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Titre : Réforme de la coopération belge Type de document : texte imprimé Editeur : Iteco Année de publication : septembre 2016 Collection : Antipodes num. 214 Importance : 35 p Langues : Français (fre) Catégories : Belgique
ONGTags : ONG Réforme Coopération au développement Belgique Index. décimale : 06.02 Développement durable Résumé : Comment arrive-t-on à à avoir le même nombre de petit pois dans toutes les boîtes de conserve ?
La coopération non gouvernementale belge date d’il y a un peu plus de cinquante ans. Dire que pendant ce demi-siècle de vie elle a connu plus de cinquante tentatives de réforme, ce serait exagérer... un peu. Dans les faits, chaque ministre de la coopération ou presque a tenté d’imposer sa réforme mais seulement certains y sont arrivés.
Ces vingt-cinq dernières années, pour ne pas aller trop loin, trois réformes majeures ont vu le jour. Au début des années nonante, la réforme du ministre Geens a cherché à professionnaliser le métier de coopérant-ONG. Le résultat en est qu’à présent ce métier a quasiment disparu.
Ensuite, au milieu des années nonante, la réforme du ministre Moorels s’est appuyée sur deux idées fortes : impulser l’éducation au développement et la pratique de l’évaluation. Une recherche en cours à ITECO montre que, encore de nos jours, l’éducation au développement éprouve beaucoup de difficultés à quitter sa zone de confort traditionnelle, à savoir les écoles pour la classe moyenne. Depuis le temps de la réforme citée, l’éducation au développement a peut-être évolué sur quelques aspects mais pas beaucoup concernant les publics auxquels elle s’adresse.
Quant à l’évaluation, en ce qui concerne les rapports entre les ONG et l’administration, elle adopte désormais la forme de mesures quantitatives dites screenings, pierre angulaire de la réforme de la coopération non gouvernementale en cours.
« Le screening a jugé les ONG comme si elles étaient des usines de production de boîte de conserves », écrit Vincent Stevaux dans ce numéro. En fait, comment est-ce qu’on arrive à avoir le même nombre de petit pois dans toutes les boîtes de conserve ? A coup de screenings, pardieu !
« En 2015, malgré les promesses répétées de simplification administrative, les ONG ont écrit quelque 7.500 pages de rapports administratifs en tout genre » —calcule Bruno Bauraind, du Gresea, dans une Carte blanche à paraître dans la presse. « Sont-elles lues ? Impossible vu la restructuration également à l’œuvre dans l’administration. Par contre, l’orgie bureaucratique permet de faire la distinction entre deux types d’ONG. Celles qui ont les moyens d’y répondre, même si pour ce faire, elles doivent mettre de côté leur mission de solidarité internationale, et celles qui sont irrémédiablement éliminées, faute de moyens. En d’autres termes, on empêche les premières de travailler et on élimine les secondes ».
« 25 des 29 ONG ayant perdu leur reconnaissance sont francophones » —poursuit Bruno Bauraind. « Ce déséquilibre géographique ne s’explique pas seulement par la composition actuelle du gouvernement fédéral. Les ONG francophones sont, en moyenne, des structures plus petites que les organisations du Nord du pays. Or, par la lourdeur administrative des procédures d’évaluation, la réforme actuelle, et les précédentes, privilégient la constitution de grandes structures. C’est le règne du big is beautiful, principe progressivement imposé aux ONG par les instances internationales depuis 2005 sans aucun test empirique. Les grandes organisations seraient mieux gérées et présenteraient moins de risques pour les finances publiques que les petites. Ce cul de sac idéologique a démontré tout son absurdité lorsque les banques, soi-disant trop grandes pour faire faillite, ont déséquilibré l’économie mondiale en tombant les unes après les autres en 2008. C’est pourtant la recette appliqué aux ONG ».
Quoiqu’il en soit, les conséquences de cette énième réforme de la coopération ne se sont pas fait attendre et parmi les ONG qui se sont vues retirer leur agrément et ne pourront pas prétendre directement à obtenir des appuis de l’Etat en termes de cofinancement de leurs activités, il y en a qui ont une solide expérience derrière elles. « L’exercice n’a eu aucun but formatif, n’a abouti à aucune recommandation. Il n’y a pas de proposition possible pour surmonter cette difficulté ni de chemin à suivre pour changer la situation. Elle va directement au cœur de ce qu’on cherche : inclure ou exclure. Surtout, exclure pour diminuer le nombre de demandeurs de subsides », écrit à ce propos Cecilia Díaz, de Frères des hommes.
ITECO a réussi le screening et a présenté un programme d’action pour les années à venir dans le nouveau cadre fixé par la réforme. Ce qui ne nous empêche pas de donner notre avis sur les conséquences négatives de cette réforme, ni de donner aussi la parole tant à ceux qui ont porté la réforme et la soutiennent qu’à ceux qui en subissent les conséquences.En ligne : http://www.iteco.be/antipodes/reforme-de-la-cooperation-belge/ Réforme de la coopération belge [texte imprimé] . - [S.l.] : Iteco, septembre 2016 . - 35 p. - (Antipodes; 214) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Belgique
ONGTags : ONG Réforme Coopération au développement Belgique Index. décimale : 06.02 Développement durable Résumé : Comment arrive-t-on à à avoir le même nombre de petit pois dans toutes les boîtes de conserve ?
La coopération non gouvernementale belge date d’il y a un peu plus de cinquante ans. Dire que pendant ce demi-siècle de vie elle a connu plus de cinquante tentatives de réforme, ce serait exagérer... un peu. Dans les faits, chaque ministre de la coopération ou presque a tenté d’imposer sa réforme mais seulement certains y sont arrivés.
Ces vingt-cinq dernières années, pour ne pas aller trop loin, trois réformes majeures ont vu le jour. Au début des années nonante, la réforme du ministre Geens a cherché à professionnaliser le métier de coopérant-ONG. Le résultat en est qu’à présent ce métier a quasiment disparu.
Ensuite, au milieu des années nonante, la réforme du ministre Moorels s’est appuyée sur deux idées fortes : impulser l’éducation au développement et la pratique de l’évaluation. Une recherche en cours à ITECO montre que, encore de nos jours, l’éducation au développement éprouve beaucoup de difficultés à quitter sa zone de confort traditionnelle, à savoir les écoles pour la classe moyenne. Depuis le temps de la réforme citée, l’éducation au développement a peut-être évolué sur quelques aspects mais pas beaucoup concernant les publics auxquels elle s’adresse.
Quant à l’évaluation, en ce qui concerne les rapports entre les ONG et l’administration, elle adopte désormais la forme de mesures quantitatives dites screenings, pierre angulaire de la réforme de la coopération non gouvernementale en cours.
« Le screening a jugé les ONG comme si elles étaient des usines de production de boîte de conserves », écrit Vincent Stevaux dans ce numéro. En fait, comment est-ce qu’on arrive à avoir le même nombre de petit pois dans toutes les boîtes de conserve ? A coup de screenings, pardieu !
« En 2015, malgré les promesses répétées de simplification administrative, les ONG ont écrit quelque 7.500 pages de rapports administratifs en tout genre » —calcule Bruno Bauraind, du Gresea, dans une Carte blanche à paraître dans la presse. « Sont-elles lues ? Impossible vu la restructuration également à l’œuvre dans l’administration. Par contre, l’orgie bureaucratique permet de faire la distinction entre deux types d’ONG. Celles qui ont les moyens d’y répondre, même si pour ce faire, elles doivent mettre de côté leur mission de solidarité internationale, et celles qui sont irrémédiablement éliminées, faute de moyens. En d’autres termes, on empêche les premières de travailler et on élimine les secondes ».
« 25 des 29 ONG ayant perdu leur reconnaissance sont francophones » —poursuit Bruno Bauraind. « Ce déséquilibre géographique ne s’explique pas seulement par la composition actuelle du gouvernement fédéral. Les ONG francophones sont, en moyenne, des structures plus petites que les organisations du Nord du pays. Or, par la lourdeur administrative des procédures d’évaluation, la réforme actuelle, et les précédentes, privilégient la constitution de grandes structures. C’est le règne du big is beautiful, principe progressivement imposé aux ONG par les instances internationales depuis 2005 sans aucun test empirique. Les grandes organisations seraient mieux gérées et présenteraient moins de risques pour les finances publiques que les petites. Ce cul de sac idéologique a démontré tout son absurdité lorsque les banques, soi-disant trop grandes pour faire faillite, ont déséquilibré l’économie mondiale en tombant les unes après les autres en 2008. C’est pourtant la recette appliqué aux ONG ».
Quoiqu’il en soit, les conséquences de cette énième réforme de la coopération ne se sont pas fait attendre et parmi les ONG qui se sont vues retirer leur agrément et ne pourront pas prétendre directement à obtenir des appuis de l’Etat en termes de cofinancement de leurs activités, il y en a qui ont une solide expérience derrière elles. « L’exercice n’a eu aucun but formatif, n’a abouti à aucune recommandation. Il n’y a pas de proposition possible pour surmonter cette difficulté ni de chemin à suivre pour changer la situation. Elle va directement au cœur de ce qu’on cherche : inclure ou exclure. Surtout, exclure pour diminuer le nombre de demandeurs de subsides », écrit à ce propos Cecilia Díaz, de Frères des hommes.
ITECO a réussi le screening et a présenté un programme d’action pour les années à venir dans le nouveau cadre fixé par la réforme. Ce qui ne nous empêche pas de donner notre avis sur les conséquences négatives de cette réforme, ni de donner aussi la parole tant à ceux qui ont porté la réforme et la soutiennent qu’à ceux qui en subissent les conséquences.En ligne : http://www.iteco.be/antipodes/reforme-de-la-cooperation-belge/ Et si tout ne s'effondrait pas ? / Chafik Allal
Titre : Et si tout ne s'effondrait pas ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Chafik Allal, Auteur ; Jeremie Cravatte, Auteur ; Olivier de Halleux, Auteur Editeur : Iteco Année de publication : septembre 2020 Collection : Antipodes num. 230 Importance : 68 p Langues : Français (fre) Tags : Environnement Ressources naturelles Alternatives Souveraineté alimentaire Index. décimale : REVUES Résumé : Les collapsologues ont contribué à faire connaître la situation catastrophique de l’environnement et la sixième extinction de masse auprès d’un public large : ceci constitue indéniablement un apport précieux. Malheureusement, ils ont ajouté à ces constats essentiels une couche de confusion dont nous nous serions bien passés. Leur analyse, en partie erronée, porte en elle une dépolitisation qui, à son tour, produit des réponses insuffisantes, voire contre-productives. Note de contenu : -Autour de la collapsologie et de l'effondrement
-De quoi l'effondrement est-il le nom ?
-L'effondrement: une passion gauloise ?Et si tout ne s'effondrait pas ? [texte imprimé] / Chafik Allal, Auteur ; Jeremie Cravatte, Auteur ; Olivier de Halleux, Auteur . - [S.l.] : Iteco, septembre 2020 . - 68 p. - (Antipodes; 230) .
Langues : Français (fre)
Tags : Environnement Ressources naturelles Alternatives Souveraineté alimentaire Index. décimale : REVUES Résumé : Les collapsologues ont contribué à faire connaître la situation catastrophique de l’environnement et la sixième extinction de masse auprès d’un public large : ceci constitue indéniablement un apport précieux. Malheureusement, ils ont ajouté à ces constats essentiels une couche de confusion dont nous nous serions bien passés. Leur analyse, en partie erronée, porte en elle une dépolitisation qui, à son tour, produit des réponses insuffisantes, voire contre-productives. Note de contenu : -Autour de la collapsologie et de l'effondrement
-De quoi l'effondrement est-il le nom ?
-L'effondrement: une passion gauloise ?
Titre : Systématisation d’expériences Type de document : texte imprimé Auteurs : Rafael Salgado, Auteur ; Hélène Caels, Auteur ; Ben Kamuntu, Auteur Editeur : Iteco Année de publication : Novembre 2022 Collection : Antipodes - Outils pédagogiques Sous-collection : Carnets pédagogiques num. 23 Importance : 122 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Pédagogie Amérique Latine Société Résumé : Quel est le sens de nos pratiques et expériences en éducation populaire ? Quels sont les apprentissages à dégager de ces expériences ? Que pouvons-nous partager et transférer de ces apprentissages ? Elaborée et pratiquée par des éducateurs populaires latino-américains, la systématisation d’expériences produit de nouvelles connaissances et de nouveaux apprentissages qui rendent possible l’appropriation du sens de nos expériences et nous permettent de les comprendre et de les orienter dans une perspective transformatrice. Au contraire des logiques conventionnelles de transmission de connaissances, la systématisation d’expériences est une construction de connaissances et de partage des apprentissages sur et à partir des pratiques. Ce processus permet de rompre le schéma vertical classique selon lequel il y a ceux qui savent, les « spécialistes » ou les « experts », face à « ceux qui ignorent », réceptacles passifs de la connaissance. La systématisation permet en effet de mettre en valeur les connaissances des personnes qui ont vécu l’expérience étant donné qu’elle se réalise essentiellement à partir des savoirs, perceptions, visions, idées et aspirations de ces personnes. Note de contenu : -Un ancrage dans l'Histoire de l'Amérique Latine et des Caraïbes p.15-21
-La lucha, un mouvement citoyen congolais qui apprend de ses propres expériences p.33-43
-Une expérience qui nous a permis de parler de langues, de dialogue et de participation p.97-103En ligne : http://www.iteco.be/formations/article/cercle-de-pratiques-en-pedagogies-critiqu [...] Systématisation d’expériences [texte imprimé] / Rafael Salgado, Auteur ; Hélène Caels, Auteur ; Ben Kamuntu, Auteur . - [S.l.] : Iteco, Novembre 2022 . - 122 p. - (Antipodes - Outils pédagogiques. Carnets pédagogiques; 23) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Pédagogie Amérique Latine Société Résumé : Quel est le sens de nos pratiques et expériences en éducation populaire ? Quels sont les apprentissages à dégager de ces expériences ? Que pouvons-nous partager et transférer de ces apprentissages ? Elaborée et pratiquée par des éducateurs populaires latino-américains, la systématisation d’expériences produit de nouvelles connaissances et de nouveaux apprentissages qui rendent possible l’appropriation du sens de nos expériences et nous permettent de les comprendre et de les orienter dans une perspective transformatrice. Au contraire des logiques conventionnelles de transmission de connaissances, la systématisation d’expériences est une construction de connaissances et de partage des apprentissages sur et à partir des pratiques. Ce processus permet de rompre le schéma vertical classique selon lequel il y a ceux qui savent, les « spécialistes » ou les « experts », face à « ceux qui ignorent », réceptacles passifs de la connaissance. La systématisation permet en effet de mettre en valeur les connaissances des personnes qui ont vécu l’expérience étant donné qu’elle se réalise essentiellement à partir des savoirs, perceptions, visions, idées et aspirations de ces personnes. Note de contenu : -Un ancrage dans l'Histoire de l'Amérique Latine et des Caraïbes p.15-21
-La lucha, un mouvement citoyen congolais qui apprend de ses propres expériences p.33-43
-Une expérience qui nous a permis de parler de langues, de dialogue et de participation p.97-103En ligne : http://www.iteco.be/formations/article/cercle-de-pratiques-en-pedagogies-critiqu [...] La théorie du changement
Titre : La théorie du changement : une azpproche pensée-action pour naviguer dans la complexité des processus de changement social Type de document : texte imprimé Editeur : Iteco Année de publication : 2016 Collection : Antipodes - Outils pédagogiques num. 17 Importance : 79 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : ONG Changement social Réforme Coopération au développement Résumé : En Belgique, la nouvelle réglementation concernant les ONG prévoit que les futurs programmes des celles-ci se basent sur une théorie du changement.
De ce fait le personnel des ONG en charge du développement, de la rédaction, de la mise en œuvre et du suivi et évaluation des programmes de développement et d’éducation au développement est tenu de maîtriser une théorie du changement et d’en assurer un bonne articulation notamment avec le cadre logique.
Dans ce dessein, ITECO vient de traduire et de publier « La théorie du changement : une approche pensée-action pour naviguer dans la complexité des processus de changement social », d’Iñigo Retolaza Eguren, expert espagnol ayant une longue expérience en la matière notamment en Europe et en Amérique du Sud.La théorie du changement : une azpproche pensée-action pour naviguer dans la complexité des processus de changement social [texte imprimé] . - [S.l.] : Iteco, 2016 . - 79 p. - (Antipodes - Outils pédagogiques; 17) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : ONG Changement social Réforme Coopération au développement Résumé : En Belgique, la nouvelle réglementation concernant les ONG prévoit que les futurs programmes des celles-ci se basent sur une théorie du changement.
De ce fait le personnel des ONG en charge du développement, de la rédaction, de la mise en œuvre et du suivi et évaluation des programmes de développement et d’éducation au développement est tenu de maîtriser une théorie du changement et d’en assurer un bonne articulation notamment avec le cadre logique.
Dans ce dessein, ITECO vient de traduire et de publier « La théorie du changement : une approche pensée-action pour naviguer dans la complexité des processus de changement social », d’Iñigo Retolaza Eguren, expert espagnol ayant une longue expérience en la matière notamment en Europe et en Amérique du Sud.
Titre : Trump, stop ou encore? Type de document : texte imprimé Editeur : Iteco Année de publication : déc 2019 Collection : Antipodes num. 227 Importance : 27 p Note générale : 09.03.TRU Langues : Français (fre) Tags : Etats-Unis Index. décimale : 09.03 Amériques Résumé : Trump et Hollywood - Face à Trump, l’industrie du cinéma américain montre l’importance des minorités aux Etats-Unis, par David Da Silva ; Je m’inquiète de la façon dont les républicains érodent la démocratie - La société américaine, le changement climatique et éventuellement le changement politique vus depuis une université américaine. Propos de Valerie Trouet recueillis par Joris De Beer; Un système électoral dicté par l’argent - Si les élections dépendent de la capacité à amasser des ressources financières, il se peut bien que ce soit toujours les mêmes qui gagnent, par Olivier de Halleux En ligne : http://www.iteco.be/revue-antipodes/trump-stop-ou-encore/ Trump, stop ou encore? [texte imprimé] . - [S.l.] : Iteco, déc 2019 . - 27 p. - (Antipodes; 227) .
09.03.TRU
Langues : Français (fre)
Tags : Etats-Unis Index. décimale : 09.03 Amériques Résumé : Trump et Hollywood - Face à Trump, l’industrie du cinéma américain montre l’importance des minorités aux Etats-Unis, par David Da Silva ; Je m’inquiète de la façon dont les républicains érodent la démocratie - La société américaine, le changement climatique et éventuellement le changement politique vus depuis une université américaine. Propos de Valerie Trouet recueillis par Joris De Beer; Un système électoral dicté par l’argent - Si les élections dépendent de la capacité à amasser des ressources financières, il se peut bien que ce soit toujours les mêmes qui gagnent, par Olivier de Halleux En ligne : http://www.iteco.be/revue-antipodes/trump-stop-ou-encore/