| Titre : |
La guerre n’est pas le plus court chemin vers la paix |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Dominique de Villepin, Auteur ; Léa Guedj, Auteur ; Mickaël Faujour, Auteur |
| Editeur : |
Le Monde diplomatique |
| Année de publication : |
juin 2024 |
| Collection : |
Le Monde diplomatique num. 843 |
| Importance : |
28 p |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
Revues
|
| Tags : |
Conflits Amérique Latine Racisme |
| Résumé : |
Dans un monde où nombre d’États — l’Ukraine, la Russie, la Palestine, Israël — perçoivent les conflits qui les engagent comme existentiels, comment éviter une montée aux extrêmes, surtout quand les grandes puissances s’affranchissent de leurs propres règles ? Loin du néoconservatisme décomplexé qu’elle pratique dans une Europe hors jeu, à quoi pourrait ressembler la recherche par la France d’une sécurité collective ? La « pax americana » s’achève et laisse le monde en grand désordre. Depuis trois décennies, les États-Unis suivis par leurs alliés, seuls en scène, avaient cru pouvoir remodeler le monde à leur image, par l’influence, se croyant des exemples, par la régulation, se présentant en sources de droit, et, de plus en plus, par la force, se sachant les plus puissants. Ce faisant, ils ont perdu de vue leurs propres promesses et suscité une levée de boucliers mondiale dont nous payons tous aujourd’hui le prix. |
| Note de contenu : |
-Ecoquartiers, un alibi pour verdir le béton p.1, 22-23
-Guatemala, une université contre l'état p.7 |
| En ligne : |
https://www.monde-diplomatique.fr/2023/01/ |
La guerre n’est pas le plus court chemin vers la paix [texte imprimé] / Dominique de Villepin, Auteur ; Léa Guedj, Auteur ; Mickaël Faujour, Auteur . - [S.l.] : Le Monde diplomatique, juin 2024 . - 28 p. - ( Le Monde diplomatique; 843) . Langues : Français ( fre)
| Catégories : |
Revues
|
| Tags : |
Conflits Amérique Latine Racisme |
| Résumé : |
Dans un monde où nombre d’États — l’Ukraine, la Russie, la Palestine, Israël — perçoivent les conflits qui les engagent comme existentiels, comment éviter une montée aux extrêmes, surtout quand les grandes puissances s’affranchissent de leurs propres règles ? Loin du néoconservatisme décomplexé qu’elle pratique dans une Europe hors jeu, à quoi pourrait ressembler la recherche par la France d’une sécurité collective ? La « pax americana » s’achève et laisse le monde en grand désordre. Depuis trois décennies, les États-Unis suivis par leurs alliés, seuls en scène, avaient cru pouvoir remodeler le monde à leur image, par l’influence, se croyant des exemples, par la régulation, se présentant en sources de droit, et, de plus en plus, par la force, se sachant les plus puissants. Ce faisant, ils ont perdu de vue leurs propres promesses et suscité une levée de boucliers mondiale dont nous payons tous aujourd’hui le prix. |
| Note de contenu : |
-Ecoquartiers, un alibi pour verdir le béton p.1, 22-23
-Guatemala, une université contre l'état p.7 |
| En ligne : |
https://www.monde-diplomatique.fr/2023/01/ |
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