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Les étapes de la croissance économique / Walt Whitman Rostow
Titre : Les étapes de la croissance économique Type de document : texte imprimé Auteurs : Walt Whitman Rostow, Auteur Editeur : Paris : Seuil Année de publication : 1963 Collection : Points Economie num. 16 Importance : 252 p Langues : Français (fre) Tags : Science économique Croissance économique Marxisme Index. décimale : 00.ROS Résumé : Les cinq étapes de la croissance; Les conditions préalables au démarrage; La démarrage; La marche vers la maturité; L’ère de la consommation de masse; Le croissance en Russie et aux Etats-Unis; Les étapes de la croissance et l'agression; Les étapes de la croissance dans le monde et le problème de la paix; Le marxisme, le communisme, et les étapes de la croissance. Les étapes de la croissance économique [texte imprimé] / Walt Whitman Rostow, Auteur . - Paris : Seuil, 1963 . - 252 p. - (Points Economie; 16) .
Langues : Français (fre)
Tags : Science économique Croissance économique Marxisme Index. décimale : 00.ROS Résumé : Les cinq étapes de la croissance; Les conditions préalables au démarrage; La démarrage; La marche vers la maturité; L’ère de la consommation de masse; Le croissance en Russie et aux Etats-Unis; Les étapes de la croissance et l'agression; Les étapes de la croissance dans le monde et le problème de la paix; Le marxisme, le communisme, et les étapes de la croissance. Multinationales et mondialisation / Jean-Louis Mucchielli
Titre : Multinationales et mondialisation Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Louis Mucchielli, Auteur Editeur : Paris : Seuil Année de publication : 1998 Collection : Points Economie num. E41 Importance : 373 p Langues : Français (fre) Catégories : Mondialisation
Entreprises multinationalesTags : Sociétés transnationales IDE Délocalisation Mondialisation Index. décimale : 04.01 Entreprises - Généralités Résumé : Depuis quelques années, on parle moins de multinationales et davantage de délocalisations. Or, souligne l'auteur, il s'agit de la même réalité, celle d'entreprises qui possèdent au moins une filiale à l'étranger. Les flux d'investissements directs à l'étranger n'ont cessé de grossir depuis le début des années 80, et la multinationalisation touche désormais tous les secteurs (y compris les services) et les pays. Face à la globalisation des marchés, les firmes se mondialisent, de façon à tirer profit de leurs avantages compétitifs spécifiques. ça ne marche pas toujours, ou pas toujours autant qu'espéré, comme le montre l'exemple d'EuroDisney (voir Alternatives économiques, No 162, septembre 1998). Quant aux lieux d'implantation, bien des facteurs entrent en ligne de compte. Et le coût salarial n'est ni le seul ni le plus important.
Mais le point central est, évidemment, les conséquences de cette globalisation, tant sur les pays d'origine que sur les pays d'accueil. Selon l'auteur, les craintes sur l'emploi intérieur et le déséquilibre extérieur suscitées par les délocalisations croissantes sont excessives: les retombées sur l'emploi sont plutôt positives et les multinationales sont aussi les plus dynamiques en matière d'exportation. Tout va donc pour le mieux Pas vraiment, puisque cela réduit les marges de manoeuvre des Etats, qui doivent désormais composer avec les multinationales pour les retenir ou les attirer. Mais ne leur attribuons pas des maux dont l'origine est interne, conclut l'auteur au terme d'un livre bourré d'informations. On appréciera aussi les analyses détaillées sur la stratégie des multinationales (Cela vaut-il la peine de s'implanter ailleurs plutôt que de se borner à exporter? faut-il s'allier à des intérêts locaux ou pas?), qui contribueront sans doute à faire de ce livre une référence.Multinationales et mondialisation [texte imprimé] / Jean-Louis Mucchielli, Auteur . - Paris : Seuil, 1998 . - 373 p. - (Points Economie; E41) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Mondialisation
Entreprises multinationalesTags : Sociétés transnationales IDE Délocalisation Mondialisation Index. décimale : 04.01 Entreprises - Généralités Résumé : Depuis quelques années, on parle moins de multinationales et davantage de délocalisations. Or, souligne l'auteur, il s'agit de la même réalité, celle d'entreprises qui possèdent au moins une filiale à l'étranger. Les flux d'investissements directs à l'étranger n'ont cessé de grossir depuis le début des années 80, et la multinationalisation touche désormais tous les secteurs (y compris les services) et les pays. Face à la globalisation des marchés, les firmes se mondialisent, de façon à tirer profit de leurs avantages compétitifs spécifiques. ça ne marche pas toujours, ou pas toujours autant qu'espéré, comme le montre l'exemple d'EuroDisney (voir Alternatives économiques, No 162, septembre 1998). Quant aux lieux d'implantation, bien des facteurs entrent en ligne de compte. Et le coût salarial n'est ni le seul ni le plus important.
Mais le point central est, évidemment, les conséquences de cette globalisation, tant sur les pays d'origine que sur les pays d'accueil. Selon l'auteur, les craintes sur l'emploi intérieur et le déséquilibre extérieur suscitées par les délocalisations croissantes sont excessives: les retombées sur l'emploi sont plutôt positives et les multinationales sont aussi les plus dynamiques en matière d'exportation. Tout va donc pour le mieux Pas vraiment, puisque cela réduit les marges de manoeuvre des Etats, qui doivent désormais composer avec les multinationales pour les retenir ou les attirer. Mais ne leur attribuons pas des maux dont l'origine est interne, conclut l'auteur au terme d'un livre bourré d'informations. On appréciera aussi les analyses détaillées sur la stratégie des multinationales (Cela vaut-il la peine de s'implanter ailleurs plutôt que de se borner à exporter? faut-il s'allier à des intérêts locaux ou pas?), qui contribueront sans doute à faire de ce livre une référence.La société malade de la gestion / Vincent de Gaulejac
Titre : La société malade de la gestion : Idéologie gestionnaire, pouvoir managérial et harcèlement social Type de document : texte imprimé Auteurs : Vincent de Gaulejac, Auteur Editeur : Paris : Seuil Année de publication : 2009 Collection : Points Economie num. E61 Importance : 359 p Note générale : 05.01.GAU Langues : Français (fre) Catégories : Gestion et management Tags : Sociologie Entreprises Gestion Economie humaine Index. décimale : 05.01 Travail - Généralités Résumé : Le directeur du Laboratoire du changement social ne mâche pas ses mots pour dénoncer les maux de notre société sous l’emprise de "l’idéologie gestionnaire" et l’installation du "pouvoir managérial et du harcèlement social, deux figures du capitalisme financier et de la mondialisation". Après avoir analysé le management et la gestion aujourd’hui - et montré comment ils légitiment une approche instrumentale, utilitariste et comptable des rapports entre l’homme et la société - l’auteur décode la façon dont nous nous faisons contaminer par la gestion, dans les domaines les plus divers : tout se gère en effet aujourd’hui, les villes, les administrations, les institutions, la famille, les relations amoureuses, la sexualité, les sentiments, les émotions. "Chaque individu est invité à devenir entrepreneur de sa propre vie, c’est à dire un capital productif ?". Le sociologue clinicien décrit les dégâts de cette culture de la haute performance qui met le monde sous pression et banalise le stress et la souffrance au travail. Quelques pistes de réflexion sont dessinées dans le dernier chapitre. Il s’agit de repenser les fondements du contrat social pour que l’économie ne se développe pas contre la société ; d’entreprendre de penser la gestion, non plus au service d’une logique instrumentale, mais comme l’ensemble des moyens à mettre en œuvre pour construire un monde commun. "La gestion n’est pas un mal en soi. Il est légitime d’organiser le monde, de rationaliser la production, de se préoccuper de rentabilité. A condition que ces préoccupations améliorent les relations humaines et la vie sociale." La société malade de la gestion : Idéologie gestionnaire, pouvoir managérial et harcèlement social [texte imprimé] / Vincent de Gaulejac, Auteur . - Paris : Seuil, 2009 . - 359 p. - (Points Economie; E61) .
05.01.GAU
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Catégories : Gestion et management Tags : Sociologie Entreprises Gestion Economie humaine Index. décimale : 05.01 Travail - Généralités Résumé : Le directeur du Laboratoire du changement social ne mâche pas ses mots pour dénoncer les maux de notre société sous l’emprise de "l’idéologie gestionnaire" et l’installation du "pouvoir managérial et du harcèlement social, deux figures du capitalisme financier et de la mondialisation". Après avoir analysé le management et la gestion aujourd’hui - et montré comment ils légitiment une approche instrumentale, utilitariste et comptable des rapports entre l’homme et la société - l’auteur décode la façon dont nous nous faisons contaminer par la gestion, dans les domaines les plus divers : tout se gère en effet aujourd’hui, les villes, les administrations, les institutions, la famille, les relations amoureuses, la sexualité, les sentiments, les émotions. "Chaque individu est invité à devenir entrepreneur de sa propre vie, c’est à dire un capital productif ?". Le sociologue clinicien décrit les dégâts de cette culture de la haute performance qui met le monde sous pression et banalise le stress et la souffrance au travail. Quelques pistes de réflexion sont dessinées dans le dernier chapitre. Il s’agit de repenser les fondements du contrat social pour que l’économie ne se développe pas contre la société ; d’entreprendre de penser la gestion, non plus au service d’une logique instrumentale, mais comme l’ensemble des moyens à mettre en œuvre pour construire un monde commun. "La gestion n’est pas un mal en soi. Il est légitime d’organiser le monde, de rationaliser la production, de se préoccuper de rentabilité. A condition que ces préoccupations améliorent les relations humaines et la vie sociale." Les trous noirs de la science économique / Jacques Sapir
Titre : Les trous noirs de la science économique : essai sur l'impossibilité de penser le temps et l'argent Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Sapir, Auteur Editeur : Paris : Seuil Année de publication : 2003 Collection : Points Economie num. E56 Importance : 404 p. Langues : Français (fre) Catégories : Économie Tags : Science économique Index. décimale : 01 Economie Résumé : Pourquoi la science économique, celle que l'on enseigne aujourd'hui à tous les étudiants du monde, de Chicago à Moscou en passant par Paris, celle qui fonde le discours universel des experts, a-t-elle construit un modèle d'économie qui exclut les questions de l'argent et du temps ?
À partir de cet étonnant paradoxe, Jacques Sapir, économiste et directeur d'études à l'École des hautes études en sciences sociales, dévoile les ressorts d'une discipline compliquée, dont les contorsions n'ont qu'un objet : évacuer la réalité de l'économie et soumettre l'activité humaine au mythe de la concurrence.
Cet ouvrage, qui permet de découvrir les thèses de Walras, Keynes et Hayek, théoriciens du marché, ou encore de Lange, théoricien de la planification, présente une analyse authentique et objective des phénomènes économiques contemporains. Mais il répond aussi à cette étrange question : pourquoi les économistes, dont le discours envahit notre vie, parlent-ils avec un bâillon sur la bouche ?Les trous noirs de la science économique : essai sur l'impossibilité de penser le temps et l'argent [texte imprimé] / Jacques Sapir, Auteur . - Paris : Seuil, 2003 . - 404 p.. - (Points Economie; E56) .
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Catégories : Économie Tags : Science économique Index. décimale : 01 Economie Résumé : Pourquoi la science économique, celle que l'on enseigne aujourd'hui à tous les étudiants du monde, de Chicago à Moscou en passant par Paris, celle qui fonde le discours universel des experts, a-t-elle construit un modèle d'économie qui exclut les questions de l'argent et du temps ?
À partir de cet étonnant paradoxe, Jacques Sapir, économiste et directeur d'études à l'École des hautes études en sciences sociales, dévoile les ressorts d'une discipline compliquée, dont les contorsions n'ont qu'un objet : évacuer la réalité de l'économie et soumettre l'activité humaine au mythe de la concurrence.
Cet ouvrage, qui permet de découvrir les thèses de Walras, Keynes et Hayek, théoriciens du marché, ou encore de Lange, théoricien de la planification, présente une analyse authentique et objective des phénomènes économiques contemporains. Mais il répond aussi à cette étrange question : pourquoi les économistes, dont le discours envahit notre vie, parlent-ils avec un bâillon sur la bouche ?