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Titre : Anticapitalisme : Pourquoi ? Pour quoi ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Mahieux, Auteur ; Julie Ferrua, Auteur ; Patrick Le Tréhondat, Auteur ; Sébastien Vega, Auteur Editeur : Paris [France] : Editions Syllepse Année de publication : printemps 2023 Autre Editeur : Union syndicale Solidaires Collection : Les utopiques num. 22 Importance : 222 p Langues : Français (fre) Catégories : Alternatives Tags : Syndicalisme Alternatives Racisme Capitalisme Index. décimale : REVUES Résumé : Quelles luttes syndicales contre le capitalisme, aujourd’hui ? Tel est le thème du dossier du 22e numéro des Cahiers Les Utopiques. Comme lors de chaque livraison de cette revue, des syndicalistes e l’Union syndicale Solidaires, mais aussi de la CGT ou de la FSU ont part de leurs réflexions, de leurs propositions, de leurs actions ; des sociologues, historien·nes ou économistes complètent le propos. Théo Roumier rappelle que le syndicalisme s’attelle à deux tâches en parallèle : la défense des intérêts immédiats des travailleuses et travailleurs, d’une part, la construction d’une société d’où doit disparaître l’exploitation capitaliste, d’autre part. Cette exploitation se combine à diverses oppressions (patriarcales, coloniales, raciales, etc.) ; il y a bien longtemps que le syndicalisme se confronte à cette intersectionnalité des agressions ici expliquée par Saïd Bouamama et Nara Cladera. Les porte-parole de Solidaires, Simon Duteil et Murielle Guilbert, montrent comment et pourquoi l’écologie et le féminisme s’inscrivent dans la lutte anticapitaliste, mais aussi comment et pourquoi une rupture avec le capitaliste doit s’appuyer sur le féminisme et l’écologie. Contre le capitalisme, mais pour quoi d’autre ?, interroge Christian Mahieux. Question que soulève aussi Maryse Dumas à sa façon : qu’est-ce qu’être anticapitaliste aujourd’hui ? Alain Bihr traite la question sous ce même angle. Patrick Le Moal et Ludivine Bantigny prolongent le propos à travers quelques pistes pour réfléchir à ce que serait une révolution au 21e siècle.
Patrick Le Tréhondat évalue à quel point les coopératives peuvent être une voie de sortie du capitalisme. L’équipe du journal/site Cerises la coopérative se demande comment concilier les lendemains qui chantent et les expériences concrètes d’aujourd’hui, dans une perspective d’émancipation sociale globale.
La commission antifasciste de l’Union syndicale Solidaires apporte aussi sa contribution, dénonçant le discours faussement anticapitaliste d’une partie de l’extrême droite.Note de contenu : -Brûlons le capitalisme, pas la planète! p.42-49
-les rapports toujours coupables du capitalisme avec le racisme p.86-97
-coopératives : leviers ou impasses ? p.118-125
En ligne : http://www.lesutopiques.org/les-utopiques-n8-antiracisme-et-question-sociale/ Anticapitalisme : Pourquoi ? Pour quoi ? [texte imprimé] / Christian Mahieux, Auteur ; Julie Ferrua, Auteur ; Patrick Le Tréhondat, Auteur ; Sébastien Vega, Auteur . - Paris (69, rue des Rigoles, 75020, France) : Editions Syllepse : [S.l.] : Union syndicale Solidaires, printemps 2023 . - 222 p. - (Les utopiques; 22) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Alternatives Tags : Syndicalisme Alternatives Racisme Capitalisme Index. décimale : REVUES Résumé : Quelles luttes syndicales contre le capitalisme, aujourd’hui ? Tel est le thème du dossier du 22e numéro des Cahiers Les Utopiques. Comme lors de chaque livraison de cette revue, des syndicalistes e l’Union syndicale Solidaires, mais aussi de la CGT ou de la FSU ont part de leurs réflexions, de leurs propositions, de leurs actions ; des sociologues, historien·nes ou économistes complètent le propos. Théo Roumier rappelle que le syndicalisme s’attelle à deux tâches en parallèle : la défense des intérêts immédiats des travailleuses et travailleurs, d’une part, la construction d’une société d’où doit disparaître l’exploitation capitaliste, d’autre part. Cette exploitation se combine à diverses oppressions (patriarcales, coloniales, raciales, etc.) ; il y a bien longtemps que le syndicalisme se confronte à cette intersectionnalité des agressions ici expliquée par Saïd Bouamama et Nara Cladera. Les porte-parole de Solidaires, Simon Duteil et Murielle Guilbert, montrent comment et pourquoi l’écologie et le féminisme s’inscrivent dans la lutte anticapitaliste, mais aussi comment et pourquoi une rupture avec le capitaliste doit s’appuyer sur le féminisme et l’écologie. Contre le capitalisme, mais pour quoi d’autre ?, interroge Christian Mahieux. Question que soulève aussi Maryse Dumas à sa façon : qu’est-ce qu’être anticapitaliste aujourd’hui ? Alain Bihr traite la question sous ce même angle. Patrick Le Moal et Ludivine Bantigny prolongent le propos à travers quelques pistes pour réfléchir à ce que serait une révolution au 21e siècle.
Patrick Le Tréhondat évalue à quel point les coopératives peuvent être une voie de sortie du capitalisme. L’équipe du journal/site Cerises la coopérative se demande comment concilier les lendemains qui chantent et les expériences concrètes d’aujourd’hui, dans une perspective d’émancipation sociale globale.
La commission antifasciste de l’Union syndicale Solidaires apporte aussi sa contribution, dénonçant le discours faussement anticapitaliste d’une partie de l’extrême droite.Note de contenu : -Brûlons le capitalisme, pas la planète! p.42-49
-les rapports toujours coupables du capitalisme avec le racisme p.86-97
-coopératives : leviers ou impasses ? p.118-125
En ligne : http://www.lesutopiques.org/les-utopiques-n8-antiracisme-et-question-sociale/
Titre : Anticolonialisme(s) : Points de vue du Sud Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Thomas, Auteur ; Claudio Katz, Auteur ; Patrick Bond, Auteur Editeur : Louvain-la-Neuve : Cetri Année de publication : 2023 Collection : Alternatives sud num. Vol. 30, N° 3 Importance : 181 p Langues : Français (fre) Tags : Colonialisme Impérialisme Luttes sociales Intégration Index. décimale : REVUES Résumé : La guerre en Ukraine a remis au jour le débat sur l’(anti-)impérialisme. Dans le même temps, s’affirme et se développe le « décolonial ». Trop souvent, ces notions relèvent de mots fourre-tout, agités comme des épouvantails, alimentant davantage la confusion et la polémique que l’analyse critique. Alors que l’anti-impérialisme est régulièrement réduit à une stratégie reproduisant les postulats sinon les réflexes de la Guerre froide, le décolonial tend à se concentrer sur les enjeux réflexifs, culturels, académiques. L’anticolonialisme – son histoire et sa permanence – demeure hors-champ.
Les luttes anticoloniales relèvent-elles d’un passé révolu, dilué dans la géopolitique du 21e siècle ou définitivement dépassé par la « radicalité » décoloniale ? Le prétendre reviendrait à passer à côté de leur actualité et à se priver de leur charge historique qui offre un autre éclairage sur la question du ou des impérialisme(s). Faut-il en parler au singulier ou au pluriel ? Et dans ce dernier cas, faut-il les hiérarchiser ? Comment, surtout, ne pas valider l’usage opportuniste de la rhétorique anti-impérialiste par des régimes autoritaires ni disqualifier des soulèvements populaires en prise avec ces mêmes régimes ou avec un pouvoir impérial autre qu’occidental ?
L’anticolonialisme permet de se dégager quelque peu d’une double fixation sur les États et sur l’épistémologie, pour interroger à nouveaux frais les résistances aux processus de domination néocoloniale, ancrées dans le temps long des mobilisations sociales dans le Sud.Note de contenu : -Amérique latine : essor et déclin de la doctrine Monroe p.65-78
-Les BRICS ou la "schizophrénie" du sous-impérialisme p.133-146Anticolonialisme(s) : Points de vue du Sud [texte imprimé] / Frédéric Thomas, Auteur ; Claudio Katz, Auteur ; Patrick Bond, Auteur . - Louvain-la-Neuve (Avenue Sainte Gertrude 5, 1348) : Cetri, 2023 . - 181 p. - (Alternatives sud; Vol. 30, N° 3) .
Langues : Français (fre)
Tags : Colonialisme Impérialisme Luttes sociales Intégration Index. décimale : REVUES Résumé : La guerre en Ukraine a remis au jour le débat sur l’(anti-)impérialisme. Dans le même temps, s’affirme et se développe le « décolonial ». Trop souvent, ces notions relèvent de mots fourre-tout, agités comme des épouvantails, alimentant davantage la confusion et la polémique que l’analyse critique. Alors que l’anti-impérialisme est régulièrement réduit à une stratégie reproduisant les postulats sinon les réflexes de la Guerre froide, le décolonial tend à se concentrer sur les enjeux réflexifs, culturels, académiques. L’anticolonialisme – son histoire et sa permanence – demeure hors-champ.
Les luttes anticoloniales relèvent-elles d’un passé révolu, dilué dans la géopolitique du 21e siècle ou définitivement dépassé par la « radicalité » décoloniale ? Le prétendre reviendrait à passer à côté de leur actualité et à se priver de leur charge historique qui offre un autre éclairage sur la question du ou des impérialisme(s). Faut-il en parler au singulier ou au pluriel ? Et dans ce dernier cas, faut-il les hiérarchiser ? Comment, surtout, ne pas valider l’usage opportuniste de la rhétorique anti-impérialiste par des régimes autoritaires ni disqualifier des soulèvements populaires en prise avec ces mêmes régimes ou avec un pouvoir impérial autre qu’occidental ?
L’anticolonialisme permet de se dégager quelque peu d’une double fixation sur les États et sur l’épistémologie, pour interroger à nouveaux frais les résistances aux processus de domination néocoloniale, ancrées dans le temps long des mobilisations sociales dans le Sud.Note de contenu : -Amérique latine : essor et déclin de la doctrine Monroe p.65-78
-Les BRICS ou la "schizophrénie" du sous-impérialisme p.133-146
Titre : Asie, des pouvoirs et des luttes : Points de vue du Sud Type de document : texte imprimé Auteurs : Aurélie (Coord.) Leroy, Auteur Editeur : Louvain-la-Neuve : Cetri Année de publication : 2019 Collection : Alternatives sud num. Vol. 26, n° 4 Importance : 175 p Langues : Français (fre) Tags : Asie Droits sociaux Société civile Démocratie Travail Emploi Accords de libre-échange Index. décimale : REVUES Résumé : Au tournant du 21e siècle, l’Asie affichait des résultats de croissance parmi les plus rapides au monde et des avancées politiques qui donnaient corps à l’idée de «troisième vague de démocratisation». Les sociétés civiles, plus encore que les États, apparaissaient comme les chevilles ouvrières des transitions en cours et leurs résistances étaient auréolées de légitimité.
Vingt ans plus tard, l’optimisme a cédé la place au désenchantement. Une majorité de pays du continent sont en «récession démocratique».
Glisser son bulletin de vote dans l’urne n’a pas suffi à produire les changements escomptés en termes de droits sociaux et politiques. Au contraire. De Rangoun à Manille, de Bangkok à Delhi, ces processus ont plusieurs fois conduit à l’avènement de forces politiques régressives et autoritaires, porteuses de nationalismes populistes et liguées aux minorités économiquement dominantes.
Là où il y a domination, il y a résistance.
Si cette affirmation se vérifie souvent, les offensives réactionnaires sapent néanmoins les oppositions en réduisant leurs champs de manœuvre et leurs ressources.
Elles jettent en outre une lumière crue sur les tensions qui les traversent.
Les manifestations anti-blasphèmes en Indonésie, l’appui des chemises jaunes aux coups d’État militaires en Thaïlande, les exactions des organisations intégristes hindoues en Inde ou bouddhistes en Birmanie démontrent la plasticité des acteurs sociaux qui peuvent autant défendre que s’opposer aux idées démocratiques et progressistes.
Une vingtaine d’auteur·rices asiatiques, au profil universitaire ou acteur·rices de terrain, analysent dans ce livre les dynamiques sociales à l’œuvre dans leur pays, ainsi que les principaux enjeux rencontrés par les sociétés civiles dans des contextes marqués par la croissance des inégalités et la poussée des forces politiques conservatrices et réactionnaires.En ligne : https://www.cetri.be/-alternatives-sud-151- Asie, des pouvoirs et des luttes : Points de vue du Sud [texte imprimé] / Aurélie (Coord.) Leroy, Auteur . - Louvain-la-Neuve (Avenue Sainte Gertrude 5, 1348) : Cetri, 2019 . - 175 p. - (Alternatives sud; Vol. 26, n° 4) .
Langues : Français (fre)
Tags : Asie Droits sociaux Société civile Démocratie Travail Emploi Accords de libre-échange Index. décimale : REVUES Résumé : Au tournant du 21e siècle, l’Asie affichait des résultats de croissance parmi les plus rapides au monde et des avancées politiques qui donnaient corps à l’idée de «troisième vague de démocratisation». Les sociétés civiles, plus encore que les États, apparaissaient comme les chevilles ouvrières des transitions en cours et leurs résistances étaient auréolées de légitimité.
Vingt ans plus tard, l’optimisme a cédé la place au désenchantement. Une majorité de pays du continent sont en «récession démocratique».
Glisser son bulletin de vote dans l’urne n’a pas suffi à produire les changements escomptés en termes de droits sociaux et politiques. Au contraire. De Rangoun à Manille, de Bangkok à Delhi, ces processus ont plusieurs fois conduit à l’avènement de forces politiques régressives et autoritaires, porteuses de nationalismes populistes et liguées aux minorités économiquement dominantes.
Là où il y a domination, il y a résistance.
Si cette affirmation se vérifie souvent, les offensives réactionnaires sapent néanmoins les oppositions en réduisant leurs champs de manœuvre et leurs ressources.
Elles jettent en outre une lumière crue sur les tensions qui les traversent.
Les manifestations anti-blasphèmes en Indonésie, l’appui des chemises jaunes aux coups d’État militaires en Thaïlande, les exactions des organisations intégristes hindoues en Inde ou bouddhistes en Birmanie démontrent la plasticité des acteurs sociaux qui peuvent autant défendre que s’opposer aux idées démocratiques et progressistes.
Une vingtaine d’auteur·rices asiatiques, au profil universitaire ou acteur·rices de terrain, analysent dans ce livre les dynamiques sociales à l’œuvre dans leur pays, ainsi que les principaux enjeux rencontrés par les sociétés civiles dans des contextes marqués par la croissance des inégalités et la poussée des forces politiques conservatrices et réactionnaires.En ligne : https://www.cetri.be/-alternatives-sud-151-
Titre : Les aspects agricoles du TTIP Type de document : texte imprimé Auteurs : Arthur Meert, Auteur Editeur : CRISP Année de publication : 2016 Collection : Courrier hebdomadaire num. 2288 Importance : 47 p Langues : Français (fre) Tags : Partenariat économique TTIP Politique agricole UE Index. décimale : REVUES Résumé : Le Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement, mieux connu sous son nom anglais « Transatlantic Trade and Investment Partnership » (TTIP), est un projet d’accord de libre-échange entre l’Union européenne et les États-Unis d’Amérique. Actuellement en cours de négociation entre les deux partenaires, il a pour but de créer le plus important marché commun qui ait jamais existé.
Le TTIP est au centre de très nombreux débats. Ses partisans font valoir que, s’il est adopté, ce traité sera source de nombreux profits, tant pour l’Union européenne que pour les États-Unis. Selon eux, il engendrera en effet une importante croissance économique pour les deux parties, grâce notamment à une abolition des droits de douane, à une harmonisation des réglementations et à une ouverture des marchés publics. À l’inverse, les opposants soulignent les risques liés notamment à un affaiblissement des États face aux multinationales, à un nivellement par le bas des normes de santé publique et à l’introduction d’entraves à la régulation des marchés
Ce Courrier hebdomadaire se concentre sur les aspects agricoles du TTIP. Il éclaire leurs implications et leurs enjeux, tant pour les consommateurs que pour les producteurs. Pour cela, il commence par cerner les approches spécifiques qui caractérisent les politiques agricoles européenne et états-unienne. Ensuite, il montre de quelle manière les différences existant en la matière sont susceptibles d’avoir des répercussions pour l’Union européenne et pour les États-Unis dans le cadre du TTIP. L’analyse porte sur les principaux objectifs du projet de traité : la levée des barrières tarifaires, l’abolition des obstacles techniques au commerce, la convergence des normes et l’établissement de standards internationaux. Pour chacun d’entre eux, l’auteur confronte, avec un regard critique, les positions des partisans du TTIP et celles de ses opposants.Les aspects agricoles du TTIP [texte imprimé] / Arthur Meert, Auteur . - [S.l.] : CRISP, 2016 . - 47 p. - (Courrier hebdomadaire; 2288) .
Langues : Français (fre)
Tags : Partenariat économique TTIP Politique agricole UE Index. décimale : REVUES Résumé : Le Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement, mieux connu sous son nom anglais « Transatlantic Trade and Investment Partnership » (TTIP), est un projet d’accord de libre-échange entre l’Union européenne et les États-Unis d’Amérique. Actuellement en cours de négociation entre les deux partenaires, il a pour but de créer le plus important marché commun qui ait jamais existé.
Le TTIP est au centre de très nombreux débats. Ses partisans font valoir que, s’il est adopté, ce traité sera source de nombreux profits, tant pour l’Union européenne que pour les États-Unis. Selon eux, il engendrera en effet une importante croissance économique pour les deux parties, grâce notamment à une abolition des droits de douane, à une harmonisation des réglementations et à une ouverture des marchés publics. À l’inverse, les opposants soulignent les risques liés notamment à un affaiblissement des États face aux multinationales, à un nivellement par le bas des normes de santé publique et à l’introduction d’entraves à la régulation des marchés
Ce Courrier hebdomadaire se concentre sur les aspects agricoles du TTIP. Il éclaire leurs implications et leurs enjeux, tant pour les consommateurs que pour les producteurs. Pour cela, il commence par cerner les approches spécifiques qui caractérisent les politiques agricoles européenne et états-unienne. Ensuite, il montre de quelle manière les différences existant en la matière sont susceptibles d’avoir des répercussions pour l’Union européenne et pour les États-Unis dans le cadre du TTIP. L’analyse porte sur les principaux objectifs du projet de traité : la levée des barrières tarifaires, l’abolition des obstacles techniques au commerce, la convergence des normes et l’établissement de standards internationaux. Pour chacun d’entre eux, l’auteur confronte, avec un regard critique, les positions des partisans du TTIP et celles de ses opposants.
Titre : La Belgique, un État fédéral singulier Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Faniel, Auteur ; Cédric Istasse, Auteur ; Vincent Lefebve, Auteur ; Caroline Sägesser, Auteur Editeur : CRISP Année de publication : 2021 Collection : Courrier hebdomadaire num. 2500 Importance : 266 p Langues : Français (fre) Tags : Belgique Histoire Politique Index. décimale : REVUES Résumé : Chaque État est original dans son architecture institutionnelle, spécifique dans ses structures et unique dans ses équilibres. Il en va ainsi des États unitaires, et a fortiori des États fédéraux. Par définition en effet, tout système fédéral est constitué de plusieurs ordres juridiques, dont l’articulation résulte d’une histoire et d’un contexte socio-politique qui lui sont propres. En Belgique, beaucoup de citoyens ont le sentiment de vivre dans un pays aux singularités spécialement marquées. Un pays qui se différencie de tous les autres par l’évolution constante de son organisation, par le nombre de ses niveaux de pouvoir, par l’enchevêtrement des domaines de compétence de ses institutions et par la complexité – voire l’opacité – de son fonctionnement. Un pays qui est secoué par des crises répétées semblant menacer jusqu’à son existence. Un pays qui présente de multiples caractéristiques qui ne se rencontrent pas ailleurs, et qui sont tout à la fois la cause et la conséquence d’un fédéralisme à nul autre pareil. Bref, un pays atypique. En ligne : http://www.cairn.info/resultats_recherche.php?searchTerm=Les+c%C3%A2bleries+en+B [...] La Belgique, un État fédéral singulier [texte imprimé] / Jean Faniel, Auteur ; Cédric Istasse, Auteur ; Vincent Lefebve, Auteur ; Caroline Sägesser, Auteur . - [S.l.] : CRISP, 2021 . - 266 p. - (Courrier hebdomadaire; 2500) .
Langues : Français (fre)
Tags : Belgique Histoire Politique Index. décimale : REVUES Résumé : Chaque État est original dans son architecture institutionnelle, spécifique dans ses structures et unique dans ses équilibres. Il en va ainsi des États unitaires, et a fortiori des États fédéraux. Par définition en effet, tout système fédéral est constitué de plusieurs ordres juridiques, dont l’articulation résulte d’une histoire et d’un contexte socio-politique qui lui sont propres. En Belgique, beaucoup de citoyens ont le sentiment de vivre dans un pays aux singularités spécialement marquées. Un pays qui se différencie de tous les autres par l’évolution constante de son organisation, par le nombre de ses niveaux de pouvoir, par l’enchevêtrement des domaines de compétence de ses institutions et par la complexité – voire l’opacité – de son fonctionnement. Un pays qui est secoué par des crises répétées semblant menacer jusqu’à son existence. Un pays qui présente de multiples caractéristiques qui ne se rencontrent pas ailleurs, et qui sont tout à la fois la cause et la conséquence d’un fédéralisme à nul autre pareil. Bref, un pays atypique. En ligne : http://www.cairn.info/resultats_recherche.php?searchTerm=Les+c%C3%A2bleries+en+B [...] PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkLes chiffres 2017
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