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Titre : Autonomous policy making by international organizations Type de document : texte imprimé Auteurs : Bob Reinalda, Auteur ; Bertjan Verbeek, Auteur Editeur : Routledge Année de publication : 1998 Collection : ECPR Studies in European Political Science Importance : 235 p Langues : Anglais (eng) Catégories : Théories politiques Tags : Organisations internationales Sciences politiques Gouvernance Index. décimale : 08.02 Théories politiques Résumé : This volume assesses the importance of international organisations in global governance during the last ten years. The prestigious team of international contributors seek to determine the ways in which IO's contribute to the solution of global problems by influencing international decision-making in ways that go beyond the lowest common denominator of national interests. Autonomous policy making by international organizations [texte imprimé] / Bob Reinalda, Auteur ; Bertjan Verbeek, Auteur . - UK : Routledge, 1998 . - 235 p. - (ECPR Studies in European Political Science) .
Langues : Anglais (eng)
Catégories : Théories politiques Tags : Organisations internationales Sciences politiques Gouvernance Index. décimale : 08.02 Théories politiques Résumé : This volume assesses the importance of international organisations in global governance during the last ten years. The prestigious team of international contributors seek to determine the ways in which IO's contribute to the solution of global problems by influencing international decision-making in ways that go beyond the lowest common denominator of national interests.
Titre : La grande controverse au sein du mouvement Type de document : document électronique Editeur : Attac Bruxelles Année de publication : octobre 2012 Collection : Les documents Importance : 36 p Langues : Français (fre) Tags : Sciences politiques Mondialisation Alternatives Résumé : Succès inattendu : en France, le terme de «démondialisation», popularisé (entre autres) par Jacques Sapir puis par Arnaud Montebourg, a suscité un énorme tohubohu. A droite, c’était attendu. Mais à l’autre bout de l’échiquier ? De fait, là aussi un véritable front du refus s’est constitué pour faire flèche de tout bois. A sa tête… ? Attac-France, rien moins. Les principaux dirigeants de l’organisation ont, en effet, rendu public (en juin 2011) un texte au vitriol condamnant par avance toute idée ou tentation de repli national que supposerait la mécanique démondialisatrice: «C'est dans ces moments d'extrême tension que les politiques brunes se fraient un chemin sous les déguisements les plus divers. La guerre commerciale et monétaire aggraverait la concurrence entre les États et détruirait l'idéal de solidarité que doit porter tout projet progressiste». Est-ce pour autant la guerre ouverte entre les nouveaux démondialisateurs et les altermondialistes «canal historique» d'Attac ? Au début en tous cas, il faut reconnaître que les propos des uns n’ont pas été très courtois envers les autres. Mais là n’est pas l’essentiel. A ce texte assassin d'Attac-France ont vite répondu d’autres figures emblématiques du mouvement –qu’elles aient été ouvertement mises en cause (Frédéric Lordon et Bernard Cassen) ou indirectement visées (tel Jacques Nikonoff). Sur le fond, le débat «Alter ou démondialisme ?» va évidemment laisser des traces. Car la direction d’Attac n'a pas hésité à associer les partisans de la démondialisation au Front National. Au-delà de l’insulte, n’est-ce pas une erreur d’analyse politique ? En réalité, le regain d'attention envers le fait national ne doit rien à l'extrême droite, mais a été maturé au sein de la gauche française à travers la réhabilitation de l’Etat. La raison de cette «inclination » ? Rien d’autre que l’attachement à un certain Etat social (que la revendication ouvrière a su faire valoir) et dont la légitimité vient de la capacité à encore maintenir des droits civils spécifiques dans le cadre national –parce qu’ils restent surdéterminés par une logique de lutte de classes propre à chaque pays… «La démondialisation» retravaille ainsi la configuration idéologique de la gauche –partagée entre une force politique d'accompagnement de la mondialisation néolibérale, et une gauche antilibérale qui doit, pour convaincre, construire un programme anticapitaliste concret aux étapes échelonnées. Il est donc crucial de sortir d’une épure hypothétique (la formation d’un immense mouvement de contestation surgissant au même moment, et partout à la fois en Europe) pour enfin se doter d’une trajectoire qui redonne à chaque peuple une prise sur son destin. Cette étape préalable –qui repose sur la souveraineté retrouvée de chaque pays (où chaque peuple se donne le droit de décider)– ne signifie pas le repli sur soi. Au contraire. L’abandon d’une utopie internationaliste complètement abstraite est un pas en avant vers une véritable coopération entre nations à l’échelle de l’Europe et du monde. Telle est, en tous cas, la thèse défendue par les auteurs, dont les écrits foudroyants sont ici réunis. La grande controverse au sein du mouvement [document électronique] . - [S.l.] : Attac Bruxelles, octobre 2012 . - 36 p. - (Les documents) .
Langues : Français (fre)
Tags : Sciences politiques Mondialisation Alternatives Résumé : Succès inattendu : en France, le terme de «démondialisation», popularisé (entre autres) par Jacques Sapir puis par Arnaud Montebourg, a suscité un énorme tohubohu. A droite, c’était attendu. Mais à l’autre bout de l’échiquier ? De fait, là aussi un véritable front du refus s’est constitué pour faire flèche de tout bois. A sa tête… ? Attac-France, rien moins. Les principaux dirigeants de l’organisation ont, en effet, rendu public (en juin 2011) un texte au vitriol condamnant par avance toute idée ou tentation de repli national que supposerait la mécanique démondialisatrice: «C'est dans ces moments d'extrême tension que les politiques brunes se fraient un chemin sous les déguisements les plus divers. La guerre commerciale et monétaire aggraverait la concurrence entre les États et détruirait l'idéal de solidarité que doit porter tout projet progressiste». Est-ce pour autant la guerre ouverte entre les nouveaux démondialisateurs et les altermondialistes «canal historique» d'Attac ? Au début en tous cas, il faut reconnaître que les propos des uns n’ont pas été très courtois envers les autres. Mais là n’est pas l’essentiel. A ce texte assassin d'Attac-France ont vite répondu d’autres figures emblématiques du mouvement –qu’elles aient été ouvertement mises en cause (Frédéric Lordon et Bernard Cassen) ou indirectement visées (tel Jacques Nikonoff). Sur le fond, le débat «Alter ou démondialisme ?» va évidemment laisser des traces. Car la direction d’Attac n'a pas hésité à associer les partisans de la démondialisation au Front National. Au-delà de l’insulte, n’est-ce pas une erreur d’analyse politique ? En réalité, le regain d'attention envers le fait national ne doit rien à l'extrême droite, mais a été maturé au sein de la gauche française à travers la réhabilitation de l’Etat. La raison de cette «inclination » ? Rien d’autre que l’attachement à un certain Etat social (que la revendication ouvrière a su faire valoir) et dont la légitimité vient de la capacité à encore maintenir des droits civils spécifiques dans le cadre national –parce qu’ils restent surdéterminés par une logique de lutte de classes propre à chaque pays… «La démondialisation» retravaille ainsi la configuration idéologique de la gauche –partagée entre une force politique d'accompagnement de la mondialisation néolibérale, et une gauche antilibérale qui doit, pour convaincre, construire un programme anticapitaliste concret aux étapes échelonnées. Il est donc crucial de sortir d’une épure hypothétique (la formation d’un immense mouvement de contestation surgissant au même moment, et partout à la fois en Europe) pour enfin se doter d’une trajectoire qui redonne à chaque peuple une prise sur son destin. Cette étape préalable –qui repose sur la souveraineté retrouvée de chaque pays (où chaque peuple se donne le droit de décider)– ne signifie pas le repli sur soi. Au contraire. L’abandon d’une utopie internationaliste complètement abstraite est un pas en avant vers une véritable coopération entre nations à l’échelle de l’Europe et du monde. Telle est, en tous cas, la thèse défendue par les auteurs, dont les écrits foudroyants sont ici réunis. Documents numériques
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Titre : Le nouveau XXIe siècle : du siècle "américain" au retour des nations Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Sapir, Auteur Editeur : Paris : Seuil Année de publication : 2008 Importance : 250 p. Langues : Français (fre) Catégories : Histoire économique Tags : Stratégies économiques Sciences politiques Etats-Unis Impérialisme Histoire économique Histoire politique Militarisation Index. décimale : 01 Economie Résumé : La dissolution de l'URSS et la guerre du Koweït ont signé en 1991 la fin du XXe siècle. On imaginait alors un XXIe siècle dominé par les États-Unis, hyper puissance militaire et économique. Mais ce " siècle américain " a avorté entre 1997 et 2003. La crise financière internationale de 1997-1998 a suscité l'irruption de nouvelles stratégies économiques, le sursaut de la Russie, la rupture de nombreux pays latino-américains avec le modèle américain et l'émergence de la Chine comme pivot de la stabilité en Extrême-Orient. En tentant de restaurer leur hégémonie par la force, les États-Unis ont engendré, en Afghanistan et en Irak, deux désastres militaires et politiques. Alors qu'ils faisaient figure de victime le 11 septembre 2001, ils sont aujourd'hui isolés diplomatiquement et doivent affronter l'image de Guantanamo et des tortures à Abou Ghraïb. Sous nos yeux naît un nouveau XXIe siècle, sans puissance régulatrice, marqué par un monde multipolaire et où la souveraineté nationale redevient un axe clé de la pensée politique. Las, les élites européennes tardent à reconsidérer leurs politiques à l'aune de cette nouvelle donne. Comme leurs aînées incapables de comprendre le XXe siècle ouvert par la " Grande Guerre ", elles s'accrochent à des prismes politiques obsolètes. Pour combattre la répétition de cette erreur funeste, Jacques Sapir s'attache à montrer quelles leçons la France et l'Europe devraient tirer d'une perception plus juste du siècle qui vient. En ligne : http://www.thecornerhouse.org.uk/resource/no-patents-life Le nouveau XXIe siècle : du siècle "américain" au retour des nations [texte imprimé] / Jacques Sapir, Auteur . - Paris : Seuil, 2008 . - 250 p.
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Catégories : Histoire économique Tags : Stratégies économiques Sciences politiques Etats-Unis Impérialisme Histoire économique Histoire politique Militarisation Index. décimale : 01 Economie Résumé : La dissolution de l'URSS et la guerre du Koweït ont signé en 1991 la fin du XXe siècle. On imaginait alors un XXIe siècle dominé par les États-Unis, hyper puissance militaire et économique. Mais ce " siècle américain " a avorté entre 1997 et 2003. La crise financière internationale de 1997-1998 a suscité l'irruption de nouvelles stratégies économiques, le sursaut de la Russie, la rupture de nombreux pays latino-américains avec le modèle américain et l'émergence de la Chine comme pivot de la stabilité en Extrême-Orient. En tentant de restaurer leur hégémonie par la force, les États-Unis ont engendré, en Afghanistan et en Irak, deux désastres militaires et politiques. Alors qu'ils faisaient figure de victime le 11 septembre 2001, ils sont aujourd'hui isolés diplomatiquement et doivent affronter l'image de Guantanamo et des tortures à Abou Ghraïb. Sous nos yeux naît un nouveau XXIe siècle, sans puissance régulatrice, marqué par un monde multipolaire et où la souveraineté nationale redevient un axe clé de la pensée politique. Las, les élites européennes tardent à reconsidérer leurs politiques à l'aune de cette nouvelle donne. Comme leurs aînées incapables de comprendre le XXe siècle ouvert par la " Grande Guerre ", elles s'accrochent à des prismes politiques obsolètes. Pour combattre la répétition de cette erreur funeste, Jacques Sapir s'attache à montrer quelles leçons la France et l'Europe devraient tirer d'une perception plus juste du siècle qui vient. En ligne : http://www.thecornerhouse.org.uk/resource/no-patents-life
Titre : De l'intégration nationale à l'intégration continentale : analyse de la dynamique d'intégration supranationale européenne des origines à nos jours Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Christophe Defraigne, Auteur Editeur : Paris [France] : L'Harmattan Année de publication : 2004 Importance : 316 p Langues : Français (fre) Catégories : Europe Tags : Géopolitique Relations internationales Diplomatie Sciences politiques Europe Index. décimale : 03.02 Accords Commerciaux Résumé : Les trois grands processus d'intégration continentaux - Europe, Amérique du Nord et Asie de l'Est - déterminent-ils aujourd'hui une plus grande libéralisation du commerce et des investissements au niveau multilatéral, et une diminution des interventions étatiques dans le fonctionnement de la production et des échanges internationaux ? Ou bien faut-il y voir une consolidation des appareils d'Etat à l'échelle continentale ? Pour aborder ces questions, l'auteur analyse la dynamique à l'origine du plus ancien processus d'intégration supranational, celui du continent européen. De l'intégration nationale à l'intégration continentale : analyse de la dynamique d'intégration supranationale européenne des origines à nos jours [texte imprimé] / Jean-Christophe Defraigne, Auteur . - Paris (5-7, rue de l'École-Polytechnique, France) : L'Harmattan, 2004 . - 316 p.
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Catégories : Europe Tags : Géopolitique Relations internationales Diplomatie Sciences politiques Europe Index. décimale : 03.02 Accords Commerciaux Résumé : Les trois grands processus d'intégration continentaux - Europe, Amérique du Nord et Asie de l'Est - déterminent-ils aujourd'hui une plus grande libéralisation du commerce et des investissements au niveau multilatéral, et une diminution des interventions étatiques dans le fonctionnement de la production et des échanges internationaux ? Ou bien faut-il y voir une consolidation des appareils d'Etat à l'échelle continentale ? Pour aborder ces questions, l'auteur analyse la dynamique à l'origine du plus ancien processus d'intégration supranational, celui du continent européen.