Titre : |
La « dictature » des marchés financiers : un trompe-l'oeil médiatique. Social-démocratie, think tanks et communication politique |
Type de document : |
document électronique |
Auteurs : |
Geoffrey Geuens, Auteur |
Editeur : |
SERAING : IHOES |
Année de publication : |
novembre 2011 |
Collection : |
Analyses num. 81 |
Importance : |
3 p |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Crise économique et financière
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Tags : |
Marchés financiers Crise financière et économique Think thank Communication politique Néolibéralisme |
Résumé : |
Pour la très grande majorité des leaders sociaux-démocrates, la crise financière serait avant tout l’expression des excès d’un système devenu « fou » et d’une idéologie néo-libérale relayée par la « droite » et les « banquiers ». Cette représentation singulière de la crise – laquelle relève à la fois d’une stratégie de confinement et de moralisation du débat – n’est pas incompatible, bien au contraire, avec un discours en appelant à la « responsabilité » du monde syndical et à la « rigueur »
budgétaire. De la dénonciation des marchés financiers à la pédagogie de l’austérité, il n’y a parfois qu’un pas, franchi par certains intellectuels et politiques français rattachés à la « troisième voie » sociale-libérale. Une analyse détaillée des positions occupées dans le champ du pouvoir par ces personnalités « progressistes », situées à la croisée de la haute fonction publique et de la haute finance, aboutit à un triple constat (...) |
En ligne : |
http://www.ihoes.be/PDF/Analyse_81_Dictature_marches.pdf |
La « dictature » des marchés financiers : un trompe-l'oeil médiatique. Social-démocratie, think tanks et communication politique [document électronique] / Geoffrey Geuens, Auteur . - SERAING (3, Avenue Montesquieu, 4101) : IHOES, novembre 2011 . - 3 p. - ( Analyses; 81) . Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Crise économique et financière
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Tags : |
Marchés financiers Crise financière et économique Think thank Communication politique Néolibéralisme |
Résumé : |
Pour la très grande majorité des leaders sociaux-démocrates, la crise financière serait avant tout l’expression des excès d’un système devenu « fou » et d’une idéologie néo-libérale relayée par la « droite » et les « banquiers ». Cette représentation singulière de la crise – laquelle relève à la fois d’une stratégie de confinement et de moralisation du débat – n’est pas incompatible, bien au contraire, avec un discours en appelant à la « responsabilité » du monde syndical et à la « rigueur »
budgétaire. De la dénonciation des marchés financiers à la pédagogie de l’austérité, il n’y a parfois qu’un pas, franchi par certains intellectuels et politiques français rattachés à la « troisième voie » sociale-libérale. Une analyse détaillée des positions occupées dans le champ du pouvoir par ces personnalités « progressistes », situées à la croisée de la haute fonction publique et de la haute finance, aboutit à un triple constat (...) |
En ligne : |
http://www.ihoes.be/PDF/Analyse_81_Dictature_marches.pdf |
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