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Titre : Le rôle des entreprises dans la lutte contre la pauvreté : L'intérêt des démarches "bas de la pyramide" en question Type de document : document électronique Auteurs : Guillaume Malochet, Auteur Editeur : Centre d'analyse Stratégique Année de publication : novembre 2012 Collection : Notes d'analyse num. 307 Importance : 8 p Langues : Français (fre) Catégories : Entreprises
Lutte contre la pauvretéTags : Entreprises RSE Lutte contre la pauvreté Politique sociale France Résumé : Les entreprises peuvent-elles lutter contre la pauvreté tout en vendant leurs biens et services aux personnes pauvres ? Des démarches initiées dans les pays du Sud (aide au développement) sont-elles transposables au Nord ?
En parallèle des actions qu’elles mènent au titre de la promotion de la diversité et de l’insertion des publics vulnérables, certaines grandes entreprises développent des programmes originaux de lutte contre la pauvreté. Il s’agit de concilier des objectifs de rentabilité économique avec une finalité d’inclusion sociale en s’adressant aux personnes pauvres. Le “bas de la pyramide” (traduction de Base of the Pyramid ou “BoP”) est ainsi vu comme un marché à conquérir, solvable et rentable dès lors que les entreprises adaptent leur production aux caractéristiques et demandes spécifiques des clients pauvres. À la différence des approches low cost, les démarches BoP entendent proposer les mêmes biens et le même niveau de services que dans le circuit classique.
Élaborés à l’origine dans le cadre de l’aide au développement, ces programmes peuvent constituer une source d’opportunités sur les plans stratégique (conquête de nouveaux marchés) et technique (invention de nouveaux modèles d’action sur le marché), tout en s’inscrivant dans la responsabilité sociale des entreprises. Les programmes BoP peuvent aussi avoir des effets positifs sur la dynamique interne des entreprises (mobilisation des salariés dans le cadre de projets à forte valeur éthique et sociétale) et sur la cohésion sociale globale (réduction de la pauvreté). Mais il existe de nombreuses contraintes de marché qui tendent à limiter l’ampleur de ces projets dans les pays du Nord. Cette note propose un état des lieux des démarches menées et soulève un certain nombre de questions sur la complémentarité des démarches BoP avec les politiques sociales.En ligne : http://www.strategie.gouv.fr/content/entreprises-lutte-pauvrete-na-307 Le rôle des entreprises dans la lutte contre la pauvreté : L'intérêt des démarches "bas de la pyramide" en question [document électronique] / Guillaume Malochet, Auteur . - France : Centre d'analyse Stratégique, novembre 2012 . - 8 p. - (Notes d'analyse; 307) .
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Lutte contre la pauvretéTags : Entreprises RSE Lutte contre la pauvreté Politique sociale France Résumé : Les entreprises peuvent-elles lutter contre la pauvreté tout en vendant leurs biens et services aux personnes pauvres ? Des démarches initiées dans les pays du Sud (aide au développement) sont-elles transposables au Nord ?
En parallèle des actions qu’elles mènent au titre de la promotion de la diversité et de l’insertion des publics vulnérables, certaines grandes entreprises développent des programmes originaux de lutte contre la pauvreté. Il s’agit de concilier des objectifs de rentabilité économique avec une finalité d’inclusion sociale en s’adressant aux personnes pauvres. Le “bas de la pyramide” (traduction de Base of the Pyramid ou “BoP”) est ainsi vu comme un marché à conquérir, solvable et rentable dès lors que les entreprises adaptent leur production aux caractéristiques et demandes spécifiques des clients pauvres. À la différence des approches low cost, les démarches BoP entendent proposer les mêmes biens et le même niveau de services que dans le circuit classique.
Élaborés à l’origine dans le cadre de l’aide au développement, ces programmes peuvent constituer une source d’opportunités sur les plans stratégique (conquête de nouveaux marchés) et technique (invention de nouveaux modèles d’action sur le marché), tout en s’inscrivant dans la responsabilité sociale des entreprises. Les programmes BoP peuvent aussi avoir des effets positifs sur la dynamique interne des entreprises (mobilisation des salariés dans le cadre de projets à forte valeur éthique et sociétale) et sur la cohésion sociale globale (réduction de la pauvreté). Mais il existe de nombreuses contraintes de marché qui tendent à limiter l’ampleur de ces projets dans les pays du Nord. Cette note propose un état des lieux des démarches menées et soulève un certain nombre de questions sur la complémentarité des démarches BoP avec les politiques sociales.En ligne : http://www.strategie.gouv.fr/content/entreprises-lutte-pauvrete-na-307
Titre : Le scandale Eurotunnel : enquête sur une extravagante aventure Type de document : texte imprimé Auteurs : Marc Fressoz, Auteur Editeur : Editions Flammarion Année de publication : 2006 Collection : Enquête Importance : 402 p Langues : Français (fre) Catégories : Entreprises Tags : Entreprises Eurotunnel France Grande-Bretagne Index. décimale : 04.02 Entreprises Résumé : Après vingt ans d'existence mouvementée, Eurotunnel, asphyxiée par 9 milliards de dette, frôle depuis l'été 2006 le dépôt de bilan. Avec, pour conséquence, la ruine de ses quelque 800 000 petits actionnaires. De quoi donner, en pleine campagne électorale, des sueurs froides aux hommes politiques actuels, qui n'ont eu de cesse d'éviter que cette bombe à retardement leur explose à la figure. Promoteurs du projet en 1986, les Etats français et britanniques portent une lourde responsabilité dans ce fiasco. Pas seulement parce que François Mitterrand et Margaret Thatcher ont refusé de mettre le moindre centime d'argent public dans cette aventure dont les banquiers savaient qu'elle ne serait jamais rentable. Mais parce que tous, de droite comme de gauche, ont incité les petits porteurs à vider leur bas de laine dans le tunnel - 4 milliards d'euros -. assurant que leur " acte de foi " leur apporterait la richesse. Un mensonge nécessaire pour mener à bien ce " projet du siècle " attendu depuis cent ans. Ce livre n'est pas seulement la chronique d'un scandale financier digne de celui de Panama. II raconte aussi les affres endurées par les petits épargnants bernés, dévoile les batailles internes rocambolesques entre dirigeants français et britanniques, explore le mystérieux incendie de 1996 ainsi que la prise de pouvoir des petits actionnaires en 2004, emmenés par le remuant Nicolas Miquet, revient sur les dernières et monstrueuses négociations avec les créanciers, etc. Bref, décrit les coulisses et le fonctionnement concret mal connus de ce groupe franco-britannique qui a raccroché l'Angleterre au continent et aspire à devenir une " entreprise normale ".. sans jamais y parvenir. Le scandale Eurotunnel : enquête sur une extravagante aventure [texte imprimé] / Marc Fressoz, Auteur . - [S.l.] : Editions Flammarion, 2006 . - 402 p. - (Enquête) .
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Catégories : Entreprises Tags : Entreprises Eurotunnel France Grande-Bretagne Index. décimale : 04.02 Entreprises Résumé : Après vingt ans d'existence mouvementée, Eurotunnel, asphyxiée par 9 milliards de dette, frôle depuis l'été 2006 le dépôt de bilan. Avec, pour conséquence, la ruine de ses quelque 800 000 petits actionnaires. De quoi donner, en pleine campagne électorale, des sueurs froides aux hommes politiques actuels, qui n'ont eu de cesse d'éviter que cette bombe à retardement leur explose à la figure. Promoteurs du projet en 1986, les Etats français et britanniques portent une lourde responsabilité dans ce fiasco. Pas seulement parce que François Mitterrand et Margaret Thatcher ont refusé de mettre le moindre centime d'argent public dans cette aventure dont les banquiers savaient qu'elle ne serait jamais rentable. Mais parce que tous, de droite comme de gauche, ont incité les petits porteurs à vider leur bas de laine dans le tunnel - 4 milliards d'euros -. assurant que leur " acte de foi " leur apporterait la richesse. Un mensonge nécessaire pour mener à bien ce " projet du siècle " attendu depuis cent ans. Ce livre n'est pas seulement la chronique d'un scandale financier digne de celui de Panama. II raconte aussi les affres endurées par les petits épargnants bernés, dévoile les batailles internes rocambolesques entre dirigeants français et britanniques, explore le mystérieux incendie de 1996 ainsi que la prise de pouvoir des petits actionnaires en 2004, emmenés par le remuant Nicolas Miquet, revient sur les dernières et monstrueuses négociations avec les créanciers, etc. Bref, décrit les coulisses et le fonctionnement concret mal connus de ce groupe franco-britannique qui a raccroché l'Angleterre au continent et aspire à devenir une " entreprise normale ".. sans jamais y parvenir.
Titre : La Société Générale de Belgique : 1822-1972 Type de document : texte imprimé Auteurs : Eugène-G. De Barsy, Auteur Editeur : Société Générale de Banque Année de publication : 1972 Importance : 264 p Note générale : 04.02 DEB Langues : Français (fre) Catégories : Entreprises
Histoire économiqueTags : Société Générale Histoire Belgique Index. décimale : 04.02 Entreprises Résumé : La peuple l'appela "la Banque" tout court ou "la Banque de Bruxelles" pour la différencier de la "Nederlandsche Bank" qu'on ne connaissait que sous le nom de "Banque Amsterdam". La Belgique, de longue date, avait besoin d'un grand établissement financier. Divers projets avaient vu le jour, dont l'un se trouve aux archives de La Haye avec des annotations minutieuses de la main du Roi. Ce document est une pièce maîtresse : il révèle que la Société Générale est une création belge originale, due à une conception nationale. S'il est empreint de déférence pour le Roi, le projet n'en limite pas moins ses pouvoirs et se prémunit contre ses abus. Son auteur est Joseph, baron Bonaert. La Société Générale de Belgique : 1822-1972 [texte imprimé] / Eugène-G. De Barsy, Auteur . - [S.l.] : Société Générale de Banque, 1972 . - 264 p.
04.02 DEB
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Catégories : Entreprises
Histoire économiqueTags : Société Générale Histoire Belgique Index. décimale : 04.02 Entreprises Résumé : La peuple l'appela "la Banque" tout court ou "la Banque de Bruxelles" pour la différencier de la "Nederlandsche Bank" qu'on ne connaissait que sous le nom de "Banque Amsterdam". La Belgique, de longue date, avait besoin d'un grand établissement financier. Divers projets avaient vu le jour, dont l'un se trouve aux archives de La Haye avec des annotations minutieuses de la main du Roi. Ce document est une pièce maîtresse : il révèle que la Société Générale est une création belge originale, due à une conception nationale. S'il est empreint de déférence pour le Roi, le projet n'en limite pas moins ses pouvoirs et se prémunit contre ses abus. Son auteur est Joseph, baron Bonaert.
Titre : Soleil capitaliste : Entretiens au coeur des multinationales Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Pivert, Auteur Editeur : Editions du Sextant Année de publication : 2006 Importance : 316 p Langues : Français (fre) Catégories : Entreprises
TravailTags : Entreprises Investissements Sociétés transnationales Normes sociales Normes Empreinte sociale Travail décent Travail Droits Capitalisme Bourse Index. décimale : 04.03 Gestion Résumé : Ce livre est composé de sept entretiens d’une heure trente entre l’auteur et des cadres dirigeants mais aussi un syndicaliste. De formation grandes écoles de gestion, tous travaillent dans des multinationales françaises, américaine, suisse. Les sujets abordés vont du parcours professionnel de la personne à la réflexion générale sur le capitalisme et son évolution dans les deux dernières décennies, en passant sur le fonctionnement interne des multinationales. L’anonymat des entreprises et des identités a été requis. Si les opinions sont diverses, le fonctionnement interne des entreprises se ressemble. Globalement, le livre traduit un désarroi, une désaffection, une défiance vis-à-vis de la multinationale rivée à son cours de Bourse, qui se traduit plus du côté des interviewés par un cynisme grandissant, que par une remise en question du système, quasi impossible quand on est à l’intérieur. Soleil capitaliste : Entretiens au coeur des multinationales [texte imprimé] / Isabelle Pivert, Auteur . - [S.l.] : Editions du Sextant, 2006 . - 316 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Entreprises
TravailTags : Entreprises Investissements Sociétés transnationales Normes sociales Normes Empreinte sociale Travail décent Travail Droits Capitalisme Bourse Index. décimale : 04.03 Gestion Résumé : Ce livre est composé de sept entretiens d’une heure trente entre l’auteur et des cadres dirigeants mais aussi un syndicaliste. De formation grandes écoles de gestion, tous travaillent dans des multinationales françaises, américaine, suisse. Les sujets abordés vont du parcours professionnel de la personne à la réflexion générale sur le capitalisme et son évolution dans les deux dernières décennies, en passant sur le fonctionnement interne des multinationales. L’anonymat des entreprises et des identités a été requis. Si les opinions sont diverses, le fonctionnement interne des entreprises se ressemble. Globalement, le livre traduit un désarroi, une désaffection, une défiance vis-à-vis de la multinationale rivée à son cours de Bourse, qui se traduit plus du côté des interviewés par un cynisme grandissant, que par une remise en question du système, quasi impossible quand on est à l’intérieur.
Titre : A stake in the future : the stakeholding solution Type de document : texte imprimé Auteurs : John Plender, Auteur Editeur : London : Nicholas Brealey Publishing Année de publication : 1997 Importance : 280 p Langues : Anglais (eng) Catégories : Entreprises
Politique économique
LibéralisationTags : Grande Bretagne Entreprises Banques Syndicats Economie politique Politique économique Compétitivité Privatisation Emploi Index. décimale : 04.01 Entreprises - Généralités Résumé : The British feel insecure, their sense of national identity is uncertain and their belief in national decline remains stubbornly intact. The natural connection between economic growth and individual well-being has broken down. Britain's current state of high anxiety is conventionally attributed to job losses and unexpectedly weak house prices. This book argues that there is a deeper malaise which reflects a climate of unrestrained individualism. Having thrown off militant trade unionists of the corporatist 1970s, Anglo-Saxon capitalism has fallen hostage to aggressive managers, hungry for share options and bent on takeovers, for whom dividends take precedence over jobs. This lack of restraint reflects a hole in the heart of the system. The anonymous investment institutions that control #500 billion of the nation's savings are failing to exercise responsible ownership. Privatization, the defining policy of Margaret Thatcher's capitalist counter-revolution, has substituted pension fund bureaucrats for Whitehall bureaucrats. The rising cost of joblessness and a decline in social cohesion are contributing to a fiscal crisis of the state. Unprecedented levels of social security spending fail to prevent homelessness, crime and want. Growing numbers feel excluded from worthwhile participation in this unbalanced society. In an age of insecurity Tony Blair's New Labour has stumbled on a remedy: the stakeholder society. It is an idea with great political resonance, but as yet little substance, at least in Britain. This volume shows that elements of the stakeholder philosophy can be employed to legitimize Anglo-Saxon capitalism, restrain the excesses of the takeover culture and encourage firms to provide more stable employment. But it will not succeed, Plender argues, unless it takes a distinctively British form and remains free from the constraints of a single European currency. John Plender is the author of "That's the Way the Money Goes" and "The Square Mile". A stake in the future : the stakeholding solution [texte imprimé] / John Plender, Auteur . - London : Nicholas Brealey Publishing, 1997 . - 280 p.
Langues : Anglais (eng)
Catégories : Entreprises
Politique économique
LibéralisationTags : Grande Bretagne Entreprises Banques Syndicats Economie politique Politique économique Compétitivité Privatisation Emploi Index. décimale : 04.01 Entreprises - Généralités Résumé : The British feel insecure, their sense of national identity is uncertain and their belief in national decline remains stubbornly intact. The natural connection between economic growth and individual well-being has broken down. Britain's current state of high anxiety is conventionally attributed to job losses and unexpectedly weak house prices. This book argues that there is a deeper malaise which reflects a climate of unrestrained individualism. Having thrown off militant trade unionists of the corporatist 1970s, Anglo-Saxon capitalism has fallen hostage to aggressive managers, hungry for share options and bent on takeovers, for whom dividends take precedence over jobs. This lack of restraint reflects a hole in the heart of the system. The anonymous investment institutions that control #500 billion of the nation's savings are failing to exercise responsible ownership. Privatization, the defining policy of Margaret Thatcher's capitalist counter-revolution, has substituted pension fund bureaucrats for Whitehall bureaucrats. The rising cost of joblessness and a decline in social cohesion are contributing to a fiscal crisis of the state. Unprecedented levels of social security spending fail to prevent homelessness, crime and want. Growing numbers feel excluded from worthwhile participation in this unbalanced society. In an age of insecurity Tony Blair's New Labour has stumbled on a remedy: the stakeholder society. It is an idea with great political resonance, but as yet little substance, at least in Britain. This volume shows that elements of the stakeholder philosophy can be employed to legitimize Anglo-Saxon capitalism, restrain the excesses of the takeover culture and encourage firms to provide more stable employment. But it will not succeed, Plender argues, unless it takes a distinctively British form and remains free from the constraints of a single European currency. John Plender is the author of "That's the Way the Money Goes" and "The Square Mile". PermalinkPermalinkPermalink