Titre : |
Démocratie au travail : un défi pour les syndicats |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Geneviève Laforêt, Directeur de publication, rédacteur en chef |
Editeur : |
CIEP/MOC |
Année de publication : |
décembre 2023 |
Collection : |
Démocratie num. 12 |
Importance : |
16 p |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Revues
|
Tags : |
Syndicats Elections Entreprises |
Résumé : |
es entreprises sont aussi des lieux où l’on vote. Du 13 au 26 mai 2024, lors des 19e élections sociales, plus de deux millions de travailleuses et travailleurs seront invité·es à élire leurs représentant·es au conseil d’entreprise (dans les entreprises occupant au moins 100 personnes) et au comité pour la prévention et la protection au travail (dans celles occupant au moins 50 personnes). Cela signifie-t-il que les entreprises sont régies par des processus démocratiques, que les travailleur·ses pèsent sur les décisions? On en est loin. Alors que le monde est confronté à la nécessité d’une transition juste, les dirigeant·es des entreprises n’ont pratiquement aucun compte à rendre aux travailleur·ses. Aujourd’hui, si nous voulons renforcer la démocratie, nous devons remettre la question de la démocratisation de l’entreprise et des lieux de travail au centre de l’agenda syndical et politique. |
En ligne : |
http://www.econospheres.be/Mondialisation-le-droit-comme |
Démocratie au travail : un défi pour les syndicats [texte imprimé] / Geneviève Laforêt, Directeur de publication, rédacteur en chef . - [S.l.] : CIEP/MOC, décembre 2023 . - 16 p. - ( Démocratie; 12) . Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Revues
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Tags : |
Syndicats Elections Entreprises |
Résumé : |
es entreprises sont aussi des lieux où l’on vote. Du 13 au 26 mai 2024, lors des 19e élections sociales, plus de deux millions de travailleuses et travailleurs seront invité·es à élire leurs représentant·es au conseil d’entreprise (dans les entreprises occupant au moins 100 personnes) et au comité pour la prévention et la protection au travail (dans celles occupant au moins 50 personnes). Cela signifie-t-il que les entreprises sont régies par des processus démocratiques, que les travailleur·ses pèsent sur les décisions? On en est loin. Alors que le monde est confronté à la nécessité d’une transition juste, les dirigeant·es des entreprises n’ont pratiquement aucun compte à rendre aux travailleur·ses. Aujourd’hui, si nous voulons renforcer la démocratie, nous devons remettre la question de la démocratisation de l’entreprise et des lieux de travail au centre de l’agenda syndical et politique. |
En ligne : |
http://www.econospheres.be/Mondialisation-le-droit-comme |
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