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L'entreprise de nous tous / Guy Van Gyes
Titre : L'entreprise de nous tous : innover la participation des travailleurs en Belgique Type de document : texte imprimé Auteurs : Guy Van Gyes, Auteur ; Stan De Spiegelaere, Auteur Editeur : Leuven : ACCO Année de publication : 2015 Importance : 249 p Langues : Français (fre) Tags : Entreprises Entreprises sociales et solidaires Coopératives Travailleurs Syndicalisme Belgique Index. décimale : 05.02 Syndicalisme Résumé : La CSC organise en avril 2015 un congrès sur le thème de la participation des travailleurs dans la gestion des entreprises/organisations. Nous pensons qu’à l’occasion de ce congrès, nous pouvons aussi, en tant que scientifiques, apporter une contribution utile aux débats sur ce thème de la participation. Plusieurs scientifiques, tant Belges qu’étrangers, énoncent leurs conceptions et leur avis.
Le livre comporte trois parties. La première situe la participation des travailleurs en Belgique dans son contexte historique et fait le point sur la situation actuelle. La deuxième décrit le modèle d’entreprise de demain et formule une critique du modèle, aujourd’hui dominant, de maximisation des profits pour les actionnaires. Cette partie plaide pour un modèle de gestion davantage axé sur la durabilité à long terme que sur les gains financiers rapides. Les auteurs soulignent que nous sommes tous propriétaires de l’entreprise et que celle-ci mérite donc une meilleure gestion démocratique. Face à la financiarisation et l’influence croissante du modèle anglosaxon, il faut rétablir la tradition rhénane. La troisième partie présente quelques instruments et engage le débat sur des pistes envisageables afin de rénover la participation des travailleurs en Belgique. Plusieurs instruments de rénovation sont abordés: les formes de participation directe, une approche spécifique pour les PME et les multinationales, une représentation des travailleurs dans les conseils d’administration et la coopération en tant qu’alternative. De nouveaux objectifs sont avancés: la transition environnementale, l’innovation des entreprises et la diversité.L'entreprise de nous tous : innover la participation des travailleurs en Belgique [texte imprimé] / Guy Van Gyes, Auteur ; Stan De Spiegelaere, Auteur . - Leuven : ACCO, 2015 . - 249 p.
Langues : Français (fre)
Tags : Entreprises Entreprises sociales et solidaires Coopératives Travailleurs Syndicalisme Belgique Index. décimale : 05.02 Syndicalisme Résumé : La CSC organise en avril 2015 un congrès sur le thème de la participation des travailleurs dans la gestion des entreprises/organisations. Nous pensons qu’à l’occasion de ce congrès, nous pouvons aussi, en tant que scientifiques, apporter une contribution utile aux débats sur ce thème de la participation. Plusieurs scientifiques, tant Belges qu’étrangers, énoncent leurs conceptions et leur avis.
Le livre comporte trois parties. La première situe la participation des travailleurs en Belgique dans son contexte historique et fait le point sur la situation actuelle. La deuxième décrit le modèle d’entreprise de demain et formule une critique du modèle, aujourd’hui dominant, de maximisation des profits pour les actionnaires. Cette partie plaide pour un modèle de gestion davantage axé sur la durabilité à long terme que sur les gains financiers rapides. Les auteurs soulignent que nous sommes tous propriétaires de l’entreprise et que celle-ci mérite donc une meilleure gestion démocratique. Face à la financiarisation et l’influence croissante du modèle anglosaxon, il faut rétablir la tradition rhénane. La troisième partie présente quelques instruments et engage le débat sur des pistes envisageables afin de rénover la participation des travailleurs en Belgique. Plusieurs instruments de rénovation sont abordés: les formes de participation directe, une approche spécifique pour les PME et les multinationales, une représentation des travailleurs dans les conseils d’administration et la coopération en tant qu’alternative. De nouveaux objectifs sont avancés: la transition environnementale, l’innovation des entreprises et la diversité.L'information économique, un enjeu citoyen
Titre : L'information économique, un enjeu citoyen Type de document : texte imprimé Editeur : Groupe de Recherche pour une Stratégie économique Alternative (GRESEA) Année de publication : juillet 2009 Importance : 15 p Note générale : ARCH.GRE-2009 Langues : Français (fre) Catégories : ARCHIVES Tags : Société civile Travailleurs Syndicats Information économique Comité d'entrepris européen Continental Caterpillar Résumé : Publication diffusée à la suite du séminaire organisé le 4 juin 2009 à Seraing en collaboration avec le Centre Culturel avec pour thème "l'information socioéconomique: un enjeu citoyen"
Cette brochure comprend les articles suivants: Le syndicat à l'épreuve d'un paysage médiatique en constante évolution - Le comité d'entreprise européen: un instrument d'informations des travailleurs? - L'information du travailleur lors d'une restructuration d'entreprise: constat d'échec chez Continental Herstal - L'information du travailleur confronté à un savant montage d'ingénierie chez Caterpillar.L'information économique, un enjeu citoyen [texte imprimé] . - [S.l.] : Groupe de Recherche pour une Stratégie économique Alternative (GRESEA), juillet 2009 . - 15 p.
ARCH.GRE-2009
Langues : Français (fre)
Catégories : ARCHIVES Tags : Société civile Travailleurs Syndicats Information économique Comité d'entrepris européen Continental Caterpillar Résumé : Publication diffusée à la suite du séminaire organisé le 4 juin 2009 à Seraing en collaboration avec le Centre Culturel avec pour thème "l'information socioéconomique: un enjeu citoyen"
Cette brochure comprend les articles suivants: Le syndicat à l'épreuve d'un paysage médiatique en constante évolution - Le comité d'entreprise européen: un instrument d'informations des travailleurs? - L'information du travailleur lors d'une restructuration d'entreprise: constat d'échec chez Continental Herstal - L'information du travailleur confronté à un savant montage d'ingénierie chez Caterpillar.Usines / Cédric Lomba
Titre : Usines : ouvriers, militants, intellectuels Type de document : texte imprimé Auteurs : Cédric Lomba, Auteur ; Julian Mischi, Auteur Editeur : Paris : Seuil Année de publication : mars 2013 Collection : Actes de le recherche en sciences sociales num. 196-197 Importance : 157 p. Langues : Français (fre) Tags : Entreprises Travailleurs Histoire sociale Luttes ouvrières Femmes Syndicalisme Alternatives Index. décimale : 04.01 Entreprises - Généralités Résumé : Les oppositions, que le système scolaire inscrit dans toutes les têtes, entre le manuel et l’intellectuel, entre les choses de la matière et de l’esprit, est au principe d’une tension entre les ouvriers et les agents investis dans le monde de la culture. Les formes d’anti-intellectualisme qui se repèrent dans le monde ouvrier en sont une manifestation et le fait que les professions intellectuelles aient acquis leurs privilèges, à commencer par l’autonomie relative dont elles bénéficient, dans le cadre d’une division du travail qui laisse à d’autres les tâches de fabrication et d’exécution, reste fondamental. Mais les relations entre les deux groupes sociaux ne se résument pas à cet antagonisme, pas davantage qu’à la fonction d’encadrement des classes populaires qui échoit objectivement par exemple au monde enseignant. Occupant une position dominée, les uns dans l’ordre capitaliste, les autres dans la société bourgeoise, ils sont aussi régulièrement portés à des formes d’alliances. Toute l’histoire du mouvement ouvrier depuis le XIXe siècle est marquée par des échanges entre le monde de « l’usine » et celui de la culture. Ce numéro d’Actes de la recherche en sciences sociales entreprend de poser la question des relations entre ouvriers et intellectuels, en en restituant les nombreuses facettes et la complexité. Les deux groupes sont extrêmement différenciés. Les travailleurs intellectuels se distinguent notamment par les différents types de savoirs auxquels ils sont liés et les usages dont ils peuvent faire l’objet. Le monde ouvrier, quant à lui, est lui-même traversé par l’opposition entre manuels et intellectuels ; aux distinctions, bien connues, qui différencient par exemple les mécaniciens et les électriciens, s’ajoutent aujourd’hui des différences générationnelles liées à l’allongement des scolarités.
Les articles du numéro fournissent l’occasion de revenir sur des questions sociologiques anciennes : l’alternative entre la dépossession culturelle du monde ouvrier et l’autonomie relative dont pourraient néanmoins bénéficier des cultures qui, comme celles qui sont liées au sport, à la télévision ou au bricolage, engagent des connaissances pratiques mais aussi intellectuelles ; les mécanismes de délégation et de déférence qui régissent les échanges inégaux entre les deux groupes ; l’indifférence ouvrière à la culture dont Richard Hoggart rappelait qu’elle constituait sans doute le comportement modal ; l’ensemble des trajectoires qui se jouent des frontières entre ouvriers et intellectuels. Sur ce dernier point, le numéro évoque à la fois ces ouvriers qui sortent de la condition ouvrière, en se constituant un capital à composante en partie culturelle, mais aussi sur ces intellectuels qui, à l’image des « établis », quittent le monde de la culture pour se faire embaucher comme ouvriers ou qui se mettent à produire et à diffuser un savoir critique pour nourrir une résistance ouvrière au patronat.
Le numéro est attentif à la spécificité des moments historiques. La période de mai-juin 1968 en France ou le contexte qui vit au Brésil le développement du mouvement syndical dont est issu Lula, ont, par exemple, constitué des conjonctures privilégiées au regard des relations entre les deux groupes. Qu’en est-il dans ces conditions de la période contemporaine ? Le numéro montre qu’elle donne à voir simultanément des éléments de continuité et des facteurs de transformation. Le monde ouvrier n’a pas autant changé que ne le disent certains commentateurs pressés. En dépit de son déclin numérique, il préserve un poids important. Les rythmes contraints, l’instabilité de l’emploi, la faiblesse des revenus, la pénibilité d’un travail limité à des tâches manuelles subalternes sont des caractéristiques persistantes de la condition ouvrière. Le groupe, cependant, s’est transformé sous l’effet de transformations aussi fondamentales que le recul de l’emploi industriel ou que l’expansion de la scolarisation. L’École joue un rôle accru dans les trajectoires ouvrières et modifie la structuration interne du groupe, comme ses relations avec les autres classes. Le rôle accordé aux « partenaires sociaux » s’est, de son côté, institué. Il y a une forme de paradoxe dans la situation contemporaine. Le groupe, en un sens, n’a jamais été mieux à même de s’approprier et de produire une expertise savante, mais il peine de plus en plus à accéder à l’expression publique. Une autre manière d’attirer l’attention sur les effets contraires des évolutions actuelles consiste à remarquer que, tandis que l’élévation générale du niveau d’instruction pourrait contribuer à un rapprochement du monde ouvrier et des professions intellectuelles, la ségrégation résidentielle croissante conduit les deux groupes à partager de moins en moins souvent les mêmes espaces de vie.
L’approche développée dans le numéro se caractérise enfin par l’intérêt particulier porté à l’espace de l’usine. Celui-ci est un lieu de production relativement clos où les ouvriers entrent en interaction avec des « professionnels de la manipulation des biens symboliques » de différents statuts : des professions intellectuelles administratives ou techniques, sous statut « cadre », des catégories intermédiaires qui occupent des fonctions d’organisation, mais aussi des intellectuels qui ont des fonctions légitimatrices ou critiques de l’ordre usinier : experts, gestionnaires, médecins et psychologues du travail, universitaires, journalistes, artistes, etc. L’usine est aussi un espace où se croisent, souvent à distance, diverses catégories d’ouvriers, de militants et de professions intellectuelles. Lieu de conflits et d’engagement, elle constitue une matrice au militantisme ouvrier, vers les syndicats surtout, mais aussi vers les partis issus du mouvement ouvrier, qui constituèrent longtemps des espaces de fréquentation entre des ouvriers et des intellectuels, en particulier des enseignants.Usines : ouvriers, militants, intellectuels [texte imprimé] / Cédric Lomba, Auteur ; Julian Mischi, Auteur . - Paris : Seuil, mars 2013 . - 157 p.. - (Actes de le recherche en sciences sociales; 196-197) .
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Tags : Entreprises Travailleurs Histoire sociale Luttes ouvrières Femmes Syndicalisme Alternatives Index. décimale : 04.01 Entreprises - Généralités Résumé : Les oppositions, que le système scolaire inscrit dans toutes les têtes, entre le manuel et l’intellectuel, entre les choses de la matière et de l’esprit, est au principe d’une tension entre les ouvriers et les agents investis dans le monde de la culture. Les formes d’anti-intellectualisme qui se repèrent dans le monde ouvrier en sont une manifestation et le fait que les professions intellectuelles aient acquis leurs privilèges, à commencer par l’autonomie relative dont elles bénéficient, dans le cadre d’une division du travail qui laisse à d’autres les tâches de fabrication et d’exécution, reste fondamental. Mais les relations entre les deux groupes sociaux ne se résument pas à cet antagonisme, pas davantage qu’à la fonction d’encadrement des classes populaires qui échoit objectivement par exemple au monde enseignant. Occupant une position dominée, les uns dans l’ordre capitaliste, les autres dans la société bourgeoise, ils sont aussi régulièrement portés à des formes d’alliances. Toute l’histoire du mouvement ouvrier depuis le XIXe siècle est marquée par des échanges entre le monde de « l’usine » et celui de la culture. Ce numéro d’Actes de la recherche en sciences sociales entreprend de poser la question des relations entre ouvriers et intellectuels, en en restituant les nombreuses facettes et la complexité. Les deux groupes sont extrêmement différenciés. Les travailleurs intellectuels se distinguent notamment par les différents types de savoirs auxquels ils sont liés et les usages dont ils peuvent faire l’objet. Le monde ouvrier, quant à lui, est lui-même traversé par l’opposition entre manuels et intellectuels ; aux distinctions, bien connues, qui différencient par exemple les mécaniciens et les électriciens, s’ajoutent aujourd’hui des différences générationnelles liées à l’allongement des scolarités.
Les articles du numéro fournissent l’occasion de revenir sur des questions sociologiques anciennes : l’alternative entre la dépossession culturelle du monde ouvrier et l’autonomie relative dont pourraient néanmoins bénéficier des cultures qui, comme celles qui sont liées au sport, à la télévision ou au bricolage, engagent des connaissances pratiques mais aussi intellectuelles ; les mécanismes de délégation et de déférence qui régissent les échanges inégaux entre les deux groupes ; l’indifférence ouvrière à la culture dont Richard Hoggart rappelait qu’elle constituait sans doute le comportement modal ; l’ensemble des trajectoires qui se jouent des frontières entre ouvriers et intellectuels. Sur ce dernier point, le numéro évoque à la fois ces ouvriers qui sortent de la condition ouvrière, en se constituant un capital à composante en partie culturelle, mais aussi sur ces intellectuels qui, à l’image des « établis », quittent le monde de la culture pour se faire embaucher comme ouvriers ou qui se mettent à produire et à diffuser un savoir critique pour nourrir une résistance ouvrière au patronat.
Le numéro est attentif à la spécificité des moments historiques. La période de mai-juin 1968 en France ou le contexte qui vit au Brésil le développement du mouvement syndical dont est issu Lula, ont, par exemple, constitué des conjonctures privilégiées au regard des relations entre les deux groupes. Qu’en est-il dans ces conditions de la période contemporaine ? Le numéro montre qu’elle donne à voir simultanément des éléments de continuité et des facteurs de transformation. Le monde ouvrier n’a pas autant changé que ne le disent certains commentateurs pressés. En dépit de son déclin numérique, il préserve un poids important. Les rythmes contraints, l’instabilité de l’emploi, la faiblesse des revenus, la pénibilité d’un travail limité à des tâches manuelles subalternes sont des caractéristiques persistantes de la condition ouvrière. Le groupe, cependant, s’est transformé sous l’effet de transformations aussi fondamentales que le recul de l’emploi industriel ou que l’expansion de la scolarisation. L’École joue un rôle accru dans les trajectoires ouvrières et modifie la structuration interne du groupe, comme ses relations avec les autres classes. Le rôle accordé aux « partenaires sociaux » s’est, de son côté, institué. Il y a une forme de paradoxe dans la situation contemporaine. Le groupe, en un sens, n’a jamais été mieux à même de s’approprier et de produire une expertise savante, mais il peine de plus en plus à accéder à l’expression publique. Une autre manière d’attirer l’attention sur les effets contraires des évolutions actuelles consiste à remarquer que, tandis que l’élévation générale du niveau d’instruction pourrait contribuer à un rapprochement du monde ouvrier et des professions intellectuelles, la ségrégation résidentielle croissante conduit les deux groupes à partager de moins en moins souvent les mêmes espaces de vie.
L’approche développée dans le numéro se caractérise enfin par l’intérêt particulier porté à l’espace de l’usine. Celui-ci est un lieu de production relativement clos où les ouvriers entrent en interaction avec des « professionnels de la manipulation des biens symboliques » de différents statuts : des professions intellectuelles administratives ou techniques, sous statut « cadre », des catégories intermédiaires qui occupent des fonctions d’organisation, mais aussi des intellectuels qui ont des fonctions légitimatrices ou critiques de l’ordre usinier : experts, gestionnaires, médecins et psychologues du travail, universitaires, journalistes, artistes, etc. L’usine est aussi un espace où se croisent, souvent à distance, diverses catégories d’ouvriers, de militants et de professions intellectuelles. Lieu de conflits et d’engagement, elle constitue une matrice au militantisme ouvrier, vers les syndicats surtout, mais aussi vers les partis issus du mouvement ouvrier, qui constituèrent longtemps des espaces de fréquentation entre des ouvriers et des intellectuels, en particulier des enseignants.L'entreprise en restructuration / Claude Didry
Titre : L'entreprise en restructuration : dynamiques institutionnelles et mobilisations collectives Type de document : texte imprimé Auteurs : Claude Didry, Auteur ; Annette Jobert, Auteur Editeur : Presses Universitaires de Rennes Année de publication : 2010 Collection : Economie et société Importance : 271 p Note générale : 04.01.DID Langues : Français (fre) Catégories : Entreprises multinationales
DroitTags : Entreprises Restructurations Travailleurs Sociétés transnationales Index. décimale : 04.01 Entreprises - Généralités Résumé : Cet ouvrage envisage les restructurations au croisement des pratiques managériales et de l’intervention des salariés et de leurs représentants dans l’entreprise. Il explore des dynamiques institutionnelles à partir de l’analyse des dispositifs juridiques européens et nationaux et d’enquêtes de terrain dans les entreprises, en adoptant une perspective transnationale et pluridisciplinaire liant histoire, économie, droit et sociologie.
Regard historique sur les restructurations en France
Les cadres juridiques des restructurations, une perspective internationale
Les nouvelles dynamiques de la négociation dans l’entreprise
Restructuration et représentation des salariés
Restructuration dans les firmes multinationalesL'entreprise en restructuration : dynamiques institutionnelles et mobilisations collectives [texte imprimé] / Claude Didry, Auteur ; Annette Jobert, Auteur . - [S.l.] : Presses Universitaires de Rennes, 2010 . - 271 p. - (Economie et société) .
04.01.DID
Langues : Français (fre)
Catégories : Entreprises multinationales
DroitTags : Entreprises Restructurations Travailleurs Sociétés transnationales Index. décimale : 04.01 Entreprises - Généralités Résumé : Cet ouvrage envisage les restructurations au croisement des pratiques managériales et de l’intervention des salariés et de leurs représentants dans l’entreprise. Il explore des dynamiques institutionnelles à partir de l’analyse des dispositifs juridiques européens et nationaux et d’enquêtes de terrain dans les entreprises, en adoptant une perspective transnationale et pluridisciplinaire liant histoire, économie, droit et sociologie.
Regard historique sur les restructurations en France
Les cadres juridiques des restructurations, une perspective internationale
Les nouvelles dynamiques de la négociation dans l’entreprise
Restructuration et représentation des salariés
Restructuration dans les firmes multinationalesLa France conteste / Charles Tilly
Titre : La France conteste : de 1600 à nos jours Type de document : texte imprimé Auteurs : Charles Tilly, Auteur Editeur : Paris : Fayard Année de publication : 1986 Collection : L'espace du politique Importance : 622 p Langues : Français (fre) Catégories : Alternatives
Histoire politiqueTags : Politique Mouvements sociaux Alternatives Travailleurs Histoire sociale Index. décimale : 07.01 Société civile Résumé : De 1600 à nos jours, la France n'a jamais cessé de connaître, avec une intensité variable selon les époques, des agitations populaires. Charles Tilly s'est attaché à restituer dans toute son ampleur l'histoire de ces groupements de personnes agissant ensemble, réunies par des griefs et des espoirs communs, défendant des intérêts partagés. Ces actions collectives ont leur propre histoire, puisque les mots d'ordre changent, les capacités d'agir évoluent, les moyens de l'action se transforment et que les possibilités de s'organiser ne se présentent pas toujours. L'histoire de la contestation est donc une histoire discontinue. A priori, il n'est rien de semblable entre le Lanturlu de février 1630 à Dijon, violente émeute antifiscale, les manifestations ouvrières répétées de la Nation à la République, les défilés étudiants de mai 68, ou les saccages des préfectures aujourd'hui par les agriculteurs. La France conteste : de 1600 à nos jours [texte imprimé] / Charles Tilly, Auteur . - Paris : Fayard, 1986 . - 622 p. - (L'espace du politique) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Alternatives
Histoire politiqueTags : Politique Mouvements sociaux Alternatives Travailleurs Histoire sociale Index. décimale : 07.01 Société civile Résumé : De 1600 à nos jours, la France n'a jamais cessé de connaître, avec une intensité variable selon les époques, des agitations populaires. Charles Tilly s'est attaché à restituer dans toute son ampleur l'histoire de ces groupements de personnes agissant ensemble, réunies par des griefs et des espoirs communs, défendant des intérêts partagés. Ces actions collectives ont leur propre histoire, puisque les mots d'ordre changent, les capacités d'agir évoluent, les moyens de l'action se transforment et que les possibilités de s'organiser ne se présentent pas toujours. L'histoire de la contestation est donc une histoire discontinue. A priori, il n'est rien de semblable entre le Lanturlu de février 1630 à Dijon, violente émeute antifiscale, les manifestations ouvrières répétées de la Nation à la République, les défilés étudiants de mai 68, ou les saccages des préfectures aujourd'hui par les agriculteurs. From silence to protest / Didier Chabanet
PermalinkPermalinkLes lieux de la colère / Hélène Combes
PermalinkÀ la prochaine... / Pierre Cours-Salies
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