| Titre : |
Euro 2016 : quand Nike et Adidas fuient leur « responsabilité sociale » pour payer des salaires toujours plus bas |
| Type de document : |
document électronique |
| Auteurs : |
Ivan du Roy, Auteur ; Germain Lefebvre, Auteur |
| Editeur : |
Observatoire des multinationales |
| Année de publication : |
juin 2016 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Tags : |
RSE Nike Adidas Sport Salaires |
| Résumé : |
Combien d’ouvriers vietnamiens vaut Cristiano Ronaldo, sponsorisé par Nike ? Combien d’ouvriers chinois vaut l’équipe d’Allemagne, sponsorisée par Adidas ? L’Euro 2016 s’accompagne de son déluge de dépenses publicitaires et de sponsoring de la part des grandes marques d’habillement sportif. Basta ! et Alternatives économiques se sont intéressés à ce qui se passe à l’autre bout de la chaîne, du côté des ouvriers qui confectionnent chaussures et maillots pour joueurs et supporters. Malgré les grandes déclarations sur leur « responsabilité sociale », les grandes marques sont plus que jamais engagées dans une course perpétuelle au moins disant social. Ils quittent désormais la Chine — où le salaire moyen connaît une certaine progression — pour des contrées où le « coût du travail » est encore plus faible. |
| En ligne : |
http://multinationales.org/Euro-2016-quand-Nike-et-Adidas-fuient-leur-responsabi [...] |
Euro 2016 : quand Nike et Adidas fuient leur « responsabilité sociale » pour payer des salaires toujours plus bas [document électronique] / Ivan du Roy, Auteur ; Germain Lefebvre, Auteur . - [S.l.] : Observatoire des multinationales, juin 2016. Langues : Français ( fre)
| Tags : |
RSE Nike Adidas Sport Salaires |
| Résumé : |
Combien d’ouvriers vietnamiens vaut Cristiano Ronaldo, sponsorisé par Nike ? Combien d’ouvriers chinois vaut l’équipe d’Allemagne, sponsorisée par Adidas ? L’Euro 2016 s’accompagne de son déluge de dépenses publicitaires et de sponsoring de la part des grandes marques d’habillement sportif. Basta ! et Alternatives économiques se sont intéressés à ce qui se passe à l’autre bout de la chaîne, du côté des ouvriers qui confectionnent chaussures et maillots pour joueurs et supporters. Malgré les grandes déclarations sur leur « responsabilité sociale », les grandes marques sont plus que jamais engagées dans une course perpétuelle au moins disant social. Ils quittent désormais la Chine — où le salaire moyen connaît une certaine progression — pour des contrées où le « coût du travail » est encore plus faible. |
| En ligne : |
http://multinationales.org/Euro-2016-quand-Nike-et-Adidas-fuient-leur-responsabi [...] |
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