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Titre : Travail à distances : l’omniprésence numérique Type de document : texte imprimé Auteurs : Cécile Piret, Auteur ; Stéphane Couture, Auteur ; Gilles Jeannot, Auteur Editeur : ARC-Action et Recherche Culturelles Année de publication : automne 2022 Collection : Permanences Critiques num. 5 Importance : 88 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Numérique Travail Travail de plateforme Exclusion sociale Résumé : Le dossier de ce cinquième numéro de Permanences Critiques, intitulé « travail à distances : l’omniprésence numérique », entend interroger les multiples processus occasionnés par la mise à distance du travail par les outils numériques. Lorsque le travail est mis à distance des collègues, du manager, des usagers d’un service, d’une structure d’entreprise formelle, etc., ce sont des environnements de travail entier qui sont refaçonnés, non seulement par la flexibilisation spatio-temporelle qui sous-tend ces modalités de mise au travail, mais aussi parce qu’ils deviennent, de fait, des potentialités d’extension du capitalisme numérique à de nouvelles sphères, et en particulier, depuis la pandémie, à celle de la vie privée et des services publics. Or, cette extension amène avec elle des changements tout à fait singuliers qui défient les dimensions démocratiques du travail et des institutions, qui véhiculent un nouveau modèle idéologique managérial et solutionniste, et qui génèrent, aussi, de nouvelles formes d’exploitation et donc de nouvelles formes de résistances. A l’heure où le travail est de plus en plus effectué et subordonné à distance, d’un spectre allant du télétravail au travail pour les plateformes de livraison, ces processus nous semblent fondamentaux à identifier de manière critique. En ligne : https://www.arc-culture.be/permanences-critiques/ Travail à distances : l’omniprésence numérique [texte imprimé] / Cécile Piret, Auteur ; Stéphane Couture, Auteur ; Gilles Jeannot, Auteur . - [S.l.] : ARC-Action et Recherche Culturelles, automne 2022 . - 88 p. - (Permanences Critiques; 5) .
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Catégories : Revues Tags : Numérique Travail Travail de plateforme Exclusion sociale Résumé : Le dossier de ce cinquième numéro de Permanences Critiques, intitulé « travail à distances : l’omniprésence numérique », entend interroger les multiples processus occasionnés par la mise à distance du travail par les outils numériques. Lorsque le travail est mis à distance des collègues, du manager, des usagers d’un service, d’une structure d’entreprise formelle, etc., ce sont des environnements de travail entier qui sont refaçonnés, non seulement par la flexibilisation spatio-temporelle qui sous-tend ces modalités de mise au travail, mais aussi parce qu’ils deviennent, de fait, des potentialités d’extension du capitalisme numérique à de nouvelles sphères, et en particulier, depuis la pandémie, à celle de la vie privée et des services publics. Or, cette extension amène avec elle des changements tout à fait singuliers qui défient les dimensions démocratiques du travail et des institutions, qui véhiculent un nouveau modèle idéologique managérial et solutionniste, et qui génèrent, aussi, de nouvelles formes d’exploitation et donc de nouvelles formes de résistances. A l’heure où le travail est de plus en plus effectué et subordonné à distance, d’un spectre allant du télétravail au travail pour les plateformes de livraison, ces processus nous semblent fondamentaux à identifier de manière critique. En ligne : https://www.arc-culture.be/permanences-critiques/ Exemplaires
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Titre : Travail reproductif : enjeux de valorisation Type de document : texte imprimé Auteurs : Mona Malak, Auteur ; Maud Simonet, Auteur ; Cécile Piret, Auteur Editeur : ARC-Action et Recherche Culturelles Année de publication : hiver 2022 Collection : Permanences Critiques num. 6 Importance : 92 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Travail reproductif Travail domestique Féminisme Salaire universel Résumé : Le dossier de ce sixième numéro de Permanences Critiques, intitulé « Travail reproductif : enjeux de valorisation » a pour but de questionner le travail reproductif dans notre société contemporaine et les enjeux de sa salarisation. Le travail reproductif est celui qui permet le maintien et la survie de la force de travail. Ce travail, essentiellement réalisé par les femmes, a pour caractéristique d’être invisible et sous-valorisé, voire gratuit. La reconnaissance et la rémunération du travail (semi) gratuit, la revalorisation du travail salarié et les stratégies pour faire face aux crises de la reproduction constituent les lignes directrices des analyses présentées dans ce numéro. Ainsi, le dossier de ce numéro souhaite déplier, pour la penser et lui faire face, l’analyse et les enjeux de la crise de la reproduction sociale, à travers des contributions qui portent essentiellement sur les défis de la valorisation du travail reproductif, et notamment, des enjeux d’un salaire au travail (semi) gratuit. Note de contenu : -Faire revenir le temps payé : perspectives féministes pour plus de temps et moins de travail p.47-57
-La Fast-Fashion : voir au-delà des fétichismes pour agir p.79-91En ligne : https://www.arc-culture.be/permanences-critiques/ Travail reproductif : enjeux de valorisation [texte imprimé] / Mona Malak, Auteur ; Maud Simonet, Auteur ; Cécile Piret, Auteur . - [S.l.] : ARC-Action et Recherche Culturelles, hiver 2022 . - 92 p. - (Permanences Critiques; 6) .
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Catégories : Revues Tags : Travail reproductif Travail domestique Féminisme Salaire universel Résumé : Le dossier de ce sixième numéro de Permanences Critiques, intitulé « Travail reproductif : enjeux de valorisation » a pour but de questionner le travail reproductif dans notre société contemporaine et les enjeux de sa salarisation. Le travail reproductif est celui qui permet le maintien et la survie de la force de travail. Ce travail, essentiellement réalisé par les femmes, a pour caractéristique d’être invisible et sous-valorisé, voire gratuit. La reconnaissance et la rémunération du travail (semi) gratuit, la revalorisation du travail salarié et les stratégies pour faire face aux crises de la reproduction constituent les lignes directrices des analyses présentées dans ce numéro. Ainsi, le dossier de ce numéro souhaite déplier, pour la penser et lui faire face, l’analyse et les enjeux de la crise de la reproduction sociale, à travers des contributions qui portent essentiellement sur les défis de la valorisation du travail reproductif, et notamment, des enjeux d’un salaire au travail (semi) gratuit. Note de contenu : -Faire revenir le temps payé : perspectives féministes pour plus de temps et moins de travail p.47-57
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Titre : Trimer pour Shein : Aux sources de la mode jetable de la génération TikTok Type de document : texte imprimé Auteurs : Timo Kollbrunner, Auteur ; David Mühlemann, Auteur Editeur : DB - Déclaration de Berne Année de publication : novembre 2021 Collection : Public Eye num. 32 Importance : 43 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues
Industrie textileTags : Industrie textile Matières premières Conditions de travail Environnement Résumé : Une ascension fulgurante depuis l’Empire du Milieu : avec son gigantesque catalogue d’articles outrageusement bon marché et sa présence agressive sur les
réseaux sociaux, le détaillant de vêtements en ligne Shein coupe l’herbe sous le pied des géants du secteur, H&M, Zara et consorts, en s’attirant la sympathie – et l’argent – des jeunes femmes. Si la marque soigne sa présence sur les réseaux, elle brille par son opacité en coulisses. Public Eye s’est aventurée dans le côté obscur de Shein, jusque dans les ruelles de la grande ville chinoise de Guangzhou, où des milliers de personnes s’échinent jusqu’à douze heures par jour pour coudre les articles qui font le bonheur des adolescentes.Note de contenu : -Shein, le fantôme de Liège p.16-19
- les "tueurs d'abeilles" interdits dans l'UE mais toujours exportés en masse p.32-37En ligne : https://www.gunvoraucongo.publiceye.ch/ Trimer pour Shein : Aux sources de la mode jetable de la génération TikTok [texte imprimé] / Timo Kollbrunner, Auteur ; David Mühlemann, Auteur . - [S.l.] : DB - Déclaration de Berne, novembre 2021 . - 43 p. - (Public Eye; 32) .
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Industrie textileTags : Industrie textile Matières premières Conditions de travail Environnement Résumé : Une ascension fulgurante depuis l’Empire du Milieu : avec son gigantesque catalogue d’articles outrageusement bon marché et sa présence agressive sur les
réseaux sociaux, le détaillant de vêtements en ligne Shein coupe l’herbe sous le pied des géants du secteur, H&M, Zara et consorts, en s’attirant la sympathie – et l’argent – des jeunes femmes. Si la marque soigne sa présence sur les réseaux, elle brille par son opacité en coulisses. Public Eye s’est aventurée dans le côté obscur de Shein, jusque dans les ruelles de la grande ville chinoise de Guangzhou, où des milliers de personnes s’échinent jusqu’à douze heures par jour pour coudre les articles qui font le bonheur des adolescentes.Note de contenu : -Shein, le fantôme de Liège p.16-19
- les "tueurs d'abeilles" interdits dans l'UE mais toujours exportés en masse p.32-37En ligne : https://www.gunvoraucongo.publiceye.ch/ Exemplaires
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Titre : Ukraine, l'engrenage : la menace d'une guerre nucléaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Serge Halimi, Auteur ; Maëlle Mariette, Auteur Editeur : Le Monde diplomatique Année de publication : avril 2022 Collection : Le Monde diplomatique num. 817 Importance : 28 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Conflits Diplomatie Democratie Résumé : Si les dirigeants chinois pensaient avoir un peu de répit, les États-Unis étant occupés en Europe, la charge menée contre Pékin par le conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche, M.Jake Sullivan, le 14 mars dernier, a du faire l’effet d’une douche froide. À la veille de sa rencontre avec le plus haut responsable de la diplomatie chinoise, M. Yang Jiechi, le conseiller américain a largement diffusé un câble diplomatique venant des services secrets et censé
prouver que les Chinois allaient « aider militairement» Moscou. Malgré le démenti des intéressés, l’accusation a été reprise en boucle par les médias du monde entier. La conséquence la plus grave, soulignée par plusieurs voix en Chine même, est que «la guerre affaiblira considérablement les forces antioccidentales dans le monde », comme l’explique Hu Wei, vice-président d’un think tank gouvernemental, le Centre de recherche sur les politiques publiques du Bureau du Conseil d’État, dans un article étonnamment critique envers la politique du pouvoir. Une sombre perspective au moment où le pays aurait besoin d’amis – sinon d’alliés – pour faire face à la volonté américaine d’endiguer sa puissance. Au début du conflit, les mêmes commentateurs ou presque étaient tout aussi persuadés que Pékin allait profiter du front russo-ukrainien pour envahir Taïwan. Si tant est que la chose fut envisagée, le fiasco militaire russe et l’ampleur des sanctions à l’encontre de Moscou devraient calmer bien des ardeurs. Là ne réside pas l’enjeu immédiat pour les autorités chinoises.Note de contenu : -Le Venezuela brisé par les sanctions p.4-5 En ligne : https://www.monde-diplomatique.fr/2022/04/ Ukraine, l'engrenage : la menace d'une guerre nucléaire [texte imprimé] / Serge Halimi, Auteur ; Maëlle Mariette, Auteur . - [S.l.] : Le Monde diplomatique, avril 2022 . - 28 p. - (Le Monde diplomatique; 817) .
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Catégories : Revues Tags : Conflits Diplomatie Democratie Résumé : Si les dirigeants chinois pensaient avoir un peu de répit, les États-Unis étant occupés en Europe, la charge menée contre Pékin par le conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche, M.Jake Sullivan, le 14 mars dernier, a du faire l’effet d’une douche froide. À la veille de sa rencontre avec le plus haut responsable de la diplomatie chinoise, M. Yang Jiechi, le conseiller américain a largement diffusé un câble diplomatique venant des services secrets et censé
prouver que les Chinois allaient « aider militairement» Moscou. Malgré le démenti des intéressés, l’accusation a été reprise en boucle par les médias du monde entier. La conséquence la plus grave, soulignée par plusieurs voix en Chine même, est que «la guerre affaiblira considérablement les forces antioccidentales dans le monde », comme l’explique Hu Wei, vice-président d’un think tank gouvernemental, le Centre de recherche sur les politiques publiques du Bureau du Conseil d’État, dans un article étonnamment critique envers la politique du pouvoir. Une sombre perspective au moment où le pays aurait besoin d’amis – sinon d’alliés – pour faire face à la volonté américaine d’endiguer sa puissance. Au début du conflit, les mêmes commentateurs ou presque étaient tout aussi persuadés que Pékin allait profiter du front russo-ukrainien pour envahir Taïwan. Si tant est que la chose fut envisagée, le fiasco militaire russe et l’ampleur des sanctions à l’encontre de Moscou devraient calmer bien des ardeurs. Là ne réside pas l’enjeu immédiat pour les autorités chinoises.Note de contenu : -Le Venezuela brisé par les sanctions p.4-5 En ligne : https://www.monde-diplomatique.fr/2022/04/ Exemplaires
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Titre : Unilever, le géant de l'indécence Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Gelin, Auteur Editeur : Tchak! Année de publication : mars-avril-mai 2021 Collection : Tchak! Importance : 6 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Industrie agro-alimentaire Multinationale Salaires Marketing Résumé : Unilever dépense plus dans sa communication que pour payer ses salariés. Pourtant, le premier vendeur de crèmes glacées au monde n’hésite pas à vanter ses engagements en termes d’agriculture durable, de salaire décent ou de société inclusive. Une stratégie marketing pour le moins indécente. Janvier 2021, la presse relaie un communiqué d’Unilever promettant que tous les travailleurs lui fournissant des biens et services obtiendront un salaire décent d’ici 2030. Ceci afin de rendre la société plus inclusive et équitable. Et la directrice d’Unilever Belgique d’ajouter modestement dans l’Echo que le groupe fait « œuvre de pionnier en établissant très clairement le lien entre ces mesures et les objectifs de lutte contre le changement climatique et les inégalités sociales ». Un leader de l’agroalimentaire qui promeut l’écologie et la justice sociale, ça n’est pas si courant. Mais qu’en est-il dans la pratique ?
En 2014, la multinationale anglo-néerlandaise était pointée par l’Union internationale des travailleurs de l’alimentation et de l’agriculture (UITA). Unilever proposait au personnel syndiqué de l’usine de Purfleet, en Angleterre, une baisse de salaire allant jusqu’à 30% dans un accord touchant aux pensions et au temps de travail, tout en encourageant l’embauche de personnel sous contrat individuel exclu des négociations collectives. Ceci afin de « conserver la viabilité » de la plus grande usine de margarine au monde. Au même moment, les travailleurs d’Unilever à Pietermaritzburg, en Afrique du sud, stoppaient le travail afin de réclamer une augmentation de 9% des salaires.Unilever, le géant de l'indécence [texte imprimé] / Romain Gelin, Auteur . - [S.l.] : Tchak!, mars-avril-mai 2021 . - 6 p. - (Tchak!) .
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Catégories : Revues Tags : Industrie agro-alimentaire Multinationale Salaires Marketing Résumé : Unilever dépense plus dans sa communication que pour payer ses salariés. Pourtant, le premier vendeur de crèmes glacées au monde n’hésite pas à vanter ses engagements en termes d’agriculture durable, de salaire décent ou de société inclusive. Une stratégie marketing pour le moins indécente. Janvier 2021, la presse relaie un communiqué d’Unilever promettant que tous les travailleurs lui fournissant des biens et services obtiendront un salaire décent d’ici 2030. Ceci afin de rendre la société plus inclusive et équitable. Et la directrice d’Unilever Belgique d’ajouter modestement dans l’Echo que le groupe fait « œuvre de pionnier en établissant très clairement le lien entre ces mesures et les objectifs de lutte contre le changement climatique et les inégalités sociales ». Un leader de l’agroalimentaire qui promeut l’écologie et la justice sociale, ça n’est pas si courant. Mais qu’en est-il dans la pratique ?
En 2014, la multinationale anglo-néerlandaise était pointée par l’Union internationale des travailleurs de l’alimentation et de l’agriculture (UITA). Unilever proposait au personnel syndiqué de l’usine de Purfleet, en Angleterre, une baisse de salaire allant jusqu’à 30% dans un accord touchant aux pensions et au temps de travail, tout en encourageant l’embauche de personnel sous contrat individuel exclu des négociations collectives. Ceci afin de « conserver la viabilité » de la plus grande usine de margarine au monde. Au même moment, les travailleurs d’Unilever à Pietermaritzburg, en Afrique du sud, stoppaient le travail afin de réclamer une augmentation de 9% des salaires.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkVol. 4-1997/4 - 1998 - Les ONG (Bulletin de Alternatives Sud)
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