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Le capital algorithmique / Jonathan Durand Folco
Titre : Le capital algorithmique : Accumulation, pouvoir et résistance à l’ère de l’intelligence artificielle Type de document : texte imprimé Auteurs : Jonathan Durand Folco, Auteur ; Jonathan Martineau, Auteur Editeur : Montréal [Canada] : Ecosociété Année de publication : 2023 Importance : 490 p Note générale : 01 DUR Langues : Français (fre) Catégories : Capitalisme
Technologies numériquesTags : Technologies de l'information Algorithmes Intelligence artificielle Index. décimale : 01 Economie Résumé : Alors que tout semble s’accélérer dans nos vies hyperconnectées, la séparation du monde « réel » et du virtuel apparaît de plus en plus caduque. Pour Jonathan Durand Folco et Jonathan Martineau, les changements techniques en cours sont tels que nous sommes entrés dans un nouveau stade du capitalisme : le capital algorithmique. En vingt thèses critiques, ils montrent comment la valorisation des données massives et le déploiement rapide de l’intelligence artificielle s’accompagnent de mutations socioéconomiques et politiques majeures. À la fois dynamique d’accumulation, rapport social et forme inédite de pouvoir basé sur les algorithmes, il s’agit d’une réalité multidimensionnelle qui bouleverse déjà profondément nos vies. Le capital algorithmique : Accumulation, pouvoir et résistance à l’ère de l’intelligence artificielle [texte imprimé] / Jonathan Durand Folco, Auteur ; Jonathan Martineau, Auteur . - Montréal (Canada) : Ecosociété, 2023 . - 490 p.
01 DUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Capitalisme
Technologies numériquesTags : Technologies de l'information Algorithmes Intelligence artificielle Index. décimale : 01 Economie Résumé : Alors que tout semble s’accélérer dans nos vies hyperconnectées, la séparation du monde « réel » et du virtuel apparaît de plus en plus caduque. Pour Jonathan Durand Folco et Jonathan Martineau, les changements techniques en cours sont tels que nous sommes entrés dans un nouveau stade du capitalisme : le capital algorithmique. En vingt thèses critiques, ils montrent comment la valorisation des données massives et le déploiement rapide de l’intelligence artificielle s’accompagnent de mutations socioéconomiques et politiques majeures. À la fois dynamique d’accumulation, rapport social et forme inédite de pouvoir basé sur les algorithmes, il s’agit d’une réalité multidimensionnelle qui bouleverse déjà profondément nos vies.
Titre : Noir Canada : Pillage, corruption et criminalité en Afrique Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Deneault, Auteur Editeur : Montréal [Canada] : Ecosociété Année de publication : 2011 Importance : 352 p Langues : Français (fre) Catégories : Afrique
Industrie minièreTags : Industrie minière Canada Ressources naturelles Barrick Gold Corporation Afrique Index. décimale : 09.02 Afrique Résumé : Noir Canada remet en cause l’image largement répandue sur la scène internationale et défendue avec conviction par le discours officiel canadien, d’un Canada bon, pacifiste et généreux. Présenté comme le grand frère bienfaiteur, le Canada appuie pourtant politiquement et financièrement des sociétés qui exploitent le sol africain (et enregistrent des profits colossaux à la Bourse de Toronto), alors que, selon un ensemble de sources internationales, elles apparaîtraient mêlées à de sérieux cas d’abus en Afrique… Le Canada serait-il un « paradis judiciaire » pour les sociétés minières? Alain Deneault décrit toute l’architecture d’un système politique et financier honteux, qui de fait légitime et soutient le pillage des ressources du continent africain. Rédigé à partir de sources déjà rendues publiques, ce livre soutient avec éloquence que le Canada est loin de cet « ami de l’Afrique » qu’il se targue d’être.
À la lecture de Noir Canada, Pillage, corruption et criminalité en Afrique,
une épithète s’impose : livre nécessaire.
Déclaration publique conjointe
Règlement de l’action de Barrick Gold contre les auteurs et l’éditeur de Noir Canada
Barrick Gold Corporation (« Barrick »), Alain Deneault, Delphine Abadie et William Sacher (collectivement, les « Auteurs ») et Les Éditions Écosociété Inc. (« Écosociété ») annoncent qu’ils ont réglé hors Cour l’action en diffamation intentée par Barrick en avril 2008 en Cour supérieure du Québec en relation avec le livre Noir Canada: pillage, corruption et criminalité en Afrique (« Noir Canada ») écrit par les Auteurs et publié par Écosociété (l’« Action »).
Afin de régler le litige qui l’oppose à Barrick, Écosociété met fin à la publication et l’impression de Noir Canada et a effectué un paiement significatif à Barrick.
Une partie de Noir Canada se rapporte à des allégations concernant l’implication alléguée de Barrick en Tanzanie en 1996. Les Auteurs reconnaissent qu’ils n’ont pas de preuve d’implication de Barrick en Tanzanie en 1996 et que Barrick et d’autres parties contestent les allégations entourant les événements à la concession de Bulyanhulu en 1996.
En relation avec le contenu de Noir Canada concernant le Congo, Barrick reconnaît que la thèse des Auteurs et de plusieurs autres personnes est à l’effet que la présence de plusieurs ressources minérales, dont l’or, au Congo était un des principaux motifs à l’origine des conflits dans ce pays et que la présence de compagnies minières transnationales dans une région en guerre, telle les Grands Lacs africains peut avoir des conséquences imprévues et sérieuses.
Les Auteurs reconnaissent que bien que ces questions aient été étudiées de façon approfondie par un groupe d’experts des Nations Unies, en 2001-2002, ces experts n’ont fait aucune mention de Barrick. Les Auteurs reconnaissent que Barrick a présenté des documents et témoignages indiquant qu’elle n’a eu qu’une présence très limitée au Congo à l’été de 1996 exécutant du travail exploratoire sur une petite partie d’une concession minière de 82 000 km² au Congo et indiquant qu’elle n’a eu aucune implication dans les conflits au Congo. Les Auteurs reconnaissent qu’ils n’ont aucune preuve à l’effet contraire.
Barrick, les Auteurs et Écosociété conviennent que l’Action instituée par Barrick et l’écriture et la publication du livre Noir Canada par les Auteurs et Écosociété ont été entreprises de bonne foi et avec la conviction qu’elles étaient légitimes.
Les Auteurs réitèrent ce qu’ils ont écrit dans l’introduction de Noir Canada, à savoir que « cet ouvrage ne constitue pas une condamnation sommaire de sociétés » qu’il cite, et qu’ils ne s’étaient pas donné pour mandat d’assurer ultimement la véracité des allégations que le livre développe à partir de documents publics. Les Auteurs maintiennent que Noir Canada a été écrit afin de susciter un débat public sur la présence controversée d’intérêts canadiens en Afrique et d’en appeler à la création d’une commission d’enquête sur cette présence canadienne en Afrique. Ils maintiennent toujours cette position et continuent de s’enquérir du rôle des sociétés privées actives en tant que partenaires commerciaux auprès de représentants politiques africains engagés dans des conflits armés.
Écosociété considère que Noir Canada est pertinent et d’intérêt public, que la thèse qui y est développée constitue une contribution essentielle à la pensée critique et méritait d’être publiée. Écosociété entend poursuivre sa mission d’éditeur indépendant qui publie des essais d’intérêt public visant à susciter des débats de société.Note de contenu : Livre retiré de la vente sur ordre de la justice canadienne En ligne : http://www.ecosociete.org/entente.php Noir Canada : Pillage, corruption et criminalité en Afrique [texte imprimé] / Alain Deneault, Auteur . - Montréal (Canada) : Ecosociété, 2011 . - 352 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Afrique
Industrie minièreTags : Industrie minière Canada Ressources naturelles Barrick Gold Corporation Afrique Index. décimale : 09.02 Afrique Résumé : Noir Canada remet en cause l’image largement répandue sur la scène internationale et défendue avec conviction par le discours officiel canadien, d’un Canada bon, pacifiste et généreux. Présenté comme le grand frère bienfaiteur, le Canada appuie pourtant politiquement et financièrement des sociétés qui exploitent le sol africain (et enregistrent des profits colossaux à la Bourse de Toronto), alors que, selon un ensemble de sources internationales, elles apparaîtraient mêlées à de sérieux cas d’abus en Afrique… Le Canada serait-il un « paradis judiciaire » pour les sociétés minières? Alain Deneault décrit toute l’architecture d’un système politique et financier honteux, qui de fait légitime et soutient le pillage des ressources du continent africain. Rédigé à partir de sources déjà rendues publiques, ce livre soutient avec éloquence que le Canada est loin de cet « ami de l’Afrique » qu’il se targue d’être.
À la lecture de Noir Canada, Pillage, corruption et criminalité en Afrique,
une épithète s’impose : livre nécessaire.
Déclaration publique conjointe
Règlement de l’action de Barrick Gold contre les auteurs et l’éditeur de Noir Canada
Barrick Gold Corporation (« Barrick »), Alain Deneault, Delphine Abadie et William Sacher (collectivement, les « Auteurs ») et Les Éditions Écosociété Inc. (« Écosociété ») annoncent qu’ils ont réglé hors Cour l’action en diffamation intentée par Barrick en avril 2008 en Cour supérieure du Québec en relation avec le livre Noir Canada: pillage, corruption et criminalité en Afrique (« Noir Canada ») écrit par les Auteurs et publié par Écosociété (l’« Action »).
Afin de régler le litige qui l’oppose à Barrick, Écosociété met fin à la publication et l’impression de Noir Canada et a effectué un paiement significatif à Barrick.
Une partie de Noir Canada se rapporte à des allégations concernant l’implication alléguée de Barrick en Tanzanie en 1996. Les Auteurs reconnaissent qu’ils n’ont pas de preuve d’implication de Barrick en Tanzanie en 1996 et que Barrick et d’autres parties contestent les allégations entourant les événements à la concession de Bulyanhulu en 1996.
En relation avec le contenu de Noir Canada concernant le Congo, Barrick reconnaît que la thèse des Auteurs et de plusieurs autres personnes est à l’effet que la présence de plusieurs ressources minérales, dont l’or, au Congo était un des principaux motifs à l’origine des conflits dans ce pays et que la présence de compagnies minières transnationales dans une région en guerre, telle les Grands Lacs africains peut avoir des conséquences imprévues et sérieuses.
Les Auteurs reconnaissent que bien que ces questions aient été étudiées de façon approfondie par un groupe d’experts des Nations Unies, en 2001-2002, ces experts n’ont fait aucune mention de Barrick. Les Auteurs reconnaissent que Barrick a présenté des documents et témoignages indiquant qu’elle n’a eu qu’une présence très limitée au Congo à l’été de 1996 exécutant du travail exploratoire sur une petite partie d’une concession minière de 82 000 km² au Congo et indiquant qu’elle n’a eu aucune implication dans les conflits au Congo. Les Auteurs reconnaissent qu’ils n’ont aucune preuve à l’effet contraire.
Barrick, les Auteurs et Écosociété conviennent que l’Action instituée par Barrick et l’écriture et la publication du livre Noir Canada par les Auteurs et Écosociété ont été entreprises de bonne foi et avec la conviction qu’elles étaient légitimes.
Les Auteurs réitèrent ce qu’ils ont écrit dans l’introduction de Noir Canada, à savoir que « cet ouvrage ne constitue pas une condamnation sommaire de sociétés » qu’il cite, et qu’ils ne s’étaient pas donné pour mandat d’assurer ultimement la véracité des allégations que le livre développe à partir de documents publics. Les Auteurs maintiennent que Noir Canada a été écrit afin de susciter un débat public sur la présence controversée d’intérêts canadiens en Afrique et d’en appeler à la création d’une commission d’enquête sur cette présence canadienne en Afrique. Ils maintiennent toujours cette position et continuent de s’enquérir du rôle des sociétés privées actives en tant que partenaires commerciaux auprès de représentants politiques africains engagés dans des conflits armés.
Écosociété considère que Noir Canada est pertinent et d’intérêt public, que la thèse qui y est développée constitue une contribution essentielle à la pensée critique et méritait d’être publiée. Écosociété entend poursuivre sa mission d’éditeur indépendant qui publie des essais d’intérêt public visant à susciter des débats de société.Note de contenu : Livre retiré de la vente sur ordre de la justice canadienne En ligne : http://www.ecosociete.org/entente.php Notre empreinte écologique / Mathis Wackernagel
Titre : Notre empreinte écologique : comment réduire les conséquences de l'activité humaine sur la Terre Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathis Wackernagel, Auteur ; William Rees, Auteur Editeur : Montréal [Canada] : Ecosociété Année de publication : 1999 Importance : 207 p Note générale : Titre original : Our Ecological Footprint, Reducing Human Impact on the Earth Langues : Français (fre) Catégories : Environnement Tags : Consommation Ecologie Environnement Développement durable Résumé : L'éco-consommation, l'économie responsable, la consom'action.... différentes dénominations pour regrouper une même idée autour de l'économie, l'écologie et la consommation.
Ces néologismes désignent donc une nouvelle façon de penser et de consommer en respectant la nature : un éco-consommateur est donc un "acheteur responsable" qui souhaite par le choix de ses achats privilégier des produits et les entreprises respectueuses de l'environnement et de la société.
Parmi les critères référentiels, un éco-consommateur se doit de penser à l'écologie et le respect de la planète, à l'économie financière et énergétique mais à la société et au respect des individus.
Les choix et décisions d'achats des consomm'acteurs dépendent donc de la traçabilité du produit (connaître les étapes de la chaîne de fabrication d'un produit permet de réaliser les impacts éventuels sur l'environnement, qu'il soit social ou naturel - provenance, lieu et méthodes de transformation, conditions de travail …) ; de la composition du produit (choix des matières premières, lieux et techniques de culture, biodégradabilité des composants, risques éventuels sur la santé - végétale, animale ou humaine).
Voici quelques exemples applicables au quotidien : ne plus utiliser de sacs plastiques jetables et de façon générale ne plus acheter de produits jetables mais favoriser les étuis rechargeables, utiliser les transports en communs plutôt que son véhicule personnel, favoriser l'achat de produit issu du commerce équitable et bien d'autres encore…Notre empreinte écologique : comment réduire les conséquences de l'activité humaine sur la Terre [texte imprimé] / Mathis Wackernagel, Auteur ; William Rees, Auteur . - Montréal (Canada) : Ecosociété, 1999 . - 207 p.
Titre original : Our Ecological Footprint, Reducing Human Impact on the Earth
Langues : Français (fre)
Catégories : Environnement Tags : Consommation Ecologie Environnement Développement durable Résumé : L'éco-consommation, l'économie responsable, la consom'action.... différentes dénominations pour regrouper une même idée autour de l'économie, l'écologie et la consommation.
Ces néologismes désignent donc une nouvelle façon de penser et de consommer en respectant la nature : un éco-consommateur est donc un "acheteur responsable" qui souhaite par le choix de ses achats privilégier des produits et les entreprises respectueuses de l'environnement et de la société.
Parmi les critères référentiels, un éco-consommateur se doit de penser à l'écologie et le respect de la planète, à l'économie financière et énergétique mais à la société et au respect des individus.
Les choix et décisions d'achats des consomm'acteurs dépendent donc de la traçabilité du produit (connaître les étapes de la chaîne de fabrication d'un produit permet de réaliser les impacts éventuels sur l'environnement, qu'il soit social ou naturel - provenance, lieu et méthodes de transformation, conditions de travail …) ; de la composition du produit (choix des matières premières, lieux et techniques de culture, biodégradabilité des composants, risques éventuels sur la santé - végétale, animale ou humaine).
Voici quelques exemples applicables au quotidien : ne plus utiliser de sacs plastiques jetables et de façon générale ne plus acheter de produits jetables mais favoriser les étuis rechargeables, utiliser les transports en communs plutôt que son véhicule personnel, favoriser l'achat de produit issu du commerce équitable et bien d'autres encore…Une société à refaire / Murray Bookchin
Titre : Une société à refaire : Vers une écologie de la liberté Type de document : texte imprimé Auteurs : Murray Bookchin, Auteur Editeur : Montréal [Canada] : Ecosociété Année de publication : 1993 Importance : 300 p Note générale : 08.02 BOO Langues : Français (fre) Catégories : Environnement Tags : Ecologie politique Index. décimale : 08.02 Théories politiques Résumé : Refaire la société dans une perspective écologique. Voilà bien l’urgence. Mais de quelle perspective parlons-nous ? Que l’on prône un contrôle impitoyable sur la nature – la vision scientiste – ou que l’on se soumette humblement à ses lois — la vision mystique – nous continuons à penser la relation Homme/Nature uniquement en termes de domination et d’assujettissement. Et pendant que nous débattons entre écologistes, la dégradation de l’environnement se poursuit à un rythme effréné, modifiant de façon irréversible l’équilibre écologique.
Dans Une société à refaire, Murray Bookchin défend l’idée que la domination de l’humain par l’humain, à l’origine des hiérarchisations sociales, a non seulement permis l’émergence d’un système aussi inégalitaire que le capitalisme, mais a également soumis la nature à ses impératifs d’expansion. Car une économie fondée sur la croissance et la concurrence ne peut que dévorer le monde. D’un autre côté, réduire l’être humain à une espèce animale parmi d’autres, c’est oublier qu’il est avant tout un être social et que cela détermine ses relations au monde naturel.Une société à refaire : Vers une écologie de la liberté [texte imprimé] / Murray Bookchin, Auteur . - Montréal (Canada) : Ecosociété, 1993 . - 300 p.
08.02 BOO
Langues : Français (fre)
Catégories : Environnement Tags : Ecologie politique Index. décimale : 08.02 Théories politiques Résumé : Refaire la société dans une perspective écologique. Voilà bien l’urgence. Mais de quelle perspective parlons-nous ? Que l’on prône un contrôle impitoyable sur la nature – la vision scientiste – ou que l’on se soumette humblement à ses lois — la vision mystique – nous continuons à penser la relation Homme/Nature uniquement en termes de domination et d’assujettissement. Et pendant que nous débattons entre écologistes, la dégradation de l’environnement se poursuit à un rythme effréné, modifiant de façon irréversible l’équilibre écologique.
Dans Une société à refaire, Murray Bookchin défend l’idée que la domination de l’humain par l’humain, à l’origine des hiérarchisations sociales, a non seulement permis l’émergence d’un système aussi inégalitaire que le capitalisme, mais a également soumis la nature à ses impératifs d’expansion. Car une économie fondée sur la croissance et la concurrence ne peut que dévorer le monde. D’un autre côté, réduire l’être humain à une espèce animale parmi d’autres, c’est oublier qu’il est avant tout un être social et que cela détermine ses relations au monde naturel.