Titre : |
Une malédiction nommée saphir |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Julie Zaugg, Auteur ; Romeo Regenass, Auteur |
Editeur : |
DB - Déclaration de Berne |
Année de publication : |
janvier 2024 |
Collection : |
Public Eye num. 45 |
Importance : |
43 p |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Revues
|
Tags : |
Textile et habillement Pétrole Conditions de travail Madagascar |
Résumé : |
Madagascar est aujourd’hui la principale source de saphirs pour les marques suisses de joaillerie et d’horlogerie. Mais l’État malgache et les mineurs artisanaux qui les extraient dans des conditions terribles ne profitent guère de cette manne, le plus souvent exportée clandestinement. Enquête de terrain. Le paysage est martien, avec cette terre rouge criblée de trous. D’un diamètre de 100 centimètres, les cavités sont surmontées d’une poulie rudimentaire, fabriquée à partir de planches de bois, qui permet aux mineurs d’atteindre le fond de la mine. Lorsqu’ils remontent, ils sont recouverts d’une poussière grise qui leur donne un air fantomatique. D’autres creusent à la pelle, extrayant l’eau rougeâtre à l’aide de motopompes pétaradantes. Chaque équipe est accompagnée d’un garde qui surveille les opérations un fusil sur l’épaule. Une fois les gravats extraits, ils sont placés dans des sacs et portés à dos d’homme jusqu’à la rivière, où ils sont lavés dans un tamis, avec l’espoir d’y trouver une gemme.
|
Note de contenu : |
-Silence des enseignes de la mode face à l'officialisation des salaires de misère au Bangladesh p.22-23 |
En ligne : |
https://www.publiceye.ch/fileadmin/doc/Magazin/2311_PublicEye_Magazin_45_FR_96.p [...] |
Une malédiction nommée saphir [texte imprimé] / Julie Zaugg, Auteur ; Romeo Regenass, Auteur . - [S.l.] : DB - Déclaration de Berne, janvier 2024 . - 43 p. - ( Public Eye; 45) . Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Revues
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Tags : |
Textile et habillement Pétrole Conditions de travail Madagascar |
Résumé : |
Madagascar est aujourd’hui la principale source de saphirs pour les marques suisses de joaillerie et d’horlogerie. Mais l’État malgache et les mineurs artisanaux qui les extraient dans des conditions terribles ne profitent guère de cette manne, le plus souvent exportée clandestinement. Enquête de terrain. Le paysage est martien, avec cette terre rouge criblée de trous. D’un diamètre de 100 centimètres, les cavités sont surmontées d’une poulie rudimentaire, fabriquée à partir de planches de bois, qui permet aux mineurs d’atteindre le fond de la mine. Lorsqu’ils remontent, ils sont recouverts d’une poussière grise qui leur donne un air fantomatique. D’autres creusent à la pelle, extrayant l’eau rougeâtre à l’aide de motopompes pétaradantes. Chaque équipe est accompagnée d’un garde qui surveille les opérations un fusil sur l’épaule. Une fois les gravats extraits, ils sont placés dans des sacs et portés à dos d’homme jusqu’à la rivière, où ils sont lavés dans un tamis, avec l’espoir d’y trouver une gemme.
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Note de contenu : |
-Silence des enseignes de la mode face à l'officialisation des salaires de misère au Bangladesh p.22-23 |
En ligne : |
https://www.publiceye.ch/fileadmin/doc/Magazin/2311_PublicEye_Magazin_45_FR_96.p [...] |
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