Catégories
Affiner la recherche
Titre : Les multinationales du pétrole en Afrique : Séminaire organisé par l’AITEC, le GRESEA et IRENE, 17 et 18 mai 1999 Type de document : texte imprimé Editeur : AITEC Année de publication : 1999 Importance : 20 p Langues : Français (fre) Catégories : Industrie pétrolière
AfriqueTags : Industrie du pétrole Pétrole Afrique France:Elf Aquitaine Résumé : Le séminaire avait comme triple objectif
• de dresser le réquisitoire en termes de violations des droits des peuples imputables aux multinationales du pétrole en Afrique ;
• de dégager les moyens techniques et juridiques utilisables à l’avenir pour les contraindre à modifier leur comportement ;
• de réfléchir à l’élaboration d’actions de mobilisation citoyenne.
De surcroît, le séminaire souhaitait servir de cadre de réflexion aux travaux du Tribunal Permanent des Peuples, tenu de se prononcer, à la fin de cette même semaine, sur les activités d’Elf en Afrique suite à une plainte déposée par le collectif Collectif « Elf ne doit pas faire la loi en Afrique »En ligne : http://aitec.reseau-ipam.org/spip.php?article380 Les multinationales du pétrole en Afrique : Séminaire organisé par l’AITEC, le GRESEA et IRENE, 17 et 18 mai 1999 [texte imprimé] . - France : AITEC, 1999 . - 20 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Industrie pétrolière
AfriqueTags : Industrie du pétrole Pétrole Afrique France:Elf Aquitaine Résumé : Le séminaire avait comme triple objectif
• de dresser le réquisitoire en termes de violations des droits des peuples imputables aux multinationales du pétrole en Afrique ;
• de dégager les moyens techniques et juridiques utilisables à l’avenir pour les contraindre à modifier leur comportement ;
• de réfléchir à l’élaboration d’actions de mobilisation citoyenne.
De surcroît, le séminaire souhaitait servir de cadre de réflexion aux travaux du Tribunal Permanent des Peuples, tenu de se prononcer, à la fin de cette même semaine, sur les activités d’Elf en Afrique suite à une plainte déposée par le collectif Collectif « Elf ne doit pas faire la loi en Afrique »En ligne : http://aitec.reseau-ipam.org/spip.php?article380 Le NEPAD et la renaissance de l'Afrique / Denis Maugenest
Titre : Le NEPAD et la renaissance de l'Afrique Type de document : texte imprimé Auteurs : Denis Maugenest, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Abidjan : CERAP Année de publication : juin-juillet-août 2004 Collection : Débats num. 16-17 Importance : 64 p Note générale : 09.02 MAU Langues : Français (fre) Catégories : Afrique Tags : Développement Index. décimale : 09.02 Afrique Le NEPAD et la renaissance de l'Afrique [texte imprimé] / Denis Maugenest, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Abidjan : CERAP, juin-juillet-août 2004 . - 64 p. - (Débats; 16-17) .
09.02 MAU
Langues : Français (fre)
Catégories : Afrique Tags : Développement Index. décimale : 09.02 Afrique
Titre : Noir Canada : Pillage, corruption et criminalité en Afrique Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Deneault, Auteur Editeur : Montréal [Canada] : Ecosociété Année de publication : 2011 Importance : 352 p Langues : Français (fre) Catégories : Afrique
Industrie minièreTags : Industrie minière Canada Ressources naturelles Barrick Gold Corporation Afrique Index. décimale : 09.02 Afrique Résumé : Noir Canada remet en cause l’image largement répandue sur la scène internationale et défendue avec conviction par le discours officiel canadien, d’un Canada bon, pacifiste et généreux. Présenté comme le grand frère bienfaiteur, le Canada appuie pourtant politiquement et financièrement des sociétés qui exploitent le sol africain (et enregistrent des profits colossaux à la Bourse de Toronto), alors que, selon un ensemble de sources internationales, elles apparaîtraient mêlées à de sérieux cas d’abus en Afrique… Le Canada serait-il un « paradis judiciaire » pour les sociétés minières? Alain Deneault décrit toute l’architecture d’un système politique et financier honteux, qui de fait légitime et soutient le pillage des ressources du continent africain. Rédigé à partir de sources déjà rendues publiques, ce livre soutient avec éloquence que le Canada est loin de cet « ami de l’Afrique » qu’il se targue d’être.
À la lecture de Noir Canada, Pillage, corruption et criminalité en Afrique,
une épithète s’impose : livre nécessaire.
Déclaration publique conjointe
Règlement de l’action de Barrick Gold contre les auteurs et l’éditeur de Noir Canada
Barrick Gold Corporation (« Barrick »), Alain Deneault, Delphine Abadie et William Sacher (collectivement, les « Auteurs ») et Les Éditions Écosociété Inc. (« Écosociété ») annoncent qu’ils ont réglé hors Cour l’action en diffamation intentée par Barrick en avril 2008 en Cour supérieure du Québec en relation avec le livre Noir Canada: pillage, corruption et criminalité en Afrique (« Noir Canada ») écrit par les Auteurs et publié par Écosociété (l’« Action »).
Afin de régler le litige qui l’oppose à Barrick, Écosociété met fin à la publication et l’impression de Noir Canada et a effectué un paiement significatif à Barrick.
Une partie de Noir Canada se rapporte à des allégations concernant l’implication alléguée de Barrick en Tanzanie en 1996. Les Auteurs reconnaissent qu’ils n’ont pas de preuve d’implication de Barrick en Tanzanie en 1996 et que Barrick et d’autres parties contestent les allégations entourant les événements à la concession de Bulyanhulu en 1996.
En relation avec le contenu de Noir Canada concernant le Congo, Barrick reconnaît que la thèse des Auteurs et de plusieurs autres personnes est à l’effet que la présence de plusieurs ressources minérales, dont l’or, au Congo était un des principaux motifs à l’origine des conflits dans ce pays et que la présence de compagnies minières transnationales dans une région en guerre, telle les Grands Lacs africains peut avoir des conséquences imprévues et sérieuses.
Les Auteurs reconnaissent que bien que ces questions aient été étudiées de façon approfondie par un groupe d’experts des Nations Unies, en 2001-2002, ces experts n’ont fait aucune mention de Barrick. Les Auteurs reconnaissent que Barrick a présenté des documents et témoignages indiquant qu’elle n’a eu qu’une présence très limitée au Congo à l’été de 1996 exécutant du travail exploratoire sur une petite partie d’une concession minière de 82 000 km² au Congo et indiquant qu’elle n’a eu aucune implication dans les conflits au Congo. Les Auteurs reconnaissent qu’ils n’ont aucune preuve à l’effet contraire.
Barrick, les Auteurs et Écosociété conviennent que l’Action instituée par Barrick et l’écriture et la publication du livre Noir Canada par les Auteurs et Écosociété ont été entreprises de bonne foi et avec la conviction qu’elles étaient légitimes.
Les Auteurs réitèrent ce qu’ils ont écrit dans l’introduction de Noir Canada, à savoir que « cet ouvrage ne constitue pas une condamnation sommaire de sociétés » qu’il cite, et qu’ils ne s’étaient pas donné pour mandat d’assurer ultimement la véracité des allégations que le livre développe à partir de documents publics. Les Auteurs maintiennent que Noir Canada a été écrit afin de susciter un débat public sur la présence controversée d’intérêts canadiens en Afrique et d’en appeler à la création d’une commission d’enquête sur cette présence canadienne en Afrique. Ils maintiennent toujours cette position et continuent de s’enquérir du rôle des sociétés privées actives en tant que partenaires commerciaux auprès de représentants politiques africains engagés dans des conflits armés.
Écosociété considère que Noir Canada est pertinent et d’intérêt public, que la thèse qui y est développée constitue une contribution essentielle à la pensée critique et méritait d’être publiée. Écosociété entend poursuivre sa mission d’éditeur indépendant qui publie des essais d’intérêt public visant à susciter des débats de société.Note de contenu : Livre retiré de la vente sur ordre de la justice canadienne En ligne : http://www.ecosociete.org/entente.php Noir Canada : Pillage, corruption et criminalité en Afrique [texte imprimé] / Alain Deneault, Auteur . - Montréal (Canada) : Ecosociété, 2011 . - 352 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Afrique
Industrie minièreTags : Industrie minière Canada Ressources naturelles Barrick Gold Corporation Afrique Index. décimale : 09.02 Afrique Résumé : Noir Canada remet en cause l’image largement répandue sur la scène internationale et défendue avec conviction par le discours officiel canadien, d’un Canada bon, pacifiste et généreux. Présenté comme le grand frère bienfaiteur, le Canada appuie pourtant politiquement et financièrement des sociétés qui exploitent le sol africain (et enregistrent des profits colossaux à la Bourse de Toronto), alors que, selon un ensemble de sources internationales, elles apparaîtraient mêlées à de sérieux cas d’abus en Afrique… Le Canada serait-il un « paradis judiciaire » pour les sociétés minières? Alain Deneault décrit toute l’architecture d’un système politique et financier honteux, qui de fait légitime et soutient le pillage des ressources du continent africain. Rédigé à partir de sources déjà rendues publiques, ce livre soutient avec éloquence que le Canada est loin de cet « ami de l’Afrique » qu’il se targue d’être.
À la lecture de Noir Canada, Pillage, corruption et criminalité en Afrique,
une épithète s’impose : livre nécessaire.
Déclaration publique conjointe
Règlement de l’action de Barrick Gold contre les auteurs et l’éditeur de Noir Canada
Barrick Gold Corporation (« Barrick »), Alain Deneault, Delphine Abadie et William Sacher (collectivement, les « Auteurs ») et Les Éditions Écosociété Inc. (« Écosociété ») annoncent qu’ils ont réglé hors Cour l’action en diffamation intentée par Barrick en avril 2008 en Cour supérieure du Québec en relation avec le livre Noir Canada: pillage, corruption et criminalité en Afrique (« Noir Canada ») écrit par les Auteurs et publié par Écosociété (l’« Action »).
Afin de régler le litige qui l’oppose à Barrick, Écosociété met fin à la publication et l’impression de Noir Canada et a effectué un paiement significatif à Barrick.
Une partie de Noir Canada se rapporte à des allégations concernant l’implication alléguée de Barrick en Tanzanie en 1996. Les Auteurs reconnaissent qu’ils n’ont pas de preuve d’implication de Barrick en Tanzanie en 1996 et que Barrick et d’autres parties contestent les allégations entourant les événements à la concession de Bulyanhulu en 1996.
En relation avec le contenu de Noir Canada concernant le Congo, Barrick reconnaît que la thèse des Auteurs et de plusieurs autres personnes est à l’effet que la présence de plusieurs ressources minérales, dont l’or, au Congo était un des principaux motifs à l’origine des conflits dans ce pays et que la présence de compagnies minières transnationales dans une région en guerre, telle les Grands Lacs africains peut avoir des conséquences imprévues et sérieuses.
Les Auteurs reconnaissent que bien que ces questions aient été étudiées de façon approfondie par un groupe d’experts des Nations Unies, en 2001-2002, ces experts n’ont fait aucune mention de Barrick. Les Auteurs reconnaissent que Barrick a présenté des documents et témoignages indiquant qu’elle n’a eu qu’une présence très limitée au Congo à l’été de 1996 exécutant du travail exploratoire sur une petite partie d’une concession minière de 82 000 km² au Congo et indiquant qu’elle n’a eu aucune implication dans les conflits au Congo. Les Auteurs reconnaissent qu’ils n’ont aucune preuve à l’effet contraire.
Barrick, les Auteurs et Écosociété conviennent que l’Action instituée par Barrick et l’écriture et la publication du livre Noir Canada par les Auteurs et Écosociété ont été entreprises de bonne foi et avec la conviction qu’elles étaient légitimes.
Les Auteurs réitèrent ce qu’ils ont écrit dans l’introduction de Noir Canada, à savoir que « cet ouvrage ne constitue pas une condamnation sommaire de sociétés » qu’il cite, et qu’ils ne s’étaient pas donné pour mandat d’assurer ultimement la véracité des allégations que le livre développe à partir de documents publics. Les Auteurs maintiennent que Noir Canada a été écrit afin de susciter un débat public sur la présence controversée d’intérêts canadiens en Afrique et d’en appeler à la création d’une commission d’enquête sur cette présence canadienne en Afrique. Ils maintiennent toujours cette position et continuent de s’enquérir du rôle des sociétés privées actives en tant que partenaires commerciaux auprès de représentants politiques africains engagés dans des conflits armés.
Écosociété considère que Noir Canada est pertinent et d’intérêt public, que la thèse qui y est développée constitue une contribution essentielle à la pensée critique et méritait d’être publiée. Écosociété entend poursuivre sa mission d’éditeur indépendant qui publie des essais d’intérêt public visant à susciter des débats de société.Note de contenu : Livre retiré de la vente sur ordre de la justice canadienne En ligne : http://www.ecosociete.org/entente.php Noir silence / François-Xavier Verschave
Titre : Noir silence : Qui arrêtera la Françafrique Type de document : texte imprimé Auteurs : François-Xavier Verschave, Auteur Editeur : Paris : Les Arènes Année de publication : 2000 Importance : 597 p Note générale : 09.02 VER Langues : Français (fre) Catégories : Afrique
Développement économiqueTags : Entreprises France Afrique Développement économique Développement social Index. décimale : 09.02 Afrique Résumé : Il existe un pays où, depuis son palais, le chef de l’État recrute librement des mercenaires et pilote des guerres civiles sur un autre continent. Ce livre donne des noms, des dates, des témoignages. Il existe un pays qui attise les conflits ethniques et déverse des armes sur des régions à feu et à sang, pour rester maître du seul vrai pouvoir : l’argent.
Ce livre raconte ses crimes sans tribunal. Il existe un pays qui, pour défendre ses intérêts, autorise ses services spéciaux à s’allier, en terre étrangère, avec les réseaux mafieux et les milices d’extrême droite. Ce livre recoupe les enquêtes en France et à l’étranger pour démonter l’engrenage.Noir silence : Qui arrêtera la Françafrique [texte imprimé] / François-Xavier Verschave, Auteur . - Paris : Les Arènes, 2000 . - 597 p.
09.02 VER
Langues : Français (fre)
Catégories : Afrique
Développement économiqueTags : Entreprises France Afrique Développement économique Développement social Index. décimale : 09.02 Afrique Résumé : Il existe un pays où, depuis son palais, le chef de l’État recrute librement des mercenaires et pilote des guerres civiles sur un autre continent. Ce livre donne des noms, des dates, des témoignages. Il existe un pays qui attise les conflits ethniques et déverse des armes sur des régions à feu et à sang, pour rester maître du seul vrai pouvoir : l’argent.
Ce livre raconte ses crimes sans tribunal. Il existe un pays qui, pour défendre ses intérêts, autorise ses services spéciaux à s’allier, en terre étrangère, avec les réseaux mafieux et les milices d’extrême droite. Ce livre recoupe les enquêtes en France et à l’étranger pour démonter l’engrenage.Les nouveaux prédateurs / Colette Braeckman
Titre : Les nouveaux prédateurs : Politique des puissances en Afrique centrale Type de document : texte imprimé Auteurs : Colette Braeckman, Auteur Editeur : Bruxelles : Editions Aden Année de publication : 2009 Importance : 394 p Langues : Français (fre) Catégories : Afrique
Conflits armésTags : RDC Congo Afrique centrale Conflits Droits de l'homme Ressources naturelles Index. décimale : 09.02 Afrique Résumé : Le temps viendra-t-il où le Congo surmontera la malédiction de ses richesses?
La dictature de Mobutu avait été un frein à l'exploitation du cobalt, de l'or, du diamant : pour les prédateurs, il était urgent d'ouvrir les immenses réserves congolaises aux prospecteurs et aux aventuriers. Dans le même temps, les pays voisins – Rwanda, Ouganda, Zimbabwe – rêvaient de bâtir leur développement sur les ressources puisées chez leur voisin. Mais Laurent-Désiré Kabila, le tombeur de Mobutu, qui aurait du être le fondé de pouvoir de ce vaste projet régional, ne tarda pas à renier ses promesses. Telle fut la raison profonde de l'éclatement du conflit. Depuis l'assassinat de Kabila, en janvier 2001, l'équation a changé : au nom de l'ouverture, le pays s'est soumis aux institutions financières internationales, les promesses d'assistance se sont multipliées, les prédateurs ont subi de fortes pressions. Car, après le 11 septembre, il importe que l'ordre règne dans les banlieues du monde, et les grandes puissances – États-Unis, France, Grande-Bretagne – s'y emploient. Mais si les rôles ont été redistribués, si de nouveaux acteurs sont apparus, les ambitions demeurent, et les intérêts des populations continuent de passer au second plan. Les accords de paix de Sun City ont ouvert la voie aux élections démocratiques que le peuple congolais attendait depuis si longtemps.
Mais c'est une autre histoire qui s'est imposée et que nous décode ici Colette Braeckman, jusqu'aux derniers rebondissements de janvier 2009.Les nouveaux prédateurs : Politique des puissances en Afrique centrale [texte imprimé] / Colette Braeckman, Auteur . - Bruxelles (44, rue Antoine Bréart, 1060) : Editions Aden, 2009 . - 394 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Afrique
Conflits armésTags : RDC Congo Afrique centrale Conflits Droits de l'homme Ressources naturelles Index. décimale : 09.02 Afrique Résumé : Le temps viendra-t-il où le Congo surmontera la malédiction de ses richesses?
La dictature de Mobutu avait été un frein à l'exploitation du cobalt, de l'or, du diamant : pour les prédateurs, il était urgent d'ouvrir les immenses réserves congolaises aux prospecteurs et aux aventuriers. Dans le même temps, les pays voisins – Rwanda, Ouganda, Zimbabwe – rêvaient de bâtir leur développement sur les ressources puisées chez leur voisin. Mais Laurent-Désiré Kabila, le tombeur de Mobutu, qui aurait du être le fondé de pouvoir de ce vaste projet régional, ne tarda pas à renier ses promesses. Telle fut la raison profonde de l'éclatement du conflit. Depuis l'assassinat de Kabila, en janvier 2001, l'équation a changé : au nom de l'ouverture, le pays s'est soumis aux institutions financières internationales, les promesses d'assistance se sont multipliées, les prédateurs ont subi de fortes pressions. Car, après le 11 septembre, il importe que l'ordre règne dans les banlieues du monde, et les grandes puissances – États-Unis, France, Grande-Bretagne – s'y emploient. Mais si les rôles ont été redistribués, si de nouveaux acteurs sont apparus, les ambitions demeurent, et les intérêts des populations continuent de passer au second plan. Les accords de paix de Sun City ont ouvert la voie aux élections démocratiques que le peuple congolais attendait depuis si longtemps.
Mais c'est une autre histoire qui s'est imposée et que nous décode ici Colette Braeckman, jusqu'aux derniers rebondissements de janvier 2009.Le partenariat Euro-Méditerranéen / Bichara Khader
PermalinkPartenariat Wallonie - R.D. Congo / Agence wallonne à l'exportation
PermalinkPartenariat Wallonie - R.D. Congo / Agence wallonne à l'exportation
PermalinkLe pauvre le hors-la-loi le métis / Gauthier de Villers
PermalinkPour l'annulation des créances belges sur la République démocratique du Congo
PermalinkPour une annulation des créances belges sur la République démocratique du Congo
PermalinkPermalinkLes problèmes du secteur primaire africain / UNCTAD
PermalinkProcessus de démocratisation et syndicats en Afrique / Seth Asante
PermalinkProgramme d'ajustement structurel et intégration régionale en Afrique subsaharienne / Jean Coussy
Permalink