Détail de l'indexation
REVUES |
Ouvrages de la bibliothèque en indexation REVUES


Titre : Crise de régime Type de document : texte imprimé Auteurs : Céline Mouzon, Auteur ; Catherine Mathieu, Auteur ; Antoine De Ravignan, Auteur Editeur : Paris [France] : Alternatives Economiques Année de publication : avril 2023 Collection : Alternatives économiques num. 433 Importance : 98 p Langues : Français (fre) Tags : retraites Luttes sociales Salaires Finance publique Environnement Index. décimale : REVUES Résumé : Emmanuel Macron a provoqué un bras de fer avec son propre pays. En réaffirmant le 22 mars dernier la « nécessité » de la réforme des retraites adoptée au forceps par un Parlement réduit au rang de chambre d’enregistrement, le président de la République a pris le risque de souffler sur les braises d’un conflit social qui avait su rester pacifique jusqu’ici. Il oppose une fin de non-recevoir à la mobilisation populaire comme aux syndicats, ressoudés autour d’une CFDT requinquée par sa détermination sans faille à s’opposer à la réforme. L’intransigeance du président est le produit détonant de sa méthode, faite d’entêtement idéologique, de mépris pour le dialogue social et de brutalisation du processus démocratique. Dans un pays qui n’a jamais eu la culture du compromis social, il est urgent de changer de logiciel et que la gauche enfourche le cheval de bataille sur les conditions de travail des classes moyennes et modestes. Sans quoi le Rassemblement national récoltera les fruits de ce printemps du mécontentement. Note de contenu : -Immigration, vers une loi à la découpe ? p.46-47
-Royaume-Uni, les raisons de la colère p.50-53
-ArcelorMittal, acier vert au Nord, acier sale au Sud p.68-69
-La désinformation sur l'éolien est massive p.70-74Crise de régime [texte imprimé] / Céline Mouzon, Auteur ; Catherine Mathieu, Auteur ; Antoine De Ravignan, Auteur . - Paris (28 rue du Sentier, 75002, France) : Alternatives Economiques, avril 2023 . - 98 p. - (Alternatives économiques; 433) .
Langues : Français (fre)
Tags : retraites Luttes sociales Salaires Finance publique Environnement Index. décimale : REVUES Résumé : Emmanuel Macron a provoqué un bras de fer avec son propre pays. En réaffirmant le 22 mars dernier la « nécessité » de la réforme des retraites adoptée au forceps par un Parlement réduit au rang de chambre d’enregistrement, le président de la République a pris le risque de souffler sur les braises d’un conflit social qui avait su rester pacifique jusqu’ici. Il oppose une fin de non-recevoir à la mobilisation populaire comme aux syndicats, ressoudés autour d’une CFDT requinquée par sa détermination sans faille à s’opposer à la réforme. L’intransigeance du président est le produit détonant de sa méthode, faite d’entêtement idéologique, de mépris pour le dialogue social et de brutalisation du processus démocratique. Dans un pays qui n’a jamais eu la culture du compromis social, il est urgent de changer de logiciel et que la gauche enfourche le cheval de bataille sur les conditions de travail des classes moyennes et modestes. Sans quoi le Rassemblement national récoltera les fruits de ce printemps du mécontentement. Note de contenu : -Immigration, vers une loi à la découpe ? p.46-47
-Royaume-Uni, les raisons de la colère p.50-53
-ArcelorMittal, acier vert au Nord, acier sale au Sud p.68-69
-La désinformation sur l'éolien est massive p.70-74
Titre : La culture peut-elle se relever Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Chavagneux, Auteur Editeur : Paris [France] : Alternatives Economiques Année de publication : juin 2021 Collection : Alternatives économiques num. 413 Importance : 98 p Langues : Français (fre) Tags : Alternatives Economie Santé Environnement Index. décimale : REVUES Résumé : Toute l’économie de la culture vacille encore sous l’effet des confinements qui révèlent à quel point ce secteur ne peut être livré qu’au seul jeu du marché. Les cinéphiles retrouveront-ils le chemin des salles obscures et les touristes pourront-ils reprendre celui des musées ? Une chose est sûre : la culture va devoir se réinventer pour se relever. Note de contenu : -L'Europe va-t-elle encore imposer l'austérité ? p.44-47
-Au secours, mes actionnaires sont écolos! p.52-55
-Quel avenir pour le marché européen du carbone ? p.60-63
-John Stuart Mill, le socialiste p.78-79En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/bulle-speculative/00085012 La culture peut-elle se relever [texte imprimé] / Christian Chavagneux, Auteur . - Paris (28 rue du Sentier, 75002, France) : Alternatives Economiques, juin 2021 . - 98 p. - (Alternatives économiques; 413) .
Langues : Français (fre)
Tags : Alternatives Economie Santé Environnement Index. décimale : REVUES Résumé : Toute l’économie de la culture vacille encore sous l’effet des confinements qui révèlent à quel point ce secteur ne peut être livré qu’au seul jeu du marché. Les cinéphiles retrouveront-ils le chemin des salles obscures et les touristes pourront-ils reprendre celui des musées ? Une chose est sûre : la culture va devoir se réinventer pour se relever. Note de contenu : -L'Europe va-t-elle encore imposer l'austérité ? p.44-47
-Au secours, mes actionnaires sont écolos! p.52-55
-Quel avenir pour le marché européen du carbone ? p.60-63
-John Stuart Mill, le socialiste p.78-79En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/bulle-speculative/00085012
Titre : Démondialisation ? Type de document : texte imprimé Auteurs : François Houtart, Auteur ; Jacques Bastin, Auteur Editeur : Louvain-la-Neuve : Cetri Année de publication : 2021 Collection : Alternatives sud num. Vol. 28, N° 2 Importance : 173 p Langues : Français (fre) Tags : Souveraineté Alternatives Pays en développement Amérique latin Inde Index. décimale : REVUES Résumé : La crise sanitaire a achevé de dédiaboliser la démondialisation, soit l’idée d’un recul de l’interdépendance des économies. La nécessité de récupérer des formes de souveraineté politique sur la production et l’échange de biens met désormais tout le monde d’accord, ou presque. Si, derrière la rhétorique, la plupart des dirigeants envisagent des ajustements pragmatiques, soit le rapatriement des secteurs industriels jugés stratégiques, une défiance plus profonde vis-à-vis du libre-échange s’est installée dans l’opinion occidentale, alimentée par les délocalisations, la paupérisation des classes populaires et la conversion au « local » d’une classe moyenne « ouverte sur le monde », mais tourmentée par la crise environnementale. Le rôle de champions du libre-échange a-t-il dès lors été récupéré par les pays émergents, que d’aucuns présentent comme les gagnants de la mondialisation ? En partie seulement, comme le montre la décision de l’Inde de tourner le dos à l’immense zone de libre-échange asiatique. Plus largement, l’intégration aux chaînes de valeur internationales coexiste avec la volonté de se recentrer sur les marchés intérieurs et de protéger des importations certains secteurs productifs. Dans le même temps, la prétention des États au monopole du contrôle sur les territoires, au nom du développement national, est contestée par des acteurs paysans et indigènes, qui défendent une conception plus populaire et locale de la souveraineté. Note de contenu : -résistance au libre-échange en Inde : les mouvements paysans montrent la voie p.79-86
-la souveraineté économique et le démantèlement de l'Etat au Brésil p11-125Démondialisation ? [texte imprimé] / François Houtart, Auteur ; Jacques Bastin, Auteur . - Louvain-la-Neuve (Avenue Sainte Gertrude 5, 1348) : Cetri, 2021 . - 173 p. - (Alternatives sud; Vol. 28, N° 2) .
Langues : Français (fre)
Tags : Souveraineté Alternatives Pays en développement Amérique latin Inde Index. décimale : REVUES Résumé : La crise sanitaire a achevé de dédiaboliser la démondialisation, soit l’idée d’un recul de l’interdépendance des économies. La nécessité de récupérer des formes de souveraineté politique sur la production et l’échange de biens met désormais tout le monde d’accord, ou presque. Si, derrière la rhétorique, la plupart des dirigeants envisagent des ajustements pragmatiques, soit le rapatriement des secteurs industriels jugés stratégiques, une défiance plus profonde vis-à-vis du libre-échange s’est installée dans l’opinion occidentale, alimentée par les délocalisations, la paupérisation des classes populaires et la conversion au « local » d’une classe moyenne « ouverte sur le monde », mais tourmentée par la crise environnementale. Le rôle de champions du libre-échange a-t-il dès lors été récupéré par les pays émergents, que d’aucuns présentent comme les gagnants de la mondialisation ? En partie seulement, comme le montre la décision de l’Inde de tourner le dos à l’immense zone de libre-échange asiatique. Plus largement, l’intégration aux chaînes de valeur internationales coexiste avec la volonté de se recentrer sur les marchés intérieurs et de protéger des importations certains secteurs productifs. Dans le même temps, la prétention des États au monopole du contrôle sur les territoires, au nom du développement national, est contestée par des acteurs paysans et indigènes, qui défendent une conception plus populaire et locale de la souveraineté. Note de contenu : -résistance au libre-échange en Inde : les mouvements paysans montrent la voie p.79-86
-la souveraineté économique et le démantèlement de l'Etat au Brésil p11-125
Titre : Dissidences dans la « nouvelle » Inde Type de document : texte imprimé Auteurs : Satendra Kumar, Auteur ; Mukul Kumar, Auteur Editeur : Louvain-la-Neuve : Cetri Année de publication : 2024 Collection : Alternatives sud num. Vol. 31, N° 2 Importance : 171 p Langues : Français (fre) Tags : Inde Agriculture Energie Nationalisme Index. décimale : REVUES Résumé : Selon sa Constitution, l’Inde est toujours une république socialiste, laïque et démocratique. Force est de constater pourtant que la « nouvelle » Inde s’est écartée des idéaux d’antan. En lieu et place du socialisme, un capitalisme de copinage résultant de la collusion entre conglomérats et dirigeants politiques a acculé le pays dans une croissance sans emploi, aux coûts socioéconomiques et environnementaux exorbitants. Exit les valeurs d’égalité et de diversité, bafouées par un extrémisme religieux haineux qui assimile la nation et l’identité indiennes à la seule majorité hindoue. Quant à la démocratie, elle est à la dérive. Ses institutions sont mises sous pression, les pouvoirs concentrés, les oppositions muselées. La tête du pays est passée maître dans l’art du parler démocratique et de l’agir autocratique. Dans ce climat hostile, où anxiété économique et frénésie identitaire se renforcent mutuellement, des oppositions s’élèvent. Agriculteur·trices et travailleur·euses font plier le gouvernement sur les réformes agraires. Des minorités musulmanes persécutées, au Cachemire ou à Delhi, s’insurgent contre leur invisibilisation. Des groupes dalits et adivasis résistent aux dépossessions, à la militarisation et à la colonisation de leurs terres. Et des femmes défendent leurs droits dans un pays aux structures patriarcales ancrées. Néanmoins, ces luttes sont prises à partie par les milices extrémistes hindoues au service du pouvoir, qui prolifèrent et traquent les « antinationaux » et les voix dissidentes. Note de contenu : -La crise agraire indienne à l'origine des manifestations paysannes p.61-76
-Des transitions injustes vers le charbon et l'hydroélectricité en Inde p.79-99En ligne : https://www.cetri.be/BRICS-une-alternative-pour-le-Sud Dissidences dans la « nouvelle » Inde [texte imprimé] / Satendra Kumar, Auteur ; Mukul Kumar, Auteur . - Louvain-la-Neuve (Avenue Sainte Gertrude 5, 1348) : Cetri, 2024 . - 171 p. - (Alternatives sud; Vol. 31, N° 2) .
Langues : Français (fre)
Tags : Inde Agriculture Energie Nationalisme Index. décimale : REVUES Résumé : Selon sa Constitution, l’Inde est toujours une république socialiste, laïque et démocratique. Force est de constater pourtant que la « nouvelle » Inde s’est écartée des idéaux d’antan. En lieu et place du socialisme, un capitalisme de copinage résultant de la collusion entre conglomérats et dirigeants politiques a acculé le pays dans une croissance sans emploi, aux coûts socioéconomiques et environnementaux exorbitants. Exit les valeurs d’égalité et de diversité, bafouées par un extrémisme religieux haineux qui assimile la nation et l’identité indiennes à la seule majorité hindoue. Quant à la démocratie, elle est à la dérive. Ses institutions sont mises sous pression, les pouvoirs concentrés, les oppositions muselées. La tête du pays est passée maître dans l’art du parler démocratique et de l’agir autocratique. Dans ce climat hostile, où anxiété économique et frénésie identitaire se renforcent mutuellement, des oppositions s’élèvent. Agriculteur·trices et travailleur·euses font plier le gouvernement sur les réformes agraires. Des minorités musulmanes persécutées, au Cachemire ou à Delhi, s’insurgent contre leur invisibilisation. Des groupes dalits et adivasis résistent aux dépossessions, à la militarisation et à la colonisation de leurs terres. Et des femmes défendent leurs droits dans un pays aux structures patriarcales ancrées. Néanmoins, ces luttes sont prises à partie par les milices extrémistes hindoues au service du pouvoir, qui prolifèrent et traquent les « antinationaux » et les voix dissidentes. Note de contenu : -La crise agraire indienne à l'origine des manifestations paysannes p.61-76
-Des transitions injustes vers le charbon et l'hydroélectricité en Inde p.79-99En ligne : https://www.cetri.be/BRICS-une-alternative-pour-le-Sud
Titre : La domination touristique : Points de vue du Sud Type de document : texte imprimé Editeur : Louvain-la-Neuve : Cetri Année de publication : 2018 Collection : Alternatives sud num. Vol. 25-3 Importance : 167 p Langues : Français (fre) Tags : Tourisme Consommation Développement Pauvreté Femmes Index. décimale : REVUES Résumé : «?Fait social total?», le marché touristique international s’apparente aussi à un rapport de domination.
Il met en présence?–?asymétrique?–?opérateurs, visiteurs et visités. Les premiers se concurrencent ou se conglomèrent, les deuxièmes s’imitent ou se distinguent, les derniers se précipitent ou se retirent.
Si la croissance continue du secteur repose sur sa massification et sa diversification, le droit à la mobilité récréative?–?1,4?milliard de séjours à l’étranger en 2018?–?reste un privilège, dont la démocratisation réelle déborderait les capacités d’absorption écologique du globe.
Pour l’heure, moins d’un humain sur quinze est en position politique, culturelle et économique de visiter les quatorze restants.
Migrations d’agrément et de désagrément se croisent aux frontières, béantes pour les uns, grillagées pour les autres, des régions émettrices et réceptrices.
La mise en tourisme d’une destination induit des recompositions socio-économiques, culturelles et territoriales.
Participent-elles d’une amélioration ou d’une dégradation des conditions de vie des populations locales??
Le bilan est problématique?: les coûts et bénéfices engendrés par les flux de vacanciers se répartissent injustement. Et tendent à creuser les écarts.
L’Organisation mondiale du tourisme et quantité d’acteurs conscients des dégâts plaident pour l’adoption de pratiques éthiques et durables. Laissant indemnes toutefois les mécanismes mêmes de l’intrusion?: dérégulation, libéralisation et marchandisation des lieux et des comportements, au service de la «?touristification?» du monde.
Une critique transversale de la domination touristique (tourisme de masse, écotourisme, tourisme solidaire, tourisme et droits des femmes…), ainsi que des focus régionaux (Inde, Maroc, Népal, Mexique, Indonésie, Haïti…) par des analystes du Sud (économistes, sociologues, anthropologues, «?touristologues?» d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine).En ligne : https://www.cetri.be/La-domination-touristique La domination touristique : Points de vue du Sud [texte imprimé] . - Louvain-la-Neuve (Avenue Sainte Gertrude 5, 1348) : Cetri, 2018 . - 167 p. - (Alternatives sud; Vol. 25-3) .
Langues : Français (fre)
Tags : Tourisme Consommation Développement Pauvreté Femmes Index. décimale : REVUES Résumé : «?Fait social total?», le marché touristique international s’apparente aussi à un rapport de domination.
Il met en présence?–?asymétrique?–?opérateurs, visiteurs et visités. Les premiers se concurrencent ou se conglomèrent, les deuxièmes s’imitent ou se distinguent, les derniers se précipitent ou se retirent.
Si la croissance continue du secteur repose sur sa massification et sa diversification, le droit à la mobilité récréative?–?1,4?milliard de séjours à l’étranger en 2018?–?reste un privilège, dont la démocratisation réelle déborderait les capacités d’absorption écologique du globe.
Pour l’heure, moins d’un humain sur quinze est en position politique, culturelle et économique de visiter les quatorze restants.
Migrations d’agrément et de désagrément se croisent aux frontières, béantes pour les uns, grillagées pour les autres, des régions émettrices et réceptrices.
La mise en tourisme d’une destination induit des recompositions socio-économiques, culturelles et territoriales.
Participent-elles d’une amélioration ou d’une dégradation des conditions de vie des populations locales??
Le bilan est problématique?: les coûts et bénéfices engendrés par les flux de vacanciers se répartissent injustement. Et tendent à creuser les écarts.
L’Organisation mondiale du tourisme et quantité d’acteurs conscients des dégâts plaident pour l’adoption de pratiques éthiques et durables. Laissant indemnes toutefois les mécanismes mêmes de l’intrusion?: dérégulation, libéralisation et marchandisation des lieux et des comportements, au service de la «?touristification?» du monde.
Une critique transversale de la domination touristique (tourisme de masse, écotourisme, tourisme solidaire, tourisme et droits des femmes…), ainsi que des focus régionaux (Inde, Maroc, Népal, Mexique, Indonésie, Haïti…) par des analystes du Sud (économistes, sociologues, anthropologues, «?touristologues?» d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine).En ligne : https://www.cetri.be/La-domination-touristique PermalinkPermalinkL'économie en 2019
PermalinkPermalinkUne économie écologique est-elle possible ?
PermalinkPermalinkL'économie sociale et solidaire
PermalinkPermalinkPermalinkPermalink