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Après le capitalisme / Michael Albert
Titre : Après le capitalisme : Eléments d'économie participaliste Type de document : texte imprimé Auteurs : Michael Albert, Auteur Editeur : Marseille : Agone Année de publication : 2003 Importance : 189 p. Note générale : 01.ALB Langues : Français (fre) Catégories : Alternatives
AutogestionTags : Capitalisme Travail Salaire Revenus Autogestion Dignité du travail Alternatives Index. décimale : 01 Economie Résumé : Ceux qui travaillent s’expriment de plus en plus ouvertement en faveur d’une nouvelle forme d’économie, mais leurs entreprises restent essentiellement des structures soumises à une quête sans fin de profits. Et les luttes se poursuivent pour de meilleures conditions de travail, redéfinir les emplois, etc. Mais lorsque la bataille pour imposer une nouvelle économie aura été gagnée, il n’y aura plus à se battre contre une classe de propriétaires avides de profits ou une classe de coordinateurs cherchant à maximiser leurs avantages. Les propriétaires ne seront plus propriétaires de rien et il n’y aura plus de classe coordinatrice.
Pour empêcher que nos adversaires trouvent assez de monde pour brandir les armes qu’ils possèdent en masse, il faut fournir à leurs « volontaires » des raisons pour qu’ils n’acceptent plus de jouer le jeu des dominants. Le participalisme fournit ces raisons.Après le capitalisme : Eléments d'économie participaliste [texte imprimé] / Michael Albert, Auteur . - Marseille : Agone, 2003 . - 189 p.
01.ALB
Langues : Français (fre)
Catégories : Alternatives
AutogestionTags : Capitalisme Travail Salaire Revenus Autogestion Dignité du travail Alternatives Index. décimale : 01 Economie Résumé : Ceux qui travaillent s’expriment de plus en plus ouvertement en faveur d’une nouvelle forme d’économie, mais leurs entreprises restent essentiellement des structures soumises à une quête sans fin de profits. Et les luttes se poursuivent pour de meilleures conditions de travail, redéfinir les emplois, etc. Mais lorsque la bataille pour imposer une nouvelle économie aura été gagnée, il n’y aura plus à se battre contre une classe de propriétaires avides de profits ou une classe de coordinateurs cherchant à maximiser leurs avantages. Les propriétaires ne seront plus propriétaires de rien et il n’y aura plus de classe coordinatrice.
Pour empêcher que nos adversaires trouvent assez de monde pour brandir les armes qu’ils possèdent en masse, il faut fournir à leurs « volontaires » des raisons pour qu’ils n’acceptent plus de jouer le jeu des dominants. Le participalisme fournit ces raisons.Le bourg et l'atelier / Julian Mischi
Titre : Le bourg et l'atelier : Sociologie du combat syndical Type de document : texte imprimé Auteurs : Julian Mischi, Auteur Editeur : Marseille : Agone Année de publication : 2016 Collection : L'ordre des choses Importance : 399 p Présentation : 05.02.MIS Langues : Français (fre) Tags : Syndicalisme Travail Emploi France SNCF Militantisme Gestion des entreprises Index. décimale : 05.02 Syndicalisme Résumé : Pourquoi et comment des ouvriers continuent à se syndiquer et à militer malgré la force des processus favorisant leur exclusion politique ?
On veut bien travailler, mais au bout d’un moment, quand tu vois que tu passes beaucoup de temps à faire des tracts, des papiers pour tout le monde, pour expliquer telle ou telle chose, et qu’en fin de compte le patron te casse la gueule et que ça sert à rien... Tu as beau faire ce que tu veux, avoir des camarades qui te disent : « Allez vas-y ! Ne t’inquiète pas : ça va payer ! »… Au bout d’un moment, tu es démoralisé, tu les as là.
La culture cheminote, c’est ça qu’ils essaient de casser aujourd’hui : des valeurs de solidarité. C’est une société de plus en plus individualiste. Tout le monde fait les constats, tout le monde dit : « On a le pouvoir d’achat qui baisse. » On est tous d’accord globalement, mais entre faire le constat et emmener les gens dans l’action, il y a de la marge. Alors peut-être qu’un jour, il y aura un déclic. Je ne sais pas. Des fois, je ne sais pas ce qu’il faut pour qu’il y ait ce déclic.
Ce livre s’appuie sur une enquête menée pendant cinq ans sur le quotidien de syndicalistes ouvriers dans un atelier SNCF, au sein d’un bourg industriel de 3 000 habitants. Donnant la parole à des populations souvent associées à tort au seul monde agricole et essentiellement dépeintes par les médias nationaux comme des électeurs du FN, il montre que les ouvriers constituent le premier groupe social des campagnes françaises et tente de répondre à la question : comment s’engager quand tout pousse à la désyndicalisation ?
La restitution d’entretiens et de discussions dans le syndicat, tout comme l’observation des mobilisations, font entrer le lecteur dans l’ordinaire de la vie d’ouvriers syndiqués et montrent des tentatives d’organisation collective concrètes face aux réorganisations managériales. Explorant les réalités du militantisme en entreprise, l’ouvrage souligne que les clivages de classes, loin d’avoir disparu, se sont reconfigurés dans un nouveau contexte politique et économique – contexte où l’engagement à gauche peut aussi se perpétuer dans des conditions renouvelées, voire se développer.
Sommaire : Introduction : S’engager malgré tout ; I. Hiérarchies et culture de classe en atelier ; II. Au-delà de l’atelier : les ressorts de l’adhésion syndicale ; III. « On n’est pas une amicale de pêcheurs à la ligne » ; IV. Le travail militant des responsables syndicaux ; V. Quand les conflits de classes se déplacent de l’atelier à la commune.Le bourg et l'atelier : Sociologie du combat syndical [texte imprimé] / Julian Mischi, Auteur . - Marseille : Agone, 2016 . - 399 p : 05.02.MIS. - (L'ordre des choses) .
Langues : Français (fre)
Tags : Syndicalisme Travail Emploi France SNCF Militantisme Gestion des entreprises Index. décimale : 05.02 Syndicalisme Résumé : Pourquoi et comment des ouvriers continuent à se syndiquer et à militer malgré la force des processus favorisant leur exclusion politique ?
On veut bien travailler, mais au bout d’un moment, quand tu vois que tu passes beaucoup de temps à faire des tracts, des papiers pour tout le monde, pour expliquer telle ou telle chose, et qu’en fin de compte le patron te casse la gueule et que ça sert à rien... Tu as beau faire ce que tu veux, avoir des camarades qui te disent : « Allez vas-y ! Ne t’inquiète pas : ça va payer ! »… Au bout d’un moment, tu es démoralisé, tu les as là.
La culture cheminote, c’est ça qu’ils essaient de casser aujourd’hui : des valeurs de solidarité. C’est une société de plus en plus individualiste. Tout le monde fait les constats, tout le monde dit : « On a le pouvoir d’achat qui baisse. » On est tous d’accord globalement, mais entre faire le constat et emmener les gens dans l’action, il y a de la marge. Alors peut-être qu’un jour, il y aura un déclic. Je ne sais pas. Des fois, je ne sais pas ce qu’il faut pour qu’il y ait ce déclic.
Ce livre s’appuie sur une enquête menée pendant cinq ans sur le quotidien de syndicalistes ouvriers dans un atelier SNCF, au sein d’un bourg industriel de 3 000 habitants. Donnant la parole à des populations souvent associées à tort au seul monde agricole et essentiellement dépeintes par les médias nationaux comme des électeurs du FN, il montre que les ouvriers constituent le premier groupe social des campagnes françaises et tente de répondre à la question : comment s’engager quand tout pousse à la désyndicalisation ?
La restitution d’entretiens et de discussions dans le syndicat, tout comme l’observation des mobilisations, font entrer le lecteur dans l’ordinaire de la vie d’ouvriers syndiqués et montrent des tentatives d’organisation collective concrètes face aux réorganisations managériales. Explorant les réalités du militantisme en entreprise, l’ouvrage souligne que les clivages de classes, loin d’avoir disparu, se sont reconfigurés dans un nouveau contexte politique et économique – contexte où l’engagement à gauche peut aussi se perpétuer dans des conditions renouvelées, voire se développer.
Sommaire : Introduction : S’engager malgré tout ; I. Hiérarchies et culture de classe en atelier ; II. Au-delà de l’atelier : les ressorts de l’adhésion syndicale ; III. « On n’est pas une amicale de pêcheurs à la ligne » ; IV. Le travail militant des responsables syndicaux ; V. Quand les conflits de classes se déplacent de l’atelier à la commune.Conversation sur la naissance des inégalités / Christophe Darmangeat
Titre : Conversation sur la naissance des inégalités Type de document : texte imprimé Auteurs : Christophe Darmangeat, Auteur Editeur : Marseille : Agone Année de publication : 2013 Collection : Passé & présent Importance : 193 p Note générale : 05.03.DAR Langues : Français (fre) Tags : Histoire sociale Inégalités Index. décimale : 05.03 Politique sociale Résumé : Les inégalités n’ont pas toujours existé. Plus encore, leur apparition est loin d’avoir partout suivi le même chemin que celui emprunté par l’Europe et les Proche et Moyen-Orient, le plus souvent résumé par le modèle de la « révolution néolithique ». Montrant la volonté de la collection « Passé & Présent » d’élargir son champ chronologique (jusqu’aux périodes les plus anciennes) et au-delà de l’histoire proprement dite (ici, la « préhistoire » et l’ethnologie), cet ouvrage de vulgarisation insiste sur l’importance d’une approche universelle de l’évolution des sociétés dites « primitives ». S’appuyant sur les très nombreux exemples de sociétés étudiées par les ethnologues et les voyageurs alors qu’elles étaient encore vivantes, il montre le cas de sociétés durablement égalitaires ainsi que la variété des chemins empruntés vers l’inégalité. Conversation sur la naissance des inégalités [texte imprimé] / Christophe Darmangeat, Auteur . - Marseille : Agone, 2013 . - 193 p. - (Passé & présent) .
05.03.DAR
Langues : Français (fre)
Tags : Histoire sociale Inégalités Index. décimale : 05.03 Politique sociale Résumé : Les inégalités n’ont pas toujours existé. Plus encore, leur apparition est loin d’avoir partout suivi le même chemin que celui emprunté par l’Europe et les Proche et Moyen-Orient, le plus souvent résumé par le modèle de la « révolution néolithique ». Montrant la volonté de la collection « Passé & Présent » d’élargir son champ chronologique (jusqu’aux périodes les plus anciennes) et au-delà de l’histoire proprement dite (ici, la « préhistoire » et l’ethnologie), cet ouvrage de vulgarisation insiste sur l’importance d’une approche universelle de l’évolution des sociétés dites « primitives ». S’appuyant sur les très nombreux exemples de sociétés étudiées par les ethnologues et les voyageurs alors qu’elles étaient encore vivantes, il montre le cas de sociétés durablement égalitaires ainsi que la variété des chemins empruntés vers l’inégalité. Déposséder les possédants / Miguel Chueca
Titre : Déposséder les possédants : la grève générale aux "temps héroïques du syndicalisme révolutionnaire (1895-1906) Type de document : texte imprimé Auteurs : Miguel Chueca, Auteur Editeur : Marseille : Agone Année de publication : 2008 Collection : Mémoiresociales Importance : 267 p Note générale : 05.02.CHU Langues : Français (fre) Catégories : Syndicalisme Tags : Mouvements ouvriers Syndicalisme Histoire sociale Index. décimale : 05.02 Syndicalisme Résumé : Textes d’Édouard Berth, Henri Girard, Jean Jaurès, Hubert Lagardelle, Paul Louis, Fernand Pelloutier, Émile Pouget, Georges Sorel et Henri Van Kol. - Réunis & présentés par Miguel Chueca
La grève générale exprime, d’une manière infiniment claire, que le temps des révolutions de politiciens est fini. Elle ne sait rien des droits de l’homme, de la justice absolue, des constitutions politiques, des parlements ; elle nie le gouvernement de la bourgeoisie capitaliste. Les partisans de la grève générale entendent faire disparaître tout ce qui avait préoccupé les anciens libéraux : l’éloquence des tribuns, le maniement de l’opinion publique, les combinaisons de partis politiques. Ce serait le monde renversé, mais le socialisme n’a-t-il pas affirmé qu’il entendait créer une société toute nouvelle ?
On ne sait plus grand-chose de ce que furent les origines du syndicalisme français, et notamment du débat qui vit s’affronter les porte-parole du tout jeune mouvement syndical et ceux du socialisme politique, alors faible et divisé. Comme on a oublié la différence radicale entre le socialisme par en haut et le socialisme par en bas, fondé sur la grève générale.
Ce recueil permettra de mieux connaître la nature et les mobiles d’un mouvement qui tenta de donner à la classe ouvrière le sentiment de la formidable puissance dont elle dispose. Ce même sentiment qui, dès 1879, avait inspiré à un ouvrier cette pensée : « Les patrons s’inclineront devant nous car nous sommes les producteurs, et quand les bras ne se mettent pas au travail, le capital tombe. »Déposséder les possédants : la grève générale aux "temps héroïques du syndicalisme révolutionnaire (1895-1906) [texte imprimé] / Miguel Chueca, Auteur . - Marseille : Agone, 2008 . - 267 p. - (Mémoiresociales) .
05.02.CHU
Langues : Français (fre)
Catégories : Syndicalisme Tags : Mouvements ouvriers Syndicalisme Histoire sociale Index. décimale : 05.02 Syndicalisme Résumé : Textes d’Édouard Berth, Henri Girard, Jean Jaurès, Hubert Lagardelle, Paul Louis, Fernand Pelloutier, Émile Pouget, Georges Sorel et Henri Van Kol. - Réunis & présentés par Miguel Chueca
La grève générale exprime, d’une manière infiniment claire, que le temps des révolutions de politiciens est fini. Elle ne sait rien des droits de l’homme, de la justice absolue, des constitutions politiques, des parlements ; elle nie le gouvernement de la bourgeoisie capitaliste. Les partisans de la grève générale entendent faire disparaître tout ce qui avait préoccupé les anciens libéraux : l’éloquence des tribuns, le maniement de l’opinion publique, les combinaisons de partis politiques. Ce serait le monde renversé, mais le socialisme n’a-t-il pas affirmé qu’il entendait créer une société toute nouvelle ?
On ne sait plus grand-chose de ce que furent les origines du syndicalisme français, et notamment du débat qui vit s’affronter les porte-parole du tout jeune mouvement syndical et ceux du socialisme politique, alors faible et divisé. Comme on a oublié la différence radicale entre le socialisme par en haut et le socialisme par en bas, fondé sur la grève générale.
Ce recueil permettra de mieux connaître la nature et les mobiles d’un mouvement qui tenta de donner à la classe ouvrière le sentiment de la formidable puissance dont elle dispose. Ce même sentiment qui, dès 1879, avait inspiré à un ouvrier cette pensée : « Les patrons s’inclineront devant nous car nous sommes les producteurs, et quand les bras ne se mettent pas au travail, le capital tombe. »Etat, démocratie et marché
Titre : Etat, démocratie et marché Type de document : texte imprimé Editeur : Marseille : Agone Année de publication : 1999 Importance : 213 p Langues : Français (fre) Catégories : Théories politiques Tags : Capitalisme Démocratie Index. décimale : 08.02 Théories politiques Résumé : Pourquoi le capitalisme ne peut-il tolérer un fonctionnement authentiquement démocratique du politique ? Simplement parce qu’un individu ne peut être pleinement souverain sur le plan politique et aliéner sa souveraineté économique. Parce que, libéré de la diffusion massive des images à contempler et des gadgets à consommer, il pourrait se mettre à fuir l’ennui, la laideur et la malfaisance de la société industrielle. Puis, lassé de l’indifférence et de la passivité où le plonge le divertissement spectaculaire, trouver dans la sensibilité et la participation à la chose publique une meilleure façon d’exister. Etat, démocratie et marché [texte imprimé] . - Marseille : Agone, 1999 . - 213 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Théories politiques Tags : Capitalisme Démocratie Index. décimale : 08.02 Théories politiques Résumé : Pourquoi le capitalisme ne peut-il tolérer un fonctionnement authentiquement démocratique du politique ? Simplement parce qu’un individu ne peut être pleinement souverain sur le plan politique et aliéner sa souveraineté économique. Parce que, libéré de la diffusion massive des images à contempler et des gadgets à consommer, il pourrait se mettre à fuir l’ennui, la laideur et la malfaisance de la société industrielle. Puis, lassé de l’indifférence et de la passivité où le plonge le divertissement spectaculaire, trouver dans la sensibilité et la participation à la chose publique une meilleure façon d’exister. L'État, entre Europe & nation / Jean-Philippe Melchior
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