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Titre : La Belgique et l'Europe complices des accaparements de terres Type de document : texte imprimé Editeur : Humundi Année de publication : juil-août 2016 Collection : Défis Sud num. 131 Langues : Français (fre) Tags : Accaparements de terres Résumé : Les accusations sont graves : la Belgique et l’Europe se rendent complices d’acquisitions de terres à large échelle. Pour ce faire, elles utilisent des financements multilatéraux. En ligne : https://www.sosfaim.be/publication/la-belgique-et-leurope-complices-des-accapare [...] La Belgique et l'Europe complices des accaparements de terres [texte imprimé] . - [S.l.] : Humundi, juil-août 2016. - (Défis Sud; 131) .
Langues : Français (fre)
Tags : Accaparements de terres Résumé : Les accusations sont graves : la Belgique et l’Europe se rendent complices d’acquisitions de terres à large échelle. Pour ce faire, elles utilisent des financements multilatéraux. En ligne : https://www.sosfaim.be/publication/la-belgique-et-leurope-complices-des-accapare [...] Documents numériques
defis_sud_accaparement_complet_num.pdfAdobe Acrobat PDF Biodiversité et dignité agricole / Adèle Funes
Titre : Biodiversité et dignité agricole Type de document : texte imprimé Auteurs : Adèle Funes, Auteur ; Louise Aendekerk, Auteur ; Pierre Coopman, Auteur Editeur : Humundi Année de publication : 2022-2023 Collection : Défis Sud num. 140 Importance : 108 p Langues : Français (fre) Catégories : Agriculture
EnvironnementTags : Agriculture durable Pollution Ecologie Biodiversité Index. décimale : 03.03 Ressources naturelles Résumé : Une constante se dégage : les alternatives robustes pour faire progresser la transition vers des systèmes alimentaires justes et durables sont dévoyées, voire récupérées par des acteurs aux capacités financières sans commune mesure avec celles des organisations pionnières de ces alternatives. «Ce sont toujours les mêmes techniques», explique François Grenade dans notre dossier consacré à l’agroécologie, «d’abord le discrédit, et maintenant que l’agroécologie est plus communément acceptée, la récupération». Pour cultiver l’espoir, nous ne pouvons pas être satisfait de ces méthodes qui détournent les propositions d’action de nos sociétés civiles et paysannes. Les tenants d’un statut quo, soucieux de maintenir leur contrôle, veulent récupérer sans cesse la capacité de définir le cap en usant des mêmes arguments: «la cohabitation est possible, laissez-nous tenter nos expériences tout en donnant une chance à vos propositions (…)». Les optimistes candides considèreront que c’est ainsi que doivent fonctionner les réformes nécessaires à la survie de notre planète, que le passage à l’échelle impose en quelque sorte de léguer les bonnes idées à ceux qui ont vraiment les moyens de les financer. Une fois terminée cette course de flambeaux, il ne nous resterait qu’à aller dénicher de nouvelles idées avant de se les faire récupérer… pour qu’elles ne servent à rien? Note de contenu : - Améliorer la quantité et la qualité des financements pour l'agroécologie p.17-24
- Des intrants de synthèse et des énergies fossiles dans la transition agroécologique? p.33-36
- Non la biodiversité ne se limite pas à l'économie p.56-60
- Interdits ici, exportés là-bas, mortels partout p.75-80Biodiversité et dignité agricole [texte imprimé] / Adèle Funes, Auteur ; Louise Aendekerk, Auteur ; Pierre Coopman, Auteur . - [S.l.] : Humundi, 2022-2023 . - 108 p. - (Défis Sud; 140) .
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Catégories : Agriculture
EnvironnementTags : Agriculture durable Pollution Ecologie Biodiversité Index. décimale : 03.03 Ressources naturelles Résumé : Une constante se dégage : les alternatives robustes pour faire progresser la transition vers des systèmes alimentaires justes et durables sont dévoyées, voire récupérées par des acteurs aux capacités financières sans commune mesure avec celles des organisations pionnières de ces alternatives. «Ce sont toujours les mêmes techniques», explique François Grenade dans notre dossier consacré à l’agroécologie, «d’abord le discrédit, et maintenant que l’agroécologie est plus communément acceptée, la récupération». Pour cultiver l’espoir, nous ne pouvons pas être satisfait de ces méthodes qui détournent les propositions d’action de nos sociétés civiles et paysannes. Les tenants d’un statut quo, soucieux de maintenir leur contrôle, veulent récupérer sans cesse la capacité de définir le cap en usant des mêmes arguments: «la cohabitation est possible, laissez-nous tenter nos expériences tout en donnant une chance à vos propositions (…)». Les optimistes candides considèreront que c’est ainsi que doivent fonctionner les réformes nécessaires à la survie de notre planète, que le passage à l’échelle impose en quelque sorte de léguer les bonnes idées à ceux qui ont vraiment les moyens de les financer. Une fois terminée cette course de flambeaux, il ne nous resterait qu’à aller dénicher de nouvelles idées avant de se les faire récupérer… pour qu’elles ne servent à rien? Note de contenu : - Améliorer la quantité et la qualité des financements pour l'agroécologie p.17-24
- Des intrants de synthèse et des énergies fossiles dans la transition agroécologique? p.33-36
- Non la biodiversité ne se limite pas à l'économie p.56-60
- Interdits ici, exportés là-bas, mortels partout p.75-80Le financement alternatif
Titre : Le financement alternatif Type de document : texte imprimé Editeur : Humundi Année de publication : oct 1996 Collection : Défis Sud num. 24 Importance : 42 p Langues : Français (fre) Catégories : Banques
Secteur informelTags : Financement alternatif Secteur informel Banques Index. décimale : 02.01 Finances Le financement alternatif [texte imprimé] . - [S.l.] : Humundi, oct 1996 . - 42 p. - (Défis Sud; 24) .
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Catégories : Banques
Secteur informelTags : Financement alternatif Secteur informel Banques Index. décimale : 02.01 Finances Insécurité ou souveraineté alimentaire?
Titre : Insécurité ou souveraineté alimentaire? Type de document : texte imprimé Editeur : Humundi Année de publication : octobre 2001 Collection : Défis Sud num. 48 Importance : 46 p Langues : Français (fre) Catégories : Sécurité alimentaire Tags : Sécurité alimentaire Famine Alternatives Index. décimale : 03.03 Ressources naturelles Insécurité ou souveraineté alimentaire? [texte imprimé] . - [S.l.] : Humundi, octobre 2001 . - 46 p. - (Défis Sud; 48) .
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Catégories : Sécurité alimentaire Tags : Sécurité alimentaire Famine Alternatives Index. décimale : 03.03 Ressources naturelles La jeunesse parle de l'économie rurale / Pierre Coopman
Titre : La jeunesse parle de l'économie rurale Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Coopman, Auteur ; Laurence Roudart, Auteur Editeur : Humundi Année de publication : 2020-2021 Collection : Défis Sud num. 138 Importance : 103 p Langues : Français (fre) Tags : Mouvements paysans Sécurité alimentaire Index. décimale : 03.03 Ressources naturelles Résumé : En 2014 déjà, durant une conférence à Bruxelles à la fin de son mandat de Rapporteur spécial des Nations unies pour le droit à l’alimentation, Olivier De Schutter expliquait que nos dirigeants sont très informés des dangers, mais que lorsqu’il s’agit de passer à l’action, le «business as usual» reprend le dessus.
Cette dissonance cognitive concerne les décideurs du plus haut niveau. À l’échelle de l’Union européenne, un chaînon paraît manquer (page 24): «Compte tenu des nombreux cloisonnements institutionnels, il semble difficile de réformer différentes politiques simultanément et d’y ajouter davantage de cohérence.»Il n’y a donc pas que des contraintes techniques ou économiques au changement, les blocages sont également politiques. Cette année, Défis Sud publie une analyse (page 36) des déséquilibres qui verrouillent les possibilités de transformation des systèmes alimentaires. Les États, dans le monde entier, sont prisonniers d’impératifs de concurrence qui les empêchent de prendre des mesures transformatrices par crainte «d’empiéter sur le pouvoir des acteurs économiques dominants». Néanmoins, dans ses conclusions (page 4), Laurence Roudart, professeure à l’Université libre de Bruxelles (ULB), rappelle que «les initiatives agricoles et alimentaires alternatives se multiplient». Et elle s’interroge : «Comment articuler ces initiatives aux politiques publiques nationales et internationales, de
manière que les secondes intègrent les aspirations exprimées dans les premières ?»Note de contenu : -Pour un protectionnisme agricole concerté à l'échelle internationale p.4-12
-Le chaînon manquant des politiques européennes p.24-29
-Afrique de l'Ouest : quel bilan agricole ?
-Le travail des enfants : interdire ou réglementer ? p.90-95La jeunesse parle de l'économie rurale [texte imprimé] / Pierre Coopman, Auteur ; Laurence Roudart, Auteur . - [S.l.] : Humundi, 2020-2021 . - 103 p. - (Défis Sud; 138) .
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Tags : Mouvements paysans Sécurité alimentaire Index. décimale : 03.03 Ressources naturelles Résumé : En 2014 déjà, durant une conférence à Bruxelles à la fin de son mandat de Rapporteur spécial des Nations unies pour le droit à l’alimentation, Olivier De Schutter expliquait que nos dirigeants sont très informés des dangers, mais que lorsqu’il s’agit de passer à l’action, le «business as usual» reprend le dessus.
Cette dissonance cognitive concerne les décideurs du plus haut niveau. À l’échelle de l’Union européenne, un chaînon paraît manquer (page 24): «Compte tenu des nombreux cloisonnements institutionnels, il semble difficile de réformer différentes politiques simultanément et d’y ajouter davantage de cohérence.»Il n’y a donc pas que des contraintes techniques ou économiques au changement, les blocages sont également politiques. Cette année, Défis Sud publie une analyse (page 36) des déséquilibres qui verrouillent les possibilités de transformation des systèmes alimentaires. Les États, dans le monde entier, sont prisonniers d’impératifs de concurrence qui les empêchent de prendre des mesures transformatrices par crainte «d’empiéter sur le pouvoir des acteurs économiques dominants». Néanmoins, dans ses conclusions (page 4), Laurence Roudart, professeure à l’Université libre de Bruxelles (ULB), rappelle que «les initiatives agricoles et alimentaires alternatives se multiplient». Et elle s’interroge : «Comment articuler ces initiatives aux politiques publiques nationales et internationales, de
manière que les secondes intègrent les aspirations exprimées dans les premières ?»Note de contenu : -Pour un protectionnisme agricole concerté à l'échelle internationale p.4-12
-Le chaînon manquant des politiques européennes p.24-29
-Afrique de l'Ouest : quel bilan agricole ?
-Le travail des enfants : interdire ou réglementer ? p.90-95PermalinkQuel financement pour le développement?
PermalinkPermalinkVers un mouvement paysan international
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