Détail de l'auteur
Auteur Justin Delépine |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Affiner la recherche
Comment sortir du tout-voiture / Justin Delépine
Titre : Comment sortir du tout-voiture : A la ville, à la campagne, c'est possible! Type de document : texte imprimé Auteurs : Justin Delépine, Auteur ; Céline Mouzon, Auteur ; Hélène Chevallier, Auteur Editeur : Paris [France] : Alternatives Economiques Année de publication : novembre 2023 Collection : Alternatives économiques num. 440 Importance : 98 p Langues : Français (fre) Tags : Industrie automobile Environnement Santé Index. décimale : REVUES Résumé : La voiture règne (presque) sans partage sur le monde des transports. Mais son coût écologique, financier et social pourrait bien finir par la rattraper. Dans une interview donnée fin septembre à TF1, Emmanuel Macron a redit son amour pour la voiture, utilisant un vocabulaire familier visant probablement à faire "populaire" tout en envoyant un clin d'œil à un de ses prédécesseurs, Georges Pompidou, grand défenseur de la "bagnole". Alors que les parts modales du train et de l'automobile étaient encore proches au début des années 1960, la voiture a accéléré jusqu'à représenter, dès le début des années 1990, environ 70% des déplacements intérieurs en France, un plafond qu'elle n'a pas quitté depuis. Note de contenu : -La santé maintenue sous austérité p.38-41
-Automobile: le ras-le-bol des ouvriers américains p.54-57
-Une COP28 sous influence p.62-65
-Le futur est davantage piloté par les Gafam que par l'Etat ou l'ESSComment sortir du tout-voiture : A la ville, à la campagne, c'est possible! [texte imprimé] / Justin Delépine, Auteur ; Céline Mouzon, Auteur ; Hélène Chevallier, Auteur . - Paris (28 rue du Sentier, 75002, France) : Alternatives Economiques, novembre 2023 . - 98 p. - (Alternatives économiques; 440) .
Langues : Français (fre)
Tags : Industrie automobile Environnement Santé Index. décimale : REVUES Résumé : La voiture règne (presque) sans partage sur le monde des transports. Mais son coût écologique, financier et social pourrait bien finir par la rattraper. Dans une interview donnée fin septembre à TF1, Emmanuel Macron a redit son amour pour la voiture, utilisant un vocabulaire familier visant probablement à faire "populaire" tout en envoyant un clin d'œil à un de ses prédécesseurs, Georges Pompidou, grand défenseur de la "bagnole". Alors que les parts modales du train et de l'automobile étaient encore proches au début des années 1960, la voiture a accéléré jusqu'à représenter, dès le début des années 1990, environ 70% des déplacements intérieurs en France, un plafond qu'elle n'a pas quitté depuis. Note de contenu : -La santé maintenue sous austérité p.38-41
-Automobile: le ras-le-bol des ouvriers américains p.54-57
-Une COP28 sous influence p.62-65
-Le futur est davantage piloté par les Gafam que par l'Etat ou l'ESS
Titre : Enquête sur le management à la française : autoritaire, technocratique, vertical Type de document : texte imprimé Auteurs : Audrey Fisné-Koch, Auteur ; Justin Delépine, Auteur Editeur : Paris [France] : Alternatives Economiques Année de publication : février 2024 Collection : Alternatives économiques num. 443 Importance : 98 p Langues : Français (fre) Tags : Emploi Management Ecologie Migration Index. décimale : REVUES Résumé : Les managers français, tyranniques ? Dit comme ça, ce serait un raccourci trop rapide. Les études montrent pourtant que le management hexagonal ne s’est pas encore débarrassé de ses vieux démons. Les « sachants » continuent de décider pour les « exécutants », sans suffisamment les consulter. Mais ces dernières années, les chefs eux-mêmes se montrent de plus en plus las de l’exercice du pouvoir. Entre la recrudescence des outils numériques et la financiarisation des entreprises, ils sont fatigués de remplir des tableurs à longueur de journée. In fine, ce sont les conditions de travail de tous qui s’en trouvent dégradées. Sans compter que le « mauvais » management a un coût économique. Or, les études l’attestent, introduire davantage de participation et d’horizontalité permettrait des gains sociaux et économiques : mieux-être au travail, innovation et hausse de la productivité. Alors, on commence quand ? Note de contenu : -Emploi, les seniors sous pression p.38-41
-Qui veut le peau des écolos p.62-65En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/bulle-speculative/00085012 Enquête sur le management à la française : autoritaire, technocratique, vertical [texte imprimé] / Audrey Fisné-Koch, Auteur ; Justin Delépine, Auteur . - Paris (28 rue du Sentier, 75002, France) : Alternatives Economiques, février 2024 . - 98 p. - (Alternatives économiques; 443) .
Langues : Français (fre)
Tags : Emploi Management Ecologie Migration Index. décimale : REVUES Résumé : Les managers français, tyranniques ? Dit comme ça, ce serait un raccourci trop rapide. Les études montrent pourtant que le management hexagonal ne s’est pas encore débarrassé de ses vieux démons. Les « sachants » continuent de décider pour les « exécutants », sans suffisamment les consulter. Mais ces dernières années, les chefs eux-mêmes se montrent de plus en plus las de l’exercice du pouvoir. Entre la recrudescence des outils numériques et la financiarisation des entreprises, ils sont fatigués de remplir des tableurs à longueur de journée. In fine, ce sont les conditions de travail de tous qui s’en trouvent dégradées. Sans compter que le « mauvais » management a un coût économique. Or, les études l’attestent, introduire davantage de participation et d’horizontalité permettrait des gains sociaux et économiques : mieux-être au travail, innovation et hausse de la productivité. Alors, on commence quand ? Note de contenu : -Emploi, les seniors sous pression p.38-41
-Qui veut le peau des écolos p.62-65En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/bulle-speculative/00085012
Titre : Un pognon de dingue ! : Les entreprises accros à l’argent public Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Chavagneux, Auteur ; Céline Mouzon, Auteur ; Justin Delépine, Auteur Editeur : Paris [France] : Alternatives Economiques Année de publication : février 2023 Collection : Alternatives économiques num. 431 Importance : 98 p Langues : Français (fre) Tags : Economie retraites Energie Agriculture Climat Index. décimale : REVUES Résumé : Oublié l’Etat-providence, vive le « corporate welfare », c’est-à-dire l’Etat au service du bien-être des entreprises ! Au cours des quarante dernières années, les firmes françaises sont devenues de plus en plus accros aux aides publiques. Et comme pour tout drogué, elles ont continuellement cherché à augmenter la dose. Au point que retirer d’un seul coup la perfusion d’argent public aujourd’hui provoquerait de sacrés problèmes à une grande partie d’entre elles.
Cela n’empêche pas de s’interroger sur l’efficacité de ces aides. De ce point de vue, qu’on les juge nécessaires ou non, le constat reste le même : elles ont eu un impact très faible sur les créations d’emplois. Elles n’ont pas réussi à accroître la compétitivité des entreprises, ni permis d’investir dans des budgets de recherche et d’innovation.Note de contenu : -Malgré la fin du zéro Covid, la croissance chinoise s'enlise p.48-51
-La crise de l'énergie va-t-elle tuer l'industrie européenne ? p.56-59
-entretien avec Paul Magnette : "la transition climatique ne se fera sans majorité sociale et politique" p.70-74En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/bulle-speculative/00085012 Un pognon de dingue ! : Les entreprises accros à l’argent public [texte imprimé] / Christian Chavagneux, Auteur ; Céline Mouzon, Auteur ; Justin Delépine, Auteur . - Paris (28 rue du Sentier, 75002, France) : Alternatives Economiques, février 2023 . - 98 p. - (Alternatives économiques; 431) .
Langues : Français (fre)
Tags : Economie retraites Energie Agriculture Climat Index. décimale : REVUES Résumé : Oublié l’Etat-providence, vive le « corporate welfare », c’est-à-dire l’Etat au service du bien-être des entreprises ! Au cours des quarante dernières années, les firmes françaises sont devenues de plus en plus accros aux aides publiques. Et comme pour tout drogué, elles ont continuellement cherché à augmenter la dose. Au point que retirer d’un seul coup la perfusion d’argent public aujourd’hui provoquerait de sacrés problèmes à une grande partie d’entre elles.
Cela n’empêche pas de s’interroger sur l’efficacité de ces aides. De ce point de vue, qu’on les juge nécessaires ou non, le constat reste le même : elles ont eu un impact très faible sur les créations d’emplois. Elles n’ont pas réussi à accroître la compétitivité des entreprises, ni permis d’investir dans des budgets de recherche et d’innovation.Note de contenu : -Malgré la fin du zéro Covid, la croissance chinoise s'enlise p.48-51
-La crise de l'énergie va-t-elle tuer l'industrie européenne ? p.56-59
-entretien avec Paul Magnette : "la transition climatique ne se fera sans majorité sociale et politique" p.70-74En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/bulle-speculative/00085012 Sobriété, ça va faire mal ? / Antoine De Ravignan
Titre : Sobriété, ça va faire mal ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine De Ravignan, Auteur ; Justin Delépine, Auteur ; Aude Martin, Auteur Editeur : Paris [France] : Alternatives Economiques Année de publication : décembre 2022 Collection : Alternatives économiques num. 429 Importance : 98 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Politique économique Salaire Eau Décroissance Résumé : Longtemps, le mot fut synonyme de grand bond en arrière, d’austérité puritaine, de privations monacales. Seuls les défenseurs les plus inquiets de l’environnement la préconisaient, quitte à endurer les quolibets. Et puis, sous l’effet de la guerre en Ukraine et du chaos qu’elle a provoqué dans les circuits énergétiques, la sobriété est d’un seul coup devenue à la mode, créant une curieuse épidémie de cols roulés jusqu’aux sommets de l’Etat. A la mode, certes, mais toujours un peu inquiétante, car elle ne s’est pas défaite de sa réputation doloriste. Peut-on être sobre sans trop souffrir ? Faut-il se résigner à vivre dans le froid ? Jusqu’où devons-nous chambouler nos vies et nos modes d’organisation collective ? Que devons-nous cesser de fabriquer, de vendre et d’acheter ? Et comment répartir équitablement l’effort de sobriété pour que ceux qui ont déjà trop peu n’aient pas le sentiment qu’on leur demande de se priver davantage ? Note de contenu : -La Chine accroît son influence dans les ports européens p.52-53
-Faut-il réindexer les salaires sur l'inflation ? p.54-58
-Eau potable : la facture salée des pesticides p.62-65Sobriété, ça va faire mal ? [texte imprimé] / Antoine De Ravignan, Auteur ; Justin Delépine, Auteur ; Aude Martin, Auteur . - Paris (28 rue du Sentier, 75002, France) : Alternatives Economiques, décembre 2022 . - 98 p. - (Alternatives économiques; 429) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Politique économique Salaire Eau Décroissance Résumé : Longtemps, le mot fut synonyme de grand bond en arrière, d’austérité puritaine, de privations monacales. Seuls les défenseurs les plus inquiets de l’environnement la préconisaient, quitte à endurer les quolibets. Et puis, sous l’effet de la guerre en Ukraine et du chaos qu’elle a provoqué dans les circuits énergétiques, la sobriété est d’un seul coup devenue à la mode, créant une curieuse épidémie de cols roulés jusqu’aux sommets de l’Etat. A la mode, certes, mais toujours un peu inquiétante, car elle ne s’est pas défaite de sa réputation doloriste. Peut-on être sobre sans trop souffrir ? Faut-il se résigner à vivre dans le froid ? Jusqu’où devons-nous chambouler nos vies et nos modes d’organisation collective ? Que devons-nous cesser de fabriquer, de vendre et d’acheter ? Et comment répartir équitablement l’effort de sobriété pour que ceux qui ont déjà trop peu n’aient pas le sentiment qu’on leur demande de se priver davantage ? Note de contenu : -La Chine accroît son influence dans les ports européens p.52-53
-Faut-il réindexer les salaires sur l'inflation ? p.54-58
-Eau potable : la facture salée des pesticides p.62-65
Titre : Vive la dette : Pourquoi il ne faut pas revenir à l'austérité mais dépenser plus Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Chavagneux, Auteur ; Justin Delépine, Auteur Editeur : Paris [France] : Alternatives Economiques Année de publication : avril 2021 Collection : Alternatives économiques num. 411 Importance : 98 p Langues : Français (fre) Tags : Alternatives Economie Dette Automobile Ecologie Index. décimale : REVUES Résumé : Un boulet, la dette ? Pour un ménage, souvent. Pour un pays, pas forcément. D’abord, parce qu’il ne rembourse que les intérêts. Le reste, ce que l’on appelle le principal, il se contente de le réemprunter lorsque le prêt arrive à échéance. Il fait « rouler sa dette », comme disent les économistes. Ensuite, parce que lorsque les taux sont bas et qu’ils sont appelés à le rester un bon moment, un Etat a tout intérêt à s’endetter à long terme pour investir dans son avenir. C’est ce que font les Etats-Unis aujourd’hui et ils ne lésinent pas sur les quantités. C’est ce que devrait faire la France du « quoi qu’il en coûte », idéalement avec un soutien de l’Union européenne. Le Covid a mis à nu les failles de notre modèle, les besoins criants d’investissement dans de nombreux services publics de l’Hexagone. Et la transition écologique demande des moyens considérables. L’argent n’est pas cher : profitons-en, et plaçons-le au bon endroit ! Note de contenu : -Michelin en roue libre vers la désindustrialisation p. 52-55
- Danone ou l'entreprise à mission à l'épreuve des marchés p.56-57En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/bulle-speculative/00085012 Vive la dette : Pourquoi il ne faut pas revenir à l'austérité mais dépenser plus [texte imprimé] / Christian Chavagneux, Auteur ; Justin Delépine, Auteur . - Paris (28 rue du Sentier, 75002, France) : Alternatives Economiques, avril 2021 . - 98 p. - (Alternatives économiques; 411) .
Langues : Français (fre)
Tags : Alternatives Economie Dette Automobile Ecologie Index. décimale : REVUES Résumé : Un boulet, la dette ? Pour un ménage, souvent. Pour un pays, pas forcément. D’abord, parce qu’il ne rembourse que les intérêts. Le reste, ce que l’on appelle le principal, il se contente de le réemprunter lorsque le prêt arrive à échéance. Il fait « rouler sa dette », comme disent les économistes. Ensuite, parce que lorsque les taux sont bas et qu’ils sont appelés à le rester un bon moment, un Etat a tout intérêt à s’endetter à long terme pour investir dans son avenir. C’est ce que font les Etats-Unis aujourd’hui et ils ne lésinent pas sur les quantités. C’est ce que devrait faire la France du « quoi qu’il en coûte », idéalement avec un soutien de l’Union européenne. Le Covid a mis à nu les failles de notre modèle, les besoins criants d’investissement dans de nombreux services publics de l’Hexagone. Et la transition écologique demande des moyens considérables. L’argent n’est pas cher : profitons-en, et plaçons-le au bon endroit ! Note de contenu : -Michelin en roue libre vers la désindustrialisation p. 52-55
- Danone ou l'entreprise à mission à l'épreuve des marchés p.56-57En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/bulle-speculative/00085012