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Energie : sortir de l'impasse / Clara Seynaeve
Titre : Energie : sortir de l'impasse Type de document : texte imprimé Auteurs : Clara Seynaeve, Auteur ; Magali Verdier, Auteur ; Daniel Tanuro, Auteur Editeur : CIEP/MOC Année de publication : septembre 2022 Collection : Mouvements : clés pour l'action populaire num. 9 Importance : 50 p Langues : Français (fre) Catégories : Énergie Tags : Energie Lobbies Libéralisation Index. décimale : 03.03 Ressources naturelles Résumé : Après le climat, la pandémie et la guerre de Poutine en Ukraine, la crise de l’énergie est le dernier exemple en date des échecs du marché capitaliste et des politiques libérales à répondre aux besoins fondamentaux de l’humanité. Sécheresses, incendies, inondations, tempêtes… : la réalité du réchauffement climatique n’est plus à démontrer. Pourtant, les engagements internationaux restent encore en-dessous de ce qui est jugé nécessaire par le consensus scientifique afin d’éviter un réchauffement de +1,5° aux conséquences catastrophiques. Le dérèglement du climat n’est pas « seulement » un problème pour la planète, ni même à terme pour la survie de notre espèce. C’est déjà un problème social de plus en plus grave, y compris dans le « Nord global » dont fait partie la Belgique : les milliers de personnes sinistré.e.s qui vivent encore dans des conditions indignes plus d’un an après les inondations dans l’Est du pays font écho aux 33 millions de sinistré.e.s des récentes inondations au Pakistan. Chaque année, le nombre de « migrant.e.s climatiques » augmente. A chaque canicule, des milliers de nos aîné.e.s succombent de la chaleur. A chaque sécheresse, les récoltes sont mauvaises et les agriculteur.rice.s souffrent.
On ne peut pas parler de climat sans parler d’énergie et vice-versa : pour diminuer drastiquement les émissions de gaz à effet de serre, il est indispensable de remplacer les énergies fossiles par les renouvelables tout en supprimant les productions inutiles…ce qui implique de reconvertir des secteurs polluants. Comme les autres aspects de la crise climatique, la « crise énergétique » a aussi ses répercussions sociales avec une explosion des factures d’énergie des ménages : plus de 20% sont en précarité énergétique à Bruxelles, ce qui a aussi des implications sur la santé… Quant aux entreprises, elles répercutent le plus souvent la hausse du coût de l’énergie sur les prix de vente, ce qui contribue à la hausse générale du coût de la vie.Note de contenu : -Une crise énergétique mondiale p.7-13
-Gaz et nucléaire : la politique énergétique de la Vivaldi p.22-27
-Du charbon dans le green deal p.28-32
-L'Union Européenne des lobbys fossiles p.33-38Energie : sortir de l'impasse [texte imprimé] / Clara Seynaeve, Auteur ; Magali Verdier, Auteur ; Daniel Tanuro, Auteur . - [S.l.] : CIEP/MOC, septembre 2022 . - 50 p. - (Mouvements : clés pour l'action populaire; 9) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Énergie Tags : Energie Lobbies Libéralisation Index. décimale : 03.03 Ressources naturelles Résumé : Après le climat, la pandémie et la guerre de Poutine en Ukraine, la crise de l’énergie est le dernier exemple en date des échecs du marché capitaliste et des politiques libérales à répondre aux besoins fondamentaux de l’humanité. Sécheresses, incendies, inondations, tempêtes… : la réalité du réchauffement climatique n’est plus à démontrer. Pourtant, les engagements internationaux restent encore en-dessous de ce qui est jugé nécessaire par le consensus scientifique afin d’éviter un réchauffement de +1,5° aux conséquences catastrophiques. Le dérèglement du climat n’est pas « seulement » un problème pour la planète, ni même à terme pour la survie de notre espèce. C’est déjà un problème social de plus en plus grave, y compris dans le « Nord global » dont fait partie la Belgique : les milliers de personnes sinistré.e.s qui vivent encore dans des conditions indignes plus d’un an après les inondations dans l’Est du pays font écho aux 33 millions de sinistré.e.s des récentes inondations au Pakistan. Chaque année, le nombre de « migrant.e.s climatiques » augmente. A chaque canicule, des milliers de nos aîné.e.s succombent de la chaleur. A chaque sécheresse, les récoltes sont mauvaises et les agriculteur.rice.s souffrent.
On ne peut pas parler de climat sans parler d’énergie et vice-versa : pour diminuer drastiquement les émissions de gaz à effet de serre, il est indispensable de remplacer les énergies fossiles par les renouvelables tout en supprimant les productions inutiles…ce qui implique de reconvertir des secteurs polluants. Comme les autres aspects de la crise climatique, la « crise énergétique » a aussi ses répercussions sociales avec une explosion des factures d’énergie des ménages : plus de 20% sont en précarité énergétique à Bruxelles, ce qui a aussi des implications sur la santé… Quant aux entreprises, elles répercutent le plus souvent la hausse du coût de l’énergie sur les prix de vente, ce qui contribue à la hausse générale du coût de la vie.Note de contenu : -Une crise énergétique mondiale p.7-13
-Gaz et nucléaire : la politique énergétique de la Vivaldi p.22-27
-Du charbon dans le green deal p.28-32
-L'Union Européenne des lobbys fossiles p.33-38Documents numériques
Mouvements-n1-4.pdfAdobe Acrobat PDF Gagner nos vies / Thomas Englert
Titre : Gagner nos vies Type de document : texte imprimé Auteurs : Thomas Englert, Auteur ; Bruno Bauraind, Auteur ; Natalia Hirtz, Auteur Editeur : CIEP/MOC Année de publication : juin 2021 Collection : Mouvements : clés pour l'action populaire num. 4 Importance : 54 p Langues : Français (fre) Catégories : ARCHIVES Tags : Genre Salaire Politique sociale Index. décimale : ARCH.GRE-21 Résumé : Selon le fonds monétaire international, l'impact du "grand confinement" - l'arrêt de l'activité économique dû notamment au confinement d'une grande partie des travailleurs dans le monde - pourrait atteindre 9 trillion de dollars sur 2020-21. Un chiffre qui donne le tournis, mais surtout qui rappelle que ce sont les travailleuses et les travailleurs qui produisent la richesse : sans nous, ni production, ni profits, ni dividendes. Note de contenu : -Relancer l'économie en bloquant les salaires ? p.18-21
-Le salaire ménager, une revendication datée pour un débat d'actualité p.46-50Gagner nos vies [texte imprimé] / Thomas Englert, Auteur ; Bruno Bauraind, Auteur ; Natalia Hirtz, Auteur . - [S.l.] : CIEP/MOC, juin 2021 . - 54 p. - (Mouvements : clés pour l'action populaire; 4) .
Langues : Français (fre)
Catégories : ARCHIVES Tags : Genre Salaire Politique sociale Index. décimale : ARCH.GRE-21 Résumé : Selon le fonds monétaire international, l'impact du "grand confinement" - l'arrêt de l'activité économique dû notamment au confinement d'une grande partie des travailleurs dans le monde - pourrait atteindre 9 trillion de dollars sur 2020-21. Un chiffre qui donne le tournis, mais surtout qui rappelle que ce sont les travailleuses et les travailleurs qui produisent la richesse : sans nous, ni production, ni profits, ni dividendes. Note de contenu : -Relancer l'économie en bloquant les salaires ? p.18-21
-Le salaire ménager, une revendication datée pour un débat d'actualité p.46-50Modernités de la grève / Gilles Maufroy
Titre : Modernités de la grève Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilles Maufroy, Auteur ; Magali Verdier, Auteur ; Nada Ladraa, Auteur ; Louise Metrich, Auteur Editeur : CIEP/MOC Année de publication : mars 2022 Collection : Mouvements : clés pour l'action populaire num. 7 Importance : 50 p Note générale : 05.02 MAU Langues : Français (fre) Catégories : Mouvements sociaux Tags : Grèves Genre Luttes sociales Travail domestique Index. décimale : 05.02 Syndicalisme Résumé : Le capitalisme néo-libéral véhicule l’image du succès ou de l’échec individuel. Il y aurait d’un côté les gagnants, ceux qui prennent des responsabilités et des risques et qui sont récompensés par du confort de vie et du pouvoir de décision sur leurs vies et celles des autres. Et puis il y a tou.te.s les autres, qui n’y sont pas arrivés, qui au mieux vivent plus ou moins décemment et ne devraient pas s’en plaindre ; au pire sont des « losers » qui « profitent de ceux qui travaillent » et devraient en avoir honte. Ce deuxième groupe ne peut s’en prendre qu’à lui-même et courber l’échine devant les décisions des gagnants. Selon cette idée, ceux et celles qui ont géré la crise du Covid nous dirigent « dans notre intérêt » parce qu’ils sont les plus capables pour le faire. Ils peuvent donc justifier de court-circuiter les régimes normaux au nom de l’urgence et de la crise. A l’école, au travail, dans la famille, le raisonnement est le même. On connait tou.te.s ce discours-là. On l’adopte parfois, malgré nous. Pourtant, nos expériences démontrent tous les jours à quel point il est faux que notre position sociale est déterminée seulement par nos actions individuelles, sans aide, sans histoire, sans contexte, sans autres. Et si nous ne sommes pas seul.e.s responsables de nos difficultés, alors ceux qui nous dominent ne sont pas forcément au sommet parce qu’ils le méritent. Note de contenu : -La grève, à la recherche du temps retrouvé p.13-18
-La ligue des travailleurs.euses sans-papiers en France, vers l'unité de la classe travailleuse p.19-23
-La grève : un outil encore capable de changer un état p.33-36
-Vie féminine et la grève des femmes p.37-40Modernités de la grève [texte imprimé] / Gilles Maufroy, Auteur ; Magali Verdier, Auteur ; Nada Ladraa, Auteur ; Louise Metrich, Auteur . - [S.l.] : CIEP/MOC, mars 2022 . - 50 p. - (Mouvements : clés pour l'action populaire; 7) .
05.02 MAU
Langues : Français (fre)
Catégories : Mouvements sociaux Tags : Grèves Genre Luttes sociales Travail domestique Index. décimale : 05.02 Syndicalisme Résumé : Le capitalisme néo-libéral véhicule l’image du succès ou de l’échec individuel. Il y aurait d’un côté les gagnants, ceux qui prennent des responsabilités et des risques et qui sont récompensés par du confort de vie et du pouvoir de décision sur leurs vies et celles des autres. Et puis il y a tou.te.s les autres, qui n’y sont pas arrivés, qui au mieux vivent plus ou moins décemment et ne devraient pas s’en plaindre ; au pire sont des « losers » qui « profitent de ceux qui travaillent » et devraient en avoir honte. Ce deuxième groupe ne peut s’en prendre qu’à lui-même et courber l’échine devant les décisions des gagnants. Selon cette idée, ceux et celles qui ont géré la crise du Covid nous dirigent « dans notre intérêt » parce qu’ils sont les plus capables pour le faire. Ils peuvent donc justifier de court-circuiter les régimes normaux au nom de l’urgence et de la crise. A l’école, au travail, dans la famille, le raisonnement est le même. On connait tou.te.s ce discours-là. On l’adopte parfois, malgré nous. Pourtant, nos expériences démontrent tous les jours à quel point il est faux que notre position sociale est déterminée seulement par nos actions individuelles, sans aide, sans histoire, sans contexte, sans autres. Et si nous ne sommes pas seul.e.s responsables de nos difficultés, alors ceux qui nous dominent ne sont pas forcément au sommet parce qu’ils le méritent. Note de contenu : -La grève, à la recherche du temps retrouvé p.13-18
-La ligue des travailleurs.euses sans-papiers en France, vers l'unité de la classe travailleuse p.19-23
-La grève : un outil encore capable de changer un état p.33-36
-Vie féminine et la grève des femmes p.37-40
Titre : Le mouvement Ouvrier, l’impérialisme et la guerre Type de document : document électronique Auteurs : Joseph Daher, Auteur ; Gilles Maufroy, Auteur ; Magali Verdier, Auteur Editeur : CIEP/MOC Année de publication : juin 2022 Collection : Mouvements : clés pour l'action populaire num. 8 Importance : 50 p Langues : Français (fre) Catégories : Mouvements sociaux Tags : Conflits Impérialisme Résumé : Après plusieurs mois suspendu.e.s au rythme d’une pandémie mondiale, nous voilà, avec la guerre en Ukraine, témoins d’une nouvelle boucherie, cette fois d’une ampleur inégalée en Europe depuis 1945. Si, ici, nous ne vivons pas sous les bombes, nous ressentons l’onde de choc, et pas seulement à travers l’effet anxiogène d’un conflit qui se joue à quelques milliers de kilomètres. Des dirigeants confortés dans leurs élans sécuritaires, comme le gouvernement belge qui profite de ce contexte pour continuer à investir dans une armée au service de l’OTAN et d’une Union européenne qui s’éloigne toujours plus de l’idéal de paix sur lequel elle prétend se construire. Des prix de l’énergie qui s’envolent grâce à la magie des marchés toujours favorable à la multiplication des dividendes. Des millions de réfugié.e.s sur les routes d’Europe qui, cette fois, trouvent un accueil plus ou moins digne de ce nom dans des pays qui continuent pourtant de refuser droits et dignité aux milliers d’exilé.e.s refoulé.e.s et sacrifié.e.s chaque jour aux frontières de la forteresse. Vu d’ici, cette guerre fait frémir. Mais c’est évidemment avant tout pour les populations en première ligne des massacres, viols, destructions et exils que cette guerre est effrayante et catastrophique à bien des égards. C’est dans ce contexte que les Ukrainien.ne.s, femmes en première ligne comme souvent, organisent la résistance du quotidien, pour survivre mais aussi pour défendre leur souveraineté et leurs droits fondamentaux face à la domination russe et aux politiques antisociales qui ne datent pas d’hier. Note de contenu : -COMPRENDRE L’IMPÉRIALISME COMME UN SYSTÈME
-DE LA PLACE, IL Y EN A !Le mouvement Ouvrier, l’impérialisme et la guerre [document électronique] / Joseph Daher, Auteur ; Gilles Maufroy, Auteur ; Magali Verdier, Auteur . - [S.l.] : CIEP/MOC, juin 2022 . - 50 p. - (Mouvements : clés pour l'action populaire; 8) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Mouvements sociaux Tags : Conflits Impérialisme Résumé : Après plusieurs mois suspendu.e.s au rythme d’une pandémie mondiale, nous voilà, avec la guerre en Ukraine, témoins d’une nouvelle boucherie, cette fois d’une ampleur inégalée en Europe depuis 1945. Si, ici, nous ne vivons pas sous les bombes, nous ressentons l’onde de choc, et pas seulement à travers l’effet anxiogène d’un conflit qui se joue à quelques milliers de kilomètres. Des dirigeants confortés dans leurs élans sécuritaires, comme le gouvernement belge qui profite de ce contexte pour continuer à investir dans une armée au service de l’OTAN et d’une Union européenne qui s’éloigne toujours plus de l’idéal de paix sur lequel elle prétend se construire. Des prix de l’énergie qui s’envolent grâce à la magie des marchés toujours favorable à la multiplication des dividendes. Des millions de réfugié.e.s sur les routes d’Europe qui, cette fois, trouvent un accueil plus ou moins digne de ce nom dans des pays qui continuent pourtant de refuser droits et dignité aux milliers d’exilé.e.s refoulé.e.s et sacrifié.e.s chaque jour aux frontières de la forteresse. Vu d’ici, cette guerre fait frémir. Mais c’est évidemment avant tout pour les populations en première ligne des massacres, viols, destructions et exils que cette guerre est effrayante et catastrophique à bien des égards. C’est dans ce contexte que les Ukrainien.ne.s, femmes en première ligne comme souvent, organisent la résistance du quotidien, pour survivre mais aussi pour défendre leur souveraineté et leurs droits fondamentaux face à la domination russe et aux politiques antisociales qui ne datent pas d’hier. Note de contenu : -COMPRENDRE L’IMPÉRIALISME COMME UN SYSTÈME
-DE LA PLACE, IL Y EN A !Documents numériques
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