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32 résultat(s) recherche sur le tag 'Feminisme'




Titre : Syndicalisme et féminisme Type de document : texte imprimé Auteurs : Annick Coupé, Auteur ; Cybèle David, Auteur ; Corinne Mélis Editeur : Paris [France] : Editions Syllepse Année de publication : été 2020 Autre Editeur : Union syndicale Solidaires Collection : Les utopiques num. 14 Importance : 142 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Syndicalisme Genre Féminisme Résumé : Le syndicalisme est féministe. Bien sûr. Comme il est antiraciste, anticolonialiste, écologiste… Mais cela ne doit pas occulter que, dans la réalité, ce n’est pas si simple. C’est l’objet de débats, de luttes, de progrès et de reculs ; mais aussi de principes fondamentaux, de pratiques novatrices à mettre en œuvre. A travers ce numéro, nous ne prétendons pas explorer tout le champ féministe du syndicalisme, tout le champ syndical du féminisme. En plus de 20 ans, les journées intersyndicales femmes y ont largement contribué ; un article y est consacré.
Les femmes ont toujours travaillé, les femmes ont toujours lutté, les femmes ont toujours activement participé aux mouvements sociaux, politiques et syndicaux ; et les femmes ont régulièrement disparu des histoires retraçant tous ces moments. Sous des angles différents, plusieurs contributions reviennent sur la dette du mouvement ouvrier vis-à-vis des femmes. L’actualité récente, avec la crise sanitaire et sociale liée au Covid-19 est aussi l’occasion de dénoncer, et expliquer, cette invisibilité, organisée et à combattre. Elle montre également la nécessité de penser le croisement des oppressions et les débats, souvent difficiles, que cela sous-tend.
Le récent mouvement sur les retraites n’a-t-il pas démontré la nécessité de genre nos cahiers revendicatifs ? La mixité des listes électorales facilite-t-elle le fait que les femmes prennent leur place dans le syndicalisme ? A propos de mixité, comment accepter que les statistiques à propos des violences conjugales fassent disparaître les femmes de plus de 70 ans ? Autant de questions soulevées dans ce numéro.
L’auto-organisation est une priorité : aussi bien comme moyens d’action immédiat, qu’en tant qu’ouverture vers la société égalitaire que nous voulons. Celle des femmes s’impose ; les premières concernées doivent pouvoir prendre toute leur place. Nous y revenons ici.
Le syndicalisme comme le féminisme ne connaissent pas de frontières. Nous évoquons dans ce numéro les femmes zapatistes, une grève de femmes au Pays basque, le 8 mars en Belgique, un collectif de femmes à Rome. Deux articles nous rappellent que le droit à l’avortement, libre et gratuit, demeure un combat, ici et ailleurs. De même, pour l’action syndicale contre les violences sexuelles et sexistes.
Enfin, à travers le film Ni les femmes Ni la terre, nous abordons l’écoféminisme, tandis que Cantomos sin medio nous invite à réfléchir sur un syndicalisme qui doit être culturel.
21 femmes, dont 17 syndicalistes, ont contribué à ce numéro. Le féminisme n’est pas l’affaire que des femmes, loin de là. Notamment, il doit interpeller l’ensemble des syndicalistes. Mais qui peut mieux en parler que des femmes syndicalistes ?Note de contenu : -un réseau de femmes migrantes à Rome
-sortir de l'invisibilité des travailleuses dans la crise du covid 19... et après
-agir contre les violences sexistes et sexuelles au sein des organisationsEn ligne : http://www.lesutopiques.org/les-utopiques-n8-antiracisme-et-question-sociale/ Syndicalisme et féminisme [texte imprimé] / Annick Coupé, Auteur ; Cybèle David, Auteur ; Corinne Mélis . - Paris (69, rue des Rigoles, 75020, France) : Editions Syllepse : [S.l.] : Union syndicale Solidaires, été 2020 . - 142 p. - (Les utopiques; 14) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Syndicalisme Genre Féminisme Résumé : Le syndicalisme est féministe. Bien sûr. Comme il est antiraciste, anticolonialiste, écologiste… Mais cela ne doit pas occulter que, dans la réalité, ce n’est pas si simple. C’est l’objet de débats, de luttes, de progrès et de reculs ; mais aussi de principes fondamentaux, de pratiques novatrices à mettre en œuvre. A travers ce numéro, nous ne prétendons pas explorer tout le champ féministe du syndicalisme, tout le champ syndical du féminisme. En plus de 20 ans, les journées intersyndicales femmes y ont largement contribué ; un article y est consacré.
Les femmes ont toujours travaillé, les femmes ont toujours lutté, les femmes ont toujours activement participé aux mouvements sociaux, politiques et syndicaux ; et les femmes ont régulièrement disparu des histoires retraçant tous ces moments. Sous des angles différents, plusieurs contributions reviennent sur la dette du mouvement ouvrier vis-à-vis des femmes. L’actualité récente, avec la crise sanitaire et sociale liée au Covid-19 est aussi l’occasion de dénoncer, et expliquer, cette invisibilité, organisée et à combattre. Elle montre également la nécessité de penser le croisement des oppressions et les débats, souvent difficiles, que cela sous-tend.
Le récent mouvement sur les retraites n’a-t-il pas démontré la nécessité de genre nos cahiers revendicatifs ? La mixité des listes électorales facilite-t-elle le fait que les femmes prennent leur place dans le syndicalisme ? A propos de mixité, comment accepter que les statistiques à propos des violences conjugales fassent disparaître les femmes de plus de 70 ans ? Autant de questions soulevées dans ce numéro.
L’auto-organisation est une priorité : aussi bien comme moyens d’action immédiat, qu’en tant qu’ouverture vers la société égalitaire que nous voulons. Celle des femmes s’impose ; les premières concernées doivent pouvoir prendre toute leur place. Nous y revenons ici.
Le syndicalisme comme le féminisme ne connaissent pas de frontières. Nous évoquons dans ce numéro les femmes zapatistes, une grève de femmes au Pays basque, le 8 mars en Belgique, un collectif de femmes à Rome. Deux articles nous rappellent que le droit à l’avortement, libre et gratuit, demeure un combat, ici et ailleurs. De même, pour l’action syndicale contre les violences sexuelles et sexistes.
Enfin, à travers le film Ni les femmes Ni la terre, nous abordons l’écoféminisme, tandis que Cantomos sin medio nous invite à réfléchir sur un syndicalisme qui doit être culturel.
21 femmes, dont 17 syndicalistes, ont contribué à ce numéro. Le féminisme n’est pas l’affaire que des femmes, loin de là. Notamment, il doit interpeller l’ensemble des syndicalistes. Mais qui peut mieux en parler que des femmes syndicalistes ?Note de contenu : -un réseau de femmes migrantes à Rome
-sortir de l'invisibilité des travailleuses dans la crise du covid 19... et après
-agir contre les violences sexistes et sexuelles au sein des organisationsEn ligne : http://www.lesutopiques.org/les-utopiques-n8-antiracisme-et-question-sociale/
Titre : L'âge, une catégorie politique ?! : Agisme, générations instrumentalisées, idéologie du "bien vieillir" Type de document : document électronique Auteurs : Aurélien Berthier, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Sabine Beaucamp, Auteur Editeur : Bruxelles [Belgique] : Présence et Action Culturelles asbl Année de publication : printemps 2021 Collection : Agir par la Culture num. 64 Importance : 42 p Langues : Français (fre) Tags : Feminisme Ecologie Résumé : En quoi vieillir est une question sociale et politique? En quoi la catégorie de l’âge et les constructions symboliques qui lui sont liées comme les générations peuvent structurer politiquement notre univers politique et social? Des générations instrumentalisées à la transmission intergénérationnelle contrariée, le poids de l’histoire ou du politique pèse déjà très lourd. Mais comment l’âgisme, cette discrimination invisible faite d’interdits fondés sur l’âge, façonne-t-elle nos pratiques et représentations et s’agence avec d’autres dimensions comme le genre ou la classe sociale? D’autant que l’expérience du vieillissement
s’inscrit dans un néolibéralisme triomphant qui nous enjoint à refuser le fait de devenir vieux et vieille. De quoi est faite cette idéologie du «bien vieillir» suivant laquelle seul l’individu serait responsable de son vieillissement sur fond de désengagement structurel de l’État? Autour de ces enjeux sociaux, politiques et culturels naissent des luttes anti-âgistes : des personnes âgées s’organisent pour cesser d’être parlées et devenir des sujets politiques à part entière. En espérant que futurs vieux et anciens jeunes arriveront aussi à se mobiliser ensemble pour faire reconnaitre que nos sociétés ont un problème avec la vieillesse.Note de contenu : -Redéfinir le féminisme avec l’écoféminisme, Entretien avec Jeanne Burgart Goutal p.4-8 En ligne : https://www.agirparlaculture.be/pdf/apc_56.pdf L'âge, une catégorie politique ?! : Agisme, générations instrumentalisées, idéologie du "bien vieillir" [document électronique] / Aurélien Berthier, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Sabine Beaucamp, Auteur . - Bruxelles (rue Lambert Crickx, 5, 1070, Belgique) : Présence et Action Culturelles asbl, printemps 2021 . - 42 p. - (Agir par la Culture; 64) .
Langues : Français (fre)
Tags : Feminisme Ecologie Résumé : En quoi vieillir est une question sociale et politique? En quoi la catégorie de l’âge et les constructions symboliques qui lui sont liées comme les générations peuvent structurer politiquement notre univers politique et social? Des générations instrumentalisées à la transmission intergénérationnelle contrariée, le poids de l’histoire ou du politique pèse déjà très lourd. Mais comment l’âgisme, cette discrimination invisible faite d’interdits fondés sur l’âge, façonne-t-elle nos pratiques et représentations et s’agence avec d’autres dimensions comme le genre ou la classe sociale? D’autant que l’expérience du vieillissement
s’inscrit dans un néolibéralisme triomphant qui nous enjoint à refuser le fait de devenir vieux et vieille. De quoi est faite cette idéologie du «bien vieillir» suivant laquelle seul l’individu serait responsable de son vieillissement sur fond de désengagement structurel de l’État? Autour de ces enjeux sociaux, politiques et culturels naissent des luttes anti-âgistes : des personnes âgées s’organisent pour cesser d’être parlées et devenir des sujets politiques à part entière. En espérant que futurs vieux et anciens jeunes arriveront aussi à se mobiliser ensemble pour faire reconnaitre que nos sociétés ont un problème avec la vieillesse.Note de contenu : -Redéfinir le féminisme avec l’écoféminisme, Entretien avec Jeanne Burgart Goutal p.4-8 En ligne : https://www.agirparlaculture.be/pdf/apc_56.pdf Documents numériques
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Titre : Le féminisme sur tous les fronts Type de document : texte imprimé Editeur : St-Servais [Belgique] : Equipes populaires Année de publication : mai-juin 2019 Collection : Contrastes num. 192 Importance : 19 p Présentation : 07.02.CON Langues : Français (fre) Tags : Genre Féminisme Index. décimale : 07.02 Société Résumé : Contrairement à l’image dépassée que l’on se fait du féminisme et des féministes, la conquête de l’émancipation et de l’autonomie des femmes est multiforme et connaît un coup d’accélérateur, en particulier depuis les récents scandales d’abus sexuels et autres violences faites aux femmes dans la sphère publique et privée. En ligne : http://www.equipespopulaires.be/revue/le-feminisme-sur-tous-les-fronts-contraste [...] Le féminisme sur tous les fronts [texte imprimé] . - St-Servais (Route de Gemnbloux, 48, 5002, Belgique) : Equipes populaires, mai-juin 2019 . - 19 p : 07.02.CON. - (Contrastes; 192) .
Langues : Français (fre)
Tags : Genre Féminisme Index. décimale : 07.02 Société Résumé : Contrairement à l’image dépassée que l’on se fait du féminisme et des féministes, la conquête de l’émancipation et de l’autonomie des femmes est multiforme et connaît un coup d’accélérateur, en particulier depuis les récents scandales d’abus sexuels et autres violences faites aux femmes dans la sphère publique et privée. En ligne : http://www.equipespopulaires.be/revue/le-feminisme-sur-tous-les-fronts-contraste [...] Documents numériques
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Titre : Le marxisme et l'oppression des femmes : Vers une théorie unitaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Lise Vogel, Auteur Editeur : Les éditions sociales Année de publication : 2022 Collection : les éclairées Importance : 349 p Note générale : 07.02 VOG Langues : Français (fre) Catégories : Marxisme
GenreTags : Genre Marxisme Feminisme Capitalisme Travail domestique Index. décimale : 07.02 Société Résumé : Le marxisme et l’oppression des femmes, traduit pour la première fois en français, est un ouvrage majeur dans l’histoire du féminisme et il est considéré à raison comme un texte fondateur de la « théorie de la reproduction sociale ». Lise Vogel y développe une analyse marxiste de l’oppression des femmes qui s’emploie à mettre au jour le rôle du travail domestique dans le cadre du capitalisme en tant qu’il garantit la reproduction de la force de travail. La subordination des femmes ne constitue pas un rapport de pouvoir situé en marge de l’exploitation capitaliste, mais est requise par le capital lui-même.
Les principaux courants du féminisme ont eu trop tendance à ignorer les ressources offertes par l’analyse marxiste, tandis que les principales élaborations du mouvement ouvrier n’ont pas su prolonger la théorie de Marx pour penser la question spécifique de l’oppression des femmes. Il s’agit ainsi de dépasser le clivage entre ces deux mouvements, et de fonder une théorie unitaire de l’exploitation capitaliste et de la domination de genre. C’est cette perspective, indissociablement théorique et politique, que défend Lise Vogel dans cet ouvrage.Le marxisme et l'oppression des femmes : Vers une théorie unitaire [texte imprimé] / Lise Vogel, Auteur . - France : Les éditions sociales, 2022 . - 349 p. - (les éclairées) .
07.02 VOG
Langues : Français (fre)
Catégories : Marxisme
GenreTags : Genre Marxisme Feminisme Capitalisme Travail domestique Index. décimale : 07.02 Société Résumé : Le marxisme et l’oppression des femmes, traduit pour la première fois en français, est un ouvrage majeur dans l’histoire du féminisme et il est considéré à raison comme un texte fondateur de la « théorie de la reproduction sociale ». Lise Vogel y développe une analyse marxiste de l’oppression des femmes qui s’emploie à mettre au jour le rôle du travail domestique dans le cadre du capitalisme en tant qu’il garantit la reproduction de la force de travail. La subordination des femmes ne constitue pas un rapport de pouvoir situé en marge de l’exploitation capitaliste, mais est requise par le capital lui-même.
Les principaux courants du féminisme ont eu trop tendance à ignorer les ressources offertes par l’analyse marxiste, tandis que les principales élaborations du mouvement ouvrier n’ont pas su prolonger la théorie de Marx pour penser la question spécifique de l’oppression des femmes. Il s’agit ainsi de dépasser le clivage entre ces deux mouvements, et de fonder une théorie unitaire de l’exploitation capitaliste et de la domination de genre. C’est cette perspective, indissociablement théorique et politique, que défend Lise Vogel dans cet ouvrage.
Titre : La révolution féministe Type de document : texte imprimé Auteurs : Aurore Koechlin, Auteur Editeur : Paris : Editions Amsterdam Année de publication : 2019 Importance : 168 p Présentation : 07.02.KOE Langues : Français (fre) Tags : Genre Féminisme Mouvements sociaux Égalité des chances Femmes Index. décimale : 07.02 Société Résumé : La quatrième vague du féminisme a commencé : venue d’Amérique latine, portée par les combats contre les féminicides et pour la liberté des femmes à disposer de leur corps, amplifiée par le moment #MeToo, elle constitue aussi – surtout – un mouvement qui s’attaque à l’inégalité des rapports de production et de reproduction sous le capitalisme. Qui dépasse, sans les exclure, les revendications juridiques ou paritaires et repense l’ensemble de l’organisation sociale à partir des oppressions subies par les femmes et les minorités de genre. La révolution féministe [texte imprimé] / Aurore Koechlin, Auteur . - Paris : Editions Amsterdam, 2019 . - 168 p : 07.02.KOE.
Langues : Français (fre)
Tags : Genre Féminisme Mouvements sociaux Égalité des chances Femmes Index. décimale : 07.02 Société Résumé : La quatrième vague du féminisme a commencé : venue d’Amérique latine, portée par les combats contre les féminicides et pour la liberté des femmes à disposer de leur corps, amplifiée par le moment #MeToo, elle constitue aussi – surtout – un mouvement qui s’attaque à l’inégalité des rapports de production et de reproduction sous le capitalisme. Qui dépasse, sans les exclure, les revendications juridiques ou paritaires et repense l’ensemble de l’organisation sociale à partir des oppressions subies par les femmes et les minorités de genre. PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalink