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Titre : Inflation : ça s'arrête quand Type de document : texte imprimé Auteurs : Aude Martin, Auteur ; Laurent Jeanneau, Auteur Editeur : Paris [France] : Alternatives Economiques Année de publication : mai 2023 Collection : Alternatives économiques num. 434 Importance : 98 p Langues : Français (fre) Tags : Economie Inflation Industrie automobile Climat Index. décimale : REVUES Résumé : 5,9 % en décembre, 6 % en janvier, 6,3 % en février. Quand l’inflation s’arrêtera-t-elle de grimper ? Les économistes commencent à entrevoir le pic, mais cela ne signifie pas pour autant que les prix vont diminuer. En montagne, un randonneur est heureux lorsqu’apparaît le pic et que, enfin arrivé au sommet, il n’a plus qu’à redescendre. Même s’il faut faire attention aux genoux, sans quoi l’atterrissage final risque d’être douloureux. Depuis quelques mois, les économistes sont également à la recherche d’un point culminant. Mais pas n’importe lequel : le pic d’inflation. C’est-à-dire le moment à partir duquel l’inflation, après avoir atteint son acmé, ne ferait plus que redescendre. Les Français aussi, dont le budget est mis sous pression depuis maintenant plus d’un an en raison de la hausse des prix, attendent avec impatience que ce maximum soit dépassé. Les plus précaires surtout, qui souffrent plus que les autres de la hausse des prix de l’énergie et des produits alimentaires.
Parmi les 20 % des ménages les plus pauvres de la population, un tiers admet avoir « beaucoup changé » ses habitudes de consommation depuis un an pour faire face à l’inflation (consommer moins, choisir de nouveaux produits…), note l’Insee dans sa dernière note de conjoncture.Note de contenu : -Conditions de travail, le nouveau bras de fer p.24-39
-chez Stellantis, une "méthode Tavares" efficace, mais à quel prix? p.56-59En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/bulle-speculative/00085012 Inflation : ça s'arrête quand [texte imprimé] / Aude Martin, Auteur ; Laurent Jeanneau, Auteur . - Paris (28 rue du Sentier, 75002, France) : Alternatives Economiques, mai 2023 . - 98 p. - (Alternatives économiques; 434) .
Langues : Français (fre)
Tags : Economie Inflation Industrie automobile Climat Index. décimale : REVUES Résumé : 5,9 % en décembre, 6 % en janvier, 6,3 % en février. Quand l’inflation s’arrêtera-t-elle de grimper ? Les économistes commencent à entrevoir le pic, mais cela ne signifie pas pour autant que les prix vont diminuer. En montagne, un randonneur est heureux lorsqu’apparaît le pic et que, enfin arrivé au sommet, il n’a plus qu’à redescendre. Même s’il faut faire attention aux genoux, sans quoi l’atterrissage final risque d’être douloureux. Depuis quelques mois, les économistes sont également à la recherche d’un point culminant. Mais pas n’importe lequel : le pic d’inflation. C’est-à-dire le moment à partir duquel l’inflation, après avoir atteint son acmé, ne ferait plus que redescendre. Les Français aussi, dont le budget est mis sous pression depuis maintenant plus d’un an en raison de la hausse des prix, attendent avec impatience que ce maximum soit dépassé. Les plus précaires surtout, qui souffrent plus que les autres de la hausse des prix de l’énergie et des produits alimentaires.
Parmi les 20 % des ménages les plus pauvres de la population, un tiers admet avoir « beaucoup changé » ses habitudes de consommation depuis un an pour faire face à l’inflation (consommer moins, choisir de nouveaux produits…), note l’Insee dans sa dernière note de conjoncture.Note de contenu : -Conditions de travail, le nouveau bras de fer p.24-39
-chez Stellantis, une "méthode Tavares" efficace, mais à quel prix? p.56-59En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/bulle-speculative/00085012
Titre : La machine à dividendes : Enquête sur les comptes du CAC 40 Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Jeanneau, Auteur Editeur : Paris [France] : Alternatives Economiques Année de publication : février 2021 Collection : Alternatives économiques num. 409 Importance : 98 p Langues : Français (fre) Tags : Crise économique Banques Finance internationale Capitalisme Environnement Index. décimale : REVUES Résumé : Une manne de dividendes tombe en rafales sur les actionnaires. Et tant pis pour les salariés qui, au quotidien, font tourner les entreprises du CAC 40. Tant pis même pour l’investissement censé assurer l’avenir de ces grandes sociétés. Il y a des différences de l’une à l’autre bien sûr, mais en moyenne la quasi-totalité des bénéfices qu’elles réalisent file vers les détenteurs de parts. Avant de parvenir à ces conclusions, nous avons fouillé ligne à ligne les bilans des 40 firmes qui, ces quinze dernières années, ont formé le gratin de la Bourse. Un groupe d’entreprises dont la grande majorité des profits vient désormais d’activités situées hors de l’Hexagone. Et dont les actionnaires ont souvent le visage de fonds d’investissement toujours prêts à porter leur argent ailleurs si les dividendes ne tombent pas en abondance. Note de contenu : -McDo, une multinationale déguisée en PME p.50-53
-GAFA : "Bruxelles veut faire respecter les règles du jeu, pas rebattre les cartes" p.54-55
-L'Airbus des batteries peut-il décoller ? p.60-63
-Agir à la source contre la population plastique p.64-65
-Le numérique n'a rien d'immatériel p.66-67
-Taxer les riches pour payer les crises p.78-79
La machine à dividendes : Enquête sur les comptes du CAC 40 [texte imprimé] / Laurent Jeanneau, Auteur . - Paris (28 rue du Sentier, 75002, France) : Alternatives Economiques, février 2021 . - 98 p. - (Alternatives économiques; 409) .
Langues : Français (fre)
Tags : Crise économique Banques Finance internationale Capitalisme Environnement Index. décimale : REVUES Résumé : Une manne de dividendes tombe en rafales sur les actionnaires. Et tant pis pour les salariés qui, au quotidien, font tourner les entreprises du CAC 40. Tant pis même pour l’investissement censé assurer l’avenir de ces grandes sociétés. Il y a des différences de l’une à l’autre bien sûr, mais en moyenne la quasi-totalité des bénéfices qu’elles réalisent file vers les détenteurs de parts. Avant de parvenir à ces conclusions, nous avons fouillé ligne à ligne les bilans des 40 firmes qui, ces quinze dernières années, ont formé le gratin de la Bourse. Un groupe d’entreprises dont la grande majorité des profits vient désormais d’activités situées hors de l’Hexagone. Et dont les actionnaires ont souvent le visage de fonds d’investissement toujours prêts à porter leur argent ailleurs si les dividendes ne tombent pas en abondance. Note de contenu : -McDo, une multinationale déguisée en PME p.50-53
-GAFA : "Bruxelles veut faire respecter les règles du jeu, pas rebattre les cartes" p.54-55
-L'Airbus des batteries peut-il décoller ? p.60-63
-Agir à la source contre la population plastique p.64-65
-Le numérique n'a rien d'immatériel p.66-67
-Taxer les riches pour payer les crises p.78-79
Titre : La revanche de l'impôt : budget 2025 Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine De Ravignan, Auteur ; Laurent Jeanneau, Auteur ; Thomas Lestavel, Auteur Editeur : Paris [France] : Alternatives Economiques Année de publication : novembre 2024 Collection : Alternatives économiques num. 452 Importance : 98 p Langues : Français (fre) Tags : Impôts Dette Industrie pétrochimique Environnement Décroissance Index. décimale : REVUES Résumé : Sept ans que le débat démocratique sur les impôts était devenu un débat interdit. Le poujado-fiscalisme des gouvernements Macron successifs ne pointait que dans une seule direction : les baisses de prélèvements obligatoires. A la clé, on nous promettait plus d’incitation à travailler, d’investissements, de compétitivité, de croissance, etc.
Le résultat a été tout l’inverse : une dégradation sans précédent des comptes publics (62 milliards de recettes fiscales perdues, 2,2 points de PIB selon la Cour des comptes), une productivité en berne, un déficit extérieur qui ne se résorbe pas.
Le nouveau Premier ministre a heureusement changé la donne. Il a commencé par mettre fin au quoi qu’il en perde fiscal. Et, par ses propositions de hausse des prélèvements, il a rouvert un débat démocratique nécessaire sur le bon niveau de contribution des riches et des entreprises au redressement des comptes.Note de contenu : -ExxonMobil se retire de la France, pas des énergies fossiles p.54-57
-Infractions environnementales, mais que fait la police ? p.62-65
-On ne sortira pas de la crise écologique en restant dans le capitalisme p.72-75En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/droites-europeennes-contre-lecologie/001 [...] La revanche de l'impôt : budget 2025 [texte imprimé] / Antoine De Ravignan, Auteur ; Laurent Jeanneau, Auteur ; Thomas Lestavel, Auteur . - Paris (28 rue du Sentier, 75002, France) : Alternatives Economiques, novembre 2024 . - 98 p. - (Alternatives économiques; 452) .
Langues : Français (fre)
Tags : Impôts Dette Industrie pétrochimique Environnement Décroissance Index. décimale : REVUES Résumé : Sept ans que le débat démocratique sur les impôts était devenu un débat interdit. Le poujado-fiscalisme des gouvernements Macron successifs ne pointait que dans une seule direction : les baisses de prélèvements obligatoires. A la clé, on nous promettait plus d’incitation à travailler, d’investissements, de compétitivité, de croissance, etc.
Le résultat a été tout l’inverse : une dégradation sans précédent des comptes publics (62 milliards de recettes fiscales perdues, 2,2 points de PIB selon la Cour des comptes), une productivité en berne, un déficit extérieur qui ne se résorbe pas.
Le nouveau Premier ministre a heureusement changé la donne. Il a commencé par mettre fin au quoi qu’il en perde fiscal. Et, par ses propositions de hausse des prélèvements, il a rouvert un débat démocratique nécessaire sur le bon niveau de contribution des riches et des entreprises au redressement des comptes.Note de contenu : -ExxonMobil se retire de la France, pas des énergies fossiles p.54-57
-Infractions environnementales, mais que fait la police ? p.62-65
-On ne sortira pas de la crise écologique en restant dans le capitalisme p.72-75En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/droites-europeennes-contre-lecologie/001 [...]
Titre : Surveiller et punir les pauvres Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine De Ravignan, Auteur ; Laurent Jeanneau, Auteur Editeur : Paris [France] : Alternatives Economiques Année de publication : mars 2024 Collection : Alternatives économiques num. 444 Importance : 98 p Langues : Français (fre) Tags : Emploi Sécurité sociale Agriculture Pauvreté Index. décimale : REVUES Résumé : Sale temps pour les pauvres. Victimes collatérales de la mobilisation générale pour le plein-emploi, ils sont dans le collimateur du gouvernement. Et tous ceux qui sortent du rang sont sévèrement réprimandés. Leur faute ? Ne pas accepter le premier emploi mal payé et éreintant qui se présente, ne pas réussir à faire garder ses enfants ou ne pas avoir assez d’argent pour faire le plein.
Sans oublier ceux dont la santé est défaillante, ou encore ceux qui ont été désocialisés et marqués à vif par une trop longue période de chômage.
Leur sanction ? Devenir encore plus pauvre. Pour les obliger à reprendre un boulot, on n’a rien trouvé de mieux à faire que d’accentuer leurs difficultés, en réduisant leurs allocations, voire en les supprimant. La liste des vexations et autres stigmatisations qu’ils doivent subir est longue.
Il pourrait en être autrement : supprimer la pauvreté n’a rien d’utopique. Mais le gouvernement ne l’entend pas de cette oreille, car pour lui, hors du travail, point de salut !Note de contenu : -Crise agricole, pourquoi rien n'est réglé p.8-111 En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/bulle-speculative/00085012 Surveiller et punir les pauvres [texte imprimé] / Antoine De Ravignan, Auteur ; Laurent Jeanneau, Auteur . - Paris (28 rue du Sentier, 75002, France) : Alternatives Economiques, mars 2024 . - 98 p. - (Alternatives économiques; 444) .
Langues : Français (fre)
Tags : Emploi Sécurité sociale Agriculture Pauvreté Index. décimale : REVUES Résumé : Sale temps pour les pauvres. Victimes collatérales de la mobilisation générale pour le plein-emploi, ils sont dans le collimateur du gouvernement. Et tous ceux qui sortent du rang sont sévèrement réprimandés. Leur faute ? Ne pas accepter le premier emploi mal payé et éreintant qui se présente, ne pas réussir à faire garder ses enfants ou ne pas avoir assez d’argent pour faire le plein.
Sans oublier ceux dont la santé est défaillante, ou encore ceux qui ont été désocialisés et marqués à vif par une trop longue période de chômage.
Leur sanction ? Devenir encore plus pauvre. Pour les obliger à reprendre un boulot, on n’a rien trouvé de mieux à faire que d’accentuer leurs difficultés, en réduisant leurs allocations, voire en les supprimant. La liste des vexations et autres stigmatisations qu’ils doivent subir est longue.
Il pourrait en être autrement : supprimer la pauvreté n’a rien d’utopique. Mais le gouvernement ne l’entend pas de cette oreille, car pour lui, hors du travail, point de salut !Note de contenu : -Crise agricole, pourquoi rien n'est réglé p.8-111 En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/bulle-speculative/00085012
