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Le capitalisme en 10 leçons / Michel Husson
Titre : Le capitalisme en 10 leçons : petit cours illustré d'économie hétérodoxe Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Husson, Auteur Editeur : Paris [France] : La Découverte Année de publication : 2012 Collection : Poche num. 463 Importance : 262 p Note générale : 01.HUS Langues : Français (fre) Tags : Capitalisme Economie hétérodoxe Index. décimale : 01 - Economie Résumé : Le capitalisme a pour vocation profonde l’accumulation indéfinie du capital, devenue fin en soi ; pour origine, l’appropriation privée des moyens de production ; pour support, la marchandisation du monde ; pour ressorts, l’exploitation du travail et la prédation de la nature. C’est dire si sa connaissance relève d’une économie politique critique, attentive aux rapports de forces et aux institutions, que popularise avec rigueur ce « petit cours illustré » en dix chapitres (de « De quoi le capitalisme est-il le nom ? » à « Pourquoi on va dans le mur ? », en passant par « Le capitalisme peut-il se mettre au vert ? ») pimentés de dessins. Le capitalisme désormais « en rendement décroissant » — idée-force de l’ouvrage — se montre incapable de satisfaire les besoins, tandis que, sur le plan environnemental, sa logique est purement destructrice. Un projet de société différent, loin de l’illusion d’une solution par la régulation, doit se nourrir d’un diagnostic radical du présent. Le capitalisme en 10 leçons : petit cours illustré d'économie hétérodoxe [texte imprimé] / Michel Husson, Auteur . - Paris (France) : La Découverte, 2012 . - 262 p. - (Poche; 463) .
01.HUS
Langues : Français (fre)
Tags : Capitalisme Economie hétérodoxe Index. décimale : 01 - Economie Résumé : Le capitalisme a pour vocation profonde l’accumulation indéfinie du capital, devenue fin en soi ; pour origine, l’appropriation privée des moyens de production ; pour support, la marchandisation du monde ; pour ressorts, l’exploitation du travail et la prédation de la nature. C’est dire si sa connaissance relève d’une économie politique critique, attentive aux rapports de forces et aux institutions, que popularise avec rigueur ce « petit cours illustré » en dix chapitres (de « De quoi le capitalisme est-il le nom ? » à « Pourquoi on va dans le mur ? », en passant par « Le capitalisme peut-il se mettre au vert ? ») pimentés de dessins. Le capitalisme désormais « en rendement décroissant » — idée-force de l’ouvrage — se montre incapable de satisfaire les besoins, tandis que, sur le plan environnemental, sa logique est purement destructrice. Un projet de société différent, loin de l’illusion d’une solution par la régulation, doit se nourrir d’un diagnostic radical du présent.