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Titre : Guatemala : des communautés en lutte Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Duterme, Auteur ; Carlos Barrios, Auteur Editeur : Iteco Année de publication : septembre 2024 Collection : Antipodes num. 239 Importance : 75 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Guatemala Jeunes Colonisation Résumé : A l'évidence, l'actualité particulièrement difficile du Guatemala plonge ses racines dans les l'histoire tragique du pays. L'histoire lointaine et plus récente. Celle d'avant 1996, année de la signature des "accords de paix", et celle d'après 1996. Si ce découpage binaire frise l'outrance, il a le mérite de mettre vis-à-vis frontal, d'un côté, une longue période de domination et de ségrégation structurelles - de la colonisation espagnole à l'emprise états-unienne et à "la guerre en terre maya" - et, de l'autre côté, la prétendue phase de "normalisation démocratique" dans laquelle l'Amérique centrale serait entrée à la faveur de la fin des conflits armés entre mouvements révolutionnaires et régimes contre-révolutionnaires. Note de contenu : -Guatemala, de la colonisation à la normalisation ? p.10-19
-Les mouvements sociaux et la défense de la démocratie p.30-38Guatemala : des communautés en lutte [texte imprimé] / Bernard Duterme, Auteur ; Carlos Barrios, Auteur . - [S.l.] : Iteco, septembre 2024 . - 75 p. - (Antipodes; 239) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Guatemala Jeunes Colonisation Résumé : A l'évidence, l'actualité particulièrement difficile du Guatemala plonge ses racines dans les l'histoire tragique du pays. L'histoire lointaine et plus récente. Celle d'avant 1996, année de la signature des "accords de paix", et celle d'après 1996. Si ce découpage binaire frise l'outrance, il a le mérite de mettre vis-à-vis frontal, d'un côté, une longue période de domination et de ségrégation structurelles - de la colonisation espagnole à l'emprise états-unienne et à "la guerre en terre maya" - et, de l'autre côté, la prétendue phase de "normalisation démocratique" dans laquelle l'Amérique centrale serait entrée à la faveur de la fin des conflits armés entre mouvements révolutionnaires et régimes contre-révolutionnaires. Note de contenu : -Guatemala, de la colonisation à la normalisation ? p.10-19
-Les mouvements sociaux et la défense de la démocratie p.30-38
Titre : Médiation culturelle et artistique Type de document : texte imprimé Auteurs : Judith Dehail, Auteur ; Olivier Marboeuf, Auteur Editeur : Iteco Année de publication : décembre 2023 Collection : Antipodes num. 238 Importance : 86 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Racisme Colonialisme Artiste Résumé : La culture d’un groupe est un construit qui devient référent pour définir les normes, les valeurs, les croyances qui, à leur tour, construisent (de) la culture et produisent de nouvelles transformations culturelles en lien avec ce qui se passe comme (nouveaux) défis dans la société. Tout ceci permet aux individus composant les groupes d’avoir des clefs pour donner du sens à leurs actions. En particulier, ceci leur indique ce qu’ils doivent trouver bon, beau, vrai et juste de faire, de dire, de penser et de ressentir. Et là, nous traçons les contours de la notion de « modèle culturel », qui peut être défini comme un ensemble plus ou moins structuré de principes éthiques qui proposent aux membres d’une collectivité humaine le sens de leurs conduites et de leurs actions.Dans la société, les cultures sont liées aux rapports de domination : en effet, le gout, le « classe », le « trendy » ou le « stylé » est souvent défini par les dominantes, même quand c’est « pris », « piqué » diraient des plus jeunes, chez les dominés, avec ou sans adaptation. Lela dominée peut certes être impliquée et même être invitée à adopter les bons réflexes d’appréciation de la culture dominante, souvent bourgeoise. La médiation, telle qu’elle est envisagée et encore pratiquée largement et par beaucoup d’institutions se voit comme ayant pour mission de satisfaire les présupposés besoins de catégories de publics dits « publics fragilisés », « publics orphelins », « publics empêchés », appellations aussi « minorisantes » les unes que les autres ; bref des personnes provenant de groupes dominés. Vue comme cela, la définition se base sur deux implicites qui peuvent induire un type d’actions. Le premier implicite est de voir les personnes comme des publics en attente de réponses à des besoins, le plus souvent plutôt des « projections de besoins » ; partir sur une sociologie du manque est une erreur fondamentale dans la construction du rapport à l’Altérité. Le second implicite est de les voir comme « publics », certainement pas sujets-acteurs. Note de contenu : -Entre sexisme et précarité. la médiation comme pratique critique p.12-19
-Posture et engagement en contexte décolonial p.62-73Médiation culturelle et artistique [texte imprimé] / Judith Dehail, Auteur ; Olivier Marboeuf, Auteur . - [S.l.] : Iteco, décembre 2023 . - 86 p. - (Antipodes; 238) .
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Catégories : Revues Tags : Racisme Colonialisme Artiste Résumé : La culture d’un groupe est un construit qui devient référent pour définir les normes, les valeurs, les croyances qui, à leur tour, construisent (de) la culture et produisent de nouvelles transformations culturelles en lien avec ce qui se passe comme (nouveaux) défis dans la société. Tout ceci permet aux individus composant les groupes d’avoir des clefs pour donner du sens à leurs actions. En particulier, ceci leur indique ce qu’ils doivent trouver bon, beau, vrai et juste de faire, de dire, de penser et de ressentir. Et là, nous traçons les contours de la notion de « modèle culturel », qui peut être défini comme un ensemble plus ou moins structuré de principes éthiques qui proposent aux membres d’une collectivité humaine le sens de leurs conduites et de leurs actions.Dans la société, les cultures sont liées aux rapports de domination : en effet, le gout, le « classe », le « trendy » ou le « stylé » est souvent défini par les dominantes, même quand c’est « pris », « piqué » diraient des plus jeunes, chez les dominés, avec ou sans adaptation. Lela dominée peut certes être impliquée et même être invitée à adopter les bons réflexes d’appréciation de la culture dominante, souvent bourgeoise. La médiation, telle qu’elle est envisagée et encore pratiquée largement et par beaucoup d’institutions se voit comme ayant pour mission de satisfaire les présupposés besoins de catégories de publics dits « publics fragilisés », « publics orphelins », « publics empêchés », appellations aussi « minorisantes » les unes que les autres ; bref des personnes provenant de groupes dominés. Vue comme cela, la définition se base sur deux implicites qui peuvent induire un type d’actions. Le premier implicite est de voir les personnes comme des publics en attente de réponses à des besoins, le plus souvent plutôt des « projections de besoins » ; partir sur une sociologie du manque est une erreur fondamentale dans la construction du rapport à l’Altérité. Le second implicite est de les voir comme « publics », certainement pas sujets-acteurs. Note de contenu : -Entre sexisme et précarité. la médiation comme pratique critique p.12-19
-Posture et engagement en contexte décolonial p.62-73
Titre : Les ONG face au management Type de document : texte imprimé Auteurs : Chafik Allal, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Justine Contor, Auteur Editeur : Iteco Année de publication : décembre 2021 Collection : Antipodes num. 234 Importance : 73 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Coopération au développement ONG Gouvernance Société civile Index. décimale : 07.01 Société civile Résumé : Le sous-titre de ce numéro d’Antipodes aurait pu être « Chroniques de disparitions » d’ONG. Dit de façon aussi abrupte pour commencer l’édito du présent numéro, cela paraît un peu indigeste. À nouveau, quelques personnes risquent de nous tomber dessus pour nous dire combien nous sommes paranoïaques, complotistes et je ne sais quoi d’autre. Aujourd’hui, il semblerait que lucidité, anticipation et réaction en vue d’éviter l’avènement d’un monde non désiré soient refusées par une partie non négligeable de personnes. Pour rappel, et recontextualisation du présent numéro : au moins depuis une quinzaine d’années, il a commencé à y avoir des réactions d’anticipation face à l’arrivée massive de cadres de la rationalité néo-libérale et l’instauration d’une bureaucratie néo-managériale dans le milieu des ONG et de la coopération au développement. Que voulons-nous dire en parlant de rationalité néo-libérale ? Le néolibéralisme peut être vu comme une rationalité qui organise la société en faisant de la compétition une norme et de l’entreprise un modèle. La rationalité néo-libérale peut être définie comme :
« L’ensemble des discours, des pratiques, des dispositifs de pouvoir visant à instaurer de nouvelles conditions politiques, à modifier les règles de fonctionnement économique, à transformer les rapports sociaux de manière à imposer [...] l’objectif de la concurrence généralisée entre entreprises, économies et États. » Et qu’appelle-t-on bureaucratie néo-manageriale ? « La façon « d’enformer les êtres et les évènements », d’appréhender le réel en le retranscrivant dans des « formats » mis en commun et dans des « coordinations et des figures du collectif » est une manière non seulement de normaliser, mais aussi de contraindre et de dominer, qui résulte de rapports de force. » À l’époque, nos réactions (des membres d’ITECO et d’autres) avaient été minorées sous prétexte que nous exagérions évidemment, que les enjeux étaient ailleurs, que la professionnalisation n’était là que pour s’assurer du bon usage de l’argent public, et qu’il n’y avait nul complot contre le milieu de la coopération au développement.Note de contenu : -des ONG disciplinées par la rationalité néolibérale ? p.36-45 En ligne : http://www.iteco.be/revue-antipodes/bureaucratiser-pour-mieux-marchandiser/ Les ONG face au management [texte imprimé] / Chafik Allal, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Justine Contor, Auteur . - [S.l.] : Iteco, décembre 2021 . - 73 p. - (Antipodes; 234) .
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Catégories : Revues Tags : Coopération au développement ONG Gouvernance Société civile Index. décimale : 07.01 Société civile Résumé : Le sous-titre de ce numéro d’Antipodes aurait pu être « Chroniques de disparitions » d’ONG. Dit de façon aussi abrupte pour commencer l’édito du présent numéro, cela paraît un peu indigeste. À nouveau, quelques personnes risquent de nous tomber dessus pour nous dire combien nous sommes paranoïaques, complotistes et je ne sais quoi d’autre. Aujourd’hui, il semblerait que lucidité, anticipation et réaction en vue d’éviter l’avènement d’un monde non désiré soient refusées par une partie non négligeable de personnes. Pour rappel, et recontextualisation du présent numéro : au moins depuis une quinzaine d’années, il a commencé à y avoir des réactions d’anticipation face à l’arrivée massive de cadres de la rationalité néo-libérale et l’instauration d’une bureaucratie néo-managériale dans le milieu des ONG et de la coopération au développement. Que voulons-nous dire en parlant de rationalité néo-libérale ? Le néolibéralisme peut être vu comme une rationalité qui organise la société en faisant de la compétition une norme et de l’entreprise un modèle. La rationalité néo-libérale peut être définie comme :
« L’ensemble des discours, des pratiques, des dispositifs de pouvoir visant à instaurer de nouvelles conditions politiques, à modifier les règles de fonctionnement économique, à transformer les rapports sociaux de manière à imposer [...] l’objectif de la concurrence généralisée entre entreprises, économies et États. » Et qu’appelle-t-on bureaucratie néo-manageriale ? « La façon « d’enformer les êtres et les évènements », d’appréhender le réel en le retranscrivant dans des « formats » mis en commun et dans des « coordinations et des figures du collectif » est une manière non seulement de normaliser, mais aussi de contraindre et de dominer, qui résulte de rapports de force. » À l’époque, nos réactions (des membres d’ITECO et d’autres) avaient été minorées sous prétexte que nous exagérions évidemment, que les enjeux étaient ailleurs, que la professionnalisation n’était là que pour s’assurer du bon usage de l’argent public, et qu’il n’y avait nul complot contre le milieu de la coopération au développement.Note de contenu : -des ONG disciplinées par la rationalité néolibérale ? p.36-45 En ligne : http://www.iteco.be/revue-antipodes/bureaucratiser-pour-mieux-marchandiser/
Titre : Où en est le Congo? : La population congolaise refuse de perdre espoir Type de document : texte imprimé Editeur : Iteco Année de publication : juin 2019 Collection : Antipodes num. 225 Importance : 47 p Présentation : 09.02.ANT Langues : Français (fre) Tags : Congo RDC Services publics Index. décimale : 09.02 Afrique Résumé : Présentation : Où en est le Congo: Malgré le tableau noir, la population congolaise refuse de perdre espoir - L’espoir du changement est enfin permis pour la population congolaise ?: Des jeunes se battent pour sauver l’embryon démocratique au Congo. Propos d’Emmanuel Nashi recueillis par Antonio de la Fuente - Où en est le Kivu: On peut ramener l’ensemble des réactions à l’ONU à deux phrases : « Bravo à la RDC pour ses avancements. Nos recommandations n’ont pas changé car il n’y a en réalité aucune évolution », par Tito Dupret - Impressions sur la nouvelle scénographie du musée africain de Tervuren: Le défi d’exposer une vision contemporaine et décolonisée de l’Afrique à Tervuren est-il atteint ?, par Jean Claude Mullens - Etre femme au Congo: La pauvreté est fortement ressentie par les femmes et les jeunes. Que fait-on face à cette réalité ? Propos de Salufa Nunu recueillis par Cecilia Díaz Weippert - L’exploitation forestière malmenée: Des multinationales s’accaparent des terrains pour des projets agroindustriels, d’exploitation forestière ou minière. Aussi, faute d’attention aux contextes d’intervention, beaucoup de projets bien intentionnés échouent un peu partout au Congo. Propos de Laurence Hanon recueillis par Jean Claude Mullens - Pêcheurs de Mbandaka: Au gré des vagues du fleuve Congo, les pêcheurs de Mbandaka tissent leur lien avec la nature, par Olivier de Halleux - Quand la Belgique subsidie la fuite des cerveaux: Les écoles belges implantées en Afrique centrale relèvent désormais du secteur privé et non du public mais elles sont toujours subventionnées par la coopération belge, par Tito Dupret - Les fantômes de Lovanium à Kinshas: Un film sur une manifestation d’étudiants à Kinshasa en 1969 offre une métaphore visuelle du Congod’aujourd’hui, par Pedro Monaville En ligne : http://www.iteco.be/revue-antipodes/ou-en-est-le-congo/ Où en est le Congo? : La population congolaise refuse de perdre espoir [texte imprimé] . - [S.l.] : Iteco, juin 2019 . - 47 p : 09.02.ANT. - (Antipodes; 225) .
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Tags : Congo RDC Services publics Index. décimale : 09.02 Afrique Résumé : Présentation : Où en est le Congo: Malgré le tableau noir, la population congolaise refuse de perdre espoir - L’espoir du changement est enfin permis pour la population congolaise ?: Des jeunes se battent pour sauver l’embryon démocratique au Congo. Propos d’Emmanuel Nashi recueillis par Antonio de la Fuente - Où en est le Kivu: On peut ramener l’ensemble des réactions à l’ONU à deux phrases : « Bravo à la RDC pour ses avancements. Nos recommandations n’ont pas changé car il n’y a en réalité aucune évolution », par Tito Dupret - Impressions sur la nouvelle scénographie du musée africain de Tervuren: Le défi d’exposer une vision contemporaine et décolonisée de l’Afrique à Tervuren est-il atteint ?, par Jean Claude Mullens - Etre femme au Congo: La pauvreté est fortement ressentie par les femmes et les jeunes. Que fait-on face à cette réalité ? Propos de Salufa Nunu recueillis par Cecilia Díaz Weippert - L’exploitation forestière malmenée: Des multinationales s’accaparent des terrains pour des projets agroindustriels, d’exploitation forestière ou minière. Aussi, faute d’attention aux contextes d’intervention, beaucoup de projets bien intentionnés échouent un peu partout au Congo. Propos de Laurence Hanon recueillis par Jean Claude Mullens - Pêcheurs de Mbandaka: Au gré des vagues du fleuve Congo, les pêcheurs de Mbandaka tissent leur lien avec la nature, par Olivier de Halleux - Quand la Belgique subsidie la fuite des cerveaux: Les écoles belges implantées en Afrique centrale relèvent désormais du secteur privé et non du public mais elles sont toujours subventionnées par la coopération belge, par Tito Dupret - Les fantômes de Lovanium à Kinshas: Un film sur une manifestation d’étudiants à Kinshasa en 1969 offre une métaphore visuelle du Congod’aujourd’hui, par Pedro Monaville En ligne : http://www.iteco.be/revue-antipodes/ou-en-est-le-congo/
Titre : Paulo Freire, aujourd'hui Type de document : texte imprimé Auteurs : Myllie Woitrin, Auteur ; Julia Petri, Auteur ; Oscar Jara, Auteur Editeur : Iteco Année de publication : décembre 2022 Collection : Antipodes num. 236 Importance : 131 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Agroécologie Education Alternatives Résumé : L’agroécologie s’entend tant comme un mouvement pour une agriculture durable que comme une science et une pratique. Nous nous intéressons principalement à son caractère transdisciplinaire, participatif et orienté vers l’action et c’est dans ce sens que nous considérons que les contributions de Paulo Freire au savoir-faire de l’agroécologie sont significatives. Les premières recherches en lien avec l’agroécologie ont vu le jour au début du vingtième siècle et cherchaient à appliquer des méthodes écologiques à l’agriculture. Par la suite elles intègrent aussi des travaux concernant l’interaction plante-insecte, le traitement des plaies, les problèmes de sol. L’agroécologie surgit et se renforça par l’action de divers mouvements en Amérique Latine dès la décennie des années septante —et non à partir de la science— en lien avec les pratiques agricoles traditionnelles. Ces mouvements critiquaient les effets de la modernisation sur l’agriculture et cherchaient des solutions alternatives de façon à renforcer l’agriculture familiale, la souveraineté et la sécurité alimentaires ainsi que l’autonomie des familles paysannes. La revitalisation de l’agriculture familiale paysanne est la clé pour garantir la durabilité socio-environnementale de l’activité agricole. Au départ de propositions visant un système alimentaire et une société basée sur des relations plus justes, dignes et égalitaires, ainsi que d’une vision durable de la nature contre les monocultures, les pesticides, les organismes génétiquement modifiés et l’utilisation abusive d’intrants qui ont pour bases les combustibles fossiles, nous nous remettons à Paulo Freire pour nous éclairer sur les importantes transformations provoquées par cette nouvelle approche du développement rural. Note de contenu : -L'éducation populaire renforce la société civile p.45-46
-Approximations pour une utopie possible p.57-66
-Pour une praxis des territoires oubliés p.112-121En ligne : http://www.iteco.be/revue-antipodes/paulo-freire-de-la-pedagogie-de-l-opprime-a- [...] Paulo Freire, aujourd'hui [texte imprimé] / Myllie Woitrin, Auteur ; Julia Petri, Auteur ; Oscar Jara, Auteur . - [S.l.] : Iteco, décembre 2022 . - 131 p. - (Antipodes; 236) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Agroécologie Education Alternatives Résumé : L’agroécologie s’entend tant comme un mouvement pour une agriculture durable que comme une science et une pratique. Nous nous intéressons principalement à son caractère transdisciplinaire, participatif et orienté vers l’action et c’est dans ce sens que nous considérons que les contributions de Paulo Freire au savoir-faire de l’agroécologie sont significatives. Les premières recherches en lien avec l’agroécologie ont vu le jour au début du vingtième siècle et cherchaient à appliquer des méthodes écologiques à l’agriculture. Par la suite elles intègrent aussi des travaux concernant l’interaction plante-insecte, le traitement des plaies, les problèmes de sol. L’agroécologie surgit et se renforça par l’action de divers mouvements en Amérique Latine dès la décennie des années septante —et non à partir de la science— en lien avec les pratiques agricoles traditionnelles. Ces mouvements critiquaient les effets de la modernisation sur l’agriculture et cherchaient des solutions alternatives de façon à renforcer l’agriculture familiale, la souveraineté et la sécurité alimentaires ainsi que l’autonomie des familles paysannes. La revitalisation de l’agriculture familiale paysanne est la clé pour garantir la durabilité socio-environnementale de l’activité agricole. Au départ de propositions visant un système alimentaire et une société basée sur des relations plus justes, dignes et égalitaires, ainsi que d’une vision durable de la nature contre les monocultures, les pesticides, les organismes génétiquement modifiés et l’utilisation abusive d’intrants qui ont pour bases les combustibles fossiles, nous nous remettons à Paulo Freire pour nous éclairer sur les importantes transformations provoquées par cette nouvelle approche du développement rural. Note de contenu : -L'éducation populaire renforce la société civile p.45-46
-Approximations pour une utopie possible p.57-66
-Pour une praxis des territoires oubliés p.112-121En ligne : http://www.iteco.be/revue-antipodes/paulo-freire-de-la-pedagogie-de-l-opprime-a- [...] PermalinkPermalinkPermalinkPermalink