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Titre : Brésil, de l’esclavage moderne dans le café Nestlé Type de document : texte imprimé Auteurs : Florian Blumer, Auteur ; Carla Hoinkes, Auteur ; Gabriela Hertig, Auteur Editeur : DB - Déclaration de Berne Année de publication : juin 2025 Collection : Public Eye num. 54 Importance : 26 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Nestlé Multinationales Inégalités Industrie textile Résumé : Premier producteur de café, le Brésil assure près de 40% de la production mondiale. Une position dominante qui s’inscrit dans une histoire marquée par l’exploitation. Au XIXe siècle, face à l’explosion de la demande européenne et la chute de l’offre asiatique, le Brésil s’impose sur le marché mondial du café.
Cet essor repose alors largement sur le travail forcé : des centaines de milliers de personnes, principalement originaires d’Afrique centrale, sont réduites en
esclavage pour cultiver les plantations. Plus de 130 ans après avoir été le dernier pays d’Amérique à abolir l’esclavage, le Brésil reste confronté à une forme contemporaine de servitude : l’esclavage moderne. Des ouvriers agricoles – principalement masculins et souvent d’origine africaine – travaillent pour des salaires dérisoires, dans des conditions indignes, au profit de grands propriétaires terriens, majoritairement blancs. Les témoignages de Jurandir dos Santos et José Lima, menacés et exploités à la ferme de Mata Verde, en sont des exemples poignants.Note de contenu : -Industrie textile, ces initiatives font déjà partie de la solution p.17-19 En ligne : https://www.publiceye.ch/fr/publications/detail/gunvor-en-equateur-les-mains-sal [...] Brésil, de l’esclavage moderne dans le café Nestlé [texte imprimé] / Florian Blumer, Auteur ; Carla Hoinkes, Auteur ; Gabriela Hertig, Auteur . - [S.l.] : DB - Déclaration de Berne, juin 2025 . - 26 p. - (Public Eye; 54) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Nestlé Multinationales Inégalités Industrie textile Résumé : Premier producteur de café, le Brésil assure près de 40% de la production mondiale. Une position dominante qui s’inscrit dans une histoire marquée par l’exploitation. Au XIXe siècle, face à l’explosion de la demande européenne et la chute de l’offre asiatique, le Brésil s’impose sur le marché mondial du café.
Cet essor repose alors largement sur le travail forcé : des centaines de milliers de personnes, principalement originaires d’Afrique centrale, sont réduites en
esclavage pour cultiver les plantations. Plus de 130 ans après avoir été le dernier pays d’Amérique à abolir l’esclavage, le Brésil reste confronté à une forme contemporaine de servitude : l’esclavage moderne. Des ouvriers agricoles – principalement masculins et souvent d’origine africaine – travaillent pour des salaires dérisoires, dans des conditions indignes, au profit de grands propriétaires terriens, majoritairement blancs. Les témoignages de Jurandir dos Santos et José Lima, menacés et exploités à la ferme de Mata Verde, en sont des exemples poignants.Note de contenu : -Industrie textile, ces initiatives font déjà partie de la solution p.17-19 En ligne : https://www.publiceye.ch/fr/publications/detail/gunvor-en-equateur-les-mains-sal [...]
Titre : En mode avion, la fast fashion dézingue le climat Type de document : texte imprimé Auteurs : David Hachfeld, Auteur ; Gabriela Hertig, Auteur Editeur : DB - Déclaration de Berne Année de publication : novembre 2023 Collection : Public Eye num. 44 Importance : 34 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Industrie textile Climat aviation Industrie pharmaceutique Résumé : Rien à voir avec votre téléphone portable, ni avec des lunettes de pilote ou des trainings confortables pour les vols long-courriers, la «mode avion », ce
sont ces vêtements qui sont expédiés par voie aérienne pour être vendus toujours plus vite aux quatre coins de la planète. Bien avant les derniers habits à la mode, les mangues et les ananas envoyés par les airs étaient controversés en raison de leur énorme empreinte climatique. Même notre Parlement a abordé la problématique en 2021, mais une motion réclamant une déclaration obligatoire des aliments transportés par avion n’a pas encore pu réunir une majorité. Certains détaillants prennent volontairement les devants et ont retiré de leur assortiment ces produits particulièrement nuisibles au climat. Où en est alors le débat sur les vêtements expédiés par avion, dont le volume, en Europe, est environ cinq fois supérieur à celui des fruits tropicaux transportés de la même manière ? Et on ne parle même pas là de denrées périssables. Pourquoi faire voyager des habits autour du globe à l’aide du moyen de transport le plus cher et de loin le plus néfaste pour le climat ?Note de contenu : -Prix des médicaments, la stratégie des rabais secrets atteint un nouveau paroxysme p.16-17 En ligne : https://www.publiceye.ch/fr/publications/detail/industrie-textile-en-mode-avion- [...] En mode avion, la fast fashion dézingue le climat [texte imprimé] / David Hachfeld, Auteur ; Gabriela Hertig, Auteur . - [S.l.] : DB - Déclaration de Berne, novembre 2023 . - 34 p. - (Public Eye; 44) .
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Catégories : Revues Tags : Industrie textile Climat aviation Industrie pharmaceutique Résumé : Rien à voir avec votre téléphone portable, ni avec des lunettes de pilote ou des trainings confortables pour les vols long-courriers, la «mode avion », ce
sont ces vêtements qui sont expédiés par voie aérienne pour être vendus toujours plus vite aux quatre coins de la planète. Bien avant les derniers habits à la mode, les mangues et les ananas envoyés par les airs étaient controversés en raison de leur énorme empreinte climatique. Même notre Parlement a abordé la problématique en 2021, mais une motion réclamant une déclaration obligatoire des aliments transportés par avion n’a pas encore pu réunir une majorité. Certains détaillants prennent volontairement les devants et ont retiré de leur assortiment ces produits particulièrement nuisibles au climat. Où en est alors le débat sur les vêtements expédiés par avion, dont le volume, en Europe, est environ cinq fois supérieur à celui des fruits tropicaux transportés de la même manière ? Et on ne parle même pas là de denrées périssables. Pourquoi faire voyager des habits autour du globe à l’aide du moyen de transport le plus cher et de loin le plus néfaste pour le climat ?Note de contenu : -Prix des médicaments, la stratégie des rabais secrets atteint un nouveau paroxysme p.16-17 En ligne : https://www.publiceye.ch/fr/publications/detail/industrie-textile-en-mode-avion- [...] Documents numériques
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Titre : La Suisse alimente le trésor de guerre de Poutine Type de document : texte imprimé Auteurs : Ariane Bahri, Auteur ; Adria Budry Carbo, Auteur ; Gabriela Hertig, Auteur Editeur : DB - Déclaration de Berne Année de publication : avril 2022 Collection : Public Eye num. 35 Importance : 34 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Corruption Souveraineté alimentaire Finances internationales Résumé : La Russie a construit sa puissance sur le Roi carbone. Par temps orageux ou caniculaire, les sociétés pétrolières d’État de Moscou ont pu compter sur le soutien indéfectible des maisons de négoce basées en Suisse. Que ce soit pour leur apporter un ballon d’oxygène financier ou les accompagner dans une périlleuse conquête des hydrocarbures de l’Arctique. Les recherches de Public Eye montrent que malgré la pression internationale croissante, les négociants basés en Suisse ont encaissé depuis les ports russes pas moins de 80,5 millions de barils de pétrole en février et mars. Note de contenu : -Comment la Suisse instrumentalise la menace d'une famine mondiale. p.15-17
-Combattre le risque de corruption dans les entreprises p.21-24En ligne : https://www.publiceye.ch/fr/publications/detail/gunvor-en-equateur-les-mains-sal [...] La Suisse alimente le trésor de guerre de Poutine [texte imprimé] / Ariane Bahri, Auteur ; Adria Budry Carbo, Auteur ; Gabriela Hertig, Auteur . - [S.l.] : DB - Déclaration de Berne, avril 2022 . - 34 p. - (Public Eye; 35) .
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Catégories : Revues Tags : Corruption Souveraineté alimentaire Finances internationales Résumé : La Russie a construit sa puissance sur le Roi carbone. Par temps orageux ou caniculaire, les sociétés pétrolières d’État de Moscou ont pu compter sur le soutien indéfectible des maisons de négoce basées en Suisse. Que ce soit pour leur apporter un ballon d’oxygène financier ou les accompagner dans une périlleuse conquête des hydrocarbures de l’Arctique. Les recherches de Public Eye montrent que malgré la pression internationale croissante, les négociants basés en Suisse ont encaissé depuis les ports russes pas moins de 80,5 millions de barils de pétrole en février et mars. Note de contenu : -Comment la Suisse instrumentalise la menace d'une famine mondiale. p.15-17
-Combattre le risque de corruption dans les entreprises p.21-24En ligne : https://www.publiceye.ch/fr/publications/detail/gunvor-en-equateur-les-mains-sal [...] Documents numériques
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