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Titre : Que reste-t-il du communisme en Chine ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Serge Halimi, Auteur ; Charles Perragin, Auteur ; Alain Deneault, Auteur Editeur : Le Monde diplomatique Année de publication : juillet 2021 Collection : Le Monde diplomatique num. 808 Importance : 28 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Politique internationale Chine Multinationales Résumé : Alors qu’il fête ses 100 ans, le Parti communiste chinois (PCC) est-il devenu capitaliste ? Quarante ans après les réformes de libéralisation économique lancées par Deng Xiaoping, plus de 800 millions de personnes sont sorties de la pauvreté, et l’État-parti est désormais à la tête de la deuxième économie mondiale – ou même la première si l’on calcule en parité de pouvoir d’achat –, avec 18 % du produit intérieur brut (PIB) global. L’introduction de l’économie de marché et l’accélération de la croissance sont allées de pair avec une augmentation exponentielle des inégalités : le coefficient de Gini, qui en mesure l’ampleur, a grimpé de quinze points entre 1990 et 2015 (dernier chiffre connu). Ces transformations ont favorisé l’essor du secteur privé, mais l’État maintient un contrôle direct sur une grande partie de l’économie – le secteur public en représente autour de 30 % –, faisant de la Chine un cas d’école du capitalisme d’État. Note de contenu : -Et les multinationales paieront (un peu) p.3
-L'arnaque des entreprises responsables p.19
-Les câbles sous-marins, une affaire d'Etats p.22-23En ligne : https://www.monde-diplomatique.fr/2019/02/MALLING/59526 Que reste-t-il du communisme en Chine ? [texte imprimé] / Serge Halimi, Auteur ; Charles Perragin, Auteur ; Alain Deneault, Auteur . - [S.l.] : Le Monde diplomatique, juillet 2021 . - 28 p. - (Le Monde diplomatique; 808) .
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Catégories : Revues Tags : Politique internationale Chine Multinationales Résumé : Alors qu’il fête ses 100 ans, le Parti communiste chinois (PCC) est-il devenu capitaliste ? Quarante ans après les réformes de libéralisation économique lancées par Deng Xiaoping, plus de 800 millions de personnes sont sorties de la pauvreté, et l’État-parti est désormais à la tête de la deuxième économie mondiale – ou même la première si l’on calcule en parité de pouvoir d’achat –, avec 18 % du produit intérieur brut (PIB) global. L’introduction de l’économie de marché et l’accélération de la croissance sont allées de pair avec une augmentation exponentielle des inégalités : le coefficient de Gini, qui en mesure l’ampleur, a grimpé de quinze points entre 1990 et 2015 (dernier chiffre connu). Ces transformations ont favorisé l’essor du secteur privé, mais l’État maintient un contrôle direct sur une grande partie de l’économie – le secteur public en représente autour de 30 % –, faisant de la Chine un cas d’école du capitalisme d’État. Note de contenu : -Et les multinationales paieront (un peu) p.3
-L'arnaque des entreprises responsables p.19
-Les câbles sous-marins, une affaire d'Etats p.22-23En ligne : https://www.monde-diplomatique.fr/2019/02/MALLING/59526 Documents numériques
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Titre : Qui est protégé contre l’inflation ? : Quand l'état fait le choix de l'inégalité Type de document : texte imprimé Auteurs : Benjamin Lemoine, Auteur ; Claire Lecoeuvre, Auteur ; Laurent Gayer, Auteur Editeur : Le Monde diplomatique Année de publication : décembre 2022 Collection : Le Monde diplomatique num. 825 Importance : 28 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Politique internationale Inflation Agriculture Résumé : Les pouvoirs publics ont longtemps mis les salariés à l’abri de l’inflation à travers un mécanisme d’indexation des rémunérations. Le gouvernement français
estime désormais que procéder de la sorte reviendrait à jeter du kérosène sur la flambée des étiquettes, ce que contredit une étude récente du Fonds monétaire international (FMI). La règle édictée par Bercy ne vaut toutefois pas pour tous. Figure de Léviathan moderne pour les économies occidentales, l’inflation
inquiète depuis quelques mois. La pandémie de Covid-19 puis la guerre en Ukraine ont provoqué une hausse des prix qui semble avoir escamoté les autres préoccupations des banquiers centraux. Les voici qui planifient de plonger l’économie mondiale dans la récession de façon à l’enrayer. Le 21 septembre 2022, lors d’une conférence de presse, le président de la Réserve fédérale américaine (Fed) Jerome Powell a ainsi proclamé : «Nous avons besoin d’une augmentation du chômage pour lutter contre l’inflation.»Note de contenu : -Au Pakistan, un capitalisme à main armée p.10-11
-Le droit de la mer tangue mais ne coule pas p.14-15
- La méthanisation, stade suprême de l'agriculture industrielle p.18-19En ligne : https://www.monde-diplomatique.fr/2019/02/MALLING/59526 Qui est protégé contre l’inflation ? : Quand l'état fait le choix de l'inégalité [texte imprimé] / Benjamin Lemoine, Auteur ; Claire Lecoeuvre, Auteur ; Laurent Gayer, Auteur . - [S.l.] : Le Monde diplomatique, décembre 2022 . - 28 p. - (Le Monde diplomatique; 825) .
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Catégories : Revues Tags : Politique internationale Inflation Agriculture Résumé : Les pouvoirs publics ont longtemps mis les salariés à l’abri de l’inflation à travers un mécanisme d’indexation des rémunérations. Le gouvernement français
estime désormais que procéder de la sorte reviendrait à jeter du kérosène sur la flambée des étiquettes, ce que contredit une étude récente du Fonds monétaire international (FMI). La règle édictée par Bercy ne vaut toutefois pas pour tous. Figure de Léviathan moderne pour les économies occidentales, l’inflation
inquiète depuis quelques mois. La pandémie de Covid-19 puis la guerre en Ukraine ont provoqué une hausse des prix qui semble avoir escamoté les autres préoccupations des banquiers centraux. Les voici qui planifient de plonger l’économie mondiale dans la récession de façon à l’enrayer. Le 21 septembre 2022, lors d’une conférence de presse, le président de la Réserve fédérale américaine (Fed) Jerome Powell a ainsi proclamé : «Nous avons besoin d’une augmentation du chômage pour lutter contre l’inflation.»Note de contenu : -Au Pakistan, un capitalisme à main armée p.10-11
-Le droit de la mer tangue mais ne coule pas p.14-15
- La méthanisation, stade suprême de l'agriculture industrielle p.18-19En ligne : https://www.monde-diplomatique.fr/2019/02/MALLING/59526
Titre : Réconcilier l’industrie et la nature Type de document : texte imprimé Auteurs : Serge Halimi, Auteur ; Jean Gadrey, Auteur ; Alain Garrigou, Auteur Editeur : Le Monde diplomatique Année de publication : juillet 2019 Collection : Le Monde diplomatique num. 784 Importance : 28 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Economie Environnement Résumé : Pour nombre d’économistes, de responsables politiques, de syndicalistes, il serait urgent de réindustrialiser la France. Entre 1974 et 2017, le poids de l’industrie dans l’emploi total – incluant la production d’énergie et les industries extractives, construction exclue – a chuté de 24,4 % à 10,3 %. La part des services, marchands ou non, a atteint 81 % en 2017 (1). L’industrie ne produit plus que 14 % de la valeur ajoutée, autrement dit de la richesse économique produite chaque année. Les cassandres le répètent à l’envi : il s’agirait d’une catastrophe. La France se distinguerait-elle des autres pays? En aucun
cas. Selon les chiffres du Bureau international du travail, qui portent sur l’ensemble de l’industrie et de la construction, la France reste plus industrielle que des pays qu’on peinerait à qualifier de cancres de la sacro-sainte croissance : pays nordiques, États-Unis, Canada, Royaume-Uni, entre autresNote de contenu : -Keynes et le prix de la paix p.3
En ligne : https://www.monde-diplomatique.fr/2019/02/MALLING/59526 Réconcilier l’industrie et la nature [texte imprimé] / Serge Halimi, Auteur ; Jean Gadrey, Auteur ; Alain Garrigou, Auteur . - [S.l.] : Le Monde diplomatique, juillet 2019 . - 28 p. - (Le Monde diplomatique; 784) .
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Catégories : Revues Tags : Economie Environnement Résumé : Pour nombre d’économistes, de responsables politiques, de syndicalistes, il serait urgent de réindustrialiser la France. Entre 1974 et 2017, le poids de l’industrie dans l’emploi total – incluant la production d’énergie et les industries extractives, construction exclue – a chuté de 24,4 % à 10,3 %. La part des services, marchands ou non, a atteint 81 % en 2017 (1). L’industrie ne produit plus que 14 % de la valeur ajoutée, autrement dit de la richesse économique produite chaque année. Les cassandres le répètent à l’envi : il s’agirait d’une catastrophe. La France se distinguerait-elle des autres pays? En aucun
cas. Selon les chiffres du Bureau international du travail, qui portent sur l’ensemble de l’industrie et de la construction, la France reste plus industrielle que des pays qu’on peinerait à qualifier de cancres de la sacro-sainte croissance : pays nordiques, États-Unis, Canada, Royaume-Uni, entre autresNote de contenu : -Keynes et le prix de la paix p.3
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Titre : La Russie est-elle impérialiste ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Serge Halimi, Auteur ; Paul Boyer, Auteur ; Luis Reygada, Auteur Editeur : Le Monde diplomatique Année de publication : janvier 2024 Collection : Le Monde diplomatique num. 838 Importance : 28 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Conflits Migration Résumé : Les milliards de dollars d’aide n’auront pas suffi ; la contre-offensive ukrainienne a échoué. Espérant maintenir les flux financiers en provenance des capitales occidentales, Kiev présente son agresseur comme une puissance coloniale qui menacerait l’Europe entière. Revenir sur l’histoire de l’empire russe et la place singulière qu’y occupe l’Ukraine invite à questionner cette idée. Attaqués par la Russie en février 2022, les Ukrainiens présentent leur combat comme une guerre de libération contre une ancienne tutelle resserrant son emprise. Le géographe Michel Foucher la définit comme une « guerre coloniale », tout comme le président français Emmanuel Macron, qui a qualifié l’agression russe de « néocoloniale et [d’]impérialiste » lors de son allocution à la conférence de Munich sur la sécurité en février 2023. Elle aurait révélé la tendance expansionniste de Moscou, qui n’attendait qu’une occasion pour récupérer les territoires perdus de l’ex-URSS, de l’empire tsariste ou, selon certains analystes, prétendre à une domination du monde entier en tant que force civilisationnelle basée sur des valeurs « traditionnelles ». Empire, impérialisme, colonialisme : les qualificatifs se succèdent dans les analyses, comme s’ils renvoyaient à une même réalité. Impossible toutefois de comprendre la situation russe sans clarifier les termes. Une chose est certaine : à partir d’un noyau constitué par la Moscovie du XIIIe siècle, la Russie s’est constitué un vaste territoire présentant les traits d’un empire. Au-delà de la variété de ses formes historiques, ce type d’entité politique se définit, de manière générale, par le maintien d’un système fondé sur la distinction et la hiérarchie entre les populations et les territoires. Pour qu’un empire existe, il faut un degré élevé de différenciation entre le centre et ses marges, qu’elle soit d’ordre culturel, ethnique, géographique ou administratif. Note de contenu : -Un train nommé "Maya" p.4-5
-Lusaka, plaque tournante des migrations p.6
-A qui profitent les guerres ? Cartes et graphiques p.14-15En ligne : https://www.monde-diplomatique.fr/2019/02/MALLING/59526 La Russie est-elle impérialiste ? [texte imprimé] / Serge Halimi, Auteur ; Paul Boyer, Auteur ; Luis Reygada, Auteur . - [S.l.] : Le Monde diplomatique, janvier 2024 . - 28 p. - (Le Monde diplomatique; 838) .
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Catégories : Revues Tags : Conflits Migration Résumé : Les milliards de dollars d’aide n’auront pas suffi ; la contre-offensive ukrainienne a échoué. Espérant maintenir les flux financiers en provenance des capitales occidentales, Kiev présente son agresseur comme une puissance coloniale qui menacerait l’Europe entière. Revenir sur l’histoire de l’empire russe et la place singulière qu’y occupe l’Ukraine invite à questionner cette idée. Attaqués par la Russie en février 2022, les Ukrainiens présentent leur combat comme une guerre de libération contre une ancienne tutelle resserrant son emprise. Le géographe Michel Foucher la définit comme une « guerre coloniale », tout comme le président français Emmanuel Macron, qui a qualifié l’agression russe de « néocoloniale et [d’]impérialiste » lors de son allocution à la conférence de Munich sur la sécurité en février 2023. Elle aurait révélé la tendance expansionniste de Moscou, qui n’attendait qu’une occasion pour récupérer les territoires perdus de l’ex-URSS, de l’empire tsariste ou, selon certains analystes, prétendre à une domination du monde entier en tant que force civilisationnelle basée sur des valeurs « traditionnelles ». Empire, impérialisme, colonialisme : les qualificatifs se succèdent dans les analyses, comme s’ils renvoyaient à une même réalité. Impossible toutefois de comprendre la situation russe sans clarifier les termes. Une chose est certaine : à partir d’un noyau constitué par la Moscovie du XIIIe siècle, la Russie s’est constitué un vaste territoire présentant les traits d’un empire. Au-delà de la variété de ses formes historiques, ce type d’entité politique se définit, de manière générale, par le maintien d’un système fondé sur la distinction et la hiérarchie entre les populations et les territoires. Pour qu’un empire existe, il faut un degré élevé de différenciation entre le centre et ses marges, qu’elle soit d’ordre culturel, ethnique, géographique ou administratif. Note de contenu : -Un train nommé "Maya" p.4-5
-Lusaka, plaque tournante des migrations p.6
-A qui profitent les guerres ? Cartes et graphiques p.14-15En ligne : https://www.monde-diplomatique.fr/2019/02/MALLING/59526 Documents numériques
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Titre : De Santiago à Paris, les peuples dans la rue Type de document : texte imprimé Auteurs : Serge Halimi, Auteur ; Anne-Cécile Robert, Auteur ; Maëlle Mariette, Auteur Editeur : Le Monde diplomatique Année de publication : janvier 2020 Collection : Le Monde diplomatique num. 790 Importance : 28 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Finance Industrie automobile Matières premières Ecologie Résumé : A comme Algérie, B comme Bolivie, C comme Colombie, E comme Équateur, F comme France… Le point de départ des protestations a parfois peu d’importance un mois plus tard. Et la satisfaction de l’exigence initiale des manifestants, peu d’effet. En annulant une augmentation de 4 % du prix du métro, M. Sebastián Piñera n’a pas davantage dégagé les rues de Santiago que le gouvernement de Hongkong n’avait désarmé ses opposants en retirant un projet de loi d’extradition. Une fois le mouvement lancé, il faut céder plus. Le cas échéant, envoyer la police, l’armée. Promettre, en Irak, au Chili, en Algérie, qu’on modifiera la Constitution.
Mais, sitôt le feu apaisé quelque part, il se rallume ailleurs. Les exigences sont immenses : « Le peuple veut la chute du régime. » Comment peut-il y parvenir ? Pour faire quoi ? Il ne le sait pas toujours, et il avance. En Algérie, cela fera bientôt un an qu’il manifeste. À Hongkong, il s’est mis en marche en avril dernier. Son mérite est grand : la crainte d’une répression féroce pourrait paralyser les contestataires. Pourtant, ils ne lâchent rien. Et que se passe-t-il en Iran, où même le nombre des manifestants assassinés est tenu secret ? Une défiance générale sert de ciment, ou de glaise, au mouvement populaire. Défiance envers le libéralisme économique qui parachève une société de castes, avec ses nababs et ses parias.Note de contenu : -Au nom de l'urgence écologique p.6
-BlackRock, la finance au chevet des retraités français p.16-17
-En Bolivie, la filière lithium à l'encan p.23En ligne : https://www.monde-diplomatique.fr/2019/02/MALLING/59526 De Santiago à Paris, les peuples dans la rue [texte imprimé] / Serge Halimi, Auteur ; Anne-Cécile Robert, Auteur ; Maëlle Mariette, Auteur . - [S.l.] : Le Monde diplomatique, janvier 2020 . - 28 p. - (Le Monde diplomatique; 790) .
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Catégories : Revues Tags : Finance Industrie automobile Matières premières Ecologie Résumé : A comme Algérie, B comme Bolivie, C comme Colombie, E comme Équateur, F comme France… Le point de départ des protestations a parfois peu d’importance un mois plus tard. Et la satisfaction de l’exigence initiale des manifestants, peu d’effet. En annulant une augmentation de 4 % du prix du métro, M. Sebastián Piñera n’a pas davantage dégagé les rues de Santiago que le gouvernement de Hongkong n’avait désarmé ses opposants en retirant un projet de loi d’extradition. Une fois le mouvement lancé, il faut céder plus. Le cas échéant, envoyer la police, l’armée. Promettre, en Irak, au Chili, en Algérie, qu’on modifiera la Constitution.
Mais, sitôt le feu apaisé quelque part, il se rallume ailleurs. Les exigences sont immenses : « Le peuple veut la chute du régime. » Comment peut-il y parvenir ? Pour faire quoi ? Il ne le sait pas toujours, et il avance. En Algérie, cela fera bientôt un an qu’il manifeste. À Hongkong, il s’est mis en marche en avril dernier. Son mérite est grand : la crainte d’une répression féroce pourrait paralyser les contestataires. Pourtant, ils ne lâchent rien. Et que se passe-t-il en Iran, où même le nombre des manifestants assassinés est tenu secret ? Une défiance générale sert de ciment, ou de glaise, au mouvement populaire. Défiance envers le libéralisme économique qui parachève une société de castes, avec ses nababs et ses parias.Note de contenu : -Au nom de l'urgence écologique p.6
-BlackRock, la finance au chevet des retraités français p.16-17
-En Bolivie, la filière lithium à l'encan p.23En ligne : https://www.monde-diplomatique.fr/2019/02/MALLING/59526 Documents numériques
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