Titre : |
Le droit à l’alimentation bafoué par l’exploitation des ressources naturelles : quelle responsabilisation du secteur privé ? |
Type de document : |
document électronique |
Auteurs : |
Frédéric Triest, Auteur |
Editeur : |
Bruxelles : Commission Justice et Paix |
Année de publication : |
juin 2012 |
Importance : |
5 p. |
Langues : |
Français (fre) |
Tags : |
Acteurs économiques Droits de l’Homme Ressources naturelles Souveraineté alimentaire |
Résumé : |
Le droit à l’alimentation est « le droit d’avoir un accès régulier, permanent et libre, soit directement, soit au moyen d’achats monétaires, à une nourriture quantitativement et qualitativement adéquate et suffisante, correspondant aux traditions culturelles du peuple dont est issu le consommateur, et qui assure une vie psychique et physique, individuelle et collective, libre d’angoisse, satisfaisante et digne ». L’analyse mentionne quelques exemple de secteurs de notre économie (agrobusiness, agro carburants, hydrocarbures et mines, finance) portent atteinte à ce droit.
Le premier problème ici est que les conventions internationales relatives aux droits humains ne contiennent pas de normes contraignantes pour le secteur privé. Il existe bien des normes juridiques dites « volontaires » (soft law) et des mécanismes d’autorégulation engageant les entreprises à respecter les droits humains. Mais elles se sont montrées jusqu’à présent insuffisantes pour réguler efficacement le comportement des entreprises. |
En ligne : |
http://www.justicepaix.be/?article564 |
Le droit à l’alimentation bafoué par l’exploitation des ressources naturelles : quelle responsabilisation du secteur privé ? [document électronique] / Frédéric Triest, Auteur . - Bruxelles (rue Maurice Liétart 31/6, 1150) : Commission Justice et Paix, juin 2012 . - 5 p. Langues : Français ( fre)
Tags : |
Acteurs économiques Droits de l’Homme Ressources naturelles Souveraineté alimentaire |
Résumé : |
Le droit à l’alimentation est « le droit d’avoir un accès régulier, permanent et libre, soit directement, soit au moyen d’achats monétaires, à une nourriture quantitativement et qualitativement adéquate et suffisante, correspondant aux traditions culturelles du peuple dont est issu le consommateur, et qui assure une vie psychique et physique, individuelle et collective, libre d’angoisse, satisfaisante et digne ». L’analyse mentionne quelques exemple de secteurs de notre économie (agrobusiness, agro carburants, hydrocarbures et mines, finance) portent atteinte à ce droit.
Le premier problème ici est que les conventions internationales relatives aux droits humains ne contiennent pas de normes contraignantes pour le secteur privé. Il existe bien des normes juridiques dites « volontaires » (soft law) et des mécanismes d’autorégulation engageant les entreprises à respecter les droits humains. Mais elles se sont montrées jusqu’à présent insuffisantes pour réguler efficacement le comportement des entreprises. |
En ligne : |
http://www.justicepaix.be/?article564 |
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