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Titre : Pourquoi un dossier sur l'expertise ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Daniel Zink, Auteur ; Hervé Krief, Auteur ; Valérie Tilman, Auteur Editeur : Kairos asbl Année de publication : octobre 2022 Collection : Kairos num. 56 Importance : 24 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Santé Alternatives Science Democratie Résumé : L’expertise pose également la question de la fiabilité de l’avis d’expertise : comment l’établir ? C’est la confrontation au réel et le temps qui permettront de valider la pertinence d’un avis d’expertise et de fonder la confiance dans l’expert. Or, on a pu observer, lors des récentes crises, que la confiance dans les experts choisis par les institutions était exigée de la population de façon inconditionnelle, la défiance dans l’expertise officielle étant vue comme une menace politique de première importance. La confiance de la population a parfois été exigée avant la confrontation de l’expertise au réel, sur parole, en l’absence de débats scientifiques avec des contradicteurs, et même en l’absence d’une validation manifeste et décisive par l’expérience. Pourquoi un tel battage pour faire de la confiance inconditionnelle dans l’expertise scientifique officielle une condition essentielle de la vie démocratique ? Note de contenu : -Impérialisme : racines philosophiques et autres voies p.6-15
-J'ai demandé à la Lunt p.20-21En ligne : http://www.kairospresse.be/journal/kairos-44 Pourquoi un dossier sur l'expertise ? [texte imprimé] / Daniel Zink, Auteur ; Hervé Krief, Auteur ; Valérie Tilman, Auteur . - [S.l.] : Kairos asbl, octobre 2022 . - 24 p. - (Kairos; 56) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Santé Alternatives Science Democratie Résumé : L’expertise pose également la question de la fiabilité de l’avis d’expertise : comment l’établir ? C’est la confrontation au réel et le temps qui permettront de valider la pertinence d’un avis d’expertise et de fonder la confiance dans l’expert. Or, on a pu observer, lors des récentes crises, que la confiance dans les experts choisis par les institutions était exigée de la population de façon inconditionnelle, la défiance dans l’expertise officielle étant vue comme une menace politique de première importance. La confiance de la population a parfois été exigée avant la confrontation de l’expertise au réel, sur parole, en l’absence de débats scientifiques avec des contradicteurs, et même en l’absence d’une validation manifeste et décisive par l’expérience. Pourquoi un tel battage pour faire de la confiance inconditionnelle dans l’expertise scientifique officielle une condition essentielle de la vie démocratique ? Note de contenu : -Impérialisme : racines philosophiques et autres voies p.6-15
-J'ai demandé à la Lunt p.20-21En ligne : http://www.kairospresse.be/journal/kairos-44
Titre : La psychologie au service de la manipulation des masses Type de document : texte imprimé Auteurs : Alexandre Penasse, Auteur ; Bernard Legros, Auteur ; Alain Adriaens, Auteur Editeur : Kairos asbl Année de publication : février/mars 2023 Collection : Kairos num. 58 Importance : 24 p. Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Santé Information Climat Résumé : C’est étrange la vision qu’on peut avoir de ce qu’on appelle « société », organisme composé d’êtres, dont le dictionnaire nous dit qu’elle est « Le fait pour un groupe d’individus de la même espèce d’établir des relations entre eux », et dont il est impossible à un moment X de connaître l’opinion. On ne peut donc s’en faire qu’une idée. Pour certains, questionnés sur les possibilités de changement, leur position est claire : « c’est foutu, il est trop tard », la soumission des populations lors de l’ère Covid-19 démontrant à elle seule que le pouvoir fait ce qu’il veut des masses et qu’un soulèvement est fort improbable. Ce serait, au vu de l’histoire, difficile de leur donner tort, aucune révolution populaire n’ayant jamais abouti à un renversement d’un pouvoir favorisant une minorité, alors que la puissance technologique et les techniques de manipulation des masses rendent les choses aujourd’hui encore plus difficiles . D’autres pensent au contraire que les gens vont sortir progressivement de leur léthargie, prenant notamment conscience qu’ils ont été trompés.
Ces considérations sur l’état des lieux de l’opinion publique ne peuvent être que des approximations, fondées sur du ressenti, de la subjectivité, des rencontres, discussions et observations personnelles, en somme la vie en société. Mais nous demeurons dans un microcosme, relatif, nous ne savons pas ce que pense la majorité – sachant qu’une collectivité ne pense pas à proprement parler, même si elle est plus que la somme de ses individualités. Le seul « macrocosme social » qui nous soit donné, c’est celui des médias de masse, producteur d’une réalité distordue. On pense donc la plupart du temps le monde à travers ce qu’on nous en dit, et celui qui parle à large échelle le fait toujours depuis le système médiatique. À l’hiver 2021, alors que le gouvernement interdisait aux gens de fêter Noël en famille, le Premier ministre De Croo leur recommandait de regarder la télévision : « Personne ne doit fêter Noël seul ce soir. À 18h, nous fêterons Noël à 11 millions devant notre télévision. En regardant vous aussi, vous donnerez de la lumière et de la chaleur aux autres ».Note de contenu : -Renoncer aux nécrocarburants p.20-21 En ligne : http://www.kairospresse.be/journal/kairos-52 La psychologie au service de la manipulation des masses [texte imprimé] / Alexandre Penasse, Auteur ; Bernard Legros, Auteur ; Alain Adriaens, Auteur . - [S.l.] : Kairos asbl, février/mars 2023 . - 24 p.. - (Kairos; 58) .
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Catégories : Revues Tags : Santé Information Climat Résumé : C’est étrange la vision qu’on peut avoir de ce qu’on appelle « société », organisme composé d’êtres, dont le dictionnaire nous dit qu’elle est « Le fait pour un groupe d’individus de la même espèce d’établir des relations entre eux », et dont il est impossible à un moment X de connaître l’opinion. On ne peut donc s’en faire qu’une idée. Pour certains, questionnés sur les possibilités de changement, leur position est claire : « c’est foutu, il est trop tard », la soumission des populations lors de l’ère Covid-19 démontrant à elle seule que le pouvoir fait ce qu’il veut des masses et qu’un soulèvement est fort improbable. Ce serait, au vu de l’histoire, difficile de leur donner tort, aucune révolution populaire n’ayant jamais abouti à un renversement d’un pouvoir favorisant une minorité, alors que la puissance technologique et les techniques de manipulation des masses rendent les choses aujourd’hui encore plus difficiles . D’autres pensent au contraire que les gens vont sortir progressivement de leur léthargie, prenant notamment conscience qu’ils ont été trompés.
Ces considérations sur l’état des lieux de l’opinion publique ne peuvent être que des approximations, fondées sur du ressenti, de la subjectivité, des rencontres, discussions et observations personnelles, en somme la vie en société. Mais nous demeurons dans un microcosme, relatif, nous ne savons pas ce que pense la majorité – sachant qu’une collectivité ne pense pas à proprement parler, même si elle est plus que la somme de ses individualités. Le seul « macrocosme social » qui nous soit donné, c’est celui des médias de masse, producteur d’une réalité distordue. On pense donc la plupart du temps le monde à travers ce qu’on nous en dit, et celui qui parle à large échelle le fait toujours depuis le système médiatique. À l’hiver 2021, alors que le gouvernement interdisait aux gens de fêter Noël en famille, le Premier ministre De Croo leur recommandait de regarder la télévision : « Personne ne doit fêter Noël seul ce soir. À 18h, nous fêterons Noël à 11 millions devant notre télévision. En regardant vous aussi, vous donnerez de la lumière et de la chaleur aux autres ».Note de contenu : -Renoncer aux nécrocarburants p.20-21 En ligne : http://www.kairospresse.be/journal/kairos-52
Titre : Quelle place pour la spiritualité dans la tourmente de l'époque ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Weber, Auteur ; Bernard Legros, Auteur ; S. Kimo, Auteur Editeur : Kairos asbl Année de publication : décembre 2022 Collection : Kairos num. 57 Importance : 24 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Religions Europe Santé Résumé : Le mouvement totalitaire covidien a suscité, entre autres phénomènes, une nouvelle mise en évidence du rôle de la spiritualité pour faire face à l’adversité. Comme l’avait fait remarquer Blaise Pascal, « nous connaissons la vérité non seulement par la raison mais encore par le cœur(2) ». Que l’on soit athée ou croyant, on ne peut que s’en réjouir. Car l’Occident était devenu, selon le terme de Max Weber, désenchanté (i. e. « déspiritualisé ») depuis l’avènement de la modernité il y a quelque 250 ans, quand l’humanisme rationaliste, l’éthique libérale et l’industrialisme se sont imposés, amenant le bourgeois négociant, le savant, l’ingénieur et le législateur, après avoir chassé l’aristocrate, la sorcière, l’alchimiste, le prêtre et l’artisan. Les philosophes progressistes des Lumières — dont Diderot et Voltaire sont les parangons — ne virent bientôt plus dans la religion qu’ignorance, superstition et fanatisme, à l’exception de rares voix discordantes : Jean-Jacques Rousseau considérait la religion comme un instrument d’éducation civique ; Montesquieu en reconnaissait aussi l’utilité sociale et morale. Au XIXe siècle, d’autres la réorientèrent, comme l’économiste Constantin Pecqueur qui avançait avec prémonition que « l’industrie fera un jour partie de la vraie religion(3) ». Note de contenu : -La dette publique européenne, piège mortel pour la démocratie p.18-19 En ligne : http://www.kairospresse.be/journal/kairos-44 Quelle place pour la spiritualité dans la tourmente de l'époque ? [texte imprimé] / Michel Weber, Auteur ; Bernard Legros, Auteur ; S. Kimo, Auteur . - [S.l.] : Kairos asbl, décembre 2022 . - 24 p. - (Kairos; 57) .
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Catégories : Revues Tags : Religions Europe Santé Résumé : Le mouvement totalitaire covidien a suscité, entre autres phénomènes, une nouvelle mise en évidence du rôle de la spiritualité pour faire face à l’adversité. Comme l’avait fait remarquer Blaise Pascal, « nous connaissons la vérité non seulement par la raison mais encore par le cœur(2) ». Que l’on soit athée ou croyant, on ne peut que s’en réjouir. Car l’Occident était devenu, selon le terme de Max Weber, désenchanté (i. e. « déspiritualisé ») depuis l’avènement de la modernité il y a quelque 250 ans, quand l’humanisme rationaliste, l’éthique libérale et l’industrialisme se sont imposés, amenant le bourgeois négociant, le savant, l’ingénieur et le législateur, après avoir chassé l’aristocrate, la sorcière, l’alchimiste, le prêtre et l’artisan. Les philosophes progressistes des Lumières — dont Diderot et Voltaire sont les parangons — ne virent bientôt plus dans la religion qu’ignorance, superstition et fanatisme, à l’exception de rares voix discordantes : Jean-Jacques Rousseau considérait la religion comme un instrument d’éducation civique ; Montesquieu en reconnaissait aussi l’utilité sociale et morale. Au XIXe siècle, d’autres la réorientèrent, comme l’économiste Constantin Pecqueur qui avançait avec prémonition que « l’industrie fera un jour partie de la vraie religion(3) ». Note de contenu : -La dette publique européenne, piège mortel pour la démocratie p.18-19 En ligne : http://www.kairospresse.be/journal/kairos-44
Titre : Qui veut la guerre Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Legros, Auteur ; Alexandre Penasse, Auteur Editeur : Kairos asbl Année de publication : juin/juillet/août 2025 Collection : Kairos num. 70 Importance : 24 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Conflits Impérialisme Europe Guerre Résumé : La guerre est l’instrument privilégié de l’impérialisme. Sans la guerre, toutes les structures qui lui permettent d’extorquer leurs richesses aux autres nations ne servent à rien. Mais, pour l’idéologie dominante que la guerre sert à imposer — et pas seulement au reste du monde —, il n’y a plus d’impérialisme. On en a fini depuis longtemps avec l’impérialisme. Sauf en ce qui concerne la Russie. Et peut-être, qui sait, la Chine. On en a également fini avec les idéologies. De ce fait, disserter au sujet de l’impérialisme aujourd’hui n’est pas très stimulant. Parler de l’impérialisme, ou des idéologies qui subsisteraient, n’aurait plus de raison d’être. Pour commencer, il faut lever le doute portant sur leur existence. Mais toute référence à l’impérialisme aurait beaucoup trop à voir avec une idéologie. Il est impossible d’octroyer même une semi-crédibilité à la description de l’impérialisme de Lénine.
Note de contenu : -Maitriser l'IA, vraiment ?
En ligne : http://www.kairospresse.be/journal/kairos-52 Qui veut la guerre [texte imprimé] / Bernard Legros, Auteur ; Alexandre Penasse, Auteur . - [S.l.] : Kairos asbl, juin/juillet/août 2025 . - 24 p. - (Kairos; 70) .
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Catégories : Revues Tags : Conflits Impérialisme Europe Guerre Résumé : La guerre est l’instrument privilégié de l’impérialisme. Sans la guerre, toutes les structures qui lui permettent d’extorquer leurs richesses aux autres nations ne servent à rien. Mais, pour l’idéologie dominante que la guerre sert à imposer — et pas seulement au reste du monde —, il n’y a plus d’impérialisme. On en a fini depuis longtemps avec l’impérialisme. Sauf en ce qui concerne la Russie. Et peut-être, qui sait, la Chine. On en a également fini avec les idéologies. De ce fait, disserter au sujet de l’impérialisme aujourd’hui n’est pas très stimulant. Parler de l’impérialisme, ou des idéologies qui subsisteraient, n’aurait plus de raison d’être. Pour commencer, il faut lever le doute portant sur leur existence. Mais toute référence à l’impérialisme aurait beaucoup trop à voir avec une idéologie. Il est impossible d’octroyer même une semi-crédibilité à la description de l’impérialisme de Lénine.
Note de contenu : -Maitriser l'IA, vraiment ?
En ligne : http://www.kairospresse.be/journal/kairos-52
Titre : Renouvellement ou développement, vivre ou mourir sans fin Type de document : texte imprimé Auteurs : Nicolas Sersiron, Auteur Editeur : Kairos asbl Année de publication : février-mars 2019 Collection : Kairos num. 38 Importance : p. 16-17 Langues : Français (fre) Tags : Société Développement Environnement Index. décimale : 06.02 Développement durable Renouvellement ou développement, vivre ou mourir sans fin [texte imprimé] / Nicolas Sersiron, Auteur . - [S.l.] : Kairos asbl, février-mars 2019 . - p. 16-17. - (Kairos; 38) .
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Tags : Société Développement Environnement Index. décimale : 06.02 Développement durable PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalink