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Titre : Dissidences dans la « nouvelle » Inde Type de document : texte imprimé Auteurs : Satendra Kumar, Auteur ; Mukul Kumar, Auteur Editeur : Louvain-la-Neuve : Cetri Année de publication : 2024 Collection : Alternatives sud num. Vol. 31, N° 2 Importance : 171 p Langues : Français (fre) Tags : Inde Agriculture Energie Nationalisme Index. décimale : REVUES Résumé : Selon sa Constitution, l’Inde est toujours une république socialiste, laïque et démocratique. Force est de constater pourtant que la « nouvelle » Inde s’est écartée des idéaux d’antan. En lieu et place du socialisme, un capitalisme de copinage résultant de la collusion entre conglomérats et dirigeants politiques a acculé le pays dans une croissance sans emploi, aux coûts socioéconomiques et environnementaux exorbitants. Exit les valeurs d’égalité et de diversité, bafouées par un extrémisme religieux haineux qui assimile la nation et l’identité indiennes à la seule majorité hindoue. Quant à la démocratie, elle est à la dérive. Ses institutions sont mises sous pression, les pouvoirs concentrés, les oppositions muselées. La tête du pays est passée maître dans l’art du parler démocratique et de l’agir autocratique. Dans ce climat hostile, où anxiété économique et frénésie identitaire se renforcent mutuellement, des oppositions s’élèvent. Agriculteur·trices et travailleur·euses font plier le gouvernement sur les réformes agraires. Des minorités musulmanes persécutées, au Cachemire ou à Delhi, s’insurgent contre leur invisibilisation. Des groupes dalits et adivasis résistent aux dépossessions, à la militarisation et à la colonisation de leurs terres. Et des femmes défendent leurs droits dans un pays aux structures patriarcales ancrées. Néanmoins, ces luttes sont prises à partie par les milices extrémistes hindoues au service du pouvoir, qui prolifèrent et traquent les « antinationaux » et les voix dissidentes. Note de contenu : -La crise agraire indienne à l'origine des manifestations paysannes p.61-76
-Des transitions injustes vers le charbon et l'hydroélectricité en Inde p.79-99En ligne : https://www.cetri.be/BRICS-une-alternative-pour-le-Sud Dissidences dans la « nouvelle » Inde [texte imprimé] / Satendra Kumar, Auteur ; Mukul Kumar, Auteur . - Louvain-la-Neuve (Avenue Sainte Gertrude 5, 1348) : Cetri, 2024 . - 171 p. - (Alternatives sud; Vol. 31, N° 2) .
Langues : Français (fre)
Tags : Inde Agriculture Energie Nationalisme Index. décimale : REVUES Résumé : Selon sa Constitution, l’Inde est toujours une république socialiste, laïque et démocratique. Force est de constater pourtant que la « nouvelle » Inde s’est écartée des idéaux d’antan. En lieu et place du socialisme, un capitalisme de copinage résultant de la collusion entre conglomérats et dirigeants politiques a acculé le pays dans une croissance sans emploi, aux coûts socioéconomiques et environnementaux exorbitants. Exit les valeurs d’égalité et de diversité, bafouées par un extrémisme religieux haineux qui assimile la nation et l’identité indiennes à la seule majorité hindoue. Quant à la démocratie, elle est à la dérive. Ses institutions sont mises sous pression, les pouvoirs concentrés, les oppositions muselées. La tête du pays est passée maître dans l’art du parler démocratique et de l’agir autocratique. Dans ce climat hostile, où anxiété économique et frénésie identitaire se renforcent mutuellement, des oppositions s’élèvent. Agriculteur·trices et travailleur·euses font plier le gouvernement sur les réformes agraires. Des minorités musulmanes persécutées, au Cachemire ou à Delhi, s’insurgent contre leur invisibilisation. Des groupes dalits et adivasis résistent aux dépossessions, à la militarisation et à la colonisation de leurs terres. Et des femmes défendent leurs droits dans un pays aux structures patriarcales ancrées. Néanmoins, ces luttes sont prises à partie par les milices extrémistes hindoues au service du pouvoir, qui prolifèrent et traquent les « antinationaux » et les voix dissidentes. Note de contenu : -La crise agraire indienne à l'origine des manifestations paysannes p.61-76
-Des transitions injustes vers le charbon et l'hydroélectricité en Inde p.79-99En ligne : https://www.cetri.be/BRICS-une-alternative-pour-le-Sud
Titre : La domination touristique : Points de vue du Sud Type de document : texte imprimé Editeur : Louvain-la-Neuve : Cetri Année de publication : 2018 Collection : Alternatives sud num. Vol. 25-3 Importance : 167 p Langues : Français (fre) Tags : Tourisme Consommation Développement Pauvreté Femmes Index. décimale : REVUES Résumé : «?Fait social total?», le marché touristique international s’apparente aussi à un rapport de domination.
Il met en présence?–?asymétrique?–?opérateurs, visiteurs et visités. Les premiers se concurrencent ou se conglomèrent, les deuxièmes s’imitent ou se distinguent, les derniers se précipitent ou se retirent.
Si la croissance continue du secteur repose sur sa massification et sa diversification, le droit à la mobilité récréative?–?1,4?milliard de séjours à l’étranger en 2018?–?reste un privilège, dont la démocratisation réelle déborderait les capacités d’absorption écologique du globe.
Pour l’heure, moins d’un humain sur quinze est en position politique, culturelle et économique de visiter les quatorze restants.
Migrations d’agrément et de désagrément se croisent aux frontières, béantes pour les uns, grillagées pour les autres, des régions émettrices et réceptrices.
La mise en tourisme d’une destination induit des recompositions socio-économiques, culturelles et territoriales.
Participent-elles d’une amélioration ou d’une dégradation des conditions de vie des populations locales??
Le bilan est problématique?: les coûts et bénéfices engendrés par les flux de vacanciers se répartissent injustement. Et tendent à creuser les écarts.
L’Organisation mondiale du tourisme et quantité d’acteurs conscients des dégâts plaident pour l’adoption de pratiques éthiques et durables. Laissant indemnes toutefois les mécanismes mêmes de l’intrusion?: dérégulation, libéralisation et marchandisation des lieux et des comportements, au service de la «?touristification?» du monde.
Une critique transversale de la domination touristique (tourisme de masse, écotourisme, tourisme solidaire, tourisme et droits des femmes…), ainsi que des focus régionaux (Inde, Maroc, Népal, Mexique, Indonésie, Haïti…) par des analystes du Sud (économistes, sociologues, anthropologues, «?touristologues?» d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine).En ligne : https://www.cetri.be/La-domination-touristique La domination touristique : Points de vue du Sud [texte imprimé] . - Louvain-la-Neuve (Avenue Sainte Gertrude 5, 1348) : Cetri, 2018 . - 167 p. - (Alternatives sud; Vol. 25-3) .
Langues : Français (fre)
Tags : Tourisme Consommation Développement Pauvreté Femmes Index. décimale : REVUES Résumé : «?Fait social total?», le marché touristique international s’apparente aussi à un rapport de domination.
Il met en présence?–?asymétrique?–?opérateurs, visiteurs et visités. Les premiers se concurrencent ou se conglomèrent, les deuxièmes s’imitent ou se distinguent, les derniers se précipitent ou se retirent.
Si la croissance continue du secteur repose sur sa massification et sa diversification, le droit à la mobilité récréative?–?1,4?milliard de séjours à l’étranger en 2018?–?reste un privilège, dont la démocratisation réelle déborderait les capacités d’absorption écologique du globe.
Pour l’heure, moins d’un humain sur quinze est en position politique, culturelle et économique de visiter les quatorze restants.
Migrations d’agrément et de désagrément se croisent aux frontières, béantes pour les uns, grillagées pour les autres, des régions émettrices et réceptrices.
La mise en tourisme d’une destination induit des recompositions socio-économiques, culturelles et territoriales.
Participent-elles d’une amélioration ou d’une dégradation des conditions de vie des populations locales??
Le bilan est problématique?: les coûts et bénéfices engendrés par les flux de vacanciers se répartissent injustement. Et tendent à creuser les écarts.
L’Organisation mondiale du tourisme et quantité d’acteurs conscients des dégâts plaident pour l’adoption de pratiques éthiques et durables. Laissant indemnes toutefois les mécanismes mêmes de l’intrusion?: dérégulation, libéralisation et marchandisation des lieux et des comportements, au service de la «?touristification?» du monde.
Une critique transversale de la domination touristique (tourisme de masse, écotourisme, tourisme solidaire, tourisme et droits des femmes…), ainsi que des focus régionaux (Inde, Maroc, Népal, Mexique, Indonésie, Haïti…) par des analystes du Sud (économistes, sociologues, anthropologues, «?touristologues?» d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine).En ligne : https://www.cetri.be/La-domination-touristique
Titre : Droites militantes et mobilisations réactionnaires : Points de vue du Sud Type de document : texte imprimé Auteurs : François Houtart, Auteur ; Jacques Bastin, Auteur Editeur : Louvain-la-Neuve : Cetri Année de publication : 2018 Collection : Alternatives sud num. Vol. 25, N° 1 Importance : 171 p Langues : Français (fre) Tags : Développement Néolibéralisme Inégalités Économie mondiale Religion Index. décimale : REVUES Résumé : Montée en puissance de nouvelles droites militantes, identitaires, néolibérales ou ultra-conservatrices, résurgence des communautarismes et des ethno-nationalismes, essor des fondamentalismes religieux… A rebours des luttes émancipatrices qui ont fleuri dans le Sud au cours des dernières décennies, les mouvements réactionnaires ont aujourd’hui le vent en poupe. Gardiens de l’ordre moral, nostalgiques d’un passé fantasmé, pourfendeurs de l’universalisme des droits humains et adversaires de l’État social, ils ont consolidé leur assise populaire, au point d’être désormais en mesure de peser sur l’agenda politique, voire de faire et de défaire des gouvernements. En ligne : https://www.cetri.be/Droites-militantes-et Droites militantes et mobilisations réactionnaires : Points de vue du Sud [texte imprimé] / François Houtart, Auteur ; Jacques Bastin, Auteur . - Louvain-la-Neuve (Avenue Sainte Gertrude 5, 1348) : Cetri, 2018 . - 171 p. - (Alternatives sud; Vol. 25, N° 1) .
Langues : Français (fre)
Tags : Développement Néolibéralisme Inégalités Économie mondiale Religion Index. décimale : REVUES Résumé : Montée en puissance de nouvelles droites militantes, identitaires, néolibérales ou ultra-conservatrices, résurgence des communautarismes et des ethno-nationalismes, essor des fondamentalismes religieux… A rebours des luttes émancipatrices qui ont fleuri dans le Sud au cours des dernières décennies, les mouvements réactionnaires ont aujourd’hui le vent en poupe. Gardiens de l’ordre moral, nostalgiques d’un passé fantasmé, pourfendeurs de l’universalisme des droits humains et adversaires de l’État social, ils ont consolidé leur assise populaire, au point d’être désormais en mesure de peser sur l’agenda politique, voire de faire et de défaire des gouvernements. En ligne : https://www.cetri.be/Droites-militantes-et
Titre : L’économie sociale et solidaire à l'heure du travail décent Type de document : document électronique Auteurs : Frédéric Thomas, Auteur Editeur : Louvain-la-Neuve : Cetri Année de publication : juin 2019 Autre Editeur : Solidarité socialiste Importance : 76 p Langues : Français (fre) Tags : Economie sociale et solidaire Travail décent Bolivie Burkina Faso Burundi Colombie Maroc Palestine République Démocratique du Congo Sénégal Index. décimale : 01.02 (Economie soc/inf) Résumé : Cette publication, réalisée en partenariat entre le CETRI, SOLIDAR et Solsoc, a pour volonté de mettre en avant l’économie sociale et solidaire (ESS) comme une alternative pertinente qui dessinerait les contours du futur du travail. Cette publication qui parait en plein centenaire de l’Organisation Internationale du Travail (OIT) constitue un outil militant et une occasion d’interroger l’ESS, qui est au cœur de sa stratégie pour promouvoir le travail décent. En effet, de nombreuses études mettent en avant l’ESS comme le meilleur outil pour sa promotion. C’est aussi le point de vue de l’OIT, pour laquelle « l’économie sociale et solidaire contribue aux quatre dimensions de l’objectif général de l’OIT qu’est le travail décent ».
Mais comment faire en sorte que l’ESS soit le moteur de la diffusion du travail décent et de ses quatre piliers, que sont la création d’emploi, le droit au travail, la protection sociale et le dialogue social. Comment peut-elle créer des alliances avec des mouvements sociaux, notamment syndicaux et de femmes ? À quelles conditions peut-elle non seulement contribuer à répondre aux besoins, mais aussi constituer un pouvoir de transformation et, au-delà, une alternative au modèle économique ?
Ces questions, stratégies et enjeux sont ici interrogés à partir d’analyses, d’expertises et d’expériences du Sud, en donnant la parole à des organisations, mutuelles, syndicats, partenaires de Solsoc, qui sont autant d’acteurs au quotidien de cette transformation et de cette alternative.En ligne : https://www.cetri.be/L-economie-sociale-et-solidaire-a Format de la ressource électronique : https://www.cetri.be/IMG/pdf/brochure_version_francaise.pdf L’économie sociale et solidaire à l'heure du travail décent [document électronique] / Frédéric Thomas, Auteur . - Louvain-la-Neuve (Avenue Sainte Gertrude 5, 1348) : Cetri : [S.l.] : Solidarité socialiste, juin 2019 . - 76 p.
Langues : Français (fre)
Tags : Economie sociale et solidaire Travail décent Bolivie Burkina Faso Burundi Colombie Maroc Palestine République Démocratique du Congo Sénégal Index. décimale : 01.02 (Economie soc/inf) Résumé : Cette publication, réalisée en partenariat entre le CETRI, SOLIDAR et Solsoc, a pour volonté de mettre en avant l’économie sociale et solidaire (ESS) comme une alternative pertinente qui dessinerait les contours du futur du travail. Cette publication qui parait en plein centenaire de l’Organisation Internationale du Travail (OIT) constitue un outil militant et une occasion d’interroger l’ESS, qui est au cœur de sa stratégie pour promouvoir le travail décent. En effet, de nombreuses études mettent en avant l’ESS comme le meilleur outil pour sa promotion. C’est aussi le point de vue de l’OIT, pour laquelle « l’économie sociale et solidaire contribue aux quatre dimensions de l’objectif général de l’OIT qu’est le travail décent ».
Mais comment faire en sorte que l’ESS soit le moteur de la diffusion du travail décent et de ses quatre piliers, que sont la création d’emploi, le droit au travail, la protection sociale et le dialogue social. Comment peut-elle créer des alliances avec des mouvements sociaux, notamment syndicaux et de femmes ? À quelles conditions peut-elle non seulement contribuer à répondre aux besoins, mais aussi constituer un pouvoir de transformation et, au-delà, une alternative au modèle économique ?
Ces questions, stratégies et enjeux sont ici interrogés à partir d’analyses, d’expertises et d’expériences du Sud, en donnant la parole à des organisations, mutuelles, syndicats, partenaires de Solsoc, qui sont autant d’acteurs au quotidien de cette transformation et de cette alternative.En ligne : https://www.cetri.be/L-economie-sociale-et-solidaire-a Format de la ressource électronique : https://www.cetri.be/IMG/pdf/brochure_version_francaise.pdf Documents numériques
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Economie sociale et solidaire à l'heure du travail décentAdobe Acrobat PDFL'économie sociale et solidaire
Titre : L'économie sociale et solidaire : levier de changement? Type de document : texte imprimé Editeur : Louvain-la-Neuve : Cetri Année de publication : 2015 Collection : Alternatives sud num. Vol. 22/2 Importance : 193 p Langues : Français (fre) Tags : Economie sociale et solidaire Pays en développement Index. décimale : REVUES Résumé : L’économie sociale et solidaire serait-elle la solution à la crise financière mondiale ? Constitue-t-elle, dans les pays du Sud, la clé de transition de l’économie informelle vers le travail décent, comme l’affirme un texte récent des Nations unies ? En tout cas, depuis 2008, du fait principalement de sa résilience aux chocs économiques, elle jouit d’un regain d’intérêt et a gagné du terrain dans les esprits comme dans les stratégies institutionnelles.
Espace hétérogène, l’économie sociale et solidaire regroupe un large éventail d’entités – associations, mutuelles, coopératives, entreprises sociales, fondations… –, de secteurs et d’activités, et développe une pensée théorique non univoque, qui emprunte un vocabulaire différent selon les contextes – économie « sociale », « populaire », etc. Plutôt qu’un manque de cohérence, cette multiplicité traduit un positionnement, dont les contours et ressorts participent de sa définition, en Afrique, en Asie et en Amérique latine.
Tiraillée, d’une part, entre des injonctions et ambitions contradictoires ou complémentaires – créer des emplois, inventer un « capitalisme à visage humain » ou construire une véritable alternative –, d’autre part, entre ses prétentions globales et ses pratiques locales plus prosaïques, l’économie sociale et solidaire n’a pas de frontière naturelle ou étanche avec l’économie informelle et l’entreprise capitaliste. Dans quelle mesure, sur quelles bases et à quelles conditions se distingue-t-elle d’une simple moralisation de l’économie pour opérer comme un véritable levier de changement social ?L'économie sociale et solidaire : levier de changement? [texte imprimé] . - Louvain-la-Neuve (Avenue Sainte Gertrude 5, 1348) : Cetri, 2015 . - 193 p. - (Alternatives sud; Vol. 22/2) .
Langues : Français (fre)
Tags : Economie sociale et solidaire Pays en développement Index. décimale : REVUES Résumé : L’économie sociale et solidaire serait-elle la solution à la crise financière mondiale ? Constitue-t-elle, dans les pays du Sud, la clé de transition de l’économie informelle vers le travail décent, comme l’affirme un texte récent des Nations unies ? En tout cas, depuis 2008, du fait principalement de sa résilience aux chocs économiques, elle jouit d’un regain d’intérêt et a gagné du terrain dans les esprits comme dans les stratégies institutionnelles.
Espace hétérogène, l’économie sociale et solidaire regroupe un large éventail d’entités – associations, mutuelles, coopératives, entreprises sociales, fondations… –, de secteurs et d’activités, et développe une pensée théorique non univoque, qui emprunte un vocabulaire différent selon les contextes – économie « sociale », « populaire », etc. Plutôt qu’un manque de cohérence, cette multiplicité traduit un positionnement, dont les contours et ressorts participent de sa définition, en Afrique, en Asie et en Amérique latine.
Tiraillée, d’une part, entre des injonctions et ambitions contradictoires ou complémentaires – créer des emplois, inventer un « capitalisme à visage humain » ou construire une véritable alternative –, d’autre part, entre ses prétentions globales et ses pratiques locales plus prosaïques, l’économie sociale et solidaire n’a pas de frontière naturelle ou étanche avec l’économie informelle et l’entreprise capitaliste. Dans quelle mesure, sur quelles bases et à quelles conditions se distingue-t-elle d’une simple moralisation de l’économie pour opérer comme un véritable levier de changement social ?PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkMigrations internationales
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