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Titre : Opacité, scandales, procès : la Suisse et la valse des négociants Type de document : texte imprimé Auteurs : Timo Kollbrunner, Auteur ; Adria Budry Carbo, Auteur ; Géraldine Viret, Auteur Editeur : DB - Déclaration de Berne Année de publication : septembre 2020 Collection : Public Eye num. 25 Importance : 34 p. Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Energie Nickel Suisse mondialisation Résumé : Depuis la publication en 2011 de notre ouvrage de référence « Swiss Trading SA : la Suisse, le négoce et la malédiction des matières premières », les scandales, les affaires peu reluisantes et les procès impliquant des géants du négoce se sont succédés. En 2014 déjà, Public Eye demandait aux autorités helvétiques de réguler ce secteur, en créant la « ROHMA », une autorité de surveillance des marchés de matières premières. En 2016, notre enquête « Dirty Diesel » révélait comment des négociants suisses inondent l’Afrique de carburants toxiques. Des appels cordialement ignorés par les autorités politiques. Note de contenu : contient : - L'argent des traders : comment les négociants financent leurs activités p. 6-8
- Nornickel, le pollueur russe en série et sa filiale zougoise p. 13-17
- Glencore sous enquête en Suisse p. 18-19
En ligne : http://stories.publiceye.ch/vitolaukazakhstan/index.html Opacité, scandales, procès : la Suisse et la valse des négociants [texte imprimé] / Timo Kollbrunner, Auteur ; Adria Budry Carbo, Auteur ; Géraldine Viret, Auteur . - [S.l.] : DB - Déclaration de Berne, septembre 2020 . - 34 p.. - (Public Eye; 25) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Energie Nickel Suisse mondialisation Résumé : Depuis la publication en 2011 de notre ouvrage de référence « Swiss Trading SA : la Suisse, le négoce et la malédiction des matières premières », les scandales, les affaires peu reluisantes et les procès impliquant des géants du négoce se sont succédés. En 2014 déjà, Public Eye demandait aux autorités helvétiques de réguler ce secteur, en créant la « ROHMA », une autorité de surveillance des marchés de matières premières. En 2016, notre enquête « Dirty Diesel » révélait comment des négociants suisses inondent l’Afrique de carburants toxiques. Des appels cordialement ignorés par les autorités politiques. Note de contenu : contient : - L'argent des traders : comment les négociants financent leurs activités p. 6-8
- Nornickel, le pollueur russe en série et sa filiale zougoise p. 13-17
- Glencore sous enquête en Suisse p. 18-19
En ligne : http://stories.publiceye.ch/vitolaukazakhstan/index.html
Titre : Là où Glencore ferme les yeux : La mine de Porco en Bolivie Type de document : texte imprimé Auteurs : Ariane Bahri, Auteur ; Romeo Regenass, Auteur ; Timo Kollbrunner, Auteur Editeur : DB - Déclaration de Berne Année de publication : janvier 2021 Collection : Public Eye num. 27 Importance : 35 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Matières premières Corruption Environnement Résumé : Accidents mortels, environnement ravagé : dans la mine de Porco, exploitée par Glencore sur les hauts plateaux boliviens, des coopératives extraient du zinc, du plomb et de l’argent dans des conditions inhumaines. La multinationale détourne le regard mais rachète une grande partie de ces minerais. Histoire d’une irresponsabilité organisée. Tôt, un mercredi du mois d'octobre. Nous attendons près d’un rond-point de la petite ville de Porco, dans l’Altiplano bolivien. Des centaines de mineurs en survêtement et équipés d’un casque passent devant nous en traînant les pieds, le regard encore endormi. Le journaliste Jorge Quispe, le photographe Christian Lombardi et moi même détonnons dans cette procession somnolente. Nous attendons Roberto, dont nous tairons le véritable prénom. Il veut nous conduire à la mine de Porco, la plus haute du pays, où du zinc, de l’argent et du plomb sont extraits depuis 700 ans. En ligne : https://www.publiceye.ch/fr/publications/detail/la-ou-glencore-ferme-les-yeux Là où Glencore ferme les yeux : La mine de Porco en Bolivie [texte imprimé] / Ariane Bahri, Auteur ; Romeo Regenass, Auteur ; Timo Kollbrunner, Auteur . - [S.l.] : DB - Déclaration de Berne, janvier 2021 . - 35 p. - (Public Eye; 27) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Matières premières Corruption Environnement Résumé : Accidents mortels, environnement ravagé : dans la mine de Porco, exploitée par Glencore sur les hauts plateaux boliviens, des coopératives extraient du zinc, du plomb et de l’argent dans des conditions inhumaines. La multinationale détourne le regard mais rachète une grande partie de ces minerais. Histoire d’une irresponsabilité organisée. Tôt, un mercredi du mois d'octobre. Nous attendons près d’un rond-point de la petite ville de Porco, dans l’Altiplano bolivien. Des centaines de mineurs en survêtement et équipés d’un casque passent devant nous en traînant les pieds, le regard encore endormi. Le journaliste Jorge Quispe, le photographe Christian Lombardi et moi même détonnons dans cette procession somnolente. Nous attendons Roberto, dont nous tairons le véritable prénom. Il veut nous conduire à la mine de Porco, la plus haute du pays, où du zinc, de l’argent et du plomb sont extraits depuis 700 ans. En ligne : https://www.publiceye.ch/fr/publications/detail/la-ou-glencore-ferme-les-yeux Documents numériques
2021-01_PublicEye_Magazin_No27_F_RZ_72dpi.pdfAdobe Acrobat PDF
Titre : Un pesticide de Syngenta pollue l'eau potable au Costa Rica Type de document : texte imprimé Auteurs : Alvaro Murillo, Auteur ; Romeo Regenass, Auteur Editeur : DB - Déclaration de Berne Année de publication : juin 2023 Collection : Public Eye num. 42 Importance : 27 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Pesticides Amérique Latine Textile et habillement Résumé : Depuis des mois, les autorités costariciennes doivent livrer par camion de l’eau potable à la population de Cipreses et Santa Rosa, dont les sources ont été
contaminées par le chlorothalonil, un pesticide interdit en Europe, mais toujours vendu au Costa Rica par Syngenta et d’autres entreprises européennes. Dans ce
pays, qui n’a pas les capacités pour contrôler de manière systématique la présence de ce polluant dans son eau, le problème pourrait être bien plus étendu. Lorsqu’ils ont appris qu’un premier camion d’eau potable était en route pour Cipreses, les habitants et habitantes qui alertaient de longue date sur la pollution des sources d’eau ont su que leurs inquiétudes avaient enfin été entendues. Les autorités avaient finalement décidé d’amener de l’eau à ce village de montagne du Costa Rica, après que des résidus du chlorothalonil eurent été détectés dans les sources locales, à des niveaux jusqu’à 200 fois supérieurs à la limite légale. Ce fongicide, fréquemment utilisé dans les exploitations agricoles du Costa Rica, est interdit en Europe car il contamine les eaux souterraines et a été reconnu « cancérogène présumé pour l’être humain».
Note de contenu : -"On fait le métier de sableur quand on n'a pas d'autre choix" p.18-22 En ligne : https://www.publiceye.ch/fr/publications/detail/la-ou-glencore-ferme-les-yeux Un pesticide de Syngenta pollue l'eau potable au Costa Rica [texte imprimé] / Alvaro Murillo, Auteur ; Romeo Regenass, Auteur . - [S.l.] : DB - Déclaration de Berne, juin 2023 . - 27 p. - (Public Eye; 42) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Pesticides Amérique Latine Textile et habillement Résumé : Depuis des mois, les autorités costariciennes doivent livrer par camion de l’eau potable à la population de Cipreses et Santa Rosa, dont les sources ont été
contaminées par le chlorothalonil, un pesticide interdit en Europe, mais toujours vendu au Costa Rica par Syngenta et d’autres entreprises européennes. Dans ce
pays, qui n’a pas les capacités pour contrôler de manière systématique la présence de ce polluant dans son eau, le problème pourrait être bien plus étendu. Lorsqu’ils ont appris qu’un premier camion d’eau potable était en route pour Cipreses, les habitants et habitantes qui alertaient de longue date sur la pollution des sources d’eau ont su que leurs inquiétudes avaient enfin été entendues. Les autorités avaient finalement décidé d’amener de l’eau à ce village de montagne du Costa Rica, après que des résidus du chlorothalonil eurent été détectés dans les sources locales, à des niveaux jusqu’à 200 fois supérieurs à la limite légale. Ce fongicide, fréquemment utilisé dans les exploitations agricoles du Costa Rica, est interdit en Europe car il contamine les eaux souterraines et a été reconnu « cancérogène présumé pour l’être humain».
Note de contenu : -"On fait le métier de sableur quand on n'a pas d'autre choix" p.18-22 En ligne : https://www.publiceye.ch/fr/publications/detail/la-ou-glencore-ferme-les-yeux Documents numériques
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Titre : Le pétrole russe coule encore à flots Type de document : texte imprimé Auteurs : Agathe Duparc, Auteur ; Patrick Durisch, Auteur ; Elisabeth Schenk, Auteur Editeur : DB - Déclaration de Berne Année de publication : avril 2023 Collection : Public Eye num. 41 Importance : 43 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Santé Vêtements Pétrole Résumé : Depuis début février, l'importation de pétrole brut ou raffiné par voie maritime est interdite et le négoce soumis à un prix plafond dans une quarantaine de pays occidentaux, dont la Suisse. Cet embargo historique a mis fin à une longue histoire d’amour entre Genève et l’or noir russe. Autrefois partenaires clés du régime de Poutine, les principaux négociants ont dû couper les ponts, alors que de petites sociétés au profil inconnu ont pris le relais, soupçonnées de jouer les intermédiaires pour plus gros qu’elles dans un marché toujours plus opaque. Public Eye a enquêté sur ce grand chambardement. Sur l’écran, une longue liste de navires s’affiche. Le regard est attiré par ceux qui portent la mention « statut critique », écrite en lettres rouges. En ce mois de février 2023, dans la salle des marchés d’un négociant genevois, les traders et les opérateurs sont tenus, quoiqu’ils fassent, de repérer les « vilains bateaux », comme on les appelle ici. Il s’agit pour la plupart de tankers pétroliers qui ont changé de pavillon pour masquer leur origine russe, ou qui se sont chargés dans des ports russes au cours des derniers mois et pourraient être liés à des individus ou des sociétés russes sous sanctions. Comme le Minerva Nounou, qui navigue sous pavillon maltais. Depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine, le 24 février 2022, ce tanker de 17 ans a accosté une dizaine de fois dans des ports russes, dont Oust-Louga et Primorsk. Note de contenu : -Prix des médicaments : quand le Conseil fédéral va-t-il enfin siffler la fin de la récréation? p.24-27
-Décision scandaleuse : Syngenta conserve le droit de breveter la nature p.28-31
-Dix ans après le drame du Rana Plaza, l'industrie textile a bien trop peu évolué p.32-38En ligne : https://www.publiceye.ch/fr/publications/detail/la-ou-glencore-ferme-les-yeux Le pétrole russe coule encore à flots [texte imprimé] / Agathe Duparc, Auteur ; Patrick Durisch, Auteur ; Elisabeth Schenk, Auteur . - [S.l.] : DB - Déclaration de Berne, avril 2023 . - 43 p. - (Public Eye; 41) .
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Catégories : Revues Tags : Santé Vêtements Pétrole Résumé : Depuis début février, l'importation de pétrole brut ou raffiné par voie maritime est interdite et le négoce soumis à un prix plafond dans une quarantaine de pays occidentaux, dont la Suisse. Cet embargo historique a mis fin à une longue histoire d’amour entre Genève et l’or noir russe. Autrefois partenaires clés du régime de Poutine, les principaux négociants ont dû couper les ponts, alors que de petites sociétés au profil inconnu ont pris le relais, soupçonnées de jouer les intermédiaires pour plus gros qu’elles dans un marché toujours plus opaque. Public Eye a enquêté sur ce grand chambardement. Sur l’écran, une longue liste de navires s’affiche. Le regard est attiré par ceux qui portent la mention « statut critique », écrite en lettres rouges. En ce mois de février 2023, dans la salle des marchés d’un négociant genevois, les traders et les opérateurs sont tenus, quoiqu’ils fassent, de repérer les « vilains bateaux », comme on les appelle ici. Il s’agit pour la plupart de tankers pétroliers qui ont changé de pavillon pour masquer leur origine russe, ou qui se sont chargés dans des ports russes au cours des derniers mois et pourraient être liés à des individus ou des sociétés russes sous sanctions. Comme le Minerva Nounou, qui navigue sous pavillon maltais. Depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine, le 24 février 2022, ce tanker de 17 ans a accosté une dizaine de fois dans des ports russes, dont Oust-Louga et Primorsk. Note de contenu : -Prix des médicaments : quand le Conseil fédéral va-t-il enfin siffler la fin de la récréation? p.24-27
-Décision scandaleuse : Syngenta conserve le droit de breveter la nature p.28-31
-Dix ans après le drame du Rana Plaza, l'industrie textile a bien trop peu évolué p.32-38En ligne : https://www.publiceye.ch/fr/publications/detail/la-ou-glencore-ferme-les-yeux Documents numériques
2023_PublicEye_LeMagazin_41_FR.pdfAdobe Acrobat PDF
Titre : Des pilules amères : La loi des pharmas Type de document : texte imprimé Auteurs : Timo Kollbrunner, Auteur Editeur : DB - Déclaration de Berne Année de publication : juin 2017 Collection : Public Eye num. 6 Importance : 35 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues En ligne : https://www.publiceye.ch/fr/themes-et-contexte/commerce-et-matieres-premieres/ma [...] Des pilules amères : La loi des pharmas [texte imprimé] / Timo Kollbrunner, Auteur . - [S.l.] : DB - Déclaration de Berne, juin 2017 . - 35 p. - (Public Eye; 6) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues En ligne : https://www.publiceye.ch/fr/themes-et-contexte/commerce-et-matieres-premieres/ma [...] PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkLa Suisse et les géants du négoce agricole / Raphaël Riedmatten
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