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Titre : La face cachée des sommets de la Terre Type de document : texte imprimé Auteurs : Serge Halimi, Auteur ; Aurélien Bernier, Auteur ; Mathias Reymond, Auteur ; Anne Vigna, Auteur Editeur : Le Monde diplomatique Année de publication : juin 2022 Collection : Le Monde diplomatique num. 819 Importance : 28 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Ecologie Gilets jaunes Energie Afrique Faim Chômage Résumé : Alors que les températures atteignent des records en Inde et au Pakistan, où le mercureaflirté avec les 50°C pendant plusieurs jours, les Nations unies
organisent, les 2 et3juin en Suède, une vaste conférence internationale sur l’environnement. Son titre, « Stockholm + 50 », souligne le temps perdu depuis le premier sommet de la Terre, en 1972, pour engager la lutte contre le changement climatique. À la fin de l’année 1967, les Nations unies se saisissent d’une demande de la Suède : organiser une conférence mondiale sur les « problèmes d’environnement». À défaut d’être une préoccupation aussi prégnante que la guerre froide, l’écologie fait de plus en plus parler d’elle dans les pays industrialisés, en lien avec des enjeux de santé publique. Dans les années 1960, plusieurs livres ont connu un écho médiatique inattendu aux ÉtatsUnis. Avec Silent Spring (« Printemps silencieux »), publié en 1962, la biologiste Rachel Carson s’attaque à l’agriculture intensive et à l’industrie des pesticides, dont elle montre les ravages sur la nature et particulièrement les oiseaux. En 1966,
Barry Commoner, biologiste lui aussi, dénonce les impacts environnementaux du nucléaire militaire et de certaines technologies industrielles modernes dans son
premier ouvrage, Science and Survival (« Science et survie »).
Note de contenu : -Qui gagne la guerre de l’énergie ? p.1 et 13-17
-Un symbole de la déforestaytion : Voyage au bout de la Transamazonienne p.5-6
-Un cheval de Troie pour les grands semanciers en Afrique : Quand la Fondation Gates sème la faim p.9
-La baisse des allocations cible les salariés les plus précaires : Chômage, une réforme dévastatrice p.21
En ligne : https://www.monde-diplomatique.fr/2019/02/MALLING/59526 La face cachée des sommets de la Terre [texte imprimé] / Serge Halimi, Auteur ; Aurélien Bernier, Auteur ; Mathias Reymond, Auteur ; Anne Vigna, Auteur . - [S.l.] : Le Monde diplomatique, juin 2022 . - 28 p. - (Le Monde diplomatique; 819) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Ecologie Gilets jaunes Energie Afrique Faim Chômage Résumé : Alors que les températures atteignent des records en Inde et au Pakistan, où le mercureaflirté avec les 50°C pendant plusieurs jours, les Nations unies
organisent, les 2 et3juin en Suède, une vaste conférence internationale sur l’environnement. Son titre, « Stockholm + 50 », souligne le temps perdu depuis le premier sommet de la Terre, en 1972, pour engager la lutte contre le changement climatique. À la fin de l’année 1967, les Nations unies se saisissent d’une demande de la Suède : organiser une conférence mondiale sur les « problèmes d’environnement». À défaut d’être une préoccupation aussi prégnante que la guerre froide, l’écologie fait de plus en plus parler d’elle dans les pays industrialisés, en lien avec des enjeux de santé publique. Dans les années 1960, plusieurs livres ont connu un écho médiatique inattendu aux ÉtatsUnis. Avec Silent Spring (« Printemps silencieux »), publié en 1962, la biologiste Rachel Carson s’attaque à l’agriculture intensive et à l’industrie des pesticides, dont elle montre les ravages sur la nature et particulièrement les oiseaux. En 1966,
Barry Commoner, biologiste lui aussi, dénonce les impacts environnementaux du nucléaire militaire et de certaines technologies industrielles modernes dans son
premier ouvrage, Science and Survival (« Science et survie »).
Note de contenu : -Qui gagne la guerre de l’énergie ? p.1 et 13-17
-Un symbole de la déforestaytion : Voyage au bout de la Transamazonienne p.5-6
-Un cheval de Troie pour les grands semanciers en Afrique : Quand la Fondation Gates sème la faim p.9
-La baisse des allocations cible les salariés les plus précaires : Chômage, une réforme dévastatrice p.21
En ligne : https://www.monde-diplomatique.fr/2019/02/MALLING/59526
Titre : Un sens au travail, mais lequel ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Danièle Linhart, Auteur ; Anne Vigna, Auteur Editeur : Le Monde diplomatique Année de publication : décembre 2024 Collection : Le Monde diplomatique num. 849 Importance : 28 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Travail Elections USA Résumé : Se lever, avaler un café, s’engouffrer dans une voiture, un métro ou un train. Embaucher, faire sa journée, rentrer, recommencer… Pourquoi ? Pour qui ? Et si le désarroi que suscite le travail traduisait en réalité un espoir ? Celui d’une activité humaine émancipatrice. Cette question du sens se pose encore aujourd’hui, dans des termes en apparence différents. Partout on entend l’importance que les jeunes accorderaient à la « conciliation “vie pro” - “vie perso” », à « faire quelque chose d’utile » ou de « concret ». Parfois même s’exprime le désir de « refuser de parvenir, cultiver la dignité du présent, lutter pour sauver chaque gramme de beauté et savourer le vivant ». Alors les ressources humaines se démènent. Pour attirer les « talents », lit-on, elles promettent coaching et convivialité : « On fera des fêtes jusqu’au bout de la nuit », « vous viendrez bosser avec votre animal de compagnie ». Note de contenu : -Au Mexique, le bilan contrasté d'un président populaire p.10-11
-Le silence des usines p.16En ligne : https://www.monde-diplomatique.fr/2024/08/ Un sens au travail, mais lequel ? [texte imprimé] / Danièle Linhart, Auteur ; Anne Vigna, Auteur . - [S.l.] : Le Monde diplomatique, décembre 2024 . - 28 p. - (Le Monde diplomatique; 849) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Travail Elections USA Résumé : Se lever, avaler un café, s’engouffrer dans une voiture, un métro ou un train. Embaucher, faire sa journée, rentrer, recommencer… Pourquoi ? Pour qui ? Et si le désarroi que suscite le travail traduisait en réalité un espoir ? Celui d’une activité humaine émancipatrice. Cette question du sens se pose encore aujourd’hui, dans des termes en apparence différents. Partout on entend l’importance que les jeunes accorderaient à la « conciliation “vie pro” - “vie perso” », à « faire quelque chose d’utile » ou de « concret ». Parfois même s’exprime le désir de « refuser de parvenir, cultiver la dignité du présent, lutter pour sauver chaque gramme de beauté et savourer le vivant ». Alors les ressources humaines se démènent. Pour attirer les « talents », lit-on, elles promettent coaching et convivialité : « On fera des fêtes jusqu’au bout de la nuit », « vous viendrez bosser avec votre animal de compagnie ». Note de contenu : -Au Mexique, le bilan contrasté d'un président populaire p.10-11
-Le silence des usines p.16En ligne : https://www.monde-diplomatique.fr/2024/08/