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Auteur Elisabeth Schenk |
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Titre : Industrie textile : lutter pour survivre en temps de pandémie Type de document : texte imprimé Auteurs : Elisabeth Schenk, Auteur ; Patrick Durisch, Auteur ; Laurent Gaberell, Auteur Editeur : DB - Déclaration de Berne Année de publication : avril 2021 Collection : Public Eye num. 29 Importance : 42 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Agriculture Pesticides Syngenta Industrie textile Industrie pharmaceutique Résumé : Au Cambodge, l’un des bastions de l’industrie textile, la situation actuelle illustre de manière frappante comment le Covid-19 accentue l’écart entre riches et pauvres. Alors que les plus grandes fortunes mondiales s’enrichissent encore, les travailleuses et travailleurs du textile luttent pour trouver un emploi, pour recevoir leur salaire, et tout simplement pour survivre. En lançant la pétition internationale #PayYourWorkers, Public Eye et la Campagne Clean Clothes veulent rappeler aux enseignes de la mode qu’il est inacceptable de reporter le poids de la crise sur les ouvrières et ouvriers qui, à l'autre bout de la chaîne, gagnent des salaires de misère depuis des décennies. Note de contenu : -Les stratégies insidieuses de l'industrie du textile p.4-15
-Big Pharma : le profit à tout prix p.16-23
-Paraquat Papers : le profit avant la vie humaine p.26-35En ligne : https://stories.publiceye.ch/pesticides/index.html Format de la ressource électronique : https://www.publiceye.ch/fr/coin-medias/communiques-de-presse/detail/syngenta-gagne-des-milliards-en-vendant-des-pesticides-extremement-dangereux Industrie textile : lutter pour survivre en temps de pandémie [texte imprimé] / Elisabeth Schenk, Auteur ; Patrick Durisch, Auteur ; Laurent Gaberell, Auteur . - [S.l.] : DB - Déclaration de Berne, avril 2021 . - 42 p. - (Public Eye; 29) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Agriculture Pesticides Syngenta Industrie textile Industrie pharmaceutique Résumé : Au Cambodge, l’un des bastions de l’industrie textile, la situation actuelle illustre de manière frappante comment le Covid-19 accentue l’écart entre riches et pauvres. Alors que les plus grandes fortunes mondiales s’enrichissent encore, les travailleuses et travailleurs du textile luttent pour trouver un emploi, pour recevoir leur salaire, et tout simplement pour survivre. En lançant la pétition internationale #PayYourWorkers, Public Eye et la Campagne Clean Clothes veulent rappeler aux enseignes de la mode qu’il est inacceptable de reporter le poids de la crise sur les ouvrières et ouvriers qui, à l'autre bout de la chaîne, gagnent des salaires de misère depuis des décennies. Note de contenu : -Les stratégies insidieuses de l'industrie du textile p.4-15
-Big Pharma : le profit à tout prix p.16-23
-Paraquat Papers : le profit avant la vie humaine p.26-35En ligne : https://stories.publiceye.ch/pesticides/index.html Format de la ressource électronique : https://www.publiceye.ch/fr/coin-medias/communiques-de-presse/detail/syngenta-gagne-des-milliards-en-vendant-des-pesticides-extremement-dangereux Documents numériques
2021-04_PublicEye_Magazin_No29_F_96_dpi.pdfAdobe Acrobat PDF
Titre : Le pétrole russe coule encore à flots Type de document : texte imprimé Auteurs : Agathe Duparc, Auteur ; Patrick Durisch, Auteur ; Elisabeth Schenk, Auteur Editeur : DB - Déclaration de Berne Année de publication : avril 2023 Collection : Public Eye num. 41 Importance : 43 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Santé Vêtements Pétrole Résumé : Depuis début février, l'importation de pétrole brut ou raffiné par voie maritime est interdite et le négoce soumis à un prix plafond dans une quarantaine de pays occidentaux, dont la Suisse. Cet embargo historique a mis fin à une longue histoire d’amour entre Genève et l’or noir russe. Autrefois partenaires clés du régime de Poutine, les principaux négociants ont dû couper les ponts, alors que de petites sociétés au profil inconnu ont pris le relais, soupçonnées de jouer les intermédiaires pour plus gros qu’elles dans un marché toujours plus opaque. Public Eye a enquêté sur ce grand chambardement. Sur l’écran, une longue liste de navires s’affiche. Le regard est attiré par ceux qui portent la mention « statut critique », écrite en lettres rouges. En ce mois de février 2023, dans la salle des marchés d’un négociant genevois, les traders et les opérateurs sont tenus, quoiqu’ils fassent, de repérer les « vilains bateaux », comme on les appelle ici. Il s’agit pour la plupart de tankers pétroliers qui ont changé de pavillon pour masquer leur origine russe, ou qui se sont chargés dans des ports russes au cours des derniers mois et pourraient être liés à des individus ou des sociétés russes sous sanctions. Comme le Minerva Nounou, qui navigue sous pavillon maltais. Depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine, le 24 février 2022, ce tanker de 17 ans a accosté une dizaine de fois dans des ports russes, dont Oust-Louga et Primorsk. Note de contenu : -Prix des médicaments : quand le Conseil fédéral va-t-il enfin siffler la fin de la récréation? p.24-27
-Décision scandaleuse : Syngenta conserve le droit de breveter la nature p.28-31
-Dix ans après le drame du Rana Plaza, l'industrie textile a bien trop peu évolué p.32-38En ligne : https://www.publiceye.ch/fr/publications/detail/la-ou-glencore-ferme-les-yeux Le pétrole russe coule encore à flots [texte imprimé] / Agathe Duparc, Auteur ; Patrick Durisch, Auteur ; Elisabeth Schenk, Auteur . - [S.l.] : DB - Déclaration de Berne, avril 2023 . - 43 p. - (Public Eye; 41) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Santé Vêtements Pétrole Résumé : Depuis début février, l'importation de pétrole brut ou raffiné par voie maritime est interdite et le négoce soumis à un prix plafond dans une quarantaine de pays occidentaux, dont la Suisse. Cet embargo historique a mis fin à une longue histoire d’amour entre Genève et l’or noir russe. Autrefois partenaires clés du régime de Poutine, les principaux négociants ont dû couper les ponts, alors que de petites sociétés au profil inconnu ont pris le relais, soupçonnées de jouer les intermédiaires pour plus gros qu’elles dans un marché toujours plus opaque. Public Eye a enquêté sur ce grand chambardement. Sur l’écran, une longue liste de navires s’affiche. Le regard est attiré par ceux qui portent la mention « statut critique », écrite en lettres rouges. En ce mois de février 2023, dans la salle des marchés d’un négociant genevois, les traders et les opérateurs sont tenus, quoiqu’ils fassent, de repérer les « vilains bateaux », comme on les appelle ici. Il s’agit pour la plupart de tankers pétroliers qui ont changé de pavillon pour masquer leur origine russe, ou qui se sont chargés dans des ports russes au cours des derniers mois et pourraient être liés à des individus ou des sociétés russes sous sanctions. Comme le Minerva Nounou, qui navigue sous pavillon maltais. Depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine, le 24 février 2022, ce tanker de 17 ans a accosté une dizaine de fois dans des ports russes, dont Oust-Louga et Primorsk. Note de contenu : -Prix des médicaments : quand le Conseil fédéral va-t-il enfin siffler la fin de la récréation? p.24-27
-Décision scandaleuse : Syngenta conserve le droit de breveter la nature p.28-31
-Dix ans après le drame du Rana Plaza, l'industrie textile a bien trop peu évolué p.32-38En ligne : https://www.publiceye.ch/fr/publications/detail/la-ou-glencore-ferme-les-yeux Documents numériques
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