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Auteur Romain Gelin |
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Titre : Les tomates noir-jaune-rouge de la honte : Den Berk délice Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Gelin, Auteur ; Sang-Sang Wu, Auteur ; Clémence Dumont, Auteur ; Jehanne Bergé, Auteur Editeur : Tchak! Année de publication : septembre-octobre-novembre 2021 Collection : Tchak! num. 7 Importance : 113 p. Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Agriculture Politique agricole Environnement Matières premières Alternatives Résumé : Avec plus de 70 hectares hors sol, Den Berk Délice est un des plus gros producteurs belges de tomates. Pour assurer la logistique, elle peut compter sur les services de Hoogstraten, imposante coopérative flamande qui fournit la grande distribution en Belgique et à l’étranger. Colruyt, Carrefour et Delhaize font ainsi partie des gros revendeurs de Den Berk Délice (la chaîne au lion l’a même à l’honneur dans le cadre de sa campagne « Belhaize », au printemps 2021). L’entreprise flamande travaille tant sous leur marque que sous ses marques propres. Parmi ces dernières, on trouve notamment les Kumato Délice, les Yoom Délice, les Party Délice, les Pure Délice, les Miss Perfect Délice, les Petite Délice et les ChefDélice. Note de contenu : -vols alimentaires : et si c'était la société qu'il fallait juger ? p.28-33
-Apaq-W, l'agence entre deux mondes p.40-49
-le business avarié de JBS p.102-106
Les tomates noir-jaune-rouge de la honte : Den Berk délice [texte imprimé] / Romain Gelin, Auteur ; Sang-Sang Wu, Auteur ; Clémence Dumont, Auteur ; Jehanne Bergé, Auteur . - [S.l.] : Tchak!, septembre-octobre-novembre 2021 . - 113 p.. - (Tchak!; 7) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Agriculture Politique agricole Environnement Matières premières Alternatives Résumé : Avec plus de 70 hectares hors sol, Den Berk Délice est un des plus gros producteurs belges de tomates. Pour assurer la logistique, elle peut compter sur les services de Hoogstraten, imposante coopérative flamande qui fournit la grande distribution en Belgique et à l’étranger. Colruyt, Carrefour et Delhaize font ainsi partie des gros revendeurs de Den Berk Délice (la chaîne au lion l’a même à l’honneur dans le cadre de sa campagne « Belhaize », au printemps 2021). L’entreprise flamande travaille tant sous leur marque que sous ses marques propres. Parmi ces dernières, on trouve notamment les Kumato Délice, les Yoom Délice, les Party Délice, les Pure Délice, les Miss Perfect Délice, les Petite Délice et les ChefDélice. Note de contenu : -vols alimentaires : et si c'était la société qu'il fallait juger ? p.28-33
-Apaq-W, l'agence entre deux mondes p.40-49
-le business avarié de JBS p.102-106
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Titre : Transmission des fermes : Trois générations pour raconter l'urgence Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Gelin, Auteur ; Sang-Sang Wu, Auteur ; Yves Raisiere, Auteur Editeur : Tchak! Année de publication : mars-avril-mai 2021 Collection : Tchak! num. 5 Importance : 113 p. Note générale : REVUE (boites des revues conservées) Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Agriculture Politique agricole Environnement Matières premières Alternatives Résumé : Le constat | Seule une ferme sur cinq a un repreneur assuré. Et ça ne va pas s’arranger ces prochaines années vu l’âge moyen des agriculteurs wallons (55 ans). En corollaire, un phénomène de concentration des terres, au profit des grandes exploitations, des propriétaires terriens et des sociétés de gestion.
Les raisons | Qu’est-ce qui coince dans la reprise des fermes ? Moment-charnière dans la vie d’un agriculteur, la transmission est un moment redouté sur le plan financier, mais aussi et surtout personnel et psychologique. À Pondrôme (Beauraing), la famille Hénin a relevé le pari, non sans difficultés. Trois générations d’agriculteurs ont accepté de témoigner.
Les pistes | Face au déclin des exploitations familiales, François Berrou refuse de sombrer dans le défaitisme. Ce Français anime des formations sur la transmission des fermes. Il explique comment, grâce à la parole, on peut contrer les tendances. En Wallonie, on est loin du compte : malgré l’urgence de la situation et des propositions déposées par la FUGEA et Terre-en-Vue, aucune structure d’accompagnement n’a été mise en place par les pouvoirs publics.Note de contenu : -Aldi, sa tactique pour vous attraper p.92-95
-Unilever, le géant de l'indécence p.102-107Transmission des fermes : Trois générations pour raconter l'urgence [texte imprimé] / Romain Gelin, Auteur ; Sang-Sang Wu, Auteur ; Yves Raisiere, Auteur . - [S.l.] : Tchak!, mars-avril-mai 2021 . - 113 p.. - (Tchak!; 5) .
REVUE (boites des revues conservées)
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Agriculture Politique agricole Environnement Matières premières Alternatives Résumé : Le constat | Seule une ferme sur cinq a un repreneur assuré. Et ça ne va pas s’arranger ces prochaines années vu l’âge moyen des agriculteurs wallons (55 ans). En corollaire, un phénomène de concentration des terres, au profit des grandes exploitations, des propriétaires terriens et des sociétés de gestion.
Les raisons | Qu’est-ce qui coince dans la reprise des fermes ? Moment-charnière dans la vie d’un agriculteur, la transmission est un moment redouté sur le plan financier, mais aussi et surtout personnel et psychologique. À Pondrôme (Beauraing), la famille Hénin a relevé le pari, non sans difficultés. Trois générations d’agriculteurs ont accepté de témoigner.
Les pistes | Face au déclin des exploitations familiales, François Berrou refuse de sombrer dans le défaitisme. Ce Français anime des formations sur la transmission des fermes. Il explique comment, grâce à la parole, on peut contrer les tendances. En Wallonie, on est loin du compte : malgré l’urgence de la situation et des propositions déposées par la FUGEA et Terre-en-Vue, aucune structure d’accompagnement n’a été mise en place par les pouvoirs publics.Note de contenu : -Aldi, sa tactique pour vous attraper p.92-95
-Unilever, le géant de l'indécence p.102-107Exemplaires
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Titre : Unilever, le géant de l'indécence Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Gelin, Auteur Editeur : Tchak! Année de publication : mars-avril-mai 2021 Collection : Tchak! Importance : 6 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Industrie agro-alimentaire Multinationale Salaires Marketing Résumé : Unilever dépense plus dans sa communication que pour payer ses salariés. Pourtant, le premier vendeur de crèmes glacées au monde n’hésite pas à vanter ses engagements en termes d’agriculture durable, de salaire décent ou de société inclusive. Une stratégie marketing pour le moins indécente. Janvier 2021, la presse relaie un communiqué d’Unilever promettant que tous les travailleurs lui fournissant des biens et services obtiendront un salaire décent d’ici 2030. Ceci afin de rendre la société plus inclusive et équitable. Et la directrice d’Unilever Belgique d’ajouter modestement dans l’Echo que le groupe fait « œuvre de pionnier en établissant très clairement le lien entre ces mesures et les objectifs de lutte contre le changement climatique et les inégalités sociales ». Un leader de l’agroalimentaire qui promeut l’écologie et la justice sociale, ça n’est pas si courant. Mais qu’en est-il dans la pratique ?
En 2014, la multinationale anglo-néerlandaise était pointée par l’Union internationale des travailleurs de l’alimentation et de l’agriculture (UITA). Unilever proposait au personnel syndiqué de l’usine de Purfleet, en Angleterre, une baisse de salaire allant jusqu’à 30% dans un accord touchant aux pensions et au temps de travail, tout en encourageant l’embauche de personnel sous contrat individuel exclu des négociations collectives. Ceci afin de « conserver la viabilité » de la plus grande usine de margarine au monde. Au même moment, les travailleurs d’Unilever à Pietermaritzburg, en Afrique du sud, stoppaient le travail afin de réclamer une augmentation de 9% des salaires.Unilever, le géant de l'indécence [texte imprimé] / Romain Gelin, Auteur . - [S.l.] : Tchak!, mars-avril-mai 2021 . - 6 p. - (Tchak!) .
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Catégories : Revues Tags : Industrie agro-alimentaire Multinationale Salaires Marketing Résumé : Unilever dépense plus dans sa communication que pour payer ses salariés. Pourtant, le premier vendeur de crèmes glacées au monde n’hésite pas à vanter ses engagements en termes d’agriculture durable, de salaire décent ou de société inclusive. Une stratégie marketing pour le moins indécente. Janvier 2021, la presse relaie un communiqué d’Unilever promettant que tous les travailleurs lui fournissant des biens et services obtiendront un salaire décent d’ici 2030. Ceci afin de rendre la société plus inclusive et équitable. Et la directrice d’Unilever Belgique d’ajouter modestement dans l’Echo que le groupe fait « œuvre de pionnier en établissant très clairement le lien entre ces mesures et les objectifs de lutte contre le changement climatique et les inégalités sociales ». Un leader de l’agroalimentaire qui promeut l’écologie et la justice sociale, ça n’est pas si courant. Mais qu’en est-il dans la pratique ?
En 2014, la multinationale anglo-néerlandaise était pointée par l’Union internationale des travailleurs de l’alimentation et de l’agriculture (UITA). Unilever proposait au personnel syndiqué de l’usine de Purfleet, en Angleterre, une baisse de salaire allant jusqu’à 30% dans un accord touchant aux pensions et au temps de travail, tout en encourageant l’embauche de personnel sous contrat individuel exclu des négociations collectives. Ceci afin de « conserver la viabilité » de la plus grande usine de margarine au monde. Au même moment, les travailleurs d’Unilever à Pietermaritzburg, en Afrique du sud, stoppaient le travail afin de réclamer une augmentation de 9% des salaires.Exemplaires
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Titre : Yara, champion de l'agriculture fossile Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Gelin, Auteur Editeur : Tchak! Année de publication : juin-juillet-août 2022 Collection : Tchak! num. 10 Importance : 5 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Industrie agro-alimentaire Multinationale Pollution Résumé : Le producteur d'engrais Yara dépeint parfaitement le caractère non durable du modèle agricole dominant. Reposant largement sur le gaz, l'industrie des engrais est la cause de multiples accidents et pollutions. Par ailleurs, elle finance nombre d'initiatives pour le développement des énergies fossiles et la promotion d'une agriculture intensive, notamment en Afrique. Focus sur le géant norvégien des engrais, présent sur le site de Tertre, à Saint-Ghislain. Yara est le leader mondial des engrais azotés et le deuxième producteur d'ammoniac. La firme détenue à 43% par la Norvège, emploie 17.800 travailleurs dans 60 pays au travers de 28 usines de production et 200 infrastructures. Yara, champion de l'agriculture fossile [texte imprimé] / Romain Gelin, Auteur . - [S.l.] : Tchak!, juin-juillet-août 2022 . - 5 p. - (Tchak!; 10) .
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Catégories : Revues Tags : Industrie agro-alimentaire Multinationale Pollution Résumé : Le producteur d'engrais Yara dépeint parfaitement le caractère non durable du modèle agricole dominant. Reposant largement sur le gaz, l'industrie des engrais est la cause de multiples accidents et pollutions. Par ailleurs, elle finance nombre d'initiatives pour le développement des énergies fossiles et la promotion d'une agriculture intensive, notamment en Afrique. Focus sur le géant norvégien des engrais, présent sur le site de Tertre, à Saint-Ghislain. Yara est le leader mondial des engrais azotés et le deuxième producteur d'ammoniac. La firme détenue à 43% par la Norvège, emploie 17.800 travailleurs dans 60 pays au travers de 28 usines de production et 200 infrastructures. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire