Détail d'une collection
|
Documents disponibles dans la collection
Affiner la recherche
Titre : Les comités d’entreprise européens, des zones libres de syndicats ? Type de document : document électronique Auteurs : Michael Whittall, Auteur ; Hermann Kotthoff, Auteur Editeur : NOISY-LE-GRAND [France] : IRES Année de publication : 2011 Collection : LA REVUE DE L’IRES num. 68 Langues : Français (fre) Catégories : Europe
SyndicalismeTags : Europe Analyse de système Comité d'entreprise Relations du travail Syndicalisme Résumé : Depuis l’adoption de la directive de 1994 sur les comités d’entreprise européens, les syndicats ont joué un rôle stratégique dans la mise en place de cette instance européenne. Bien que la directive ne prévoie pas, sur le plan légal, de rôle pour les syndicats, un siège leur est réservé dans de nombreux CEE. Mais quel rôle les syndicats jouent-ils réellement dans cette instance européenne ? Cet article examine de près la relation entre les permanents syndicaux et les délégués des CEE. Il en ressort que les syndicats peinent à répondre à cette question : d’une part, leur manque de moyens limite le temps qu’ils peuvent consacrer au travail des CEE, d’autre part et plus important encore, ils craignent la concurrence que cette institution européenne pourrait constituer pour la représentation des salariés au niveau supra-national. Ce texte tend à démontrer que cette incertitude se traduit par un engagement limité dans les conseils de la part des syndicats. Mais il montre aussi que les CEE sont capables de fonctionner en dépit du vide laissé par les syndicats. En ligne : http://www.ires-fr.org/images/files/Revues/Revue68/r68-8.pdf Les comités d’entreprise européens, des zones libres de syndicats ? [document électronique] / Michael Whittall, Auteur ; Hermann Kotthoff, Auteur . - NOISY-LE-GRAND (16, Bd du Mont d’Est, France) : IRES, 2011. - (LA REVUE DE L’IRES; 68) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Europe
SyndicalismeTags : Europe Analyse de système Comité d'entreprise Relations du travail Syndicalisme Résumé : Depuis l’adoption de la directive de 1994 sur les comités d’entreprise européens, les syndicats ont joué un rôle stratégique dans la mise en place de cette instance européenne. Bien que la directive ne prévoie pas, sur le plan légal, de rôle pour les syndicats, un siège leur est réservé dans de nombreux CEE. Mais quel rôle les syndicats jouent-ils réellement dans cette instance européenne ? Cet article examine de près la relation entre les permanents syndicaux et les délégués des CEE. Il en ressort que les syndicats peinent à répondre à cette question : d’une part, leur manque de moyens limite le temps qu’ils peuvent consacrer au travail des CEE, d’autre part et plus important encore, ils craignent la concurrence que cette institution européenne pourrait constituer pour la représentation des salariés au niveau supra-national. Ce texte tend à démontrer que cette incertitude se traduit par un engagement limité dans les conseils de la part des syndicats. Mais il montre aussi que les CEE sont capables de fonctionner en dépit du vide laissé par les syndicats. En ligne : http://www.ires-fr.org/images/files/Revues/Revue68/r68-8.pdf Documents numériques
r68-8.pdfAdobe Acrobat PDF
Titre : La logique d’une crise : le mistigri des défauts de solvabilité Type de document : document électronique Auteurs : Michel Fried, Auteur Editeur : NOISY-LE-GRAND [France] : IRES Année de publication : 2011/2 Collection : LA REVUE DE L’IRES num. 69 Importance : 27 p Langues : Français (fre) Catégories : Crise économique et financière Tags : Crise financière Macro économie Analyse de système Système bancaire Système économique international Réglementation Contrôle Bilan Dette publique Balance des paiements Résumé : Les caractéristiques de la crise actuelle n’en font pas une crise comme les autres du fait de la profondeur de la crise financière, de l’ampleur de la récession et de son extension à l’ensemble des pays industrialisés. En 2009, le PIB de l’ensemble des pays industrialisés s’est replié, selon le FMI, de 3,4 % et celui de la zone euro de 4,1 % ; ce recul a été assez différent selon les pays, de 5 % environ dans des pays comme l’Allemagne, l’Italie ou le Royaume-Uni, alors qu’en France, il n’a pas dépassé 2,5 %. La gestion de la crise a provoqué une véritable explosion des dettes publiques au-delà des normes jugées jusqu’alors acceptables, notamment par les pays de l’Union européenne qui ont largement outrepassé les plafonds fixés par le traité constitutionnel. Le présent article entend montrer que la crise actuelle est inhérente aux limites du nouveau régime de croissance, créé par l’instauration simultanée d’un nouveau modèle bancaire et de nouvelles normes de gestion des entreprises, et cela dans le contexte de profonds déséquilibres macroéconomiques (I).
Ce nouveau régime de croissance a buté sur la progression des risques d’insolvabilité, qui ont touché successivement les agents privés, y compris les établissements financiers, puis publics (II).En ligne : http://www.ires-fr.org/images/files/Revues/Revue69/r69-1.pdf La logique d’une crise : le mistigri des défauts de solvabilité [document électronique] / Michel Fried, Auteur . - NOISY-LE-GRAND (16, Bd du Mont d’Est, France) : IRES, 2011/2 . - 27 p. - (LA REVUE DE L’IRES; 69) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Crise économique et financière Tags : Crise financière Macro économie Analyse de système Système bancaire Système économique international Réglementation Contrôle Bilan Dette publique Balance des paiements Résumé : Les caractéristiques de la crise actuelle n’en font pas une crise comme les autres du fait de la profondeur de la crise financière, de l’ampleur de la récession et de son extension à l’ensemble des pays industrialisés. En 2009, le PIB de l’ensemble des pays industrialisés s’est replié, selon le FMI, de 3,4 % et celui de la zone euro de 4,1 % ; ce recul a été assez différent selon les pays, de 5 % environ dans des pays comme l’Allemagne, l’Italie ou le Royaume-Uni, alors qu’en France, il n’a pas dépassé 2,5 %. La gestion de la crise a provoqué une véritable explosion des dettes publiques au-delà des normes jugées jusqu’alors acceptables, notamment par les pays de l’Union européenne qui ont largement outrepassé les plafonds fixés par le traité constitutionnel. Le présent article entend montrer que la crise actuelle est inhérente aux limites du nouveau régime de croissance, créé par l’instauration simultanée d’un nouveau modèle bancaire et de nouvelles normes de gestion des entreprises, et cela dans le contexte de profonds déséquilibres macroéconomiques (I).
Ce nouveau régime de croissance a buté sur la progression des risques d’insolvabilité, qui ont touché successivement les agents privés, y compris les établissements financiers, puis publics (II).En ligne : http://www.ires-fr.org/images/files/Revues/Revue69/r69-1.pdf Documents numériques
fried01.pdfAdobe Acrobat PDF