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Auteur Maïté Warland |
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Titre : Bulletins tintamarre marathon… : On se prépare aux élections Type de document : texte imprimé Auteurs : Maïté Warland, Auteur ; Sabine Panet, Auteur Editeur : Vie Féminine Année de publication : mars-avril 2024 Collection : Axelle num. 257 Importance : 70 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Feminisme Elections Santé Politique sociale Résumé : Depuis les élections du 26 mai 2019, notre société a été : ravagée par la pandémie mondiale de Covid-19 (février 2020), confrontée à de dramatiques inondations en Wallonie (juillet 2021) et à des canicules (été 2022) ainsi qu’à une guerre, encore en cours, sur le sol européen, à la suite de l’invasion de l’Ukraine par la Russie (février 2022), ce qui a entraîné notamment l’explosion des tarifs du gaz et de l’énergie et la précarisation accélérée d’une partie de la population déjà en grande difficulté. Voilà pour le tableau, rapidement brossé. Il y en a bien sûr eu d’autres, des crises, parfois plus structurelles et tout aussi ravageuses : pensons à l’épidémie des violences de genre (127 féminicides directs entre 2019 et 2023 recensés par la plateforme Stop Féminicide, ainsi que 3 féminicides indirects et 26 enfants assassiné·es dans un contexte de violences conjugales). Évoquons aussi le manque délibéré de places dans les centres d’accueil des toujours plus nombreux/euses exilé·es et la non-exécution de multiples décisions de Justice les concernant. Et les crises ayant heurté une série de secteurs essentiels – éducation, Justice, aide à la jeunesse, santé, biodiversité, etc. Impossible, dans une lecture féministe, de penser ces chocs en dehors du système néo-libéral global qui contribue à les produire, puis qui oblige les citoyen·nes (à travers les impôts, les taxes et les choix politiques et budgétaires) à réparer la société et payer la facture. De ces crises, qu’ont fait nos gouvernements ? Bulletins tintamarre marathon… : On se prépare aux élections [texte imprimé] / Maïté Warland, Auteur ; Sabine Panet, Auteur . - [S.l.] : Vie Féminine, mars-avril 2024 . - 70 p. - (Axelle; 257) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Feminisme Elections Santé Politique sociale Résumé : Depuis les élections du 26 mai 2019, notre société a été : ravagée par la pandémie mondiale de Covid-19 (février 2020), confrontée à de dramatiques inondations en Wallonie (juillet 2021) et à des canicules (été 2022) ainsi qu’à une guerre, encore en cours, sur le sol européen, à la suite de l’invasion de l’Ukraine par la Russie (février 2022), ce qui a entraîné notamment l’explosion des tarifs du gaz et de l’énergie et la précarisation accélérée d’une partie de la population déjà en grande difficulté. Voilà pour le tableau, rapidement brossé. Il y en a bien sûr eu d’autres, des crises, parfois plus structurelles et tout aussi ravageuses : pensons à l’épidémie des violences de genre (127 féminicides directs entre 2019 et 2023 recensés par la plateforme Stop Féminicide, ainsi que 3 féminicides indirects et 26 enfants assassiné·es dans un contexte de violences conjugales). Évoquons aussi le manque délibéré de places dans les centres d’accueil des toujours plus nombreux/euses exilé·es et la non-exécution de multiples décisions de Justice les concernant. Et les crises ayant heurté une série de secteurs essentiels – éducation, Justice, aide à la jeunesse, santé, biodiversité, etc. Impossible, dans une lecture féministe, de penser ces chocs en dehors du système néo-libéral global qui contribue à les produire, puis qui oblige les citoyen·nes (à travers les impôts, les taxes et les choix politiques et budgétaires) à réparer la société et payer la facture. De ces crises, qu’ont fait nos gouvernements ?
Titre : C'est combien, les crises ? Les femmes font les comptes Type de document : texte imprimé Auteurs : Maïté Warland, Auteur ; Sabine Panet, Auteur Editeur : Vie Féminine Année de publication : mars-avril 2022 Collection : Axelle num. 245 Importance : 70 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Crise économique Feminisme Résumé : Pandémie. Violences. Coût des choix politiques et économiques. «Il y a un écroulement, un effritement des conditions de vie de plus en plus de personnes, et singulièrement des femmes », constate Christine Mahy. Jeanne, 74 ans, a quitté la maison dans laquelle elle vivait à Bruxelles pour une colocation à Namur. Elle vit avec 790 euros mensuels. « Je n’arrivais plus à payer le loyer. Je ne suis pas en colocation par choix mais par nécessité. » Samira, maman solo de trois enfants, doit rembourser 450 euros par mois jusqu’en 2025 pour des dettes contractées par son ex-mari; elle en gagne 1.850. «La première chose que je fais quand je reçois mon salaire, c’est les courses. Cela ne suffit jamais pour le mois. Je vais alors chercher des colis alimentaires.
Notre vie, à mes enfants et moi, est en suspens. »C'est combien, les crises ? Les femmes font les comptes [texte imprimé] / Maïté Warland, Auteur ; Sabine Panet, Auteur . - [S.l.] : Vie Féminine, mars-avril 2022 . - 70 p. - (Axelle; 245) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Crise économique Feminisme Résumé : Pandémie. Violences. Coût des choix politiques et économiques. «Il y a un écroulement, un effritement des conditions de vie de plus en plus de personnes, et singulièrement des femmes », constate Christine Mahy. Jeanne, 74 ans, a quitté la maison dans laquelle elle vivait à Bruxelles pour une colocation à Namur. Elle vit avec 790 euros mensuels. « Je n’arrivais plus à payer le loyer. Je ne suis pas en colocation par choix mais par nécessité. » Samira, maman solo de trois enfants, doit rembourser 450 euros par mois jusqu’en 2025 pour des dettes contractées par son ex-mari; elle en gagne 1.850. «La première chose que je fais quand je reçois mon salaire, c’est les courses. Cela ne suffit jamais pour le mois. Je vais alors chercher des colis alimentaires.
Notre vie, à mes enfants et moi, est en suspens. »Documents numériques
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Titre : Tic-Tac tic-tac temps qui passe, femmes qui courent Type de document : texte imprimé Auteurs : Maïté Warland, Auteur ; Maïa Courtois, Auteur Editeur : Vie Féminine Année de publication : juillet-août 2022 Collection : Axelle num. 247 Importance : 70 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Energie Genre Travail Résumé : Le temps des femmes n’est pas égal au temps des hommes. Davantage de tâches domestiques et parentales, de charge mentale et sociale. Moins de loisirs, de temps pour réfléchir, de temps pour se construire, se politiser. Moins de temps pour prendre sa place dans la société. Une précarité renforcée, liée à ce manque de temps. Moins de pension. Plus de stress. Moins de temps pour se soigner… Dans tous les temps – temps personnel, temps rémunéré, temps domestique, temps politique… –, le masculin l’emporte. Les femmes vivent constamment tiraillées entre des injonctions paradoxales, et intenables : travailler mais rester une “mère à 100 %”, être “mère au foyer” et super-active en dehors de la maison, être ambitieuse professionnellement mais pas au détriment de son couple, prendre soin de soi mais ne pas paraître superficielle… Pour en discuter : les deux éclaireuses de ce dossier d’été, Valérie Lootvoet, directrice de l’Université des Femmes, et Noémie Van Erps, Secrétaire générale des Femmes prévoyantes socialistes. Note de contenu : -Hilda Flavia Nakabuye et Diana Nabiruma : leur énergie contre Total p.50-53 Tic-Tac tic-tac temps qui passe, femmes qui courent [texte imprimé] / Maïté Warland, Auteur ; Maïa Courtois, Auteur . - [S.l.] : Vie Féminine, juillet-août 2022 . - 70 p. - (Axelle; 247) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Energie Genre Travail Résumé : Le temps des femmes n’est pas égal au temps des hommes. Davantage de tâches domestiques et parentales, de charge mentale et sociale. Moins de loisirs, de temps pour réfléchir, de temps pour se construire, se politiser. Moins de temps pour prendre sa place dans la société. Une précarité renforcée, liée à ce manque de temps. Moins de pension. Plus de stress. Moins de temps pour se soigner… Dans tous les temps – temps personnel, temps rémunéré, temps domestique, temps politique… –, le masculin l’emporte. Les femmes vivent constamment tiraillées entre des injonctions paradoxales, et intenables : travailler mais rester une “mère à 100 %”, être “mère au foyer” et super-active en dehors de la maison, être ambitieuse professionnellement mais pas au détriment de son couple, prendre soin de soi mais ne pas paraître superficielle… Pour en discuter : les deux éclaireuses de ce dossier d’été, Valérie Lootvoet, directrice de l’Université des Femmes, et Noémie Van Erps, Secrétaire générale des Femmes prévoyantes socialistes. Note de contenu : -Hilda Flavia Nakabuye et Diana Nabiruma : leur énergie contre Total p.50-53
