulnérabilité du système agro-industriel mondialisé. En dépit des engagements de la communauté internationale à éradiquer la faim dans le monde, le nombre de personnes en situation d’insécurité alimentaire augmente, les disparités se creusent et la crise écologique s’aggrave, à mesure que le modèle d’agriculture commerciale et productiviste se généralise. Face à ce constat d’échec, un consensus se fait jour sur la nécessité et l’urgence d’une révision en profondeur des systèmes alimentaires. Mais l’orientation d’une telle transformation fait débat. Note de contenu : -l'agroécologie bidon : la mainmise des multinationales p.101-108
Titre : Le "tax shift" ou glissement fiscal Type de document : texte imprimé Auteurs : Luc Simar, Auteur Editeur : CRISP Année de publication : 2016 Collection : Courrier hebdomadaire num. 2319-2320 Importance : 62 p Langues : Français (fre) Tags : Politique fiscale Tax shift Redistribution des revenus Consommation Belgique Index. décimale : REVUES Résumé : Pièce maîtresse du programme du gouvernement Michel pour les uns, mesure à combattre pour les autres, le « tax shift » (glissement ou virage fiscal) laisse peu de monde indifférent. Il s’agit d’un projet de grande ampleur budgétaire, s’étalant au-delà de la législature fédérale actuelle et comportant une part de risque dans le contexte économique actuel.
Le tax shift est né du constat que la Belgique se caractérise par un taux de prélèvement global élevé, par une prédominance de l’imposition sur les revenus et par une taxation élevée du travail. Ces trois éléments ont notamment été épinglés par l’Union européenne pour leur impact négatif sur la croissance. L’idée d’une réforme du système belge a été impulsée en 2012 par le gouvernement Di Rupo. Elle a ensuite été reprise par le gouvernement Michel, pour enfin aboutir en décembre 2016 au terme de longs et vifs débats.
Le tax shift vise, d’une part, à soutenir l’emploi par le moyen d’une baisse des prélèvements sur le travail et d’un soutien aux petites et moyennes entreprises et aux indépendants et, d’autre part, à accroître le pouvoir d’achat des ménages. Pour cela, il est notamment procédé à des réductions de cotisations sociales et à une modification de l’IPP. Le montant total des mesures envisagées est de 10 milliards d’euros à l’horizon 2020, soit plus de 2 % du PIB belge. Quant à lui, le financement du tax shift est assuré entre autres par des mesures portant sur la consommation (accises et TVA) et sur les revenus du patrimoine.
Les partisans du tax shift mettent en avant les effets économiques et sociaux attendus, notamment un regain des activités économiques et de l’emploi. À l’inverse, les opposants contestent divers éléments, dont le mode de financement et les impacts négatifs sur la redistribution des revenus. Ils soulignent aussi un impact pour les Régions, les Communautés et les communes, dont une partie importante des recettes provient directement de l’IPP.
Le résultat final du tax shift dépendra pour une bonne part des mesures complémentaires en dépenses ou en recettes qui seront nécessaires pour le maintien de la trajectoire budgétaire.Le "tax shift" ou glissement fiscal [texte imprimé] / Luc Simar, Auteur . - [S.l.] : CRISP, 2016 . - 62 p. - (Courrier hebdomadaire; 2319-2320) .
Langues : Français (fre)
Tags : Politique fiscale Tax shift Redistribution des revenus Consommation Belgique Index. décimale : REVUES Résumé : Pièce maîtresse du programme du gouvernement Michel pour les uns, mesure à combattre pour les autres, le « tax shift » (glissement ou virage fiscal) laisse peu de monde indifférent. Il s’agit d’un projet de grande ampleur budgétaire, s’étalant au-delà de la législature fédérale actuelle et comportant une part de risque dans le contexte économique actuel.
Le tax shift est né du constat que la Belgique se caractérise par un taux de prélèvement global élevé, par une prédominance de l’imposition sur les revenus et par une taxation élevée du travail. Ces trois éléments ont notamment été épinglés par l’Union européenne pour leur impact négatif sur la croissance. L’idée d’une réforme du système belge a été impulsée en 2012 par le gouvernement Di Rupo. Elle a ensuite été reprise par le gouvernement Michel, pour enfin aboutir en décembre 2016 au terme de longs et vifs débats.
Le tax shift vise, d’une part, à soutenir l’emploi par le moyen d’une baisse des prélèvements sur le travail et d’un soutien aux petites et moyennes entreprises et aux indépendants et, d’autre part, à accroître le pouvoir d’achat des ménages. Pour cela, il est notamment procédé à des réductions de cotisations sociales et à une modification de l’IPP. Le montant total des mesures envisagées est de 10 milliards d’euros à l’horizon 2020, soit plus de 2 % du PIB belge. Quant à lui, le financement du tax shift est assuré entre autres par des mesures portant sur la consommation (accises et TVA) et sur les revenus du patrimoine.
Les partisans du tax shift mettent en avant les effets économiques et sociaux attendus, notamment un regain des activités économiques et de l’emploi. À l’inverse, les opposants contestent divers éléments, dont le mode de financement et les impacts négatifs sur la redistribution des revenus. Ils soulignent aussi un impact pour les Régions, les Communautés et les communes, dont une partie importante des recettes provient directement de l’IPP.
Le résultat final du tax shift dépendra pour une bonne part des mesures complémentaires en dépenses ou en recettes qui seront nécessaires pour le maintien de la trajectoire budgétaire.
Titre : La télédistribution Type de document : texte imprimé Auteurs : Chantal Deltenre, Auteur Editeur : CRISP Année de publication : 4 mai 1984 Collection : Courrier hebdomadaire num. 1039 Importance : 31 p Langues : Français (fre) Tags : Entreprises:NTIC Télévision Télédistribution CODITEL ALE RTT Intercom Ebes Unerg Index. décimale : REVUES En ligne : http://www.cairn.info/resultats_recherche.php?searchTerm=La+t%C3%A9l%C3%A9distri [...] La télédistribution [texte imprimé] / Chantal Deltenre, Auteur . - [S.l.] : CRISP, 4 mai 1984 . - 31 p. - (Courrier hebdomadaire; 1039) .
Langues : Français (fre)
Tags : Entreprises:NTIC Télévision Télédistribution CODITEL ALE RTT Intercom Ebes Unerg Index. décimale : REVUES En ligne : http://www.cairn.info/resultats_recherche.php?searchTerm=La+t%C3%A9l%C3%A9distri [...]
Titre : La transition énergétique Type de document : texte imprimé Auteurs : Fabienne Collard, Auteur Editeur : CRISP Année de publication : 2016 Collection : Courrier hebdomadaire num. 2321 Importance : 42 p Langues : Français (fre) Tags : Energie Energie durable Entreprises Belgique Index. décimale : REVUES Résumé : En Belgique comme partout ailleurs, le secteur de l’énergie est amené à se remettre profondément en question. En effet, les modes traditionnels de production d’énergie ont montré leurs limites et leurs dangers : l’utilisation du pétrole, du charbon et du gaz repose sur des réserves appelées à se tarir et a d’importantes répercussions sur l’environnement, tandis que le nucléaire comporte de grands risques et reste soumis à la question du traitement des déchets radioactifs. Dès lors, une « transition énergétique », consistant en un recours accru aux sources d’énergie vertes (vent, soleil, etc.), s’impose de plus en plus comme une alternative raisonnable, voire incontournable. Ce mouvement est à l’œuvre à l’échelle mondiale, selon des rythmes de progression différents, et particulièrement au sein de l’Union européenne.
Passer des énergies fossiles aux énergies renouvelables constitue cependant un véritable défi. Nombreuses sont les difficultés qui font obstacle aux volontés des mandataires politiques, des professionnels de l’énergie (producteurs, distributeurs, etc.) et des consommateurs (ménages et entreprises). En particulier, se pose le problème de la manière d’intégrer les énergies vertes, par nature produites de façon décentralisée et intermittente, dans le réseau déjà existant. Le recours au numérique et à une plus grande flexibilité de l’ensemble du système constitue aujourd’hui un enjeu central. Sans oublier que le renouvelable, subsidié par les pouvoirs publics, a pour effet d’augmenter le coût global de l’énergie.
Centré sur le cas de la Belgique, ce Courrier hebdomadaire permet de saisir la complexité de l’équation énergétique qui est actuellement en place, équation qui est soumise aux premiers effets de la transition énergétique, ainsi qu’aux mutations et défis que celle-ci implique et aux contraintes qu’elle rencontre, notamment dans le cadre d’un État fédéral. Une attention particulière est réservée aux divers acteurs qui interviennent dans le débat. Spécialement, F. Collard analyse les différents éléments qui composent la facture d’électricité des ménages ; cet exercice explique les raisons pour lesquelles, bien qu’elle coûte de moins en moins à produire, l’énergie est vendue toujours plus chère aux particuliers.La transition énergétique [texte imprimé] / Fabienne Collard, Auteur . - [S.l.] : CRISP, 2016 . - 42 p. - (Courrier hebdomadaire; 2321) .
Langues : Français (fre)
Tags : Energie Energie durable Entreprises Belgique Index. décimale : REVUES Résumé : En Belgique comme partout ailleurs, le secteur de l’énergie est amené à se remettre profondément en question. En effet, les modes traditionnels de production d’énergie ont montré leurs limites et leurs dangers : l’utilisation du pétrole, du charbon et du gaz repose sur des réserves appelées à se tarir et a d’importantes répercussions sur l’environnement, tandis que le nucléaire comporte de grands risques et reste soumis à la question du traitement des déchets radioactifs. Dès lors, une « transition énergétique », consistant en un recours accru aux sources d’énergie vertes (vent, soleil, etc.), s’impose de plus en plus comme une alternative raisonnable, voire incontournable. Ce mouvement est à l’œuvre à l’échelle mondiale, selon des rythmes de progression différents, et particulièrement au sein de l’Union européenne.
Passer des énergies fossiles aux énergies renouvelables constitue cependant un véritable défi. Nombreuses sont les difficultés qui font obstacle aux volontés des mandataires politiques, des professionnels de l’énergie (producteurs, distributeurs, etc.) et des consommateurs (ménages et entreprises). En particulier, se pose le problème de la manière d’intégrer les énergies vertes, par nature produites de façon décentralisée et intermittente, dans le réseau déjà existant. Le recours au numérique et à une plus grande flexibilité de l’ensemble du système constitue aujourd’hui un enjeu central. Sans oublier que le renouvelable, subsidié par les pouvoirs publics, a pour effet d’augmenter le coût global de l’énergie.
Centré sur le cas de la Belgique, ce Courrier hebdomadaire permet de saisir la complexité de l’équation énergétique qui est actuellement en place, équation qui est soumise aux premiers effets de la transition énergétique, ainsi qu’aux mutations et défis que celle-ci implique et aux contraintes qu’elle rencontre, notamment dans le cadre d’un État fédéral. Une attention particulière est réservée aux divers acteurs qui interviennent dans le débat. Spécialement, F. Collard analyse les différents éléments qui composent la facture d’électricité des ménages ; cet exercice explique les raisons pour lesquelles, bien qu’elle coûte de moins en moins à produire, l’énergie est vendue toujours plus chère aux particuliers.PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalink